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22/01/17

Absentes Titanides

...Revenez sur terre !

"Les vivants se sont tus, mais les morts m'ont parlé,
Leur silence infini m'enseigne le durable.
Loin du coeur des humains, vaniteux et troublé,
J'ai bâti ma maison pensive sur leur sable.
-Votre sommeil, ô morts déçus et sérieux,
Me jette, les yeux clos, un long regard farouche ;
Le vent de la parole emplit encor ma bouche,
L'univers fugitif s'insère dans mes yeux.
Morts austères, légers, vous ne sauriez prétendre
A toujours occuper, par vos muets soupirs,
La race des vivants, qui cherche à se défendre
Contre le temps, qu'on voit déjà se rétrécir ;
Mais mon coeur, chaque soir, vient contempler vos cendres.
Je ressemble au passé et vous à l'avenir.
On ne possède bien que ce qu'on peut attendre :
Je suis morte déjà, puisque je dois mourir.
"
Anna de Noailles, Les vivants se sont tus *

Nastassia Kinski, Tess ("To Sharon"), Roman Polanski [Illus. 1]

A tous les emmurés, les démurés, les sans logis, les vagabonds, les sans famille.

Où donc se cachent nos déesses, les filles de Gaïa, l’Équité, la Loi et la Paix ?[1a]

J'ai été intriguée par la brume qui entourait une victime passée (1977) à qui l'on niait sa parole articulée, et fort bien, en la traitant à l'opposé de toute solidarité ou empathie, de vendue, ou tout comme. Voilà donc comment à la lire et écouter, j'ai fini par basculer à éplucher tout document à ma portée sur son affaire, qui est aussi celle de son agresseur. Comment ne pas la soutenir ?

L'affaire est simple. Lorsque nous sommes accusées ou soupçonnées, bien heureusement nous bénéficions de principes à chérir sans géométrie variable. 
Ne soyons pas mauvaises conseillères, il n'y a que la victime en personne de dactyviol`, de viol ou d'agression sexuelle qui souffrira des expertises et avis erronés. Seul conseil possible, il n'y en a qu'un à donner, porter plainte le plus rapidement possible en respectant tout du droit avant et pendant l'enquête, ainsi que la prescription. Sans plainte, pas de poursuites, tout simplement.

En France, on peut porter plainte. Si ce n'est pas un commissariat, cela en sera un autre. Et un certificat médical n'est pas non plus difficile à faire établir, même dans les années 1970, y compris médico-légal. Tout le monde n'a pas choisi cette tactique d'être longue et coûteuse de plusieurs façons.

Passées de l'autre côté de la barrière, lorsque nous sommes victimes, nous devons nous en sortir vite, souffler, respirer. La prescription est la clef qui permet d'ouvrir la cage, qui ouvre la voie à la cicatrisation et la construction.

Un féminisme sabrant tout principe démontrerait que l'on tente de le détruire de l'intérieur. Une fois vermoulu, il ne nous aidera nullement. Au contraire, ce fantôme nous bouclerait dans le rôle de victime à vie. L'on ne peut vouloir de cela.


Dès lors que l'on nierait un droit et son principe, les premières contre lesquelles cela se retournerait seraient les femmes. Ce serait donc y renoncer.

"N'oubliez jamais qu'il suffira d'une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant" Simone de Beauvoir
Cela ne signifie pas qu'il soit facile à une victime de vivre un procès. Cela restera toujours une épreuve pour quelque délit ou crime que ce soit. Les avocats sont démunis et ne savent pas vraiment bien préparer les demanderesses à affronter la mise à nu du au manque de preuves formelles, ou à leur trafic. S'il y a un travail de fond à faire, c'est là, dans ce creux.
Même si un nombre non négligeable d'accusés sont en train de purger leur peine, certaines gratinées. Pourtant concernant d'autres, si ce n'est l'impunité, on dirait parfois comme un parfum de tolérance sociale marquée ? L'application est inégale et beaucoup sont comme excusés.
Ainsi, pourquoi et comment à chaque film, tout repart, et rebelote 2017 ? 
-Hormis la susceptibilité des juges et jurys qui pourrait être froissée, les principes de justice ne souffriraient d'aucun coup de canif s'ils étaient convoqués publiquement dans le détail le plus scabreux. Tout a été mis sur la paillasse depuis longtemps, et par tous protagonistes, et sans qu'ils s'en émeuvent.
Quelle serait donc finalement la raison de s'en prendre à une personne de 80 ans passés, à la carrière et les oeuvres derrière elle mais pourtant constamment interpellée publiquement depuis l'été 1969. Désormais concernant une affaire close à l'avantage alors de la victime selon elle-même dédommagée en suffisance en 1978 en second ?
Certains prétendent impunité, alors que socialement il n'a cessé de payer par l'opprobre et la persécution médiatique un seul évènement reconnu dont l'action publique est éteinte depuis 43 ans ? Pour tenter de comprendre ces déferlantes, une seule solution, investiguer. Sachez bien dès à présent qu'ici je n'exposerai pas mon intime conviction qui n'aurait rien à voir avec l'examen de dossier, qui est de scruter les faits, si.

Ne laissons rien au hasard car il n’existe pas. Voici le résultat de mon enquête minutieuse qui a suscité les questions ci-dessus et d'autres interrogations encore.
  • On juge, on exige même un jugement à la place et au détriment de la victime
Samantha Gailey s'est déjà opposée à plusieurs reprises à des poursuites nouvelles, la première fois années 90, approuvant que l'accusé ait fui l'illégalité du juge... Qui exige procès à sa place et sur quel fondement légal ? Ses parents ont semble-t-il fait un sans faute dans sa protection et restauration, admettant détournement de mienure -ils étaient au plus proche pour savoir de quoi il retournait- 

En Californie en 1977, les demandes de la plaignante représentée par ses parents ont été satisfaites. Ce serait nier les droits de l'accusation et de l'accusé -de relancer la balle pour des raisons personnelles ou électorales. Le premier juge a déjà exposé la victime mineure sciemment et mis délibérément en danger l'accusé dans une prison où il risquait sa peau- Il serait reproché au libéré que les rapports du psychiatre et des agents probateurs n'aient pris que 40 jours et soient favorables ?

La victime n'était pas démunie dans la convention passée puisque soutenue par son père (adoptif), de son métier, avocat, et sa mère, mannequin et starlette. Le coupable s'est plié en tout à l'accord et à l'emprisonnement, dont il est libéré pour conduite exemplaire. Me Larry Sylver , en demande, explique en personne que la décision annoncée du juge Rutterband, de peine de prison à durée indéterminée (rejugée discrètement un jour) était fondamentalement illégale et abusive. Qui supporterait cela.

Le Gouvernement français a proposé de juger Raymond Thierry Liebling réfugié chez lui en France. Par deux fois, ses avocats ont requis près l'Etat de Californie, rejetées. 

En tout et jusqu'ici, il reste à noter que ce sont les documents non envoyés par la cour de Californie en France, en Suisse (Zürich, 2009) ou en Pologne (Cracovie, 2015) qui ont empêché qu'il soit soit jugé en Europe ou qu'une extradition prononcée.[1b]

La clameur exigeait l'extradition et le jugement américain quarante ans passés contre un Français alors que ne pas extrader ses ressortissants n'a rien d'un jugement de faveur et n'est pas non plus spécifique aux célébrités, aux artistes, ou même à cet inculpé. Qu'il fût, enfant de Paname, victime de la persécution nazie en Pologne, n'a pas à augmenter ou diminuer l'examen. La France ne nous extrade pas, jamais, à moins que vous vouliez que cela change ?[1b']

Le juge de la Cour supérieure de Los Angeles*, repoussa toute nouvelle audience qui aurait pourtant pu stopper les rumeurs infondées, car elle aurait mise en piètre position d'exposer ses dénis de justice de 1977/1978.
[1c]


Tous ont nié les demandes de la victime, et continuent, et celles de l'accusé. Il n'y eût donc pas refus de jugement de ses actes par celui-ci mais rejets de la cour américaine implicite de la demande du gouvernement français et explicite des requêtes de ses avocats. 


Il aurait fallu l'extrader car c'est un artiste célèbre, à lire pétition et touites des meneuses de revue, bien que de plainte il n'existait, et qu'il ait sollicité jugement sans lâcheté ?


Selon le Syndicat des Auteurs, l'extradition reste des plus inconcevable du point de vue de la liberté d'expression culturelle,

"Forts de leur extraterritorialité, les festivals de cinéma du monde entier ont toujours permis aux œuvres d'être montrées et de circuler et aux cinéastes de les présenter librement et en toute sécurité, même quand certains États voulaient s'y opposer. L'arrestation de Roman Polanski dans un pays neutre où il circulait et croyait pouvoir circuler librement jusqu’à ce jour, est une atteinte à cette tradition : elle ouvre la porte à des dérives dont nul aujourd'hui ne peut prévoir les effets."[1d]
C'est encore un principe qui se défend et non pas une célébrité. Assez peu défendue d'ailleurs sinon depuis longtemps, l'on n'en entendrait plus parler, alors que chorus depuis au moins l'assassinat de sa femme à LA, à nouveau 1977, et recommencé de plus belle en 2008.

Il s'agit de défendre les questions juridiques du féminisme, et l'exactitude reste pour cela primordiale.

La célébrité artistique protège ? - Ce qui n’a pas l’air d’être le cas lorsque les WASP US se sont déchainés contre lui au moment du massacre Manson qui ont tenté de lui mettre sur le dos la responsabilité de la tragédie, et certains la culpabilité. De même en 1977, après une sentence raisonnable, pesée, équitable, tout bascule, sa notoriété ne le protège nullement.

L'art fait impunité mais pas dans son cas - Il semble que l'esthétisme bien particulier de certains protègent des hommes dont l'oeuvre est d'ombre épaisse, nous en verrons le détail ailleurs. Ce doit être éclairci. A l'inverse, l'oeuvre de Roman Polanski ne fit jamis apologie des violences féminicides, bien au contraire, elle est toute pêtrie de sa lutte contre les dictatures viriles. La mettre à l'ombre et lui interdire de réaliser ne mène nulle part. 

Le contexte juridique est soumis au principe de non rétroactivité de la loi. 
A l'époque des faits en France, les rapports sexuels avec des mineurs de 14 ans (détournement de mineur) étaient-ils sanctionnés ? 
Cependant, il n'est tout de même pas tout à fait anodin que pratiquement toutes les actrices de ses oeuvres le conçoivent en cinéaste féministe, et que jusqu'à sa victime Samantha Geimer le défende depuis des décennies ? 

Les puissants ne sont pas inquiétés - Il ne doit pas l'être, puissant, puisqu’il n’a cessé d’être touché. Ni  épargné, ni protégé. A se demander pourquoi puisque la règle d’or de l’adage de La Fontaine s’applique à d’autres. 

Surprenant ? Deux Suédoises contre une célébrité politique australienne n’ont en 2017 toujours pas eu gain de cause. Le post féminisme ne s’en saisit pas malgré sa position connue de rejet de contraception demandée par ses partenaires ? https://www.lejdd.fr/International/WikiLeaks-Assange-accuse-de-sexe-par-surprise-en-Suede-240449-3106592

Sentence respectée - Rumeur de ce que la condamnation n'aurait pas été exécutée par le jugement qui nie plusieurs déclarations du Procureur en charge.
"Les avocats de Roman Polanski s’étaient en partie appuyés sur les révélations de David Wells pour demander à la justice, en décembre 2008, un abandon des poursuites à l’encontre du cinéaste, considérant qu’il n’avait pas bénéficié en 1977 d’une procédure pénale équitable. La requête avait été rejetée en mai dernier, en raison de l’absence du réalisateur à l’audience. Le juge, Peter Espinoza, avait cependant admis qu’il y avait eu, « apparemment, une faute professionnelle substantielle » de la part du parquet quand l’affaire avait éclaté. https://france-amerique.com/fr/affaire-polanski-un-ancien-procureur-de-los-angeles-affirme-avoir-menti/
"Le , le procureur chargé de l'affaire en 1977, Roger Gunson, déclare sous serment que le défunt juge Rittenband avait bien déclaré à toutes les parties le  que la peine de prison au pénitencier de Chino correspondait à la totalité de la peine que Polanski devait et a exécutée
Contumace refusée en 2010 - La pugnacité des juges polonais et américains aurait-elle hésité à juger par contumace des crimes graves, s'il y a avait eu matière à le faire, donc un dossier plein ?http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-justice-americaine-refuse-de-juger-polanski-par-contumace-23-01-2010-788247.php

On peut en douter plus que fortement, comme de la conscience exprimée de l'accusé d'affronter un tribunal en bonne et due forme en procès équitable. https://www.universalis.fr/encyclopedie/contumace/

L'accord de plaidoyer se trouve être aux Etats-Unis d'Amérique la voie choisie dans 90 % des affaires. Cela n'a rien d'une négociation commerciale, comme certains veulent le faire croire., et évite entre autre, aux plaignants de voir l'affaire déboutée en appel. https://en.wikipedia.org/wiki/Plea_bargain

Bien dommage ces deux refus des juges américains car l'on y aurait tout su dans le détail tant en jugement en France, qu'aux US en contumace. Mais à défaut de pièces en dossier, ou de pièces immontrables, on peut comprendre que les juges californiens aient fait la boude aux deux requêtes venues de France et de l'interpolé. Fiché toute sa vie pour une sentence remplie ?
  • MAJ juin 2017 - Samantha maintient son refus de ranimer l'affaire et de requalifier
 "Vos paroles ont du poids pour ce tribunal", a commenté le juge Gordon, indiquant qu'il prendrait en compte cette déposition dans sa décision de rendre publics ou non les documents qui prouvent, selon Roman Polanski, l'existence en 1977 d'un accord amiable (...) Samantha Geimer, qui soutient le réalisateur dans sa volonté de mettre fin à cette affaire, ..."Quand c'est arrivé, ma mère et moi avons (été traitées) comme des menteuses en quête de profits qui s'attaquaient au pauvre Roman. L'histoire était très différente", a-t-elle dit aux journalistes.""Maintenant tout le monde le traite de pédophile et dit des choses terribles et fausses sur lui""[1e] 
Résumé d'accusations publiques auxquelles les justices n'ont pas donné suite malgré les pressions d'opinion de presse -10- et la seule avérée de 1977, réanimée désormais par un nouveau brouhaha actuel et tout droit de la défense sont bafoués puisqu'il est impossible de plaider à décharge.

