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18/10/17

Dans la gueule du lion

"Un jour j’ouvris le livre de la loi et je lus ces mots : le mari doit protection à sa femme, la femme doit obéissance à son mari. Je ressentis une vive indignation. Jamais, me dis-je, je n’achèterai le bonheur au prix de l’esclavage. Je veux vivre et souffrir, seule, ignorante, inutile, oubliée mais libre."*


Illustration - Johannie Picard Légaré[Illus. 1]*

Boxe civilisationnelle - Un round a été gagné par la civilisation juridique à l'anglo-américaine, dont le premier ordre de la liberté d'expression serait totale mais moraliste. Pas si libre que cela puisqu'il suffit qu'un croyant fasse jurisprudence de son offense, comme, par exemple,, si un homme se croit une femme et il ne reste plus à celle-ci que d'acquiescer, et les compagnes lésées ne se comptent plus -Le père dit et la famille s'incline- Droit de l'individuel, jusqu'au coutumier, où négociation, contrat privé et jurisprudence priment. Finalement, la règle du plus fort, en monnaie, en émerge toujours au sommet.

Ayant bien pris les devants et avec hauteur en éparpillant dans le désordre les règles plus nombreuses et plus hiérarchisées de la civilisation du droit romain, moral, qui parle de ce qui est commun, comme le secret de l'instruction, la présomption d'innocence de la défense, et caetera. La jurisprudence du particulier y a son poids mais n'est pas socle du droit contrairement au Commonwealth. C'est le boxon maintenant qu'il s'est fait étriller vigoureusement à coups de dièses#  qui l'ont baissé de plus d'un demi-ton.
  • Pig gate
Une situation de système proxène de luxe et d'envergure, ou "proxénétisme hollywoodien", a surgi de l'étouffoir américain, où des rédacteurs en chef maintenaient les reportages déjà aboutis depuis des années.[1

Ce qui ne peut être mis sur le dos des comédiennes même d'en être les actrices principales. Qui a été monté sous l'oeil politique d'un bord à l'autre de l'échiquier et dont la faillite vient d'être déclenchée, pour des raisons que l'on ignore mais que l'on ne peut imaginer intervenir au hasard. Par contre, c'est hasardeux d'embarquer les internautes non averties dans ce ferry. Surtout au vu des paiements divers pour acheter le silence des harcèlements et des viols féminicides couverts par le droit de négociation et contrat en vigueur aux United States ? On se rappelle bien comment déjà l'affaire Nafissatou Diallo (14 mai 2011 c/ DSK) le fût et déclencha une nouvelle avalanche de paroles de victimes.

Calcul de risques plutôt que honte et peur - Les victimes ne sont pas toutes honteuses -peut-être dans certaines familles croyantes, était-ce ou est-ce le cas, mais pour l'ensemble, je n'ai bien constaté qu'une minorité qui seraient dans la honte d'être une victime- Loin de là, mais elles savent ce qui est de calculer leurs risques, et surtout la plupart n'ont pas les moyens de régler des honoraires d'avocat. Pour y remédier, il faudrait que au-dessous d'un certain niveau de revenus, les victimes de violences féminicides de toute sorte, du viol à l'excision, devraient se voir bénéficier un conseil gratuit pour pouvoir maintenir leur plainte au civil, en appel, au pénal, en cassation, en justice européenne et des droits de l'homme, et donc que leurs droits en demande soient respectés.   

Le risque social reste entier. Non pas contre les agresseurs connus ou anonymes, mais au sein du groupe familial ou du village. Ce qui a été occulté par l'usage de plainte en public mais elles le savent bien que cela créera camps et subdivisions, d'accord pas d'accord, compréhension ou rejet, et des réactions qui ne les laisseront pas indemnes, ni les autres, et elles n'ont pas envie de vivre cela en plus de l'agression vécue. La facture de la fracture leur sera envoyée sans délai.

D'autant que le message médiatique reste contradictoire, l'extrême droite du "tout pourri" dans la justice de gauche (vous pensez 77 % de magistrates, qui auraient le jugement faussé et partial des mauvaises conductrices ?) laisse à penser qu'il n'est pas possible d'y recourir et qu'en désespoir de cause, l'on serait devant la seule opportunité possible de crier à la face du juge. 

L'on ne peut que se réjouir de l'affluence de sang neuf de jeunes militants de la cause féministe, qui l'ont découverte par la grâce du dièse porté par l'expression de victimes d'agressions sexistes. Quoique, entrainés par l'esprit de l'expression lâchée en liberté des croyances, ceux-ci sont, comme on le voit souvent, emportés vers les grèves du choix et son flot d'autodétermination sans frontières au détriment de la res publica. Plus de bornes aux désirs et au sexe qui devient mouvant et insaisissable. Est-ce finalement tout bénéfice pour le féminisme ?

On ne peut se précipiter seule droit dans le mur quand il est fort délicat d'aligner les preuves. Oui, c'est dur, et non ce n'est pas impossible. 

Au départ des dièses comme des fusées dans l'immense hall de gare, sans intimité, chaleur et confiance -et un peu comme à l'apparition des tétons politiques-, j'étais pourtant plutôt encline à suivre le mouvement sans y participer explicitement puisque je refuse de faire mon augustine. On ne se débarrasse pas aisément du gène de la dissidence.

Chaînes et tontines en boucle, cela ne me branche pas, cela me parait de trop alimenter facticement par manoeuvres et tripatouillages les fonds des pourvoyeurs de bases de données. Les images des femmes ont toujours flatté les bourses du commerce, pour les GAFAM, le féminisme n'en est qu'une d'elles. Les plateformes trop contentes qu'elles fassent le boulot elles-mêmes de multiplier la participation féminine au grand marché du contenu.
  • MAJ 2017 Presse française et ses onlines aux anges de la surexcitation des opposants et tenants du dièse meetoo, et de toutes indignations et mouvements de foules mondiaux
Infographie Jérémie Favre "Cette infographie sur les médias français réalisée avec l’association Action-Critique-Médias (Acrimed) est une refonte de la carte du Parti de la presse et de l’argent (PPA) conçue pour Le Plan B en 2007 et mise à jour à l’occasion de la sortie du documentaire Les Nouveaux Chiens de garde en 2012.
https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/ppa-archive
  • En France, aucun dédommagement ne se négocie et le rapport de force ne fonctionne pas comme aux Etats-Unis en la matière, où les avocats ont tout intérêt à agiter le bocal en public pour faire monter l'enchère.
Après transactions, tout particulièrement en droit anglosaxon, toute velléité de porter plainte est abandonnée, c'est abandonner son droit et botter en touche quant à informer les suivantes en danger... Par contre et à ma connaissance, il n'est pas permis de négocier ainsi en France en délit et crime sexuel. 
Les peines prévues pour harcèlement sexuel - L’article 222-33 du Code pénal prévoit des peines d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende. Des peines complémentaires sont également encourues. Elles sont prévues aux articles 222-44 et 222-45 du Code pénal Les agressions sexuelles sont punies de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende (article 222-27 du Code pénal).Il existe un certain nombre de circonstances aggravantes (article 222-28 et suivants) qui peuvent porter les peines à 10 ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende.Des peines complémentaires sont prévues aux articles 222-44 et suivants du Code pénal.Les agressions sexuelles sont également considérées comme les circonstances aggravantes des tortures et actes de barbarie (article 222-3 du Code pénal). Elles seront alors punies de 20 ans de réclusion criminelle.La tentative est punissable : article 222-31 du code pénal. Les personnes morales peuvent être poursuivies pour cette infraction: article 131-39 du Code pénal" http://www.cabinetaci.com/droit-penal/droit-penal-special/les-infractions-sexuelles/les-agressions-sexuelles/
En quoi cela arrange-t-il les victimes dans le contexte des règles de droit françaises puisque cela ne met pas la pression financière sur l'agresseur pointé ?

Comme la fois précédente de déballage public, ayant remarqué quelques défauts de cuirasses, mal m'en prit d'oser partager publiquement mon avis circonstancié, engageant toutes à porter plainte. Surtout qu'après avoir lu des salves d'accusations plus ou moins anonymes, j'ai pu y constater que les proches des émettrices pour beaucoup d'entre elles pourraient les identifier, et qu'une fois le brouhaha éteint des célébrités, leurs agresseurs et leur entourage allaient leur chanter pouilles. Comment ne pas voir cette mise en danger d'elles-mêmes ?

Pourtant d'emblée, à la volée, dénigrée, jugée, violemment attaquée personnellement dans la minute par les touiteuses, écartant sans les examiner les conséquences invoquées, comme s'il était interdit de peser leur aventure que personne ne leur interdit, loin de là. Qui s'arroge le droit de se substituer à ma libre parole d'ex-victime et sans mandat d'aucune sorte et m'envoie aux pelotes à la première occase ?