Ainsi à l'occasion de son arrestation en Suisse à Zürich en 2009, on apprend qu’il possède un chalet à Gstaad depuis peu, avant cela descendant au palace du coin. https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/arrestation-de-roman-polanski-le-cineaste-possede-un-chalet-a-gstaad-be?id=1470248

Au sujet de la plateforme du réalisateur israélien qui règlerait 20 000 dollars du témoignage qui a généré cette dernière liste en 2017 à l'occasion des César, ce n'est pas sans rappeler les Oscar pour Le pianiste, cela fera-t-il réfléchir ceux qui s'obstinent à diffuser la thèse complotiste de Roman Polanski, athée indépendant revendiqué, protégé par "les Juifs". .. https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Exclusif-Roman-Polanski-On-essaie-de-faire-de-moi-un-monstre-1664159
  • 2 plaintes effectives : 1 entendue en 1977 et 1 classée en 2017
Prétendue violence sexuelle en plage unique 1973/1983 - L'on ne peut que remarquer que retenir ces assertions comme fiables impliquerait un soudain accès de violences féminicides de sa part dans la décennie des quarante ans qui stopperait net ?
  • A - 1983 (2010 - 27 ans passés), Charlotte Lewis, , pendant l'arrestation à Zurich du réalisateur (sous les verrous en résidence surveillée domiciliaire Septembre 2009/juillet 2010), l'actrice britannique de Pirates, l'accuse de viol à 16 ans. 
Celle-ci raconte aux journalistescomment, à l'occasion de la visite pour décrocher le rôle dans Pirates, le réalisateur lui fit des avances osées, comment elle s'en plaint à l'agent qui l'accompagnait dormant dans une chambre à côté  ; à la suite de quoi et et malgré ses alarmes, elle revint à lui. 
Mais aussi, dans un "entretien en 1999 s'être adonnée à la prostitution dès l'âge de quatorze ans et déclaré avoir voulu être la maîtresse de Polanski : « Je le désirais probablement plus que lui ne me voulait »” / "...mais je voulais être sa maîtresse» raconte Charlotte Lewis. (...) Dans cet entretien, il est précisé que Charlotte Lewis avait 17 ans lorsqu’elle a couché pour la première fois avec Roman Polanski (et non 16 comme elle l’affirme aujourd’hui). Et que leur relation aurait duré plus de six mois."[1f
En promo pour le filme Pirates, réalisateur Roman Polanski  https://laregledujeu.org/2010/05/27/1703/wild-child-charlotte-lewis-full-text-interview-2/
  • B - 1973 (15 août 2017) - 44 ans passés, Robin M. Roman Polanski souhaite mettre un terme aux poursuites judiciaires, Le procès en Pologne et ses suites,  Robin M. l'accuse publiquement d'agression sexuelle en 1973, à 16 ans.  
  • C - 1972 (2017) - C - Renate Langer dépose plainte en Suisse et déclare avoir été violée par le réalisateur à Gstaad à 15 ans. Ensuite elle accepte de tenir un rôle dans son film Quoi. L'on est bien obligé de se poser ces questions-là : Accepte-t-on de tourner avec son violeur violent ? Ses parents n'ont constaté nulles traces, ni remarqué son émotion ? https://www.challenges.fr/monde/plainte-en-suisse-contre-polanski-pour-un-viol-commis-en-1972_504044
  • D - 2017 - Les accusatrices du site poursuiviI Met Polanski, recueil anonyme crypté de victimes potentielles, 
"Uziel déclare être à la recherche "des informations et des preuves pour aider à prouver ces accusations" et promet une récompense de vingt mille dollars, somme qu'il avoue pourtant ne pas pouvoir payer, à quiconque puisse lui fournir un « tuyau » suffisamment solide pour incriminer Polanski” 
Marianne Barnard, artiste américaine, , affirme au tabloïd britannique The Sun avoir été violée en 1975 à dix ans - en compte Twitter, prétend que Polanski est ' disciple de Satan", ce qui rappelle à s'y méprendre la sanie californienne de 1968. Pétitionnaire cyberactive exigeant destitution des prix et extradition. https://www.lci.fr/justice/une-cinquieme-femme-dit-avoir-ete-agressee-sexuellement-par-roman-polanski-alors-qu-elle-avait-10-ans-marianne-barnard-2068179.html

D'autre part que Matan Uziel serait un « intimidateur abusif », l'accuse de l'avoir harcelée après avoir refusé de témoigner en sa faveur lors de son procès contre Roman Polanski. Le torchon prétend que cinq personnes de 9 à 15 ans ont témoigné anonymement, dont Mallory Millett (29 ans à l’époque)
"Elle estime également que la demande d'Uziel était un piège pour la faire venir en Israël et faire d'elle un "donneur d'organes involontaire"
Aucune affaire retenue par la Justice. A remettre dans leur contexte, cela reste compréhensible au delà de la prescription. Quelqu'un voudrait-il rendre possible l'accusation publique quarante passées, qui deviendraient sans examen préalable, source de procès pour tout désigné délinquant ou criminel ? L'on ne peut que répondre par la négative. De plus que cela serait en premier lieu terrifiant pour les femmes puisqu'elles ont tendance à être prise en chèvre émissaire. Cette avalanche démontre que des populaciers mènent la sarabande qui exige justice d'exemption, puisque même eux ne voudraient pas de cette nouvelle règle du jeu.

Une femme accusée de telle façon ne serait pas plus jugée et condamnée, elle serait s'il y avait campagnes médiatiques aussi insistantes probablement soutenue contre de telles vagues et contradictoires assertions à lire les détails exacts fournis plus bas.

Qu'est-ce qui serait bon pour les réalisatrices et comédiennes ? Qu'ils ne s'appliquent plus qu'à elles, certainement pas. Réfléchissez bien que si une femme du monde du spectacle était accusée et pilorisée*, l'on en appellerait aux mêmes principes reniés aujourd'hui par certains ? Sans être jugée et condamnée par un tribunal en bonnes et due forme de procès équitable, aucune n'acceptera d'être qualifiée, et en toute raison car cela est injurieux, relève de la diffamation et peut être caractérisée en dénonciation calomnieuse.
Des idéologues qui se torchent avec les principes forts de la justice moderne, écartant définitivement le tribunal public religieux et ses persécutions, ne sont que des agités du bocal qui mettent gravement en danger le féminisme et les féministes. A savoir quelques unes

- procès équitable, 

- non retour sur chose jugée, 
- présomption d'innocence,
- prescription,
- circonstances,
- non rétroactivité, 
- preuves manquantes, bénéfice du doute suffisant profitant à la défense 

Choix de société - Finalement, il faudrait être cohérents, si nous voulons passer outre la diffamation et que la délation court son petit bonhomme de chemin comme aux temps pétainistes, il n'y a pas à lésiner faites retirer du code ces sanctions gênantes. Au nom de la liberté d'expression à l'américaine, il vous semble que votre voisine a commis pis que pendre, vous l'avez vue de votre fenêtre, de suite le crier sur les toits, sans aucun risque d'être inquiété jamais. Le paradis sur terre, ou le cauchemar perpétuel, à vous de voir ? Vous ne voulez plus être protégé, libre à vous. Cela marchait fort bien les gueules de lion dans le temps... https://susaufeminicides.blogspot.com/2017/10/dans-la-gueule-du-lion.html
  • Usurpation de la parole ‐ La victime forte et juste que l'on tente de faire taire ?
  • Il faut être une victime qui ne s'en sort jamais, que l'on fait ressasser avec des théories fumeuses sur la mémoire, pour avoir le soutien de certaines. Il est interdit de s'en sortir, c'est cela ? 
    Ce qui arrangerait royalement le machisme, que jamais l'on ne sorte de la soumission de victime sans ressort, sans résilience, marquées à vie ? 
    Replonger constamment contre son gré l'ex‐victime dans sa peine passée, c'est détruire son équilibre et son droit à l'oubli, sa réparation, sa restauration, sa respiration. En cela, on ne peut sans arrêt convoquer publiquement l'ex‐victime dans la presse et maintenant sur la Toile, et se prétendre à son chevet... Pourtant, c'est ce que fait toujours le même juge et ses alliés objectifs de par le monde.

    En 1995, 1997 et janvier 2009, Samantha Geimer demande au système judiciaire californien de stopper toutes poursuites à l'encontre de Roman Polanski, s’étant envolé des des Etats-Unis dès sa peine de probation terminée pour conduite exemplaire, justifié par les avocats. On peut dire qu'elle n"est pas victime et qu'elle se débat. 
    "Quel qu'ait pu être son crime, M. Polanski méritait d'être traité équitablement. Il ne l'a pas été. (…). Lawrence Silver, avocate de Samantha Gailey
    Des excuses à Samantha Galey Geimer sont dues, à qui je m'identifie (eh oui), et sa famille, qui payent son refus obstinée de reporter plainte -fustigés d'être satisfaits de voir reconnue l'agression sexuelle sur mineure et sachant le chef d'administration de drogue fausse qui les entraînerait à tout perdre, voir rendre le dédommagement ?-, et devra donc remercier la clique rageuse qui lui aura permis de revivre les mêmes délices à l'occasion des cérémonies 

    - Oscars Le pianiste 2003 
    - Festival de Cannes Ghost writer, 
    - César du Cinéma du 25 février 2017...
    "En 2003, quand Polanksi a eu l'Oscar, nous avons dû débrancher le téléphone, raconte Samantha. En 2009, quand il a été arrêté en Suisse, ça a été l'enfer sur terre. Sans cesse on me ramène à ce statut de victime alors que ma vie ne s'est pas arrêtée là." Interview Elle de Samantha Geimer* 
    Soutien réitéré et vigoureux de Samantha Galey Geimer. Qui écoute ce que l'ex victime a à dire et de ce qu'elle considère en 2009 comme une vieille affaire qui n'a pas à resurgir ‐ Qui a intérêt à passer outre, toujours les ambitieux et les carriéristes ?
    "Il a fait ce qu'il devait faire... (...) il a eu un juge corrompu...", extrait Samantha Geimer CNN Larry King dans A Film Memoir (2011) de Laurent Bouzereau
    Samantha Geimer dans – Memoir - A 1.25.30 

    En 2007, dans son documentaire "Roman Polanski: Wanted and Desired", Marina Zenovic relève les irrégularités du juge Rittenband. 1 h 39 https://www.youtube.com/watch?v=vJWDlG4B8AI
    "Roman Polanski : Wanted and Desired" : au cœur du procès Polanski Ce documentaire signé Marina Zenovich démonte la mécanique judiciaire qui a banni Roman Polanski des Etats-Unis, en évitant aussi bien le jugement moral que l'apologie implicite du cinéaste. https://www.lemonde.fr/cinema/article/2008/12/30/roman-polanski-wanted-and-desired-au-coeur-du-proces-polanski_1136339_3476.html
    "Tout homme, même lui, a droit à un procès équitable. Or, le juge Rittenband n'a fait qu'essayer de le coincer parce qu'il est une star d'Hollywood, pour son propre bénéfice politique. Il a décidé de changer la peine alors que nous avions trouvé un accord qui convenait à tous. Dans ces circonstances, je comprends que Roman Polanski ait quitté le pays." source Samantha Geimer, La fille, 2013
    Ce n'est que dans son bouquin écrit par son avocate qu'elle qualifiera de viol (précisant son appréciation des évènements de 1977 du point de vue de sa nouvelle avocate) le rapport sexuel subi à quatorze ans. De mes souvenirs personnels, l'on sait de quoi il retourne à treize et quatorze ans et nous savons faire la différence avec un viol, surtout lorsque l'on a déjà eu des rapports sexuels consentis.
    "Ce que Samantha Geimer dénonce dans le livre, c'est d'abord le système judiciaire américain - elle écrit qu'elle préférerait revivre le viol plutôt que son audition par le grand jury" source Samantha Geimer, La fille, 2013
    http://www.purepeople.com/article/samantha-geimer-roman-polanski-et-moi-sommes-lies-a-vie_a130098/1
    L'on peut comprendre que pour ces raisons, le prévenu se soit échappé de cet enfermement annoncé en voyant le tour politique pris par l'inculpation, au point que sa victime l'approuve d'avoir pris la poudre d'escampette... Alors que les accusateurs publics refusent que soient même évoquées les raisons de la fuite ?

    Nota bene - Ne pas confondre,
    c'est

    - la Justice, et non la foule qui peut qualifier l'acte à juger,

    - non pas non plus ni le témoin, ni la victime,
    - l'appréciation de la plaignante n'est pas non plus équivalente à un aveu du coupable
    - tout comme des excuses de ce dernier ne sont pas qualifiantes.



    Samantha Geimer, La fille, Plon
    http://www.purepeople.com/article/samantha-geimer-roman-polanski-et-moi-sommes-lies-a-vie_a130098/1
    Qui le poursuit ? https://en.wikipedia.org/wiki/Steve_Cooley - Autre commentaire P...a D...e, sarcastique.· 19 janvier, 13:48 · J'entends ici et là, des voix qui s'élèvent contre le fait que Roman Polanski préside la cérémonie des Césars. Je tiens à rappeler respectueusement que ce dernier... a été Blanchi par le FBI dans l'affaire qui le concernait en 1977. (...) Y en a beaucoup qui "prônent" la suspicion d'innocence que quand ça les arrangent. C'est le seul réalisateur Français qui est arrivé à se faire un Nom aux USA, lui on le connait au-delà de nos frontières !Je ne parle pas en tant qu'Homme mais en tant qu'Être Humain. Merci de respecter la décision Finale du FBI. Bonne journée à vous tous !" https://www.facebook.com/AERAFEM/posts/10210127461656473?pnref=story
    Précisément sur la présomption d'innocence :

    - l'accusation a admis sur la demande des plaignants, représentant de la victime mineure, la qualification de "relations sexuelles illégales avec mineures", autrement dit en formule française le détournement de mineure-

    - l'accusation n'a pas fait la preuve de viol, avec agression, violence ou emprise, et n'en était du tout sur la voie à lire l'audition de la victime, dont extraits plus bas, et ses déclarations ultérieures,

    - l'accusé n'a jamais admis de viol, au contraire il a toujours nié, ses excuses ne sont d'aucun aveu,

    Charge exacte pesant en l'état sur lesquelles demande d'extradition - N'a jamais été accusé de pédérastie / pédocriminalité, comme nombre le font circuler.

    Au contraire, les rapports de probation et psychiatrique pendant son emprisonnement ont conclu à ce qu'il n'était pas un MSDO et que la prison n'était pas conseillée.

    Concernant le délai de prescription déniée
    - Bien évidemment, il a été aisé aux traqueurs de prétendre que la prescription n’est pas un droit fondamental et que la fuite en a suspendu tout délai. Tout aussi facile de reprocher à l'accusé les dédommagements, alors que forcé par la conception même de la Justice américaine à de viles, à notre impression européenne, tractations à deux reprises. Ce ne sera qu'une fois les deux dédommagements versés avec interdiction de parler de l'affaire et donc de se défendre publiquement, que la victime utilise pour la première fois le terme de viol.


    Toute une vie d'hallali et instrumentalisée politiquement de Samantha Geimer, depuis ses 13 ans 11 mois et 1 semaine, et Roman Polanski pour faire passer à ce prix, l'imprescriptibilité à tout prix ? Sans discernement, le classer sous l'étiquette "riche" privilégié, en l'assimilant à un agresseur pédocriminel ? Ruiner la réputation d'un homme mis au pilori et pris en otage et sa famille ? http://vivre-au-moyen-age.over-blog.com/article-le-pilori-8…

    Fuit, qui ça ? Les juges US méprisent la proposition d'Etat puisque impossibilité d'extradition (1978), le jugement en contumace (2010) et n'adressent ni à la Suisse, ni à la Pologne le document obligé de la sentence 1977 pour le faire extrader... Ce sont donc eux qui fuient le jugement. L'inversion se voit comme le nez au milieu de la figure. Les inexactitudes propagées sont insupportables dans les conséquences entraînées. Je suis attachée à la vérité, toute simple, toute courte et sans majuscule.
    • Que de hasards et anticipations....
    2009, 2014, 2017, encore - La campagne de boue est reprise avec les Oscars 2009, au film historique "Le pianiste" (autobiographique du ghetto polonais pour nombre d'éléments)

    Ghost writer -secret d'état qui vaut d'être assassiné au nègre d'un homme politique- freiné à l'occasion de son séjour à un festival à Locarno 2014. 

    2017, en cours de tournage de deux films, l'un en Pologne en juillet prochain à Cracovie, "D." (adaptation du roman de Robert Harris sur l'affaire Alfred Dreyfus) et "D'après une histoire vraie". Déjà dès les premiers repérages, le tribunal polonais a tenté de le livrer aux US...

    Comme quoi, il suffirait d'être un artiste pour se trouver traqué pendant quarante ans, de préférence, talentueux ? Où voyez-vous du privilège, avec des sites qui offrent 20 000 dollars à ses délatrices, pas étonnant que soudain il s'en trouve. De la calomnie, il reste toujours une salissure, c'est cela qui est tenté et réalisé. On ne vous le souhaite pas que pour vous abattre d'aucuns lancent de tels sites sur vous.

    Un homme de plus de quatre-vingt ans qui, somme toute ne peut plus être jugé, en quoi cela fera-t-il du bien à la cause féministe et à sa victime des années 1970 ? Pourquoi s'y attaquer, cela ne rime à rien, d'autres agresseurs seraient beaucoup plus intéressants à talonner. J'en conclus que c'est son oeuvre qui gêne plutôt que sa personne et que pour la déboulonner, l'on s'assied sur tout principe de droit.

    Cependant, j'ai envie et besoin de vérifier tous les points factuels invoqués par les tricoteuses des rues américaines. Je pense n'en avoir oublié aucun.
      Ont été rendus personnellement tous les négatifs et l'album de centaines de clichés du projet Vogue Hommes (lolitas moins éthérées que celles d'Hamilton) -rencontre 13 février et premières le 20 février- des deux après midi de prises de vue, la première dans les collines, les secondes dans la propriété de Jack Nicholson finissant par un détournement de la modèle mineure.

      10 mars 1977 -
      2e après midi, chez Nicholson,
      devant le jacuzzi
      10 mars 1977 -2e après midi, chez Nicholson,
      dans le bain bouillonnant du jacuzzi

      Photographe et modèle du projet Vogue Hommes
      - Résumé de la soirée en cause - Deux après midi de prises de vue, et début soirée des 20 février et 10 mars - Je souligne que tous détails scabreux ont été délivrés à plusieurs reprises par l'ex-victime elle-même et que malgré mon peu d'envie de les redire, il n'y a pas moyen de faire autrement pour comprendre la situation exacte d'alors.

      Arrivée à la villa, il lui sert un soda. Puis ayant trouvé du vin de Champagne au frigo, après avoir demandé à la voisine gardant la maison, le photographe remplit trois verres et continue à prendre des vues le verre à la main. Entre temps, ils ont téléphoné à sa mère, qui lui demande si tout va bien et si elle a besoin qu'on vienne la chercher, ce qu'elle a refusé.
       Puis plongée dans le jacuzzi pour d'autres clichés.


      La jeune fille se plaint d'une crise d'asthme dans le bain, il va lui chercher un calmant (prescription mal de l'air) et lui en tend un demi comprimé, et prend l'autre moitié. Une fois sortie du bain à remous, un cunnilingus lui est infligé sur le canapé d’une chambre. Son opposition se transforme en résignation,
      «… il veut seulement avoir un orgasme, ce truc si cher au monde entier. J’ai pris la décision de le laisser faire, si affreux que ce soit, ce n’est que du sexe. Il ne veut pas me faire du mal. Il veut seulement me baiser. Et ce sera tout. » - « Je me dis simplement quelque chose comme « Hé, mais c’est mes fesses ça ! Ca se fait des choses pareilles ? Puis, c’est fini, enfin, c’est ce que je croyais. A cet instant précis, quelqu’un frappe à la porte de la chambre. – Roman, tu es là ? » - « Puis quand il avait joui entre mes fesses, le sperme qui coulait, la femme frappant… »  - « Des prélèvements effectués sur d’autres parties de mon corps –le vagin, l’anus démontraient également la présence de sperme, mais pas de spermatozoïdes »*. Source, Samantha Geimer, La fille : Ma vie dans l’ombre de Roman Polanski, 2009
      *-Selon celle-ci qui ne le conteste pas, l'examen médical invoqué n’avait pas constaté de traces de rapports sexuels forcés et de brutalité, concernant cet abus sexuel de très jeune fille mineure pubère (qui a un amant de 17 ans) malgré deux actes peu banals et violents (dits « coups de boutoir ») ? Dire la situation de l'agressée exactement ne réduit en rien la responsabilité et culpabilité de l'agresseur. Il n'y a rien à retrancher de la réalité.

      Raison pour laquelle les documents n'ayant pas été fournis par la Californie à la Suisse, il n'a pas été donnée suite à l'extradition
      "Samantha Geimer à Larry King le 24 février 2003 : "King : Vous n'étiez pas vierge ? 
      : Non, j'avais un petit ami depuis un certain nombre de mois avant cela"  / « KING: You were not a virgin? GEIMER: No, I had a boyfriend for quite some months before that" / 
       «… printemps qui précéda la remise des diplômes de 3ème, j’étais bien décidé à me trouver un petit ami… Ron était un des garçons les plus dingues du lycée, fêtard invétéré… » - « Gunson… avez vous déjà eu une relation sexuelle avec Bob… Je répondis deux, ce qui était toujours un mensonge, avec mon copain nous nous étions embrassés et pelotés mais je n’avais eu qu’une seule relation sexuelle… » Source, Samantha Geimer, La fille : Ma vie dans l’ombre de Roman Polanski, 2009 
      Dans la nuit de sa deuxième séance de photographies, elle raconte au téléphone à ce même amoureux, ce qui s'est passé avec le photographe. Sa soeur l'entend et en parle à sa mère qui réagit immédiatement :
      - "...ma soeur m'a entendu en parler à mon petit ami -ou ex- Steve, et de suite, elle en a parlé à ma mère, appelant la police, et à partir de là, cela est allé de mal en pis." / "... My sister overheard me talking to my boyfriend — or ex-boyfriend — Steve, so once she overheard, then she immediately told my mother, and then she called the police, and then from there it was just a roller coaster of bad to worse." source itw Abused By Both Polanski And Media, 'The Girl' Moves On http://www.npr.org/books/
      - Audition du 24 mars 1977 - Dires en plainte du père adoptif et de la mère de « Samantha Jane Gailey, témoin devant le Grand Jury du Comté de Los Angeles ». Que lit-on en ce pv d'audition de témoin, élément de preuve ? voir note de fin 2, audition et charges
       "Alors, je lui ai dit que je voulais sortir du jacuzzi, car la vapeur me donnait de l'asthme et que je respirais mal, et que je pensais qu'il valait mieux qu'il me ramène - Au moment où j'en sortais. Alors, il m'a dit OK, sortant et attrapant une serviette, rentra dans la maison. C'est aussi quand il a dit "Bon maintenant, prends ce petit cachet, cela va t'aider, ce cachet va te soulager", pour calmer ma crise d'asthme."  / "So I told him I wanted to get out of that jacuzzi, that the steam was giving me asthma and I couldn't breathe, and I thought maybe he should take me home - I just made that up. So he said OK, you know,  come out now and grab a towel, run in the house. That's also when he said 'Well here, take this little, this will help you, little piece of a pill,' to relax my asthma attack."  
      Je pense qu’il a dit quelque chose comme, juste après que j'ai dit que je ne prenais pas la pilule, juste avant il a dit « Oh, je ne viendrai pas dans toi alors  »"Lui, il ne m'a pas agressée, il ne voulait pas me faire mal. Mais j'ai dit non."... -
      L'on peut imaginer une jeune modèle dans Vogue sensiblement de la même taille que lui (1 m 50/60) résistant facilement si elle s'était sentie menacée, et qu'elle aurait eu gain de cause. En fait, point besoin d'épiloguer puisque de photographies il s'agit.

      • Los Angeles Times le 23 février 2003« Il m’a donné du Champagne et du Quaalude (un puissant sédatif). Et il a abusé de moi. Ce n’était pas du sexe consenti, en aucune façon. J’ai dit non, de manière répétée, mais il ne voulait rien entendre… »
      A noter que la victime témoigne sans faire accusation d'agression ou d'avoir été forcée à boire et à prendre une coupe et un cachet partagé. Ce qui exlique que le juge ne pouvait le retenir en drogue, et qu'un procès n'aurait pas plus avancé en la matière et se serait sur ce chapitre nuit à la victime.

      Les effets secondaires extrêmes du produit avalé avec une boisson faiblement alcoolisée (qui n'est pas considérée comme "un alcool"), suite à sa légère crise d'asthme dans la vapeur chaude du bain extérieur dont elle voulut sortir, ne sont pas supportés par la victime qui ne se plaint pas d'avoir été stupéfiée ou d'amnésie. Puisque, à l'inverse, elle narre ses réactions d'opposition. De plus, confirmé par la déposition d'Angelica Huston en les croisant au sortir de la chambre, où elle se rendait méfiante n'a pas entendu de chambard, n'indique pas d'état anormal d'ébriété ou de droguée chez la jeune fille.

      Mandrax - Au sujet de la Méthaqualone, Quaalude ou 
      Mandrax, qui n'a pas entendu ce mot - Selon l’agent de probation, Kenneth F. Faye et son adjoint Irvin Gold, avait été prescrit contre le décalage horaire. Connu en France en coupe faim, le Mandrax, selon les doses, sédatif ou euphorisant. Sa particularité mélangée à de l'alcool (de type whisky) étant que les personnes en se réveillant n'ont aucun souvenir. Peut-on donc en conclure sans fantaisie que la dose d'un demi comprimé avait plutôt effet euphorisant (style popup'). N'a donc aucunement rendu amnésique la jeune fille, qui était en possession de tous ses moyens, semble-t-il en arrivant chez elle, téléphonant à son petit ami.
      "dépresseur non barbiturique", utilisée comme l'Ectasy en narcotique récréatif. voir p. 283, Michel Koutouzis, Géopolitique des drogues de synthèse, Ecstasy, Expertise collective, INSERM, 1997 www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/202/expcol_ecstasy_1997.pdf
      • 1988 - 1993 – Nouvelle plainte, cette fois de Samantha Geimer adulte sur un documentaire auquel Polanski n'a nullement participé, ni de près, ni de loin
      Issue rendant impossible toute plainte en diffamation de la part de celui-ci et de l'interdiction de se référer à 77 en quoi que ce soit. Bâillonné. Auparavant, celui-ci a tout fait pour ne plus nuire à sa vie, après avoir montré et posté courriel d'excuses du regret d'avoir sous estimé qu'elle soit mineure. En 2009 indique qu'il n'avait pas alors réalisé la gravité d'avoir des relations sexuelles avec la modèle mineure.
      "En 1993, elle obtient 500.000 dollars de dommages et intérêts. Polanski a interdiction d'évoquer les événements de 1977. Samantha, elle, s'engage à "l'aider dans la mesure du possible à résoudre ses problèmes légaux avec les Etats-Unis", à "ne pas exploiter commercialement cette histoire"."Samantha Geimer au sujet de cette négociation : "Je n'étais pas assez riche pour poursuivre en diffamation tous les tabloïds qui racontaient des horreurs sur moi. Et oui, avec trois enfants à charge, j'avais besoin de cet argent", dit-elle sans ambages"

      A 13/14 ans, nous savions faire la différence entre qui nous viole, elle ne l'avait pas dit en 1977, et ce n'est qu'ensuite son avocate qui le prétend. Ayant vécu une adolescence similaire et mouvementée, je n'apprécie pas que l'on soit traitée d'idiotes qui restent dans le déni vingt ans..


      Une question en suspens - Mais comment a-t-il dérapé ? Un homme, cela s’empêche !  - Nous ne cessons de le redire, et ce ne sont pas les filles à se couvrir, voiler et enfermer pour garder leur virginité mais aux hommes plus vieux et plus jeunes à se policer. Mais cela relève d’une éducation, tout le monde en est bien en accord. L’éducation qui lui a manqué pendant la guerre, au ghetto, garçon de ferme, et plus tard ? Il montre sa prise de conscience d'avoir du s'empêcher de céder ou de séduire des adolescentes, manifestement pas encore élaborée années 70, ses regrets et ses excuses semblent en fournir la preuve.
      L’éducation des sociétés, des pères et mères a été jusqu’ici pour certaines et encore durant les années 70, beaucoup plus souvent que l’égalité des sexes qui commençait juste à se frayer cheminque les filles se soumettent aux garçons, et que les hommes soumettent les femmes. Ce sont ces deux angles qui doivent être érodés, afin que les lois féministes produisent tous leurs fruits.

      Dans nombre de pays encore et esprits toujours, il est admis comme à l'époque des unions à la nubilité des filles que l'adolescente est digne de devenir épouse et mère dès qu'elle est féconde... Cela se voit d'ailleurs bien en article 16 des Droits universels ONU de 1948, que la maharani avait introduit pour protéger les enfants des unions précoces, la nubilité fait famille. Supprimez-le !

      D'autre part, il m'est impossible d'ignorer la taille de l'homme accusé, à peine plus grand que Samantha, et qui est diffamé en récidive depuis des décennies en bafouant tous les principes de Justice.
      Ceci n'est pas de faire moralité mais de savoir que personne ayant purgé sa peine lorsque lui sont accolés certaines qualification reste diffamée.

      • Soyons honnêtes les filles, tout procès se fait en contexte
      A notre époque, toutes étions à courir le guilledou, outrées que nos parents osent tenter de nous empêcher d'aimer si nous n'avions pas la majorité et surtout des hommes plus âgé, exigeant qu'on nous lâche les basques. Les premières donc à vouloir nos amants plus âgés que nous. 

      D'ailleurs, l'on pouvait décider de nos amants à partir de 14 ans en moyenne, de notre âge ou plus vieux voire âgés, d'emprises croisées, sans position d'autorité, l'on voit que bien des possibilités existent tout de même. Nous savons tous que parler de pédocriminalité pour une jeune fille ou un jeune homme qui a déjà eu un rapport sexuel est une exagération qui minimise celle-ci.

      Encore plus d'user du terme lénifiant qui prétend faire penser à de l'amour, de l'affection seulement (philia) pour les enfants, et toutes pourtant apprécient bien aveuglément de s'en servir sans discernement ? Pas très pointilleux, tout cela.
        C'est donc de la pure perversité de tout mettre sur le dos d'un seul vivant son époque comme les autres, pas plus ni moins que les autres. Cette décontextualisation de l'affaire devient un abus.

        J'ai désormais le recul d'une adulte qui, en effet, pense que le mineur doit toujours être protégé y compris contre son gré. C'est à dire en dessous de 18 ans au moins et qu'il ne faut pas inventer un seuil de consentement... Cessez de faire joujou avec la majorité des filles, au motif des désirs. Ce sont elles encore des gosses qui paient toujours le prix fort. Le désir n'a pas à être roi en protection des mineurs !