La parole reste précieuse, et il faut parler à bon escient. Au bon moment, après c'est trop tard. Crier sur la place publique, comme ce fût fait déjà, permettrait que les agresseurs soient arrêtés et que l'on soit mieux entendues ? Il semble que cela n'ait jamais été le cas. Voilà donc mes remarques de bécarre aux dièses.


MAJ août 2018 - "Actionnite"  - Chacun fait ce qu'il peu, à son niveau, et avec ce qu'il a mais cela ne pourrait être efficace que dans un minimum de respect de chaque type d'action même lorsque l'on n'en voit pas ou en critique la portée. L'activisme situationniste a ses limites, principalement celle de se retourner généralement contre la cause des victimes elles-mêmes. Tout principe bafoué, fragilisé, se retournera contre les femmes et les féministes en premier, dont la réputation prendra un coup de grisou.  An N.Y.U. Sexual-Harassment Case Has Spurred a Necessary Conversation About #MeToo By Masha Gessen August 25, 2018 https://www.newyorker.com/news/our-columnists/an-nyu-sexual-harassment-case-has-spurred-a-necessary-conversation-about-metoo

  • Partant de ma réaction première sans acrimonie devant le taggisme montant-
  • "14 octobre, 23:01 PORTEZ PLAINTE ! Ne vous exposez pas aux poursuites mais poursuivez les - Allez les vedettes, relevez l'honneur - Hardi les "huronnes"*.  C'est le moment de parler à la Police, ne laissez pas tout seul ce pauvre Harvey, le Néron des producteurs, puisque tout le monde dit que c'est la norme dans le cinéma. Ces hommes sont pleinement responsables et doivent répondre de leurs actes féminicides, comme tout citoyen qui menace, tripote, harcèle ou viole, puis menace et pervertit par un dédommagement pour parfaire le forfait et bâillonner ! C'est le moment de tous les nommer : Exposez les et ne vous surexposez plus ! Sinon attendant que l'un concentre l'attention, les autres se tiennent coits mais dès qu'oubliée la tourmente, vous allez de nouveau vous les coltiner. Parlez, cherchez des preuves, des lettres, des journaux intimes, tout peut être retenu dans les faisceaux de présomption, les petites Françaises ne vont pas laisser seules les Américaines ? Que le terme solidarité ne soit pas vain mot. Constituez une association, faites une class action, bon sang, les nanas, c'est le moment. Le Procureur de New York n'avait pas assez de preuves, alors que tout le parti démocrate lui mangeait dans la main ; allons donc ? Qui donc n'a pas été corrompu par les donations du proxénète ?Ce n'est pas le tout d'éclabousser de son surnom de "pig" de la Croisette... Et puisqu'il parait, on veut nous le faire croire, que vous êtes des salopes vénales, allez y, rincez-le, faites-vous dédommager pendant qu'ils ont encore de l'oseille !C'est le moment, ne le laissez pas s'évaporer sous ses protestations de pathologie et ses excuses de construits sociaux, lui comme les autres !Et que le morceau de bravoure du journaliste qui a enfin craché le pépin ne soit pas peine perdue ! Fils de Mia Farrow et de Franck Sinatra, un enfant de la balle qui en a. Et, pour parler, certaines ont parlé mais qui a écouté ? Qui ne savait pas en fait ? Florence Darel l'explique fort bien, elle qui parla sans fard. C'est bien beau de se mettre en danger, elles se font plaisir mais en fait ça noie le goret et son escorte de poissons volants- il faut aller au-delà ! Ne pas se contenter de cette bulle de colère, portez plainte ! *"huronnes", anagramme de "honneur" Illustration - Johannie Picard Légaré[9]" [7] [8] 
    "14 octobre, 16:58 ·NOUS TOUTES - Pas été harcelée au travail. En gros en soixantaine d'années, je n'ai été confrontée au harcèlement sexuel qu'en tous autres lieux qu'au boulot. Surement d'avoir passé beaucoup de temps au chômage - Mais au boulot, cela a été le harcèlement syndical... Du coup, ils ont fini à force par me convaincre de la gynolyse* ambiante sécrétée par le système anthropologique patriarcal - Non je n'ai  rien à régler avec mon paternel, c'est juste que la main mise (toujours où il ne faut pas) virile et phallocrate a modelé les sociétés, même celles dites matrilinéaires et uxorilocales-  Illustration - Mains négatives" 
    "Mains négatives incomplètes dans la « grotte des mains mutilées »."[Ill. 1] Grotte de Gargas[5]

    L'on sait déterminer lorsque de mains féminines il s'agit au moyen de l'indice de Manning. Sont-elles d'enfants, est-ce des décomptes, des signes d'orientationn avertissement de sanctions ?[6]

    • Maintenant venons au corps des pratiques de dénonciation cyberactive qui ne sont que la resucée des « tambours » florentins et de qui à l’état moderne les ont initiées ?  
    Les pig data ne sont pas non plus tenues secrètes, loin de là, et l'on comprend que les journalistes soient furieux que les récidives du producteur soient gardées sous le boisseau et sucrées leurs fouilles et investigations ! Il n'en reste pas moins qu'elles entraînent légèrement les victimes s'exposant sur le rézoo, agresseurs jubilant.[3]

    Le préjudice sera contre les victimes de tout déballer en vrac. Il faut absolument garder le sens des degrés dans la qualification des agressions, de verbales à physiques, d'insignifiantes à criminelles. Il n'est pas question de mourir d'une phrase, s'en exciter et s'en venger, non plus.

    Dire cela serait antiféministe ? Ce serait tout de même un comble de devoir s'excuser des confusions, incompréhensions, quiproquos et malentendus que font d'eux mêmes certains lecteurs à coup d'extrapolations biaisées.

    La limite du harcèlement, le délit et le crime - Petite annonce, la seule faite à celles qui pignochent avec leur fourchettes dans la purée, en disant que le harcèlement, les pauvres, savent pas ce que c'est et pas cap' de comprendre la différence et baisses de niveau. C'est marrant, mais les types qui clignent de l'oeil lourdement et se la jouent sifflotis graveleux, ou autres pressions en privé ou en public, doivent bien se douter de sa définition, puisqu'ils fileraient allègrement des beignes (à ne pas confondre avec les beignets à la confiture de patates), baffes, mandales à ceux concurrents qui feraient le coup à leur mère, soeur, etc ? 
    Et ne me faites pas dire ce que je ne dis jamais, il s'agit juste d'une sorte de baromètre, un indice, hors de question de demander quelque avis que ce soit aux hommes, aussi proches soient-ils, pour conduire ma vie. Voilà, cela, c'est calé, une bonne fois pour toutes. 

    Paru dans une feuille de chou qui soutenait la méklaterie, dont le responsable n'a jamais été inquiété pour son soutien et complicité aux touites concernant des agressions, harcèlements sexuels et viols féminicides punissables à plusieurs titres, selon la loi française, l'article cependant s'étonne "innocemment" du nombre de harcèlements ?
    "Créé il y a une dizaine d'années par l'activiste afro-américaine Tarana Burke, le mot d'ordre par lequel les internautes déclarent publiquement avoir été victimes de violences sexuelles a été réactivé dans le sillage de l'affaire Harvey Weinstein, producteur américain accusé de harcèlement et d'agression par de nombreuses actrices."[4]
    • 10  octobre 2017 - Sandra Muller, journaliste, balançait publiquement 
    Le malséant s'était excusé derechef, et s'excusa publiquement à nouveau. A savoir que "balancer quelqu'un" n'a jamais eu qu'une signification en jargon délinquant de "donner" discrètement aux services policiers un autre malfaiteur. De même, la plainte garde, tant que l'instruction n'est pas terminée, une obligation en discrétion aux fins de présomption d'innocence. Ce sont des principes de droit qui bénéficient à toutes dans nos sociétés de Droit, vous serez bien aise qu'on les respecte pour vous.

    Insister sur la fourniture du nom ? Heureusement, que partie s'en sont retenues car cette exhortation irresponsable d'étancher sa soif de revanche portera grave préjudice aux victimes, ce dont manifestement, celle-ci n'a cure ? Le "balancé" en l'occurrence n'a pas tenté de se soustraire à la justice.

    Les noms ne sont pas toujours omis, surtout lorsque les victimes n'ont pas pleinement conscience que ce qu'elles dactylographient sur les plateformes ne restent pas dans leur salon, et que le voisin peut deviner, souvent les sobriquets des plaignantes sont bien connus ou finissent pas se savoir, déclenchant des réactions en chaine qui tsunamisent des vies anonymes de loin, à la différence des affaires de presse et de célébrités qui affichent de suite l'accusé.

    Se défendre, ce n'est certainement pas cela, et donc pourquoi ne s'être pas défendue alors, tout en main ? Un verre bien envoyé en pleine soirée, une bonne gueulante ou carrément une plainte direct ? Parceque là peut pas faire pire pour se faire refouler de toute embauche. A moins que ce soit préalable à demander aux prud'hommes des dommages pour limogeage qui ne serait pas sur les compétences ?

    Sandra Muller, "Tu as de gros seins. Tu es mon type de femme. Je vais te faire jouir toute la nuit" Eric Drion ex patron de Equidia #balancetonporc", 6:13 PM 13 oct 2017 Manhattan NY
    " (...) ancien directeur général d'Equidia, chaîne de télévision spécialisée dans le monde du cheval, reconnaît avoir «tenu des propos déplacés» envers Sandra Muller, qui lui «plaisait», «lors d'un cocktail arrosé très tard dans une soirée, mais à une seule reprise». «Je ne veux certainement pas me disculper de ma goujaterie d'alors. Je lui réitère ici mes excuses», écrit celui qui se présente désormais comme consultant."
    "(...) «les conséquences ne sont-elles pas disproportionnées?». Il cite des «insultes» à son égard ainsi qu'une «quasi-impossibilité de travailler» depuis ce 13 octobre. Le quinquagénaire estime qu'il s'agissait d'une «drague lourde» et pas d'un «harcèlement sexuel au boulot», arguant qu'il aurait «préféré que la balance de la justice tranche dans cette affaire». «Je réclame le droit à la vérité et à la nuance»"
    Sandra Muller @ LettreAudio, #balancetonporc !! toi aussi raconte en donnant le nom et les détails [d']un harcèl[em]ent sexuel que tu as connu dans ton boulot. Je vous attends.", 05:06, 13 oct. 2017, Manhattan, NY citée le 17/10/2017 dans les Inrocks, "J'ai libéré ma colère"
    Est-ce un propos féministe ou simplement citoyen, ni l'un, ni l'autre malheureusement de donner des noms (harcèlement sexuel au travail) sans souci du dégât social et légal... Comme quoi l'on peut se revendiquer de l'égalité des sexes en Droit (féminisme) mais ne pas faire propos féministe ?

    A-t-elle seulement essayé la plainte pour son ire débrider ? Ou juste la flemme d'aller au coroner du corner ? On ne le saura. Il suffirait de libérer sa colère qui buzzerait et tout s'arrangerait dix ans passés ? En de telles circonstances, peu de chance qu'avec ces circonstances et tant de retardement, quoi que ce soit aboutisse à sa convenance.

    Parole de meneuse de revue numérique. Lanceuse de hachetag, nouvelle spécialité en journalisme ? Bientôt des MOOC et olympiades sur le sujet de comment écrire quatre lignes et un signe typographique.

    De plus, en statistiques, démographiquement, quel que soit le nombre de suiveuses sur tous les dièses émergents, cela ne peut être que défavorable concernant pour le moins deux générations (en sciences humaines, comptez trente ans l'une), la démographie de quasiment deux continents, et tout l'éventail de l'agression sexuelle, qu'elle soit bénigne, verbale, ou tortures et récidives... 
    • Deux jours après le 13 octobre 2017, où S. Muller balançait E. Drion après l'affaire Weinstein, Alyssa Milano d'Hollywood touite, plus individualiste et plus cour d'école, la formule qui ramène la couverture à soi jouant du "moi aussi", variations diverses apparues, comme de bien entendu...
    "Si vous avez été harcelée ou agressée sexuellement, écrivez "mee too" en répondant à ce touite" -  If you’ve been sexually harassed or assaulted write ‘me too’ as a reply to this tweet. pic.twitter.com/k2oeCiUf9n — Alyssa Milano (@Alyssa_Milano) 15 octobre 2017 Tweet [Ill. 3a-b] 
    Ici, nous allons vous donner exemple de pourquoi en ethnologie ou autre discipline humaine et sociale, il est fondamental de tracer méthodiquement et chronologiquement, tout d'abord, qui est à l'initiative de l'opération, du phénomène, comme nous venons de le faire et sur lequel se penche une agrégée d'histoire,
    "En plus d'être insultant à l'endroit du cochon, un animal très intelligent , le hashtag #balancetonporc a selon son initiatrice Sandra Muller sur LCI , été conçu parce qu'il était « vulgaire donc populaire », une perception du peuple qui devrait nous laisser songeurs. Présenté comme novateur, le procédé est en réalité déjà usé, précédé par le Tumbl Projet Crocodiles qui dépeint sans distinction tous les hommes comme des crocodiles harceleurs, ou plus amusant, Paye ta Shnek qui recense des faits et gestes graveleux et vomitifs à l'endroit des femmes. Pas plus que le grossier #balancetonporc, ils n'ont fait reculer le vrai harcèlement, qui procède d'une vision de la femme et non d'une pulsion. Sauf à confondre le magazine Elle avec la réalité, comment croire que la brusque levée de l'omerta dans les villas de la Côte d'Azur et de Hollywood puisse être de nature à transformer les rapports de force réels au travail et au foyer, ceux dont les femmes normales et simples sont quotidiennement victime"[4a]
    2018, loi annoncée pour juste créer une amende de rue, un procès verbal ? Ah oui on ne savait pas, la parole n'était pas libérée - Mais l'on s'est pourtant méklaté chez l'inrocks l'année dernière et colognoté l'année d'avant déjà ? Et pajolades, la suivante !? Harceler les journalistes et toutes les autres, sont-ils poursuivis et leur soue avec ? L'on ne savait pas ![4b] Le harcèlement sexuel précisément condamné en 2012 [4c] [Harcèlement sexiste numérique et autres pigeries]
    "Le cyber-harcèlement est puni par la loi, au même titre que le harcèlement classique. L'article 222-33-2 du Code pénal de la législation française stipule que ..."[4d]
    Jury populacier n’est pas jury populaire, les bourgeoises américaines n’ont probablement ni compris ni même lu l’esprit des lois du Droit français ? D'ailleurs, tout le monde à sa curée pourtant plus complet et synthétique que l'anglo saxon malgré son mille feuilles de jurisprudences qui s'emmêlent les pinceaux.

    Ce ne sont pas les dièses machin chose ou trucmuche qui gênent, ce sont ces activismes ad hoc qui tentent de récupérer et manipuler les incessantes montées de fièvre propres à créer du tous pourris. Avec à l’appui des « Un mal pour un bien » et « La fin justifie les moyens ». Tous ces adages populaires dont on se sert aux coins de rue pour faire passer la pilule d’ignominies.

    Gazouillis devenu "tambusi", Tweeter devient tambour ? Vieux procédés et poisons moisis. Alors que les lois existent en suffisance et qu'il faut en leur nom porter plainte, les BAL du rézoo deviennent "bouche à dénonciation" à l'italienne, bouche d'égout que Léonard de Vinci se prit dans la figure. Ce n'est rien de nouveau, cela se faisait à Florence et bien vite les noms sortaient de la bouche... Laissant des traces indélébiles qui passent même les siècles. - Lorsqu'elles sont malfaisantes peuvent freiner et briser des personnes innocentes. C'est un risque qui ne se prend pas en civilisation humaniste.[11]

    [Ill. 4a] Masque de la vérité 
    Sous le portique de Santa Maria à Cosmedin construite sur le site de la guillotine romaine
    "Le 9 avril 1476, une dénonciation anonyme fut déposée auprès des « Officiers de la Nuit et des Monastères ». Elle était contenue dans un billet placé dans le « tambour » ou « buchi della Verità » que la Seigneurie de Florence avait placé près du Palazzo Vecchio pour recueillir ce type de dénonciation."[12]
    Bouche du Palais des Doges, Venise, pour dénonciations fiscales
    "Dénonciations secrètes contre toute personne qui dissimule des faveurs ou des services, ou qui cherche à cacher ses vrais revenus" http://www.gazettedenadine.com/archives/2013/05/20/27189694.html[Ill. 4]
    Balayée toute réserve démocratique de risque pour les plus fragiles, d’erreurs, d’injustices, de lynchage et de rumeurs… Souvenons nous de la difficulté à se taire à bon escient, à garder intimes les détails salaces infligés par des féminicides ! Aucun retour en arrière ne serait tolérable, ce qu'on ne disait pas il y a quarante ans, cela fait quelques années, qu'on se le permet allègrement. Bien évidemment, rien n'est pour intimer le silence mais comment, quand et à qui s'adresser.

    A présent que les voyeurs se sont bien rincés l’œil, qu’ils ont du matériel pour l’hiver, que les élites se sont époustouflées avec condescendance de l’instinct vital des victimes à jamais qui déballent leurs souvenirs pour réclamer que justice soit faite, toujours, les silencieuses, les discrètes, les mesurées que l’on ferait passer pour de vilaines lâcheuses, des molles, des imbéciles, et les autres triées sur le volet pour les "bons" activistes ?