        Quand nos parents parvenaient à nous séparer, on s'enfuyait, et d'ailleurs ces fugues ont été pour beaucoup d'entre nous le théâtre principal de viols. 
        On sait donc que l'on peut se défendre d'un type non violent qui vous arrive au menton mais pas d'une troupe violente. Ou pire la torture. On sait faire la différence de degré.

        Il me semble bien que ce soit règle stricte d'éviter de traiter son employeur de harceleur lorsque le juge en a dit autrement : Quand est dit, dire autrement, continuer à accuser porte atteinte à la réputation et considération. Au point que le syndicat auquel j'ai participé en formation s'est vu appelé en 14ème Chambre du Tribunal Correctionnel de Nanterre, au côté d'informaticiens qui en dépit de relaxe se lâchaient sur nos forums. Certains firent, de plus, l'objet de poursuites pour abus d'action en justice. 

        Contexte juridique dans ce cas d'une mineure de 14 ans avec son deuxième petit ami avec qui elle a déjà eu un rapport sexuel - Seule charge retenue de"relations illégales avec mineure",
        soit détournement de mineure. Néanmoins et de plus, en dépit des droits des deux parties,
          "graves erreurs de procédure au moment des faits qui remontent à 1977".
          Samantha Gailey Geimer doit tout de même savoir, tant d'années passées et féministe de plus, de quoi il retourne sans qu'on lui confisque son avis et son droit ?

          Détournement de mineure admis devrait devenir imprescriptible et aggravé selon le jugement de certaines qui ont sorti le goudron et les plumes pour l'auteur de 83 ans, pesant plus que l'absence d'équité de déni de justice de 77 ? Au nom de quoi ?

          En liberté sous caution, l'accusé accepta cependant 90 jours d'internement à Chino, Californie, prison de droit commun, qu'il a quitté au bout d'un mois et demi dans les circonstances bien connues de dangerosité.

          En tant que célébrité, il y était largement plus menacé que ses codétenus, et, car malgré de bonnes expertises, le juge californien pour raisons d'image et de politique allait tenter de requalifier en reprenant toutes les charges malgré la volonté de la famille et de la victime, en dépit de l'accord et de la volonté réitérée de l'accusation de cesser l'incrimination

          Il s'enfuit pour se réfugier à ParisRisquer cinquante ans à Chino, ce n'est certes pas la chaise, mais tout retour en ces lieux, c'était au couteau... Il aurait fallu être fou, ou lâche, pour ne pas prendre la tangente.

          . Passer par dessus des rapports de prison de la peine probatoire ? Quatre et la demande des plaignantes, la fille représentée par la mère, mis à la poubelle ? A Chino, les rapports, dont des deux psychiatres concluaient à l'absence de pathologie sexuelle ou pédocriminelle et qu'il ne serait pas bénéfique d'infliger une peine de prison supplémentaire : L' un d'eux préconisant une thérapie pour état dépressif du fait des évènements de 69. Pas de "Mentally Sexual Disorder Offender" en vue et la tournure technique "acte accidentel" employée à partir des rapports de quatre professionnels -L'agent de probation et son adjoint remettent un rapport positif sur le comportement du prévenu- La victime, elle-même, ne cesse de souligner qu'on leur fiche la paix, également pour la raison qu'il n'a rien d'un pédocriminel obsédé par les enfants. Pourquoi y revenir, et instiller un doute délétère pour la défense ?

          Le doute reste entier sur les qualifications fixées de prime abord profitant à toute personne accusée selon les circonstances restant un pilier du Droit. Ceci aussi est dénié ?

          Autant dire que devant un tribunal, l'accusation n'avait que la plus mince chance de dédommagement, écrasante partie des qualifications n'était plaidable. Le beau père avocat ne pouvait que souhaiter te accéder à la proposition conventionnelle. L'on peut également se souvenir et comprendre ce départ précipité d'un homme, une fois la probation terminée, qui a été un "emmuré" du ghetto, orphelin vagabond en ville et en campagne à compter de 39, plusieurs années durant en Pologne nazifiée
          , qui ne pouvait accepter l'inéquité du traitement et le risque mortel à se soumettre plus longtemps à un procureur partial ? Avoir survécu à tant d'horreur et se livrer à des codétenus prêts à faire la peau à un réalisateur connu ?


          Qui se soumettrait à des juges élus, clientélistes et enquêteurs jugeant en place du jury ? Personne d'entre vous qui me lisez ici, coupable ou innocente, j'en suis certaine.
          • Le seul intérêt des victimes doit importer
          Faire passer un abus sexuel sur jeune fille mineure pubère munie d'un petit ami pour un viol féminicide brutal sur enfant mineure impubère nuit à la gradation du crime et de la peine, à observer, afin de profiter aux victimes. Toutes imprécisions et confusions empêchent l'établissement de la vérité et de la justice, les dégrade, désespère la victime, qui va s'empêcher de porter plainte.

          Les masculinistes ne peuvent que se réjouir de ce doute distillé dans l'opinion publique et confusion entre les qualifications et se frottent les mimines de la confusion qui les arrange toujours.

          Il est bien triste pour toutes que soit prêté à confusion entre harcèlements, attouchements, agressions, viols. Bien évidemment, ce sont celles qui ne l’ont pas subi qui ne distinguent pas la différence, comme celle qui doit se faire de la brutalité, de la violence et l’humiliation. 


          L’indifférence à la souffrance de sa victime et l’intention de nuire d'un agresseur, ou de faire souffrir et d'humilier, restent déterminants dans l’appréhension de la qualification à appliquer à un acte sexuel non consenti. Tout ne se vaut pas.
            Le terme pédocriminel n'est pas un terme à galvauder, quant à confondre avec inceste, que dire ? Ceux qui ne veulent pas faire la différence entre l'âge "niais" de 8 ans, le cercle familial, qui n'ont rien de commun avec l'affaire d'une jeune fille délurée et abusée de 13/14 ans. 

            Le dire ne minimise en rien les éventuels délits et crimes insupportables. Taire les nuances qui ne sont pas minimes fait du mal aux premières, comme aux secondes, voir "Les stars qui se mobilisent" sur
            "La pièce de théâtre "Les Chatouilles" d'Andra Bescond est un pari audacieux, puisqu'il traite du sujet avec humour. La pièce met en scène Odette, petite fille de 8 ans, violée par Gilbert, un ami de la famille." 
            Un enfant n'est pas comparable à un adolescent qui a déjà eu des rapports sexuels, le commencement de vie sexuelle et morale, et le degré de discernement sont notablement différents.

            Personne ne le niera puisqu'une malheureuse sorte de majorité sexuelle a été mise en place prétendant du contrat entre deux partenaires sexuels, calqué sur le contrat commercial, et faisant comme si les règles du jour au lendemain, ou la spermagénèse, impliquait la maturité sexuelle, alors que ce n'est que le début !

            Et celles qui mènent le branle, féministes bourgeoises qui se payent des têtes sans discernement et par préjugé, détruisent la fonction des qualifications en l'utilisant à tort et à travers. détruisant tout le château de cartes patiemment élaboré par des générations de féministes et les lois arrachées. En plus d'être diffamatoire, cela fragilise et salit tout le milieu féministe et les femmes qui ne mangent pas de ce pain-là. Ces gazouillis confusionnistes devraient même être poursuivis et leurs auteures confrontées à leurs responsabilités définitivement.


            Nous sommes nombreuses, ex-victimes -non l'on n'est pas victime à vie ! fi des étiquettes qui bâillonnent !- à refuser que notre témoignage soit manipulé et instrumentalisé, bafouée notre demande de discrétion et d'oubli. Celles vindicatives qui passent outre n'aident à aucun progrès et ne préviennent ni délits, ni crimes féminicides*, ou d'autres violences androcides*.


            Caroline de Haas, fondatrice de Osez le féminisme, candidate collectif parti des femmes
            http://www.aufeminin.com/news-loisirs/cesar-2017-roman-polanski-president-l-appel-au-boycott-est-lance-s2119567.html
            "Féministe intersectionnelle" citée idem
            http://www.aufeminin.com/news-loisirs/cesar-2017-roman-polanski-president-l-appel-au-boycott-est-lance-s2119567.html
            Toute cette continuation à ressortir l'affaire sans cesse amplifie ce dont se plaignait la victime :
            "Je suis devenue victime des actions du District Attorney"
            • 2008, le tournant médiatique ?
             Revenons à l'accusation de pédocriminalité qui court et enfle alors que les experts psychiatres à Chino avait indiqué que rien d'un pédocriminel

            Qui veut faire accroire à partir de 2008 que subitement à la quarantaine, sans jamais l'ombre de soupçon auparavant à ce sujet ou même d'être un machiste dans sa vie personnelle et professionnelle, un homme serait devenu un pédocriminel (compulsif) récidiviste pendant dizaine d'années ? 

            Au contraire de misogyne, il est à remarquer qu'il peut être compté au nombre des cinéastes féministes, et qui font tourner des femmes dans de beaux rôles puissants. Il n'en faudrait qu'un il faudrait voir Tess, fait en mémoire de son épouse enceinte massacrée qui en avait retenu l'histoire.

            Encore en 2013, sa réputation n'a pas encore été ternie au point de 2016/2017,

            "Pour moi, c'est vraiment un monument du cinéma : j'adore ce film ! Déjà, c'est le travail de l'image. Le film est d'une beauté, chaque plan est un tableau...  Pour moi, Roman Polanski compte parmi la dizaine de réalisateurs les plus importants qui ait jamais existé. Et c'est pour moi son chef-d'œuvre !" Jean-Pierre Darroussin http://www.e-tribune.fr/index.php/le-mag/553-j-p-darroussin-du-foot-du-theatre-et-des-vaches

            Depuis 2008, Marcia Clark refait le procès dans la presse à charge, au moyen de mini extraits ainsi qu'en 2009, un blog de collectif fondamentaliste, La question : Que cherchent réellement tous ces militants intégristes ? Cette curée se fait en présence de curieux alliés...


            Bandeau du blog La Question – Son A propos
            "La Question » est un collectif, ou plus exactement une « société spirituelle » constituée autour d’un projet religieux,  vouée à la défense de la Tradition et des vérités de la sainte religion chrétienne – ne cachant pas ses sympathies pour l’œuvre de Mgr Lefebvre (1905-1991) et de l’abbé Georges de Nantes (1924-2010) – société établit selon le modèle des confréries de Pénitents [ou de la Compagnie du Saint-Sacrement , dont l’objet est de se consacrer, non à la charité et à l’assistance des prisonniers ou des mourants, mais à la critique théorique de la désorientation des mœurs, la dénonciation des doctrines impies, la stigmatisation rigoureuse de l’erreur, tout en oeuvrant à la propagation de la Foi et au rayonnement de l’Evangile, dans le rappel constant de la doctrine catholique et l’absolue conformité aux enseignements de l’Eglise"
            De qui se font les alliées objectives, ces SJW (social justice warior) aussi bigotes que les Tricoteuses coincées avec leurs aiguilles à la Chambre (on se rappelle de leur mauvais traitement fait à Théroigne ?), qui, dès lors d'une infraction, d'un délit ou d'un crime, ne vous en laisseront jamais lavée, en justicières populacières aux indignations sélectives à bon compte ?

            .Qui trient les témoignages de celles qui ne plient pas et ne cadrent pas avec leur chevauchée - Et qui, si celles-là ne rentrant pas dans la case de gré ou de force, sont laissées sur le carreau, dédaignées, affublées d'épithètes fleurissant, ilote (imbécile), incapable couronnée, soumise et collabo des masculinistes et du patriarcat, couronnée du "syndrome de Stockholm" ? 

            • Le droit à l'oubli existe pour l'accusé comme pour la victime, une ministre le préconise, l'autre prétend avaliser à nouveau le manège ?
            Que de perfidie et de double discours à toujours contenter la chèvre et le chou... Voir note de fin de déclaration ministérielle.


            Samantha GeimerLawrence Silver and Judith NewmanLa fille -Une vie dans l'ombre de Roman Polanski- 2014 - pages de couvertur - A droite, source
            http://www.npr.org/2013/09/22/224125474/abused-by-both-polanski-and-media-the-girl-moves-on 
            A voir les couvertures diverses, l'on peut aussi s'interroger sur comment les éditeurs jouent des photographies de 1977 de la jeune fille de 13/14 ans (dont Marie Claire fait une femme) au moment de son roman autobiographique "vivant entre Hawaï et le Nevada", sortie du bouquin aux EUA, puis en France le 17 septembre 2013. http://www.marieclaire.fr/,la-victime-de-viol-de-polanski-sort-ses-memoires,696867.asp

            Alors que ce sont des circonstances typiques où n'importe qui lèverait l'oreille et l'oeil à la fois et ne la quitterait pas d'une semelle...  Au fait de ce qui se trame dans les studios dans une capitale artistique de la fin des années 70, le père juriste n'est pas né de la dernière pluie et la mère mannequin n'ignore rien de l'ambiance, ceux-ci ne sont pas interrogés de comment ils ont laissé à merci d'un homme mûr deux longues séances d'une demie journée dans la nature leur toute jeune fille pour des photographies à la Hamilton ? Peut-on faire l'impasse sur la question de responsabilité parentale ? Le photographe pouvait quasiment se sentir autorisé par tant de tolérance bonhomme, en tout cas du tout empêché de tenter sa chance...

            L'appréhension de la réalité de 77 se modifie à l'écriture de l'opus de fin des années 2000 mais reste toujours honnête. Sous la pression sociale pesant de trente ans, la vision de l'ex-victime s'éclaircit et s'affine mais cela ne lui fait pas reconsidérer de porter plainte et aider l'attorney général qui n'attend que cela.


            Des juges ne ne seront pas gênés pour passer outre la sentence émise en accord avec la plaignante et faire demande d'extradition en plein film politique de Ghost Writer (!) Prenant même la peine d'écrire à la presse pour les Oscar...

            En 2013, lors de sa promotion de La fille : ma vie dans l’ombre de Roman Polanski, sur RTL, elle déclara avoir "pardonné", et montre une attitude responsable,
            "Il n’a pas cherché à me faire du mal […]. Il ne réalisait pas que c’était complètement déplacé"
            " ...dès le début, elle a refusé le rôle de victime que l’accusation, puis les médias souhaitaient lui voir endosser, et s’est étonnée que des personnes bien intentionnées regrettent qu’elle n’ait pas plus de stigmates à exhiber. Encore maintenant, elle dénonce « le marché de la victimisation » qui transforme « les crimes en divertissement», et nourrit financièrement de multiples intermédiaires, « alors même qu’une fois essorée, les âmes compatissantes se débarrassent de vous ».
            "Le talent de Roman Polanski n’a rien à voir avec moi et avec ce qu’il a pu me faire." Et elle exhorte les jurés à voter sans autre considération que la qualité des films. En 2009, quand le cinéaste est arrêté en Suisse, la maison de Samantha est à nouveau encerclée.
            (...)
            Et que les interrogatoires policiers, psychiatriques, et le déchaînement médiatique qui ont suivi l’ont beaucoup plus endommagée. «L’année d’avant, une amie avait été violée par un homme qui s’est fait passer pour un policier et a tenté de nous embarquer toutes les deux dans sa voiture. J’ai refusé, elle a accepté. Je m’en suis voulu de ne pas l’avoir retenue, alors que j’avais eu la présence d’esprit de désobéir. A son retour, on m’a demandé de me taire.» La première agression, évitée pour elle, l’a-t-elle poussée à se mettre en danger ? Elle reste persuadée qu’elle aurait pu s’opposer au cinéaste, en dépit du sédatif et du champagne ingurgités, et qu’il n’a jamais voulu lui faire du mal. Elle se reprend : «Bien sûr, il était l’adulte et j’étais la fille. Il n’empêche… Je ne saurai jamais quelle est ma part de responsabilité.»