    Ceux qui ne sont jamais allés accompagner de leur vie entière, toute entière, une femme au commissariat actuellement pour savoir comment cela s'y passe ou bien pour pouvoir protéger la victime mais savent mieux que tout le monde ce qui s'y passe ? 
    Ceux qui partent du principe que la parole d'une ex victime n'a pas à être écoutée et qui osent, alors qu'ils ne savent pas comment cela se passe aux Prud'hommes (Vous y êtes vous rendu une seule fois personnellement ? C'est dur, tout tribunal est difficile à vivre). Etre accusée de mauvaise foi, lorsque je maintiens que la honte des femmes révolue en Europe ?!

    C'est fou, je ne dois fréquenter que des femmes dignes et non honteuses, dont moi même, nous accuser d'être shootées, sous influence ? Pas de réel besoin que de soudains soutiens, qui ne semblaient que peu se préoccuper auparavant, nous distribuent des médailles de courage d'avoir parlé et permis des avancées conséquentes.
    • Les Conseils de Prud'hommes ne sont pas des bouches cannibales ! Il suffirait d'y aller plus souvent en s'y préparant correctement. Ah puis au fait, au contraire compte tenu de l'inversion de la charge de la preuve en droit du travail[12a], loin d'être aussi raide donc que ce que prétendent celles qui méprisent cette institution où elles feraient bien de siéger plus, au lieu de la laisser mourir parce que c'est censé être douloureux pour l'économie et les patrons... 
    Certes, il serait profitable que le lien de subordination soit levé et non pas l'imprescriptibilité invoquée.

    Avant le brame au caméra, vérification de chiffres qui sont propres à terroriser leur monde, à la louche, ce ne sont plus des statistiques mais des contre-exemples qui nous plombent,
    "ll faut savoir que 94% des femmes qui ont dénoncé leur patron ou leur employeur pour des faits de harcèlement perdent leur travail donc les conséquences sont payées aujourd'hui par les victimes et peu par les coupables", dénonçait ainsi Céline Picques, porte-parole d'Osez le féminisme, dimanche 15 octobre sur franceinfo. C'est faux. Ce chiffre vient de l'Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT) et sa directrice générale, Marilyn Baldeck, en réfute l'utilisation : "Ce n'est pas un chiffre qui a une valeur statistique", assure-t-elle. En effet, cette donnée ne concerna pas toutes les femmes. "C'est 95% des femmes qui saisissent l'AVFT qui perdent leur travail. Elles nous saisissent justement parce qu'elles sont sur le point de perdre leur travail (...) ou elles l'ont déjà perdu."[12b]
    Je dois indiquer que mes deux billets de données chiffrées ne sont pas faits pour y puiser n'importe comment. Une statistique certaine portant sur une qualification précise reste seule valable. Tout le reste sans vérifications et preuves ne sont que planche savonnées pour la cause de protection de l'intégrité et de la sûreté des filles et des femmes.

    Mes visites fréquentes en ces lieux au titre de Déléguée du Personnel (CE & CHSCT) pendant environ dix ans me permettent d'avoir une perspective de la matière et de signaler également que la Cour de Cassation a déjà admis un fait unique qui caractérise le harcèlement. Alors que sa définition est donnée en répétitivité.

    Au 1er janvier 2017, sur les incarcérations - Point chiffré à propos du grief fait par les hachtaggeuses, dont peu de hachtaggeurs, au système judiciaire de l'absence de constat et condamnations des violences masculines :
    • Population nationale, proportion de 51,5 % de sexe féminin-, sous écrou
    • pour viols et agressions sexuelles sur personne de sexe féminin ou masculin, 0,88 %
    • autres qualifications criminelles : 1 959 femmes, soit 3,3 % / 57 339 hommes

      Il ne se peut nier qu'une réflexion fine doit enfin absolument aboutir afin de trouver les causes de la présence écrasante d'un sexe et non pas de l'autre. Il se peut également comprendre que quelle que soient les proportions, les quidams au quotidien refusent d'être assimilés d'office à violence sexiste potentielle de leur part.
    Aux diésistes qui avancent que le système serait "pourri" de par le principe de présomption d'innocence, il sera utile de rappeler le résultat de mener l'accusée à "la question" (préalable, en cours d'instruction), d'après celui de culpabilité : Est-ce vraiment ce renversement de situation que souhaiteraient ces mainades ? Et que le ministère public ne soit plus chargé de la preuve mais uniquement l'accusateur ?[12c]
    • On trie comme à ok corral ? Les ex-victimes qui dièsent à mort dans les campagne à la beurk érigées en modèles de bonne conduite, dont l'entourage va vite capter la source...
    Et personne qui ne craigne de blesser celles qui émettent des doutes ? Permis de culpabiliser sans frontière les secondes, pourtant rien d'indécent à ce qu'elles ne veuillent pas se plier au mot d'ordre pour faire suiveuse et passage de plats : Choisir entre ses victimes, comme on choisissait ses pauvres, celles qui peuvent se manifester et les autres qui doivent la boucler ? On leur oppose des chansons qu'il faudrait reprendre en choeur sans coeur, la honte doit changer de camp et libérer la parole. Pas le droit de refuser de chanter ? Et contraindre au silence en prime, ce n'est pas humiliant pour elles de ne pas être entendues ?

    Celles qui bien qu’elles aient subi ne ressentent pas le besoin de punir le monde entier, et elles-mêmes pour commencer ? Horreur et dame nation que j'ose contredire des idoles, comme Dworkin ou Davis ? Et derechef, l'on se fait parler avec mépris et détestation.

    Il faut porter plainte et faire fonctionner la Loi ! Sans cela, c'est la loi des boucs qui prévaut. Voilà, pas le choix. Pas de tambours florentins qui sont le retour à l'âge de pierre du droit religieux !

    On s'aperçoit que les plus coléreuses ne se sont jamais frottées à la Justice et ne savent pas même les cadeaux qui leur ont été faits par les militantes de longue haleine : Cela interdit d'oublier que les chemins ont été rudes, que l'on revient de loin et que dans nombre de pays, il n'en est pas même question... Voyez le travail de fond qui fût fait pour réduire enfin l'Epée de Damoclès des dénonciations calomnieuses qui tombaient à flot de toute condamnation non obtenue.


    Là où la preuve est inexistante ou difficile à servir, en harcèlement sexuel, crime de viol, toute chance que le teigneux veuille se venger... Les associations ont lutté dizaine d'années et les juristes féministes pour mener à bien la réforme aboutie enfin en 2010 qui effaça ce qui entraînait chantage et vengeance en plus :
     "La fausseté du fait dénoncé résulte nécessairement de la décision, devenue définitive, d'acquittement, de relaxe ou de non -lieu déclarant que la réalité du fait n'est pas établie ou que celui-ci n'est pas imputable à la personne dénoncée." (code pénal 226-10 al. 2)
    Comparaison n'est pas raison, ne pas ajouter au confusionnisme ambiant. Non aux nostalgies passéistes, la France pour mille raisons n'a rien à voir avec l'histoire politique des Etats-Unis et leurs intellectuels post modernistes n'ont pas à nous dicter insidieusement de détruire notre droit fort abouti déjà, ne leur en déplaise.

    Rappelons tout de même que les gosses qui se sont mises en danger, Claudette Colvin pas assez clean remplacée en propagande par Rosa Parks ? Voilà ce que les grands théoriciens et stratèges des droits civiques font des filles qui se mettent en danger, s'exposent, s'imposent, ils les sacrifient d'un tour de main, toutes. Les messieurs des droits civiques, grands manitous, qui l'ont dézingué et ont laissé la nana pas assez classe pour eux de côté...  Quant aux grandes sachems américaines, comme les autres, elles peuvent se se tromper ! Et puis, pour information, nous ne vivons pas sous un régime légal de ségrégation, loin de là, pourquoi cette manie de vouloir calquer la logique américaine ici ? Voyez donc la première fille du bus historiquement :
    "En 1956, elle donna naissance à son fils Raymond qui était si pâle de peau (comme son père) que des gens l'accusèrent d'avoir un enfant blanc. Elle quitta l'Alabama pour New York en 1958 où elle travailla pendant 30 ans de nuit comme infirmière. Elle prit sa retraite en 2004."[13]
    Ce n est pas la première fois que les victimes sont sommées de parler dans l'arène à leurs risques et périls - La dernière fois aussi, c'est à qui s'ébourifferait que l'on ose critiquer l'argument - Résultat - les ex victimes non consentantes de cette mascarade (profils sous alias) dangereuse et impensée qui refusent de hurler avec les loups sont en butte à la violence verbale !? Et cela donne des leçons de Justice ?!

    Les conseilleurs ne sont pas les payeurs. De plus, lorsque l'on refuse ce que l'on (?) aurait décidé en notre place, l'on bascule coupable et complice ? De la même veine d'accuser inconsidérément de "prétextes bidons" et sophismes. Quels arguments puissants de retournement décrété unilatéralement par panneau de mème virilogique ?


    La moindre réserve nous ferait redevenir salope en chef car il paraîtrait que toute remarque, ou analyse critique, serait dite et propre à discréditer son mouvement de sortie de honte -c'est son problème, s'il se sent honteux et susceptible- ? Si l'opération était bien menée, charpentée et politiquement valable, viable, il me semble qu'elle serait inattaquable, tout simplement, et personne n'aurait à faire planer l'intimidation digne des procédés d'épuration. Déjà très virocentrée que cette incapacité à imaginer que des femmes ex victimes puissent penser des réserves et les argumenter ? Les  points évoqués pour refus seraient-ils insanes et leurs auteurs déraisonnables ?[13a]

    Seules celles qui leur attribuent des aigreurs d'âge ou des poussées moralistes devraient être entendues, les autres rabrouées ? Curieux que les sociologues expérimentées n'aient jamais réalisé avant que le phénomène frise le cent pour cent ?[13b]

    Posts et com' de mur public[Ill. 5a-b]


    Susciter la colère et la rage reste absurde. La caresser, la médailler, attise les rancoeurs. La vengeance, si tant est que la Justice puisse en être une, se mange froide. En plus que la projection statistique de l'action touitage est en train de dire le contraire des évaluations des associations... Les masculinistes l'ont déjà repéré.

    L'essentialisation des termes du débat les abjective* (rendre abject) d'autant avec des "prédation" en virgules qui tatouent la moitié de la population d'un statut de prédateur potentiel. C est exactement le point de vue religieux allant contre le darwinisme. Non aux bouches de lion ! Le "darwinisme social" (tout à l'envers du darwinisme) tente aussi de graver dans les têtes que l'être humain serait un prédateur, alors qu'il est notable à voir le nombre plus grand de paisibles individus qu'il reste malmené et mal gouverné.

    Des actrices lancent un dièse et tout le monde s'essouffle à courir derrière ? Tout le monde vous dit que toutes et tous au courant depuis trente ans- jusqu'au dièse "porc" réfère au surnom "le pig" de HW des années sur la Croisette... Informer de l'ampleur qui ?

    Aparté pour vous dire d'où vient l'argot démoniaque du suint[13c]

    - Me faisant insulter car je dis que ce sont les plus fragiles et les moins armées qui vont émettre des touites illégaux et qu'après on les ramassera à la petite cuiller... c'est déjà fait, quelques victimes supplémentaires...
    • Nouvel avertissement formel
    A la différence de certaines comme Henda Ayari qui peuvent se permettre une mise en personne publique (tout en prenant de gros risques qui ne se peuvent sous estimer), ayant déjà fait l'essentiel dans son livre de 2012 car le nom du précheur zobzobi jobard de son chapitre n'y était que secret de polichinelle, ne procédez jamais à des dénonciations hâtives et nominatives qui ne peuvent que vous valoir des poursuites cuisantes pour diffamation et calomnie.[13d]
    Cet exemple d'entrainement montre combien l'exemple des flèches enflammées du trait lapidaire, que toute une chacune doit absolument éviter, contient de force mimétique. Combien glisseront dans cette confusion, et des deux sexes. Et alors que l'on aurait espéré son sursaut du fait de nos prières à porter plainte mais non il est mis au crédit du dièse.

    Sans compter les quelques malversations inévitables (et pour réparer ensuite, tintin), les profils sont des alias, tout le monde dit à sa sauce et il faudrait tout prendre pour parole d'évangile. Du coup combien vont passer à la moulinette qui ne sont mouillés en rien ? Et toutes ne vivent pas dans de grandes villes anonymes... Savez vous que ce processus bien connu en Italie, où bien mis en musique par l'Eglise d'alors à Venise, Florence ou Rome.

    A propos de puritanisme ecclésiastique et d'épidémies psychiques qui firent justement suite à dénonciation de mauvais actes à Florence, une scansion s'annonce ? Ce n'est nullement dire que les victimes dénonçant seraient puritaines mais savoir de quel bois se chauffent ces dièses-là et autres chorales en tumblers.[13e]


    Dès que l'on oppose la plus petite divergence aux enthousiastes du dièse dénonciateur suint, sur la méthode, on se fait violemment prendre à partie et dénigrer - La colère d'avoir subi et de vouloir le crier publiquement n'excuse pas que l'on passe ses nerfs surtout sur des alliés et surtout avec de frêles arguments rabâchés, et sujets à caution car sortis après coup pour justification. Et culpabiliser toutes celles qui ne suivent pas au pas de charge ?.

    Et donc ce serait honnête de notre part de ne rien dire quand on voit du danger à cette méthode et ses rapides dévoiements - après tout le monde aurait beau jeu de crier que personne n'avait été prévenu ? Alors non je ne me tairais pas au risque de froisser des susceptibilités.

    • Tous les témoignages ne sont pas admis. Education, sens pédagogique ?
    Cela va-t-il contribuer réellement à l'instruction et l'éducation de nos enfants en bas et haut âge ?

    Sur des fils, ceux de parents désemparés agressés car ils témoignaient, des mères qui n'osaient plus rien dire, de ce que cette manifestation vindicative influençait les très jeunes hommes et leurs fils de façon à les désorganiser, inhiber, tétaniser pour leurs premiers rapports amoureux ou sexuels. Qu'avaient-ils osé là dire là !?


    Anonyme - Un pépé "fait marcher" un "bout de chou" - Campagne française, début du XXe siècle[Ill. 6]

    Quel sens raffiné de l'éducation de faire passer des éducateurs bienveillants et attentifs pour des moins que rien quand ils songent à instruire leurs fils en féminisme et de les insulter pour les faire taire ? 
    • Chasse et pêche
    Je vais dédier quelques instants à donner mes impressions sur un article qui considèrent que "Les victimes témoignent" (il n'a pas entendu les précédentes fois ?) et qu'il faudrait faire silence religieux, alors que ce n'est que partie. Et l'on y sous entend en titre que la chasse, en particulier sexuelle, ne serait que masculine ? Toujours dans le registre de la chasse prédatrice de violence éthologique des primates, cette thèse est harassante à plusieurs titres. 
    "Un hashtag qui permet à quelques femmes, des dizaines, des centaines, des milliers, de balancer leur porc, ou leurs porcs."[14]
    En tout cas, je sais ne pas être seule à être horrifiée par la déploration et mortifiée d'être plainte ainsi. Désolée mais cette tartine ne me met nullement baume au coeur. En plus que cela ne parle ni du présent, ni des lois actuelles, ni d'espoir. Comme si c'était irréversible ? Dépression et colère toujours mauvaises conseillères.

    L'illusion du "hashtag" qui permet quoi ? OO Cela ne permet rien du tout ! "Balancer", cela ne porte pas loin, le jet reste court et confinera au microcosme numérique à tourner en rond, après avoir fait quelques dégâts et combien de bienfait, lesquels d'ailleurs ?

    Que parler, cela fait du bien, que piquer sa colère, cela fait du bien ? Mais cela n'est nullement parler, il ne faut pas tout confondre, et la colère comme cela en l'air, cela met en cause quoi réellement ?

    On peut donc ranger le contexte cynogénétique tant aimé de certaines, au rayon mécanique du placard du pouvoir et de la domination qui serait si mâle (mais les hommes sont beaucoup plus que des primates mâles) car l'on connait plein de violeurs qui s'y croient, pouvoir et tout le bardas, et débandent comme des nouilles, pourtant qu'est ce qu'ils voudraient pouvoir... ce pouvoir, parait-il aphrodisiaque, mais souvent inhibiteur.

    Cela met minable celles qui ne savent pas ou ne peuvent pas parler, cela les culpabilise encore un peu plus dans le cas où elle le serait. 

    Celles qui relisent en boucle tous ces petits morceaux de vie plus atroces les uns que les autres, pour celles déjà dépressives, à peine réparées ou en convalescence, cela va les replonger dans le bain, c'est cela qu'on cherche ? Certaines qui ne l'étaient le deviennent.

    - On peut être insatisfaite de la justice rendue et cependant trouver malvenu le tagging.

    - On peut avoir trinqué, en avoir compris les méandres, les fosses et les impasses, et ne pas estimer cette méthode de campagne judicieuse !

    Cette phrase est terrible, quel piètre exemple, la jeune génération confinée à une culpabilité de ne pas être à la hauteur ? Pourvu, pourvu que non, ce serait trop bête et trop triste que nos fils soient réduits à cette extrémité, de morigéner leur pénis, leur phallus honteux, comme le fait ce pauvre Proust... Décidément, cela ne vaut rien de réagir à tout prix et à chaud.
    "Nous sommes, les mecs, coupables - La réponse, hélas, est: oui. Je suis coupable, nous sommes, les mecs, coupables. Certes, je n’ai pas commis d’agression sexuelle. Mais je sais qu’à maintes reprises je n’ai pas été à la hauteur.
    Flagellations publiques et résignations ? Cette autocritique grandiloquente me fiche plutôt les jetons qu'autre chose, bien que moi même j'aurais peut être apprécié que mes pères et mères soient un peu plus concernés. Finalement, cela m'a arrangé, j'en ai parlé à tout le monde, sauf à eux. Extériorisez, en effet, cela me parait de bonne résolution. En cercles restreints, entre quatre yeux, à rythme doux et répété.