            C’est donc l’histoire d’une gamine qui, dans les années 70, se rêve en Brooke Shields, en Tatum O’Neal ou en Jodie Foster. Une époque où Hollywood regorge de petites filles stars, et où l’on parle de «libérer la sexualité des enfants», même si c’est en général à l’usage des adultes. Sa mère, qui s’intéresse beaucoup à sa propre beauté, est actrice dans des publicités en attendant mieux. Le compagnon de sa mère, un avocat, a adopté Samantha quand elle était toute petite. Quand sa mère apprend que Polanski cherche des jeunes filles pour une série dans Vogue, elle ne dit pas non et la fille est contente. «J’étais très garçon manqué, mais j’avais envie de réussir ces photos.»

            Celle-ci mentionne aussi ses excuses reçues par courriel, prétendu faussement contre lui d'aveux

            Chère Samantha, J’aimerais que vous sachiez à quel point je suis désolé d’avoir tant bouleversé votre existence. En vous voyant dans le film, j’ai été impressionné par votre honnêteté et votre intelligence.» Et en substance : «Je suis seul responsable. Votre mère n’y est pour rien. » Sa première réaction est de hausser les épaules. Puis d’être éperdument reconnaissante quand elle voit l’effet de ces quelques lignes sur sa mère. Le cahier photos du récit reprend les clichés pris par Polanski en 1977. Samantha Geimer les a demandées directement à leur auteur. A Paris, elle se sent intrusive. « C’est un vieux monsieur qui a une femme, des enfants, une existence reconstruite. Pourquoi devrait-il être condamné à vie pour avoir manqué d’empathie à mon égard ? » Désormais, peut-être, leurs chemins peuvent diverger. »" http://next.liberation.fr/livres/2013/11/25/samantha-geimer-son-roman_961909

            Déjà auparavant, des journalistes avaient évoqué la responsabilité parentale et l'on voit là que celui-ci au travers de leur correspondance tente de la tranquilliser sur ce point. Reste bien en suspens, comment un chef de famille doublement responsable d'avoir pris un engagement de père adoptif n'avait pas plus de regard sur les allées venues et prises de vue d'une toute jeune fille.

            De même l'on reste perplexe devant les comptes qui ne sont ni demandés, ni rendus par les parents des multiples modèles mineurs dans d'autres affaires graves et durables.
            • Ecouter l'ex-victime serait la moindre des choses
            Minimal respect mais aussi, n'entend-on pas l'accusé avant de le juger habituellement ?
              "C’est vrai : il y a 33 ans j’ai plaidé coupable, j’ai exécuté une peine à la prison de droits communs de Chino, pas dans une prison de VIP, qui devait couvrir la totalité de ma condamnation. A ma sortie de prison le juge a changé d’avis et a prétendu que le temps passé à Chino n’était pas l’exécution intégrale de ma condamnation et c’est ce revirement qui a justifié mon départ des États-Unis. Cette affaire a été sortie de sa torpeur de trente ans par une cinéaste qui a voulu faire un documentaire et qui a recueilli les témoignages des personnes concernées à l’époque sans que je ne participe ni de près ni de loin à ce travail. Ce documentaire a mis en lumière le fait que j’avais quitté les États-Unis parce que je n’avais pas été traité équitablement ; et il a, aussi, déclenché la vindicte des autorités judiciaires de Los Angeles qui se sont senties attaquées et ont décidé de demander mon extradition à la Suisse où je me rends régulièrement depuis plus de trente ans, sans jamais avoir été inquiété. http://laregledujeu.org/2010/05/02/1395/je-ne-peux-plus-me-taire/

              De plus en plus, hormis les excuses à Samantha Geimer, il apparaît urgent que des excuses officielles soient présentées à la famille de Roman Polanski :
              "Au contraire, on l'enfonce. Roman Polanski a donné naissance à des personnages féminins inoubliables interprétés par Sharon Tate, Catherine Deneuve, Mia Farrow, Faye Dunaway, Nastassja Kinski, Sigourney Weaver. Il n'est en rien cette caricature machiste, symptôme du mal qui ravagerait le cinéma. (...) Samantha Geimer, sa seule et unique victime, demande depuis des années le classement de l'affaire, mais les juges et les médias refusent obstinément de l'entendre. Elle a accueilli avec indignation l'exclusion de Roman de l'Académie des Oscars™. Quand vous devenez un symbole, on vous refuse le pardon." Exclusif. Emmanuelle Seignier, femme de Roman Polanski, refuse de rejoindre l'Académie des Oscars, 7 juillet 2018 https://www.lejdd.fr/Culture/Cinema/exclusif-emmanuelle-seigner-femme-de-roman-polanski-refuse-de-rejoindre-lacademie-des-oscars-3704066
              Ni la victime niée, ni l'épouse lue avec condescendance, n'est femme vulnérable, encore moins par essence ou nature mais toutes deux souffrant de quelque mépris, minimisées leur parole, leurs témoignages et leurs demandes. Tout le contraire de ce que prône le féminisme.

              Féministes conscientes, elles n'ont pas à être écartées d'un revers de main méprisant et mettant en doute leur probité. D'autant que le féminisme fondé sur des principes de l'écoute, de loyauté et de solidarité ?


              Pourtant, Mademoiselle Deneuve a été lynchée copieusement de son soutien, comme si elle était incapable de savoir et de juger des faits ? On aperçoit aussi sur la Toile des protestations d'anonymes, de femmes de toutes conditions, parfois du tout des privilégiées qui seulement estiment que la narration de son affaire leur parait mensongère et les émissions du tabloïd Sun. 


              Voire que la Justice française s'empare des diffamations et dénigrements contre sa personne, voire auprès de l'ex-victime qui, grâce au vent soufflé par la Ministre de la famille a vu gonfler la campagne et polémique en 2017. 
              • 2009 - 2014 Pétitions contre tentatives d'extradition suisse et polonaise
              On a déjà mentionné que le principe de non extradition est vital pour le monde artistique.

              Maquillage - Un peu de perspicacité, que diable. Les deux films qu'on tente d'empêcher restent des films éminemment critiques et politiques, Ghost writer -polar"secrets d'état", qui assassine le nègre ?- et Dreyfus. 

              Alors inventer qu'aucun rapport avec son art, c'est se fiche de la binette des femmes et des féministes de faire comme si !

              Brutus et la censure ne sont pas loin. Allez les César, un peu de courage sur scène, il serait temps, nom d'un petit pneu, que choses soient dites.

              Entrave manifeste au travail sur un film politique - Lors d'une explication de musique au cinéma Les Fauvettes, où le grand compositeur, Alexandre Desplat, expliquant les difficultés de créer la bande originale de l'oeuvre, le réalisateur enfermé dans son chalet assigné à résidence sur son arrestation suisse des mois durant sans pouvoir se déplacer aux studios et à Paris pour travailler. https://www.mapado.com/paris-75013/a-desplat-ghost-writer

              Soutiens notables de comédiennes féministes (pas toutes idiotes), au moment de ces deux mois de prison puis bracelet électronique plus d'un an en résidence surveillée dans son chalet, de gêne notable à la création pour montage, composition musicale et post production de Ghost Writer, dont on n'oublie pas quel est le scénario... http://laregledujeu.org/2009/11/10/479/signez-la-petition-pour-roman-polanski/

              A remarquer donc cette tentative d'extradition de Pologne par les catholiques conservateurs (c'est peu dire) polonais, au moment de tourner Dreyfus !

              Tous ceux et celles qui prennent défense de la dénégation du prévenu et condamné pour « relations sexuelles illégales avec mineure », de donner le contexte notable seront laminés, alors qu'elle a elle même indiqué avoir des relations sexuelles avec son petit ami trois ans plus âgé qu'elle -Cela ne diminue en rien l'agression sexuelle sans violence subie mais cette dernière n'est pas du même degré qu'un viol pédocriminel d'enfant impubère avec violence et intention de nuire-
              "n'était pas une fillette, une petite fille, une enfant au moment des faits, c'était une adolescente qui posait nue pour Vogue hommes"Alain Finkielkraut, France Inter, 9 octobre  
              Certains libéraux sociaux appellent de leurs vœux que s'appliquent en France la loi des cow boys puritains de Californie ?
              "Chère Clémentine [Vagne] comme ces premières lignes vous l'ont sans doute déjà laissé entrevoir, je ne la signerai pas. Parce que, comme vous l'écrivez vous-même, Roman Polanski n'est à ce jour pas condamné, qu'aucun tribunal, aucun jury n'a validé l'enquête bâclée et à charge de la police californienne, et de son très douteux procureur. Polanski a reconnu le détournement de mineure, qui n'a d'ailleurs rien de glorieux. Il a toujours nié et continue de nier l'avoir violée.  Vous me rétorquerez que si Polanski n'avait pas pris la fuite, il aurait été jugé. Certes. Mais, étant donné le climat dans lequel, à l'époque, se serait déroulé ce procès, on comprend qu'il ait hésité à s'y rendre comme le mouton à l'abattoir. Reprenez le dossier, mettez-vous à sa place, vous comprendrez peut-être »  « Parce que, contrairement à ce que vous écrivez, si Polanski a échappé à la justice, ce n'est pas à cause de son talent, ni du soutien de ses pairs, ni de l'aveuglement machiste des "petites coteries du cinéma et de la cinéphilie quant aux droits des femmes". S'il a échappé à la justice, c'est parce qu'il... s'est échappé -et je le répète, il avait quelques bonnes raisons de se méfier de la cabale menée contre lui par les conservateurs américains, la justice californienne et ses policiers peu scrupuleux. Je dirais même plus: le talent de Polanski, le vent de liberté qui le portait, dans sa vie comme dans ses propos ou dans son cinéma, ses relations, sa fortune, sa nationalité et, paradoxalement, la mort de Sharon Tate ont joué contre lui. Une addition de circonstances aggravantes -et pas atténuantes comme vous le prétendez à tort. En 1977, Polanski gênait. Hollywood, l'Amérique des Trump et des "fake news" d'alors, les pisse-froid, les médiocres, les aigris." Article édité et mis en une par la rédaction emettout, Féministes contre Polanski, vous vous trompez de combat, publié le 19/01/2017 http://www.lexpress.fr/culture/cinema/les-feministes-contre-polanski-vous-vous-trompez-de-combat_1870706.html
              • Récupérer criminels et délinquants par le travail, oubliez !
              C'est mal vu, surtout s'ils ont le culot de réussir dans leur métier, cela ne leur sera pas pardonné quarante ans durant. En fait, y'a que la cellule (cachot ou capiton au choix) que les sjw privilégient manifestement, que la taule pour les redresser les asociaux, et à vie encore ? -et rupture d'égalité parce que cela ne marche que pour autrui par pour leurs propres méfaits auto absouts- Ah que de délice aux fassinades qui prétendent comparer dsk, producteur de vent, et polanski.. Ses petites troupes toutes fiérotes d'avoir cru bouger les César atteindre le saint grass, et s'en vont se pâmer devant le paon en pleine fascinerie.

              Les pétitionnaires qui s'émeuvent et refusent la présence de Polanski dans son métier, alors que porteur d'innombrables prix concernant le cinéma, partout osent parler
              au nom des victimes de viol en quel honneur, qui leur donne mandat ? En mon nom, au nom de Samantha ?! Comme cela, au jugé ? 


              Du moment que l'on refuse d'être en rôle de victime jusqu'à la mort, l'on n'est plus respectables, et l'on passe outre notre parole ?

              Pourtant, par son film Tess14 (incarnée par Nastassya Kinski, ci-dessous), dont le scenario choisi par Sharon Tate, ce réalisateur montre toute sa préoccupation des viols féminicides, toute l'impunité sociale, toute la détresse de la jeune femme, et toute l'empathie qui leur est due ! 

              A gauche - Emmanuelle Seignier et son mari -ensemble depuis années 80
              http://www.spiegel.de/international/world/director-roman-polanski-discusses-the-great-calamities-of-his-life-a-932931.html

              A droite son actrice dans Tess et ex Nastassya Kinski
              http://www.premiere.fr/Star/Nastassja-Kinski
              A gauche, Barbara Lass - 1959, divorce en 1962
              https://en.wikipedia.org/wiki/Barbara_Kwiatkowska-Lass
              Crédit photo http://www.listal.com/barbara-lass/pictures
              Féministe, légaliste et républicaine, amoureuse de justice, c'est ce qui me fait refuser tout confusionnisme. Que soit de suite écarté le vocabulaire mielleux d'excuse, de pardon et de l'absolution, cela n'a aucune place dans mes billets.

              L'honneur perdu des Titanides - Accuser publiquement de viol pédocriminel6, comme la pétitionnaire le fait et ses quelques soixante mille signataires abusés, reste tout simplement une diffamation manifeste au vu du Droit, bafoués les principes fondamentaux de justice que toutes les citoyennes exigent lorsqu'elles sont elles mêmes mises en examen,
              - prescription (en l'occurrence californienne -10 ans-, française et polonaise)7,
              - droit à l'oubli (dette à la société et à la victime payées sans lésiner avec interdiction d'expression publique qui lui est appliquée, respectée par lui jusqu'à ce jour),
              - principe d'autorité de la chose jugée,
              - présomption d'innocence (SWJ juge en place et lieu du système judiciaire), 
              - droits de la défense,
              - principe des circonstances atténuantes8, - examen du contexte de vie, - juste examen biographique,
              Ceci souhaité par des blogs et partis tradichrétiens polonais et suisses !?9 
              - se faire écho allié d'un proc' à la Trump -corrompu, selon les propres termes de l'ex victime-
              - les droits de l'accusatrice ne seraient pas non plus respectés puisque de ses déclarations et des pièces de l'époque, peu de chance qu'une condamnation quelconque soit-possible, c'est donc bien l'envoyer au feu sans munitions pour faire advenir quelle justice ?


              On a donc pu discerner facilement sur les faits et leurs sources que tout est dans l’exagération. Il suffit de gonfler un élément donné de peu ou de beaucoup et d’en faire un chapelet, qui deviendra une chaîne et un boulet.

              On y ajoute un chiffon rouge que l'on agite. Trois chiffons rouges au moins qui éteignent toute raison - Comme quoi, les êtres humains ont quelque chose du bovin. C’est donc qu’il faut peut être cesser de regarder le chiffon rouge du "rejugement" ?


              Diffamation, injures publiques et dénigrement de propager la rumeur indue de violeur pédocriminel ad vitam aeternam... Irrespect de la partie civile mise au plancher ? Au nom de qui s'expriment les SJW, au nom des victimes, des ex-victimes, au nom de Samantha, ou de moi-même ?