    Les grands gémissements et cendres pour se barbouiller ? Pères qui n'ont pas réagi et mères qui ont courbé l'échine, coupables. Tout le monde coupable, tous des salauds. Culpabilité à tous les étages. Voilà on n'en finit plus, après l'on s'étonnera que les suicides progressent ?
    "J’ai trois filles et je sais qu’elles vivront cela." !?
    Absolument pas, Justin mon grand, si tu prends ton petit bâton de pélerin pour faire appliquer les lois déjà très fournies, mec, et que tu mets enfin ton bouton vigilance "on". Elles le vivraient à l'avenir, si elles étaient citoyennes d'un pays sans droits, sans aucune espèce de porte de sortie. La différence reste que l'on a même des fenêtres et des baies...

    Des jeunes gens, des jeunes filles, des gosses en cauchemardent, se croyant entourées d'agresseurs sexuels ? Les premiers voulant racheter les malversations du camp dans lequel les voilà assignés, désespérés. Cela m'atterre.

    Ne serait-ce pas plutôt que les "porcs" sont hyperactifs, du coup, ils font nombre de victimes ? Et que majorité des hommes sont de bonne foi, lorsqu'ils disent être corrects et bien élevés ? A savoir que pas mal d'hommes lorsqu'ils sont rabroués débandent.

    Revenons aussi à la pornographie, ministère de la propagande du système proxénète, qui fait admettre que totalement banalisée, et de plus en plus jeunes, les pratiques délictueuses et criminelles en les présentant comme des normes. On attend le dièse #BalanceTonProxo et #BalanceTonProxy.[2a]

    En fait, le manitou du Saintbois était les deux, cela aurait pu être #BalanceTonPorx
      --> Contre eux, les dernières lois sur le harcèlement datant de peu, de 2012 le harcèlement (toutes perfectibles mais déjà fort élaborées, voir leur liste en notes de bas de page), elles n'ont donc été que peu sollicitées et n'ont pas fait leurs preuves et là tout le monde laisse croire que personne avant ne s'est mobilisé ?

      Alors que féministes, juristes, législateurs y bossent dur depuis des années ? Mais non, les accusations continuent que rien ne se fait, tout est dysfonctionnement. 

      Les militantes qui prennent le hashtag en route, puisque ce n'est rien de pensé et d'organisé, d'analysé et de stratégique, pas même une tactique de leur part, et le soutiennent se rendent-elles compte qu'elles sont en train d'accréditer qu'elles n'auraient rien démerdé jusqu'ici ? Surfer sur la parole et la colère et mener où donc ?

      Alors qui a donc lancé et fait buzzer l'affaire ? Cui bono. Inconnue l'ampleur ? Ce serait le mot-clic qui l'aurait révélé. Pas assez de témoignages, d'articles, de sites, de livres, de films ? D'où sortent les chiffres que tout le monde fait tourner, de statistiques qui sont bien issues de tas de gens qui savent et basées sur des personnes qui ont porté plainte, qui ont parlé. Revenons-y, des données à profusion. Mal équarries, parfois inexistantes, comme, par exemple, toutes les mutilations sexuelles féminicides médicales d'excisions, nymphoplasties, hyménoplasties, réinfibulations exécutés en cliniques québecoises par des professionnels nord américains -tranquillisez-vous, rien de clandestin :( 

      On m'en a félicité mais pas une donnée nouvelle depuis qu'ouvert ma pascaline en 2011 que l'on m'ait aidé à stocker ou analyser... voilà j'en attendais des témoignages, du constructif, mais rien... du coup, de trop de travail, j'ai laissé voguer à vau-l'eau le billet de la pascaline... qui est tout sens dessus dessous. Pas un commentaire pour donner du concret en six ans. Catégorie pour permettre de vraies stats, "féminicides", pas le truc pour faire joli, manifs et clics, non le truc d'analyse... pas de nouvelles chutttttt juste des récups tronquées qui ne serviront qu'à peanuts.


      - Justification du clickage. Oui mais des plaintes pour viols à condamnation, seulement 4 % aboutissent... En effet, la preuve est très difficile et ce en toutes les affaires criminelles, pas que pour les femmes d'ailleurs, ni pour les crimes sexistes, donc certains féminicides. On n'entrera pas ici dans l'examen détaillée des raisons. Les histoires exemplairement affreuses qui révoltent les associations, qui sont contées à titre de raison de colère cachent aussi des issues plus sereines.

      Heureusement pour elles et nous toutes aussi car je ne vous souhaite pas d'être soupçonnées dans les pays où la preuve n'est pas strictement recherchée, vous verriez ce qui vous tomberait dessus les premières.


      On ne savait pas ? Pourtant Artemisia et son procès, pourtant Timoclée faisant justice elle-même et son jugement - Veut-on revenir aux temps d'Alexandre le Macédonien qui la gracia du meurtre du violeur ? Nouvelles timoclées toujours usant de l'antique vertu de vengeance, toutes adoubées par les pères antiques ?

      Elisabeth Sirani, Timoclea, 1659[Ill. 7]
      • Il n'a jamais été question que quiconque arrête d'améliorer les lois.
      L'arsenal en est déjà important, les juges sont déjà très attentifs quoi qu'il en soit dit et les avocats ne sont pas tous véreux. Voir note de bas de page des lois de rétablissement de l'égalité des sexes par des élus puis par des législatrices féministes égalemement.

      Tout de même tenter de détruire la réputation du système dont on attend tout et son contraire, reconnaissance, dédommagements, réparations, comme s'il pouvait tout, c'est fortiche... Traiter les gens de pourris et de dégénérés incapables ou le sous entendre, c'est sur cela va aider nos alliés judiciaires (et ils sont nombreux) ou créer des tensions et des freins ?

      Bien évidemment qu'il est difficile de se décider à parler bien évidemment et à contacter le Défenseur des Droits- On imagine donc que toutes celles qui l'auraient fait en ont été boulées ?


      [15] Assistance de l'institution du Défenseur des Droits

      Sexisme d'état ? Peut-être pas. Toutes les juges, notre sexe étant majoritaire en magistrature, seraient-elles sexistes, misogynes et aliénées et ne jugeraient aveuglément que selon une justice "pourrie" vendue au "patriarcat" (oppression par les pères mise en parallèle de l'oppression des patrons, en la disant essentielle et antécédante) ainsi que l'institution défenderesse des droits ? 

      La plupart des témoignages de divan public, lorsque vous leur demandez si elles ont tenté de porter plainte, pas de réponse (mais la rumeur dit que... et hop surgissent les pourcentages, sous entendu pas la peine de porter plainte) - alors d'accord, soyons cohérentes, que veulent-elles ? Etre écoutées, c'est faux, puisque lorsque l'on écoute et que l'on pose des questions précises, tout est sujet quoi que l'on pose à se faire rabrouer, et illico bouler.

      Quant aux témoins, ils seraient plus avisés d'accepter de témoigner au bon moment et non pas simplement à l'IFOP.


      Une campagne de responsabilisation civique en vue de témoignages et une protection accrue des témoins devraient se mettre en place car eux aussi craignent la porte !

      Les témoins ne sont connus et ne peuvent être approchés et sondés que s'ils ont accepté, malheureusement très peu de collègues avec le document cerfa (ce qui n'est pas formellement rédigé est rejeté comme présomption de preuve) que peuvent utiliser les victimes. C'est un cercle vicieux dès lors que les personnes approchées ne veulent pas témoigner à la demande de la harcelée, la nouvelle se répand et deviner ce qui s'ensuit.

      1/5e de concernées - Si tout s'est bien passé, la statistique d'affaire réglée en interne par les IRP, élus ou désignés, n'est donnée nulle part (ce serait pourtant utile), l'on ne possède qu'un sondage concernant les affaires non résolues. Mais quelle est la proportion d'affaires bien terminées ?

      Affaires de harcèlement non réglées qui se sont transformées en litiges - Les conséquences
      https://www.defenseurdesdroits.fr/fr/publications/etudes/enquete-sur-le-harcelement-sexuel-au-travail

      Les dièses introduisant des noms entraînent directement toute tweeteuses à twister sous la condamnation de diffamation. C'est juste automatique, il faut prévenir que sans une condamnation pour agression, toute prévenue est présumée innocente.

      Ce sont bien des cachots du Droit en avalanche devraient être interdits par les pouvoirs publics en place d'être tus ou relayés religieusement entérinant des risques conséquents de délation et de rumeurs assassines.


      On sait tout de même bien comment la rumeur sourd et se développe, voilà maintenant on a la preuve d'un des triggers. Les sociétés modernes qui se piquent de développement ne peuvent se contenter de spontanéisme, émotivisme et dolorisme en place d'ordre public. Le statut de victime ne peut pas être divinisé, intouchable et illimité dans le temps, on ne peut rester mater et filia dolorosa ad vitam aeternam, ce serait condamner les victimes au purgatoire éternel.

      La juste mesure, c'est surtout libérer les victimes de leur agression, pas les y enfoncer, juste pour faire monter le score lectoral* (m/traduction de "putaclic").

      Comme dit plus haut parole libératrice du développement personnel, "dépassez-vous" en normes de séminaires de management, reliquats de philosophie du new age, autodésignation qui font oublier l'agresseur. Une victime n'est pas en bonne compagnie publique, la parole est précieuse et on ne la dispense pas au tout venant. Tout est dans le choix de la personne à qui l'on parle. Twitter n'est pas une personne. Ne prenez pas de risques inconsidérés.

      Prêtez donc plutôt attention aux associations que le Droit et la France insupporte… En fait, en lisant tous les communiqués de l'association on voit que tout le monde écrit dans le vide sans avoir vérifié les textes votés par l'Assemblée et qui constituent le code pénal sur ces sujets ? Mine de rien religieusement, remettent en lice la conception raciste du monde, les Blancs, race honnie à punir et toute leur descendance maudire ? Curieusement ce sont les mêmes inclusivistes que celle qui lança le lâche tag. Quelques bonnes remarques techniques y surnagent mais, au milieu, malheureusement un triste paragraphe raciste  

      Vouloir protéger des agresseurs féminicides au motif qu'ils seraient racialemement identifiables hormis d'être xénophobes d'ôter dignité et responsabilité de citoyenneté, c'est les dépouiller ces hommes qu'elles accusent et en même temps les exclure du bénéfice de citoyen entier ! C'est les voler et les défavoriser ! Au fond, elles ne les aiment pas, alternativement leur sortent la tête hors de l'eau et les replongent dans le bain. "Misandrie de Stockholm" ? Comme quoi, l'on peut se demander à qui va servir cette campagne des bémols.[15]


      La boule de neige a trop de cailloux dedans, pas envie qu’elle nous retombe sur le crâne. A part faire des couilles en or aux proprios des rézoo, vous avez réussi quoi là, à part planter les projections statistiques des féminicides ? Rappelons à ceux extasiés à y voir une avalanche, que l ’on doit rapporter aux chiffres généraux,et étalés sur les cohortes concernées, soixante ans environ, soit deux générations.[16]

      Des cinq ou six cents mille messages qui seront émis, million peut-être -ce qui est maigre au regard de la réelle ampleur des féminicides- des gens de toutes sortes vont piocher, jouer au déballage, à l'analyste social, tirer des conclusions hâtives de tous ordres, faire leur propre buzz... Et la roue va tourner vers une autre marronnier.

      Andronée* numérique (les réseaux ne seraient-ils peuplés que d'hommes ?)

      Projections de pourcentage à faire à partir d'une base de 600 000 dièses, par exemple ? Sur environ deux générations (2 x 33 ans). C'est donc peu, finalement.
      Aux orties, citoyennes. Liberté, égalité, sodalité !
      "Si vous devez "balancer votre porc", c'est par une association de sorte à accumuler la documentation et donc les preuves pour porter plainte et soutenir les victimes- qui n'ont pas à être publiquement exposées-, et éventuellement organiser un projet politique pour le porter aux médias... "
      Qui, du coup, se voyant accuser d'être une bourreau (j'ai hésité à féminiser en bourrelle car on la pourrait confondre en épouse) a expliqué plus avant sa perspective et se retire de facebook de désolation d'être elle-même lynchée.[13a]

      Les extrapolations vont bon train alors que l’on veut des statistiques exactes et non pas cachées au fin fond des rapports d’analyses de la délinquance et du crime.

      Je, souris, de voir les points milieu adoptés par les Décodeurs pour faire féministe.[14]

      Pour cela, un seul moyen que les féminicides et toutes leurs catégories soient appelées en droit clairement, comme demandé par le statut exigé par nos soins.[15]

      Ayant commencé par le règne animal, l'angélisme et la misanthropie n'étant pas de mise non plus, l'on peut vérifier que la sexualité des dauphins ne passent pas non plus comme une lettre à la poste. L'espèce humaine n'est pas si unique que cela, assassine et violeuse.[17]


      Je serais brève avec l'aide d'Esope,
      "Le lion qui a eu peur d'une souris et le renard - Un lion dormait ; une souris courut tout le long de son corps. Le lion s’éveilla et se tourna dans tous les sens, cherchant celui qui l’avait affronté. Un renard, le voyant faire, le gourmanda d’avoir peur, lui lion, d’une souris. À quoi le lion répondit : « Ce n’est pas que j’aie eu peur de la souris, mais j’ai été surpris que quelqu’un ait osé courir sur le corps du lion endormi. » Cette fable montre que les hommes sensés ne dédaignent pas même les petites choses."**
      Continuons d'un trait de pastiche la fabulette grecque, ... Et... la lionne colère [le fabuliste un peu miro n'avait pas repéré de qui il s'agissait en pénombres épaisses], hors d'elle noyée dans sa rage, la patte s'étant mordue. Sur trois réparties, toute endolorie "s'arracha." Dans une brouette, cachant son infortune, tous, de la gent est ratique, de grande joie se frottaient moustaches en rézoo. La colère est mauvaise conseillère, c'est toute la moralité qui s'en peut tirer."***

      Extrait de Félin en boîtes https://www.boredpanda.com/if-it-fits-i-sits-9/

      Je reviens signer mon calepin, j'avais complètement oublié. 

      Christine Gamita, Ph. D. ethnology
      ex-ingé SSII

      Post-scriptum - Je compte sur les très critiques intellectuelles littéraires de ne pas s'offusquer de mon style de prise de note ethnographique à la volée (un journal ethno est sans style ou bien d'un nouveau genre peu connu ?) et mon goût immodéré du troisième degré.

      • MAJ du 24 septembre 2019 concernant la condamnation de premier degré de l'émettrice 0 de #Balancetonporc et sa dénonciation publique nominative de l'outrage, attaquée au civil pour diffamation
      Explication juridique circonstanciée de la décision civile et des perspectives éventuelles. Cette affaire permet de préciser qu'est-ce que le harcèlement sexuel et comment il se juge. Verra-t-on la CEDH faire primer la liberté d'expression de bonne foi devant la protection de la présomption d'innocence ? https://www.maitre-eolas.fr/post/2019/09/25/La-condamnation-de-Sandra-Muller-dans-l-affaire-BalanceTonPorc

      Note de bas de page (en cours de correction)
        _______

      *Citation à partir de Jacques Rancière, "La nuit des prolétaires", 1981, p 117, Jeanne Deroin, journaliste, autodidacte..http://itinerairesdecitoyennete.org/journees/8_mars/portrait/Jeanne_Deroin.pdf

      *"huronnes", anagramme de "honneur" Illustration - Johannie Picard Légaré[9]" [7] [8] - cf. Ill. 0, plus bas en crédit d'illustrations

      ** Fables d'Ésope, Traduction d’Émile Chambry https://fr.wikisource.org/wiki/Fables_d%E2%80%99%C3%89sope/Le_Lion_qui_a_peur_d%E2%80%99une_souris_et_le_Renard

      *** - "Rézoo"* (je ne sais plus si je l'ai inventé ou si je l'ai emprunté) pour "réseaux sociaux"


      [1] L'antique "prostitution hospitalière" et son glissement par les ultralibéraux modernes qui tentent de la présenter comme un service, lorsque cela continue à constituer du servage - autocitation http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/11/amicale-proxene-et-feminicides.html

      [3] Big data - Données des féminicides en cartes sur données de diverses institutions et l'organisation Women stats https://t.co/ac2b3A9Wk7 #MeToo

      [4Article  Inrocks - Les chiffres effarants d'agressions sexuelles et des viols en France  

      [4aAnne-Sophie Letac, #BalanceTonPorc : ces femmes simples et normales pour lesquelles un hashtag vulgaire ne peut rien
      "...Pour l'agrégée d'histoire, ni l'indignation des actrices de Hollywood, ni un hashtag grossier ne feront reculer les violences à l'égard des femmes dans la vie de tous les jours. Ancienne élève de l'École normale supérieure et agrégée d'histoire, Anne-Sophie Letac enseigne la géopolitique en classes préparatoires au lycée Lavoisier à Parishttp://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/10/18/31003-20171018ARTFIG00245-balancetonporc-ces-femmes-simples-et-normales-pour-lesquelles-un-hastag-ne-peut-rien.php
      La bulle du cyberbullying... Harcèlement sexuel en veux tu en voilà, libre parole totale et soutiens nombreux http://susaufeminicides.blogspot.fr/2017/02/ecume-des-nuits.html