              Ne me comptez pas parmi vous. Je ne marche pas dans la combine. Je rends mon tablier*

                Illustration Birds "Commentaire de l'auteur "Le TABLIER D'UN PONT est une structure porteuse qui supporte les charges de circulation et les transmet aux appuis ou aux éléments de suspension (suspentes ou arcs).....Quand un pont s'écroule, peut-on dire alors qu'il a "rendu son tablier" ?Blue Parrot il y a 3 année
              Christine Gamita
              Ph. D. Doctorat d'ethnologie, anthropologie culturelle et sociale, spéc. en rituel pyrobate /anthropologie visuelle et sonore /anthropologie des mondes contemporains - aires géographiques d'étude Thrace orientale et Afrique australe
              ex-ingé management de la qualité études en systèmes informatiques et ystèmes d'information
              Recherche indépendante en ethnologie de l'Internet -violences féminicides, katogynie* / gynolyse- depuis 2008
              • MAJ  Fin septembre 2020 
              Twitter m'a donné l'opportunité de savoir l'avis de Samantha Jane Geimer sur mes observations - Nous sommes donc en phase :) Parler cash et vivre cash -honnêteté et intégrité- et une très bonne connaissance théorique et pratique du contexte

              Réactions de Samantha Geimer à ce blognote SAF Absentes titanides https://twitter.com/sjgeimer/status/1310740323031642112?s=20

              "Samantha Jane Geimer @sjgeimer 29 sept 2020 11h Souvent, je me sens méprisée des autres, car ils essaient de me forcer à être de leur avis. Impressionnée de ce que quelqu'un ait consacré autant de temps à me comprendre, à examiner mes expériences et mes opinions. Nous devons avoir beaucoup en commun.
              Samantha Jane Geimer @sjgeimer 29 sept 2020 9h Après avoir lu ceci, il m'est venu à l'esprit que j'avais vraiment besoin que quelqu'un me demande (encore une fois) comment je peux dire que Roman n'est pas un pédophile, alors je peux répondre "J'en ai fait le test" Rtwt "coeur fidele @sonayre · 1 mars 2019 Dommages intérêts, regrets, excuses à assiettes coutures et réhabilitation acceptées par sa victime passée - Refus US de juger en Fr ou par contumace_aff. #moiaussi #withher #Cesars @sjgeimer @franckriester @MarleneSchiappa
              • MAJ Janvier 2020 - 40 ans d'écart entre deux César
              Un ouvrier du cinéma, au sens le plus noble des termes, qui a fait tourner les plus belles et a été aimé des plus belles, auraient le temps de se perdre à chercher des noises à des starlettes à ses basques pendues ? L'interrogation est pertinente, je n'ai vu personne y répondre.
                Romy Schneider, Roman Polanski, Le César pour Tess, Salle Pleyel, 1980
                http://www.cinetom.fr/archives/2011/02/19/20429956.html
                -12 fois  J'accuse /Dreyfus/ nommé pour les César 2020 - Réalisé dans la perspective de sa connaissance approfondie et personnelle de mécanismes éprouvés de près décortiqués sans discontinuer depuis l'éveil de sa conscience.

                Comparer un artiste fantasque d'origine juive, depuis toujours cinéaste, avec un gradé, bigot intégriste antijuif, cadre dévoué de la Grande Muette, soyons sérieuses, ce n'est pas là que se trouve le lien mais largement en amont. https://www.cineclubdecaen.com/realisat/polanski/jaccuse.htm

                "Seigner incarne Pauline Monnier, la maîtresse de Picquart. Personnage important, traîné dans la boue, vilipendé, Pauline n’abandonnera jamais Picquart. C’est aussi pour laver l’honneur de Pauline de toutes les infâmes calomnies qu’elle a subi que Picquart va poursuivre son action.http://www.kinoscript.com/jaccuse-roman-polanski/
                Pauline Monnier, maîtresse de Picquart, par Emmanuelle Seignier - in Dossier presse avec interview de Roman Polanski https://medias.unifrance.org/medias/202/62/212682/presse/j-accuse-dossier-de-presse-francais.pdf 
                Une subite et récente accusatrice en 2018, Valentine Monnier, dénonce pour ses 62 ans coups violents et viol à Gstaad (en 1975) à Brigitte Macron, afin de faire interdire le financement de D. (Dreyfus), sans succès.

                Sa motivation surgi l'année suivante étant qu'il serait révoltant que le cinéaste se fasse passer pour un persécuté comme le militaire juif israélite par l'Etat français catholique, (encore crispée alors sur le déicide de Grégoire) - Ce faux fût donc à l'origine de la naissance de la ligue sioniste par Théodore Herzl mais surtout des mesures définitives pour instaurer la laïcité. On comprend donc que les anti laïques supportent mal en cette période où la sécularopilarité américaine et les identity politics tentent tout pour abattre la laïcité bien aidé par de vils bigots qui ressemblent à s'y méprendre aux corbeaux de Saint Nicolas...

                Ce qui est nettement de motivation irrecevable à revoir en gros son passé. Enfance de privations qui ont freiné sa croissance de ghetto terrorisée par les nazis polonais, ses proches décimés, sa mère enceinte disparue en camp... Ses études houleuses de cinéma en système totalitaire polonais, au point d'être contraint à fuir. Et recommencé le cauchemar lorsqu'à Los Angeles, à deux doigts d'être incriminé, lynché médiatiquement après le massacre de sa compagne enceinte et de ses amis par un fanatique non moins toxique que le guru Hitler et son admirateur. Puis 1977. Une accalmie jusqu'en 2003 ? 1977 exhumé en 2003 pour freiner l'ascension de son pianiste du ghetto aux Oscars. 2008, l'attorney puritaine anime la cabale sur un blog catholique fondamentaliste La question. Ghost writer en isolation par la Suisse un an en résidence surveillée. Puis plus de répit depuis D.

                Aucune raison au déclenchement de sa rage car a bien été plus persécuté qu'Alfred Dreyfus. Serait-ce du pipeau de chez symphonie des faussaires ? On peut se poser la question légitimement lorsque les enjeux politiques sont aussi démesurés. A quoi attribuer d'empêcher le tournage ?

                Mais aussi peut-on s'interroger sur délai et le témoignage. La question reste posée de comment devant ses bleus et tuméfactions qui devaient être impressionnants, elle ne se serait pas rendue chez le médecin être soignée ou comment son entourage ne l'y aurait pas de suite emmenée et fait établir de certificat médical, photographier les marques inévitables ?

                En tout cas, de mes propres expériences des mêmes époques, il me parait inimaginable de garder jusqu'à mes actuels 62 ans de tels faits si les blessures ne se fermaient pas vite, tout simplement par instinct de survie. La résilience à l'horreur. La vie passe et trépasse, et les pages sont tournées plusieurs fois, tout s'estompe même la mort. En cas d'amertume, à bien d'autres occasions, elle aurait pu se manifester mais non c'est le tournage de D. qui la stimule. Pourquoi ce silence ? Et tous ceux qui en avaient connaissance ?

                Un homme jamais décrit comme violent mesurant deux bonnes dizaines de centimètres de moins, en sus de la prescription, qui aurait pu ouvrir dossier ? Cette personne savait bien que jamais il ne pourrait assurer sa défense devant un tribunal. Est-ce de bonne foi de procéder ainsi ?

                Une dernière question de curiosité, quelqu'un saurait me dire s'il ne s'agit que d'une coïncidence ironique d'inspiration de l'histoire taquine, ou Valentine est cousine héritière de Pauline ?

                Des mauvaises langues du métier disent qu'elles n'auraient pas digéré son éviction pour le rôle de Tess.

                Pourtant c'est la thèse retenue par le collectif qui exige que le film ne soit pas montré et pas primé. 

                Qu'est-ce qui se peut dire de cela - Que ce serait de la censure ? En quoi empêcher la distribution, après que cela ait déjà été tenté pour la production serait constructif ?

                Reprise par les meneuses de revue de la Toiles et manifestantes les rares associations devant les avant-premières, y exigeant partout la censure, continuent à colporter la liste des 12. Sur les plateaux Caroline de Haas à nouveau convoquant Samantha Geimer devant Alain Finkielkraut exaspéré et rappelant la règle du contradictoire, et sarcastiquement devant son accusation inique de complicité et tolérance du viol féminicide, que bien sur "je viole ma femme tous les soirs" ainsi que
                "(...) elle n'était pas impubère, elle avait un petit ami (...)
                ils se sont réconciliés...  elle l'a félicité pour la Mostra de Venise (...) 
                elle supplie Madame de Haas de cesser de le harceler -https://www.youtube.com/watch?v=trY-CK2C7lc
                D'autres comparaisons oiseuses ont suivi, délirantes et diffamatoires auxquels d’aucuns se complurent sur le rezoo de prétendues 11 autres enfants victimes, et outrageusement incrusté pour la grossir et le pourrir entre Epstein, Matzneff et Weinstein. Du second, je ne sais rien du premier et du troisième,  des éléments suffisants de rien à voir avec le cinéaste : Des 16 ans, il se vantait de consommer des garçonnets, puis soutint par des pétitions lénifiantes où il a embarqué sous prétexte de desserrer pour les adolescents brimés le carcan du pater familias  nombre d’intellectuels parisiens plongeant sans savoir qui il cautionnait réellement et en quoi consistait son prétendu libertinage. Ses carnets intimes autobiographiques où il déroulait complaisamment ses concupiscences pour les yaouleds et petits prostitués des bas fonds des hauts lieux de tourisme sexuel, auxquels il marchandait le prix de la passe, les fichant dehors une fois les couilles vidées… Quant à lui, tout au contraire, ses victimes le vouent aux gémonies, preuves sérieuses à l'appui pour activité constante faisant oeuvre... Récemment, Vanessa Springora a déclenché sa mise en examen pour ses 84 ans.
                •  Dernières mises au point de Samantha Gailey Geimer sur Twitter fin janvier 2020 

                "Ce serait bien si Roman pouvait obtenir un prix bien mérité sans être suivi de mensonges flagrants sur ce qui s’est passé il y a 42 ans" 


                "Comme si un tribunal corrompu n’était pas assez mauvais, je dois maintenant lire les fantasmes des autres sur ce qui m’est arrivé, afin qu’ils aient une excuse pour détester "
                "les films n’agressent pas sexuellement les gens, mais la censure nous a tous blessés ».
                 "Nous devrions être reconnaissants pour tout ce que l’on peut offrir de positif à la société, et non pas exiger des tests de pureté ou l’exil à jamais”
                -Elle pensait là certainement à ce qu'il n'a pas même le droit de se recueillir sur la tombe de sa compagne... Quelle torture psychologique dégueulasse, vous en conviendrez... -
                 et autres non traduites toujours émises sur son compte Twitter ... cf.  
                If you cannot rely on facts and must uses lies, exaggerations and unproven accusations to make your point, it shows the weakness of your position. Those who commit crimes and serve the sentences deserve to go on to contribute to society and earn a living. https://twitter.com/sjgeimer/status/1222621096588894208  https://twitter.com/sjgeimer/status/1222610564133769216
                En 2017, où Samantha Geimer réclama instamment que l’affaire soit classée définitivement, fustigeant des juges "carriéristes" et adressé un courrier,
                "Les cas impliquant des célébrités ne devraient pas être utilisés à mauvais escient par ceux comme vous qui cherchent la célébrité et des promotions pour leur carrière" 
                Beaucoup la snobent mais personne pour tiquer devant Renate Langer revient sur la scène de viol avec violences de 1972 dans son chalet de Gstaad acheté dans les années 2000 (actrice à la suite du film Quoi du réalisateur ? https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/balance-ton-post-renate-langer-qui-accuse-roman-polanski-de-viol-livre-un-temoignage-glacant-2091710 
                • Quid de non bis in idem ? Juge émettant sentence complète ne serait pas jugement ? La minute d’après sans nouvel élément ou preuve sous son nez mises, pirouette, cacahouète, changement de chaussettes… https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Non_bis_in_idem 
                Moment de suspens en cène (on ne juge plus comme au temps de la Palestine romaine, une fois le juge religieux, une fois le juge romain). Il m'en avait cuit de ne l'avoir pas bien réalisé à l'époque où attendant patiemment qu'au civil l'on jugea mon employeur pour délit de marchandage ("vendue" par celui ci au ministère de l'économie e des finances sur Copernic dans les 2000 jours, payée mois dans les 2000, et autres avanies), une fois blackboulée, je voulus aller au pénal mais hors de question pour les mêmes faits, plus d'issue, le couperet de l'autorité de la chose jugée était tombée. https://www.vie-publique.fr/fiches/38063-non-bis-idem-autorite-de-la-chose-jugee 


                • César du 28 février 2020, toujours salle Pleyel, César tourne sa veste
                La versatilité du milieu est grande. En 2003 un César retentissant pour le réalisateur du Pianiste, applaudi à tout rompre... La Toile n'avait pas encore fermenté ? 

                César 2003 Remise du César de la réalisation, Le pianiste à Roman Polanski
                https://vimeo.com/75778806
                Des plumes - Curieuse cérémonie où le PIR et le relativisme à l'honneur en discours comme en scène de fin. Primer le premier film, pratiquement sans femmes par un cinéaste machiste. Pourquoi pas si il est réellement en progrès et devenu adepte de l'égalité des sexes ?
                Qui a montré violence et misogynie dans un crime d'honneur et menaces de brûler l'amant d'une femme /soeur -sur le modèle de l'étude qui colle à la peau de Germaine Tillion dans les Aurès en son temps que l'on aurait cru révolu- Jugé, condamné, et peine d'un an purgée mais qui verbalement récemment a agressé Zineb el Razoui par ses menaces, au point que l'interview a été retiré, mais encensé par les tricoteuses du cinéma.

                L'escarpolette des César. Pas une pour quitter la salle sachant l'attitude du réalisateur de Montfermeil, à la suite de mesdemoiselles Adèle Haenel, Céline Sciamma, Aïssa Maïga, Leïla Slimani, Florence Floresti... et autres sourdes aux paroles de l'ex-victime de l'un et de l'autre mais pas muettes, la première signalant bien qu'elles se servent lâchement de son nom pour casser le moins criminel de leur liste balançoire ? 

                Instagram Sara Forestier, post post César
                Et du goudron ? Comparaison prétendant qu'il faudrait au contraire déchoir cette autre cinéaste de carrière internationale d'un demi siècle, au moyen de lazzis graveleux et de slogans malodorants ?
                Et c'est peu dire que cela sent le pet et le cloaque.


                Pendant les César, le tweet repris par TV5Les Terriennes
                Centaine d'activistes manifestent 
                Place des Ternes, près de la Salle Pleyel
                28 févr 20 . 21:16 Tweet illégal censuré 
                Ce jeu de mots funeste, même s'il avait également rapport avec les lacrymos comme les ont excusées certains, reste intolérable. D'ailleurs celui ou celle qui l'a retiré l'a bien aussi remarqué.

                Au-delà de la censure légale de propos illégaux, habituellement les personnes physiques et morales sont passibles de poursuites pour des assertions banalisant les chambres à gaz, en l'occurrence de plus nominativement ? L'on attend la sanction contre TV5/Les Terriennes. De plus que cela n'est pas isolé,

                "Les plus radicales hurlaient : « Le kérosène, c'est pas pour les avions, c'est pour brûler violeurs et assassins. » Voici revenue la grande ombre du bûcher qui servait dans l'Europe médiévale à brûler les sorcières, les hérétiques, les Vaudois ou les Cathares, les Maures dans l'Espagne de la Reconquista, les Réformés à partir du XVIe et, bien entendu, les Juifs, à toutes les époques. https://www.lepoint.fr/debats/bruckner-de-quoi-roman-polanski-est-il-le-nom-05-03-2020-2365957_2.php
                Concernant la sortie d’Adèle H., nous savons toutes, victimes, que l'être ou l'avoir été ne nous permet pas toutes les dérives, non plus... 

                D'autres comportements engendrés qui déjà avaient été à l'ordre du jour en 2017.

                Et que dire de Catherine Deneuve, Emmanuelle Seignier (elle doit pourtant savoir ce qu'il en est avec 30 ans de mariage), Mathilde Seignier, Fanny Ardant, Samantha Geimer, dont la parole est niée et salie ? Lynchées par les collectifs... Les militantes ne s'en lassent pas.

                Je suis également devenue bourreau d’enfants "pro viol"... - Dire les faits strictement est systématiquement amalgamé à être pro Polanski…

                Dans certains commentaires agités, j’ai du préciser à mon corps défendant que j’avais créé une association de protection des enfants des rues en Afrique et que je continuais à militer par plusieurs blogs à la protection stricte des mineurs. Examiner les faits avec précision et sans les gonfler, m’a donc valu d’être mise dans au ban, en prétexté complice de violeurs et de pédocriminels. Un exemple d'anathème




                Ayant déjà examiné tous les éléments patents et vérifiables, il ne reste qu'à remettre à nouveau ma témoin principal à l'honneur qui nous indique à propos de collages de Marguerite Stern et de Noustoutes OLF Effrontées
                "Je ne suis pas du tout d'accord. Demander à toutes les femmes de supporter le poids de leur agression, mais aussi de l'indignation de tout le monde pour l'éternité, c'est cracher au visage de toutes celles qui se sont rétablies et qui sont passées à autre chose ?
                Rameuter les victimes pour sanctionner des gens qui se sont mal comporté, c'est les victimiser davantage. Personne n'est en droit de dire à une victime ce qu'elle doit penser et comment elle doit se sentir. Lorsque vous refusez qu'une victime pardonne et tourne la page pour satisfaire un besoin égoïste de haine et de punition, vous ne faites que la blesser plus profondément. Une victime a le droit de laisser le passé derrière elle, et un agresseur a aussi le droit de se réhabiliter et de se racheter, surtout quand il a admis ses torts et s'est excusé. Quel agresseur voudra admettre ses torts si son crime est une dette qu'il ne pourra jamais payer? Et quelle victime voudra dénoncer son agression si elle lui colle pour toujours à la peau? (...) En réalité, je suis bien plus fatiguée que l'on mente et que l'on exploite mon histoire. Si les gens ne savent pas ce qu'il s'est passé, je veux bien l'accepter. Mais quand on véhicule sciemment des contre-vérités pour faire avancer des causes, c'est un outrage caractérisé. Cela démontre toute l'hypocrisie des "activistes".  Les vrais militants ne font pas commerce de la douleur des victimes. Et ils n'usent et n'abusent pas non plus de vous, de votre histoire, sans votre consentement, comme j'ai pu le voir avec les collages féministes qui placardent "Samantha, 13 ans" sur les murs de Paris." Samantha Geimer  http://www.slate.fr/story/187944/interview-samantha-geimer-affaire-roman-polanski-victime-viol-violences-sexuelles
                Vous savez donc désormais que toutes les victimes et toutes les féministes ne soutiennent pas les  nouvelles gueules de lion à la vénitienne, l'imprescriptibilité, ou l’extradition des ressortissants français, ou le tricot… 
                • Les exemplaires du 28 février 2020
                Absence de rreconnaissance de ce qu'a dit en 1977 Samantha Gailey et le juge dans les charges retenues dans sa sentence avec son accord -loin d’être idiote à quatorze ans, on vous le rappelle et pas plus à soixante- Foin de solidarité et  e respecter son témoignage et ses demandes en principale victime passée mais concernée ?

                Lorsque les paroles disjointes des actes et que l'oeuvre ne peut être séparée de l'actrice. En faire valoir le replay
                "Quelques secondes plus tard, elle est revenue à la charge en décrivant le film J'accuse comme étant une oeuvre sur "la pédophilie dans les années 70." Dès le début de la cérémonie, Florence Foresti a marqué le ton en rappelant à quel point elle avait été courageuse d'animer "la dernière cérémonie des César". Tout au long, elle a rappelé à quel point elle se sentait à la fois heureuse, mais surtout courageuse d'assumer un tel rôle en pleine tempête.” https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/cesar-2020-popol-atchoum-florence-foresti-sen-prend-a-roman-polanski-dans-son-discours-2091433 
                Le cachet habituel pour l'animation des César serait de 35 à 50 000 euros. Pourquoi dans les 130 000 pour ce 45ème jet, alors que de plus selon les statistiques des gaps sexistes, ce devait être de 25 % en dessous, soit 37 500. 

                On y pige qu'elle se crût valeureuse sans risque à guerroyer de vannes sur le nanisme et la judéité car des quatre milliers de professionnels de l'académie votants, aucuns suffisamment informés et formés pour juger bien fondé un film d'ampleur sur un sujet historique qu'elle malmène pour amener de l'eau à son moulin ? Ce serait-on imaginé un instant que cachait le masque des pitreries caustiques et féministes. On y est, on est fixé. Uhu, ou Pattex.

                Ni ne se ridiculisent d’affubler du sobriquet d’Atchoum un géant international français du cinéma. Un surnom de nain bien peu charitable pour un homme qui souffrait de privations enfant au ghetto -1 m 50/60 d'avoir souffert de la faim à un âge crucial de croissance par sa vie en clandestinité de persécuté juif,  et ses proches décimés par les nazis en Pologne- Mais plus, lorsque après sa plaisanterie si trôll, Floresti égrenne cinq noms d'hommes d'origine juive, uniquement, reste-t-il encore quelque doute ? C'est beau comme du Céline, à non mince, c'est du Florence tout craché.  De son camp catholique (révélé par elle même), histoire de stigmatiser les Picquart, aurait pu en dégotter un , Ruggia peut être ? ou bien en réf à Montfermeil et à la bigoterie susceptible de Ladj , Ramadan ? Mais non, la croyante n’a pas osé le blasphème ?

                Ou bien Abdelatif Kéchiche, Léa Seydoux avait l'assurance que les scènes de cul pour lesquelles les actrices poussées à bout sur le plateau, seraient coupées, il les a tout de même reprises... Aucune solidarité queer pour cette actrice ?  
                http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18676597.html

                Ou bien tiens, Christophe Ruggia, réalisateur, ce serait de bonne adaptation ? https://www.gala.fr/stars_et_gotha/adele_haenel

                Trois fois n'est plus un hasard. La quenelle jubilatoire de trop, passée inaperçue jusque là ?


                 Florence Foresti et Arnaud Tsamère, sketch DR / Youtube / On ne demande qu'à en rire / France 2, 2013
                https://www.atlantico.fr/decryptage/3587786/eh-oui-c-est-florence-foresti--cesar-quenelle-arnaud-tsamere-humour-alain-soral-dieudonne-benoit-rayski-
                Ouf gestuel mais peu discret d'une autre. https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes/videos/cesar-les-14-tres-longues-secondes-de-solitude-de-sandrine-kiberlain-24572340.html


                Censure de la nomination, du nom, censure du prénom. L'intimidation qui fait aller dans le sens d'effacer à l'annonce du prix de l'adaptation. Comme quoi ça fait crapaud quand on tente de jouer la grenouille à grande bouche qui joue la grenouille à petite bouche. Quand on tente la gauloiserie pour échapper à la pression qui rend bête.
                "Et là, c'est idiot, c'est idiot, instinctivement je pense m'en tirer par une pirouette et je me dis que je vais faire le sketch de la grenouille à petite bouche. Je fais la petite bouche.”   https://www.transfuge.fr/billet-cinema-je-ne-voulais-pas-humilier-polanski,454.html
                C'est fort malhonnête de mélanger des affaires énormes comme DSK, Eptsein ou Weinstein avec des preuves de taille incontournable en veux tu en voilà avec une affaire comme celle de Polanski de preuves nawak avec une victime passée qui est négligée traitée de zéro, etc. en négligeant les apports ténébreux de sa propre mangeoire -puisque se vantant d'être catholique- ? Et en musique de fond, pour mémoire sur la musique de quel compositeur britannique, l'humoriste déroule t elle son sketch ? On vous le donne en mille. https://fr.wikipedia.org/wiki/Gary_Glitter

                Ainsi d'Adèle H., qui fait tri des femmes éligibles à l'empathie ? En snobant une et la bafouant sur sa demande d'oubli et de reconnaissance de l'artiste, prétendant à qui mieux mieux qu'il est interdit de le distinguer pour une oeuvre, de ce qui ce serait terrible affront car il est interdit de dissocier l'oeuvre de l'homme ?

                Croix de feu :( sales souvenirs de l'écrivain, Céline le préféré - Tout à l'envers, on devrait dissocier ? S'oublie-t-elle si facilement de son propre exemple d'encenser l'apologue de la haine du Juif dont on ne peut séparer l'oeuvre antisémite primaire, nazie et de collaboration de l'homme antisémite (NB 1) et collaborationniste, et de cracher à la face des victimes du nazisme ? https://bruiter.com/topic/42-51-62266094-1-0-1-0-celine-est-l-ecrivain-prefere-d-adele-haenel-aya


                Pourtant Mademoiselle Haenel devrait savoir que les apologistes du terrorisme à la Céline et Genêt sont enchanté de susciter que d’autres envoyent du plomb dans la tête des victimes ? 

                La dissociation, c’est selon - Genêt, Céline, Gide, Matzneff pour ce qui tourne en boucle algorithmique pour justifier que l’on ne peut pas dissocier Polanski mais que l’on doit dissocier ceux là, ne peuvent l’être et l’on voit où nous a mené de le faire l’esthétisme tolérant. 

                C’est donc pour les pro Polanski, un bien faux argument qui est servi et qui de quelque côté qu’on le prenne emprisonne le débat. 
                • Le no limit rend-il bête et méchant ? Comme si les cauchemars fantasques et pornographiques d'Hara Kiri à la Choron ronchon s'incarnaient, s'épanchaient en premier degré buté.
                Masculinisme avancé -  Déjà au moment des remous LGBTQIA+ de la mallette ABCD, j'avais trouvé malsain qu'un scénariste invente un boudin de pâte à modeler dans le short d'une gamine pour le Tom boy de son ex, Sciamma, en bonne disciple de Butler, maîtresse genrificatrix. J'ai été moi même assez garçon manqué, comme beaucoup d'autres, et cela me parait une élucubration tordue d'adulte, à cet âge-là, on n'a pas de vue spéciale sur une nouille qui pend, si tant est que l'on sache comment elle se présente.

                Adèle H. a rencontré à 15 ans, Céline S. tournant son premier film La naissance des méduses (scénario de fin d'étude à la Fémis de 2007), histoire lesbianiste en piscine. Cela aurait été avant 1982, aurait-elle été poursuivie en majeure pour détournement de mineure si les parents Haenel en avaient trouvé l'opportunité légale ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Naissance_des_pieuvres

                Dans la foulée, j'avais du me pencher sur les écrits politiques de Beatriz Preciado, compagne de Virginie Despentes, qui payait de sa personne pour instaurer sa politique transgenriste de reprise du pouvoir aux phalli, mettant la main à la pâte pour de vrai à coup de piquouses de stéroïde importé de GDR, coupant dans le vif. La voilà Pablo... Missy avait déjà tenté ce coup-là. Convaincue par le jule de Colette sa petite amie, plagiaire et escroc envers sa toute jeune épousée, et son ouvrage sur le troisième sexe berlinois ?

                La nouvelle garde des PIR cible avec constance le blanc, toutes ayant ou presque fait un tour du côté de bourses américaines. Rokhaya Diallo en donne diverses versions mais aussi, en 2012, j'avais aussi été conspuée par Mrs Roots, une blogueuse indigéniste, qui se révéla être Maboula Soumahoro, maître de conférence d'anglais à Tours, dont la lecture de la thèse laisse dubitative. http://www.applis.univ-tours.fr/theses/2008/maboula.soumahoro_2088.pdf

                Sur un plateau TV, celle-ci énonça doctement qu'un blanc aurait toujours tort devant une noire. Fondamentalement opposée de fait au féminisme. cf. L’antiracisme politique et la classe, Table ronde avec Sihame Assbague, Wissam Xelka, Saïd Bouamama, Nacira Guénif, Maboula Soumahoro, organisée pour Patrick Simon et Julien Talpin, Mouvements 2019/4 (n° 100), pages 169 à 187 https://www.cairn.info/revue-mouvements-2019-4-page-169.html

                Ou comment mieux se punir d'être une fille et des séquelles de l'éducation de l'église sacrificielle, qui réussit là au-delà de ses espérances comblées, en détruisant son sexe.

                Que la queeristique (entendre kristik) américaine, adoptée par l'anar des beaux quartiers obstinée dans sa fascination du pénis et de le copier en faisant propagande du scoptisme* s'asseye sur les exhortations récidivées de la première concernée de cesser l'exploitation de son cas pour sa tambouille était prévisible, cela n'a pas raté. Pour qui est affranchi, on n'y voit aucun effet théatral de sortie par la petite porte du concert des jérémiades pour protester contre la remise du César à l'absent sali et moqué derrière son dos... 


                Quant aux leçons de puissantes productrices sur l'exploitation, cela fait soupe à la grimace... Lorsque l'on est anti système, on n'y mange pas aux râteliers.
                • Fin des ternes PIRotechnies 
                La porte parole gouvernementale Sibeth se fit l’écho… (film de Christophe Ruggia, Les Diables, 2002)
                "Celui-ci a redit samedi que “célébrer” Roman Polanski était un “mauvais signal”, ajoutant qu’il “pouvait comprendre” la réaction “de colère” d’Adèle Haenel, qui a accusé cet automne le réalisateur Christophe Ruggia d’“attouchements répétés” quand elle était adolescente." https://www.huffingtonpost.fr/entry/cesar-polanski-sibeth-ndiaye_fr_5e5cdc16c5b6450a30c17d55
                Il y a donc bien de quoi être scandalisés que les ministres de la Culture, Riester, et secrétaire des Droits des femmes, Schiappa, se moquent par conséquent de, non seulement la position d'une victime mais aussi des pièces du dossier, soutenant une telle ignominie sous leur égide et propos qui stigmatisent, et l'homme et le créateur, à l'occasion de la remise méritée mais gâchée du César de la réalisation 2020 pour un film remarquable, que leur mollesse et compromission partisane a empêché en lauréat de participer à la cérémonie avec son équipe, qui a fait honorablement corps avec lui.
                Je n'ai toujours pas compris si Brad Pitt était un pro ou un anti. 


                Concentré des injonctions violentes de la tribune V. Despentes / B. P. Preciado.

                Xavier Gorce
                https://www.lemonde.fr/blog/xaviergorce/2020/03/02/nouveau-code/
                Sans revenir sur la trompeuse polémique globale d'indissociabilité de l’oeuvre et de l’homme qui masque le principal, on ne peut pas ne pas remarquer la position politique à la Jean Genêt de Virginie Despentes d’apologie du terrorisme, dans le premier cas nazi, dans le second islamiste en taisant que la seule femme non épargnée comme les autres chez les Charlie Hebdo athées était juive -son féminisme sombrant là aussi dans le mépris de la principale concernée ?-

                Le vrai problème reste entier de la diffamation faite d'abuser du terme envers quelqu'un qui n'est pas condamné sur l'accusation prétendu par des menteurs pendant 43 ans. Voir la sentence et le résultat de sa conduite exemplaire qui fût libération de peine probatoire (nous ne redirons pas l'exacte liste ds charges retenues par le juge déjà dites en notes), suivie des malversations et magouilles qui l'ont déterminé à fuir les USA mais pour qu'en 1978, la France propose son jugement en France... https://www.ledauphine.com/france-monde/2020/02/28/cesar-pourquoi-les-nominations-de-roman-polanski-font-polemique

                Vous aurez remarqué au passage le nombre fabuleux de mensonges autres dans l'article du Dauphiné qui se la joue avec le flot de champ' ? Personne ne donne l'impression de collaborer à une entreprise de salir l’homme pour salir l’oeuvre ? La blague de prétendre vouloir le rejuger alors qu'au contraire les juges n'assument pas leur responsabilité et fuient toutes possibilités proposées et alors que le seul qui voudrait vraiment le procès est celui qui voudrait aller se recueillir sur la tombe d'une disparue qui lui inspira Tess... Vous vous rappelez l'affaire où les puritains côtiers avaient commencé leur lynchage médiatique, le faisant passer pour responsable...


                Pour ma part, je souhaite à ceux qui soutiennent cette triste opinion contre vents et marées et avis de victimes, passées par profits et pertes, que jamais leurs proches et eux-mêmes ne soient jamais à leur tour subissant cinquante ans d'acharnement médiatique.


                Les post féminismes qui nous désagrègent - Au self service des sexes et des prénoms… Au sujet de Virginie, Adèle, Beatriz et Paulo… Edito, Virginie Despentes : Meuf, tu délires

                Séparatistes révolutionnaires, je n’irai pas à vos 8 mars, déjà que les hurleurs queeristiques du Strass m’en avaient dissuadé depuis 2012 avec leurs harcèlements et calomnies, alors en plus dans la rue le 8 mars, surement pas. «Quoi de meuf?» ou deux des organisatrices de la manifestation «révolutionnaire» du 8 mars à Genève et interdite aux hommes." https://m.tdg.ch/articles/22115924

                Le Castor n'a pas fait de filles, pas le temps de la maternité, les jours et la vie trop courtes à croquer, mais je suis l'une d'elles, innombrables et on ne va pas se laisser avoir comme cela. On vous le promet.


                Concluons sur la beauté des chapeaux de paille féminins de la part d'une tête à chapeaux -j'en fais collection-, alors que le serre tête ne me flatte pas. Suffit de prises de tête.



                Vittorio Matteo Corcos, Sogni, 1896
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Vittorio_Matteo_Corcos_-_Dreams_-_1896.jpg
                A savoir - Je ne commente pas d'affaire en cours d'instruction et de jugement. Sinon ce ne serait pas la peine d'avoir bataillé pour faire reconnaître la présomption d'innocence et la charge de la preuve à l'accusation jusqu'à la relaxe ou la condamnation notamment pour les femmes accusées de meurtres pour avortement et autres crimes imputées juste car étant des femmes... 
                •  Notes de fin de billet - en cours d'agencement
                "... ce qui fait l’homme [la femme] de science, ce n’est pas la possession de connaissances, d’irréfutables vérités, mais la quête obstinée et audacieusement critique de la vérité"*

                Lecture vivement conseillée : L’exigence républicaine Recension de L’idée républicaine en France (1789-1924) : Essai d’histoire critique par Claude Nicolet, Virginia Pele, politiste http://susaufeminicides.blogspot.fr/2017/01/lexigence-republicaine.html

                (NB 1) Qui est si sûr de ce que cela n’a rien à voir avec les Juifs et l’antisémitisme ? Et quiconque le prouve ?

                D. J'accuse le film avec d’autres si ce n’est tous de Polanski, oeuvre sur le filet de la persécution des Juifs, la persécution d'un Français Juif et des Juifs français par le catholicisme d'état fondamentaliste puis recommencé par le pétainisme bigot collaborationniste, et élaboré par une personne d'origine juive Raymond Liebling Polanski, Français qui a éprouvé au plus insondable profond la persécution des Juifs par les nazis et les Polonais ? Qui s'interroge sans fin pour ne pas mourir sur l'abime du sadisme humain.

                A savoir esquissée - Distinction rapide de divers niveaux d’antisémitisme

                Machinal par automatisme ancestral et diffus, fruit de propagandes modernes récente où s’allient les puritains de tout bord, évangélistes libertariens américains (chrétiens protestants) et les anarchistes qui s’allient au terroriste par haine antinationaliste 

                Le plus stupéfiant restant la sourdine d’une sorte de “herem” contre toute personne d’origine juive qui ne passe pas par les fourches caudines religieuses (ce qui rappelle la légende de Jésus condamné à mort par les rabbins) ou totalitaires

                Historiquement, en très gros, les phases principales :
                •  Antique contre les Hébreux et leurs dieux, dit antijudaïsme
                •  Affirmé par Justinien, Hadrien et autres Romains chrétiens d’Orient et d’Occident, pris à parti
                •  Antisémitisme tsariste regonflé par les faux protocoles
                •  Ressuscité l’antisémitisme chrétien par le catholicisme intégriste français en affaire Dreyfus
                •  Réamorcé par l’antisionisme 
                Tant de gauche que de droite, faisant tout pour mettre en danger un Etat-nation d’Israël au motif qu’il s’agit de l’Etat des Juifs prétexté faussement de ne s’attaquer qu’au gouvernement actuel de régime de droite, alors que la manoeuvre en marche depuis la période de la prise de la région par les Britanniques en mandat des alliés en 1924 jusqu'à l'Exodus de 1945

                Nous payons désormais les effets de cette boule de neige formée de trois mille ans...

                [1ahttp://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/justice/definition/symboles/qui-est-deesse-justice.html
                [1g] http://www.liberation.fr/planete/2010/05/17/charlotte-lewis-je-voulais-etre-la-maitresse-de-roman-polanski_626603

                1 Pour celles qui ne connaîtraient pas le contexte de l'affaire Dreyfus, à lire sans faute. http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20060712.OBS4922/j-accuse-par-emile-zola.html

                2 Témoignage original complet de la victime traduit en français http://www.haoui.com/newsletter/2009/Octobre13/exclusif/index.html
                Original anglais http://www.thesmokinggun.com/archive/polanskib14.html
                -  Charges retenues avec accord de la victime plaignante et représentée 
                "...Rapports sexuels illégaux..." / Gunson asked: “Mr. Polanski, to Count III of indictment number A-334139, which charges you with the commission of Unlawful Sexual Intercourse on March 10th, 1977, a felony, how do you plead ?” Polanski: “Guilty.
                Charges pabandonnées par la justice américaine, en accord avec la victime,

                - "...crimes de Fourniture de drogue à mineur, Actes obscènes ou lascifs sur Enfant de moins de 14 ans, Relation sexuelle illégale, Viol sous drogue, Perversion, et sodomie, toutes "félonies"..." / "...you are charged in Information A-334139 with the crimes of Furnishing Drugs to a Minor, Lewd or Lascivious Acts upon a Child under 14 year of Age, Unlawful Sexual Intercourse, Rape by Use of Drugs, Perversion, and Sodomy, all felonies* committed on or about March 10th, 1977."

                "Le 19 septembre 1977, la cour contre l'incriminé. Les deux psychiatres ont rapporté que Polanski ne souffrait pas de désordre mental d'agresseur sexuel et personne n'y a contredit. Ainsi le juge a convenu qu'il n'y avait pas lieu de le porter en fichier des agresseurs sexuels, et ils passèrent à la sentence." / « On September 19, 1977, court again convened. The psychiatrists both reported that Polanski was not an MDSO [mentally desordered sex offender] and no one argued to the contrary. So the judge agreed that he would not have to be registered as a sex offender, and they moved on to the sentencing. » 

                3 C'est le 1er février 1978 que le gouvernement français fait savoir qu'il accepte de le poursuivre en France mais pas de l'extrader ; le gouvernement américain ne donnera aucune suite.

                4 La prison de Chino, CIM opened in 1941 and "was the first major minimum security institution built and operated in the United Stateshttps://en.wikipedia.org/wiki/California_Institution_for_Men
                5 "Le 1er décembre 1939, les juifs reçoivent l'ordre de porter l'étoile jaune. La famille est réinstallée de force dans le « quartier juif » de Cracovie. Le jeune Romek se verra "emmuré.http://www.roman-polanski.net/bio/bio_polanski1933.htm
                 Ce qui n'est pas sans rappeler l'assassinat de sa femme,
                "La demi-soeur de Roman Polanski survivra miraculeusement à Auschwitz. Sa mère, en revanche, fut assassinée dans les chambres à gaz en 1941. ...Elle était enceinte de quatre mois. … De la rue Komorowski, à la rue Kekawka dans le ghetto, il survivra en secret dans les montagnes polonaises et reviendra à Cracovie après la guerre" source Exposition photographique Roman Polanski, une enfance, Médiathèque de Pauillac (Gironde), réalisée par Alexandre Tylski, octobre 2005 http://www.roman-polanski.net/expo1.htm
                Rappelé ainsi que le titi parisien du 12e -né en 33, le 18 août- n'y est pas né avec cuiller d'argent dans la bouche et qu'il a surtout mangé de la vache enragée grosse partie de sa vie, enfant durant la guerre au ghetto, survivant de la Shoah pris dans la persécution nazie. Ce qui n'excuse rien mais généralement pour les circonstances atténuantes, c'est à qui fera intervenir l'environnement, le déterminisme social et les handicaps de classe. Seul dans son cas, il n'en serait pas non plus tenu compte... ?

                6 Diffamation de viol pédocriminel - La pédérastie (Eros, éraste, éromène, amour sexuel en grec ancien, terme étymologiquement biaisé de l'impropre « pédophilie » instauré par les propres agresseurs et les militants de la cause sexualités périphériques des années 70, alléguant d'affect pour masquer qu'il s'agit de possession sexuelle) se caractérise par la récidive et l'emprise. Comme tout un chacun le sait facilement, rien de tel en 50 ans, et voir note 2, pas de "désordre mental sexuel". En effet, la nubilité d'un mineur n'en fait pas un enfant mais un jeune homme, d'autant plus lorsqu'ayant déjà eu des rapports sexuels et un amant plus âgé, comme dans l'épisode 1977.
                7 "la loi californienne prévoit une prescription de 10 ans pour des faits de la nature de ceux reprochés à Roman Polanski (Code pénal de Californie, section 801.1)" http://www.maitre-eolas.fr/post/2009/09/29/Quelques-mots-sur-l-affaire-Polanski
                8  8 et 9 août 1969 - Son film de dénonciation de rituels tordus, Rosemary's baby sera suivi de l'assassinat sauvage par Charles Manson et sa secte satanique new age de sa jeune femme enceinte et d'amis proches. Steve Parent, 18 ans, ami du gardien, tué à bout portant. Voytek Frykowski, 32 ans, ami d'enfance de Polanski, Jay Sebring, 26 ans, coiffeur, Abigail Folger, 26 ans, héritière, Sharon Tate, enceinte de 8 mois et demi, son épouse. https://fr.wikipedia.org/wiki/Sharon_Tate
                "La curée médiatique commence alors pour Polanski. De la marijuana et divers cachets ont été retrouvés à son domicile. Frykowski est décrit comme un fournisseur de drogue et la police pense à un règlement de compte sur fonds de stupéfiants. Des rumeurs d'orgies, de sorcellerie, de pornographie circulent. Dans un édito intitulé " pourquoi Sharon Tate devait mourir", le chroniqueur Peter Hyams écrit que le couple a attiré la tragédie sur sa tête à cause de son existence excentrique et dissolue. Désespéré, le père de Sharon Tate se déguise en vieux hippie et fréquente les lieux de marginaux en espérant obtenir des infos. Polanski offre une récompense de 25.000 dollars pour tout renseignement. » « Les médias sont tous ralliés à la culpabilité des hippies sataniques et oublient le torrent de boue déversé sur les victimes et Roman Polanski." http://www.greffiernoir.com/la-famille-de-charles-manson-le-meurtre-de-sharon-tate-1
                9 Subitement le gouvernement français le prétend indique de présider les César, alors qu'il sait bien qu'il a lui même proposé d'être jugé en France, ce qui a été refusé par la Justice américaine ?! http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/roman_polanski_le_gouvernement_reagit_et_se_dit_choque_que_le_realisateur_preside_les_cesar_384519


                11 "I have become a victim of the actions of the District Attorney."

                12 Marcia Clark, the former L.A. district attorney who prosecuted the O.J. Simpson murder case, has since served a regular legal television commentator. She has written a bestselling book, Without a Doubt, served as a columnist for Justice Magazine and is finishing her debut crime novel.

                13 Voir le bandeau du blog catholique intégriste La question

                Exemples incomparables à l'affaire de 77, des vies entières de Balthus et Hamilton, qui avec accords parentaux "se sont servis" http://susaufeminicides.blogspot.fr/2014/05/opus-enterre.html

                14 « Il rendra hommage à cette campagne vitale dans ses films Quand les Anges Tombent (1959) et Tess (1979) ». Sa première femme rencontrée vers 1952 joue dans le premier. https://pt.wikipedia.org/wiki/Gdy_spadaj%C4%85_anio%C5%82y

                15 Sachez bien d'où viennent et par qui sont soutenues ces campagnes de prétendue cause féministe -Antilaïques qui montent le milieu féministe et les femmes contre la protection des musulmanes démocrates et apostates, fondatrices des Indivisibles, collaborant au Parti des Indigènes de la République, colloquant avec des Ramadan -lmsi, syllepse soliloquantes; précédemment insultant les féministes qui militent contre le voilisme et des lois de protection de collégiennes adolescentes musulmanes du jiljab et anti burka- Féminisme intersectionnel, prétendu inclusif, nettement identitaire. Où l'on comprend que la République n'est pas la tasse de thé de ces aréopages*.
                • Crédit d'images
                [Illus. 1Nastassia Kinski, Tess ("To Sharon"), Roman Polanski 
                La restauration numérique récente rend ses couleurs d’origine à ce film splendide, l’un des plus beaux de Roman Polanski, dont les images ne cessent d’évoquer les peintures ombrées de Turner et dont l’histoire reste fidèle au roman victorien de Thomas Hardy " Tess d'Urberville". Cette oeuvre classique de la seconde partie du XIXe siècle se situe dans la lignée d’une « Madame Bovary » ou d’une « Anna Karénine » par la complexité de destins hors normes et le romantisme qui les habite et parce que le personnage de Tess illustre la fragilité des femmes pauvres en un temps où aucune loi n’était sensée les protéger.

                Ce film est dédié à Sharon Tate, la première épouse de Roman Polanski, assassinée sauvagement par la secte de Charles Manson en 1969, qui avait suggéré à son mari de lire le roman de Thomas Hardy et d’en faire une adaptation cinématographique. Cet opus est par conséquent un hommage à cette jeune femme.  http://laplumeetlimage.over-blog.com/2016/07/tess-de-roman-polanski.html
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