      [4b]  Le harcèlement sexuel précisément condamné en 2012 http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/05/feminicide-du-harcelement-sexuel-en-qpc.html

      [11] Le tambour, ou la bouche de lion, dans la biographie de Léonard de Vinci http://www.giovannidallorto.com/biografie/leonardo/denuncia.html

      [12] La dénonciation aux Offices dans le cas de Jacopo Saltarelli https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacopo_Saltarelli

      [12a] Magdalena TEKELY, Le particularisme des modes de preuve en droit du travail, Diplôme d'Etudes Approfondies de droit privé, 2001-2002 http://www.glose.org/mem010-htm.htm

      [12b] Les femmes perdent leur emploi quand elles portent plainte ? http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/le-vrai-du-faux-non-94-des-femmes-qui-ont-denonce-le-harcelement-sexuel-de-leur-patron-n-ont-pas-perdu-leur-travail_2401744.html

      [12c] La présomption d'innocence, socle du droit positif, et la charge de la preuve au Ministère public https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9somption_d%27innocence

      [13] Claudette Colvin, "la jumelle" mais précédant Rosa Parks, pourtant écartée ? citée ici http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/10/femmes-politiques-feministes.html

      [13a] 1°) Les bémols des conséquences thérapeutiques - Virginia Pele, Au sujet de #Balanceton porc libérer la parole qui libère https://etoilesdigitales.wordpress.com/2017/10/20/au-sujet-de-balancetonporc-liberer-la-parole-qui-libere/


      [13b] Les temps de la honte étant révolus depuis au moins les années 70, nous sommes nombreuses à ne plus baigner dans la honte, pour information. Quant aux statistiques, l'on en a déjà largement parlé par ailleurs. cf. Harcèlement sexuel : « Nous sommes si nombreuses que c’en est impressionnant »
      Dans une tribune au « Monde », la sociologue Irène Théry estime que le hashtag #balancetonporc est le signe que la honte a changé de camp. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/10/21/irene-thery-pour-une-nouvelle-civilite-sexuelle_5204044_3232.html
      (sans abonnement à aucun journal, j'espère me tromper sur mon impression de cet article dont je n'ai pu lire en entier le déroulé)

      [13c] L'invective au porc, anathème chrétien. Celle plus puritaine #MeToo qui a zappé le "porc" m'intriguait. La réponse se trouve peut être dans une fable contenue en bible ? Du fait de l'argot chrétien qui salit l'agresseur qui devait la froisser ? cf. Extrait de Nouveau Testament, Le troupeau de porcs in Évangile selon saint Luc 8, 27-39 - Contexte historique : Pays des Géraséniens, terre inconnue païenne, "repaire de l’impureté" pour les juifs, le porc y était alors impur et donc tabou. 
      "Un homme qui était possédé par des démons sortit de la ville à la rencontre de Jésus. Depuis longtemps il n'avait pas mis de vêtements ; il n'habitait pas dans une maison, mais dans les tombeaux. Voyant Jésus, il poussa des cris, tomba à ses pieds, et dit d'une voix forte : « Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu très-haut ? Je t'en prie, ne me fais pas souffrir. » En effet, Jésus commandait à l'esprit mauvais de sortir de cet homme. Car bien des fois l'esprit s'était emparé de lui. On le gardait attaché avec des chaînes et avec des fers aux pieds, mais il rompait ses liens et le démon l'entraînait vers les endroits déserts. Jésus lui demanda : « Quel est ton nom ? » L'homme répondit : « Légion », car beaucoup de démons étaient entrés en lui. Et ces démons suppliaient Jésus de ne pas leur ordonner de s'en aller dans l'abîme. Or, il y avait là un important troupeau de porcs, qui cherchaient leur nourriture sur la colline. Les démons supplièrent Jésus de leur permettre d'entrer dans ces porcs, et il le leur permit. Ils sortirent de l'homme et entrèrent dans les porcs. Du haut de la falaise, le troupeau se précipita dans le lac, et il s'y étouffa.  Les gardiens, voyant cela, prirent la fuite ; ils annoncèrent la nouvelle dans la ville et dans la campagne, et les gens sortirent pour voir ce qui s'était passé. Arrivés auprès de Jésus, ils trouvèrent assis à ses pieds l'homme que les démons avaient quitté, habillé et devenu raisonnable, et ils furent saisis de crainte." https://fr.wikipedia.org/wiki/Umm_Qeis
      [13dAsra Q. Nomani, #MeToo - Could this be the Harvey Weinstein of Islam ? An activist in France leveled rape allegations against the grandson of the founder of the Muslim Brotherhood on Friday  https://nytlive.nytimes.com/womenintheworld/2017/10/20/is-this-the-harvey-weinstein-of-conservative-islam/


      [14] Lorsqu'ex-victime, l'on se sent plutôt enfouie comme une patate par les sangliers, à être éthologisée comme la gazelle. Cf. Jean Marie Proust, Balance ton porc, chasse à l'homme ou chasse aux femmes http://www.slate.fr/story/152585/balance-ton-porc-chasse-lhomme-ou-chasse-aux-femme

      [15L'assistance de l'institution du Défenseur des Droits. https://www.defenseurdesdroits.fr/fr/
      La représentation nationale a bien travaillé. Où l'on voit qu'il est vain d'attaquer la France pour sexisme d'état, et que cela devient ridicule à lire la
      Chronologie des droits des femmes en France, particulièrement fournie ces dernières années, d'autant que des éléments en droit du travail également présents, faites y appel : "1907 : La loi accorde aux femmes mariées la libre disposition de leur salaire. - 1909 : Institution d’un congé de maternité de 8 semaines sans rupture de contrat mais sans traitement. - 1924 : Les programmes de l’enseignement secondaire ainsi que le baccalauréat deviennent identiques pour les filles et les garçons. - 1928 : Congé de maternité de deux mois à plein traitement pour toutes les salariées de la fonction publique. - 1936 : Premières femmes sous-secrétaires d’Etat. - 1938 : Suppression de l’incapacité civile des femmes. - 1944 : Ordonnance accordant le droit de vote et d’éligibilité aux femmes. - 1946 : Le principe de l’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines est désormais inscrit dans le préambule de la Constitution. - 1947 : Première femme nommée ministre (santé publique et population). - 1965 : Loi de réforme des régimes matrimoniaux qui autorise les femmes à exercer une profession sans autorisation maritale et à gérer leur biens propres. - 1967 : Loi Neuwirth qui autorise la contraception. - 1970 : Le congé maternité est indemnisé à 90% par l’Assurance maternité. Création d’un congé parental d’éducation et suppression de la notion de « chef de famille ». - 1972 : Le principe de l’égalité de rémunération entre les femmes et les hommes est inscrit dans la loi. - 1973 : La mère peut transmettre sa nationalité à son enfant légitime ou naturel - 1975 : Instauration du divorce par consentement mutuel. Obligation de la mixité scolaire. La loi Veil autorise l’IVG (interruption volontaire de grossesses) pour une période probatoire de 5 ans. - 1979 : Une nouvelle loi sur l’IVG rend définitive les dispositions de la loi de 1975. - 1981 : Loi sur le viol qui redéfinit l’agression sexuelle. - 1982 : IVG remboursé par la sécurité sociale. - 1983 : Loi Roudy sur l’égalité professionnelle. - 1985 : Le congé d’éducation parentale est ouvert à l’un ou l’autre des parents salariés. Loi relative à l’égalité des époux dans la gestion des biens de la famille et des enfants. - 1987 : Loi instituant l’autorité parentale conjointe pour les enfants naturels ou de divorcés. - 1990 : Autorisation de l’utilisation du RU 486, technique médicamenteuse de l’IVG. La Cour de cassation reconnaît le viol entre époux. - 1992 : Loi sanctionnant le harcèlement sexuel dans les relations de travail. 1993 : La loi dépénalise l’auto-avortement et crée le délit d’entrave à l’IVG. - 1995 : Création de l’Observatoire de la parité entre les femmes et les hommes. - 1999 : Modification des articles 3 et 4 de la Constitution pour introduire l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et aux fonctions électives. - 2000 : Loi de mise en oeuvre sur l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux. Loi relative à la contraception d’urgence qui ne la soumet plus à une prescription obligatoire. - 2001 : Loi Génisson sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes qui vise à développer le dialogue social sur ce sujet dans la branche et l’entreprise. Loi qui allonge le délai légal au recours à l’IVG de 10 à 12 semaines. Loi relative à la lutte contre les discriminations à l’emploi qui précise notamment le régime juridique de la preuve. - 2002 : Loi sur la transmission du patronyme qui autorise la transmission du nom de la mère ou du père ou des deux aux enfants. - 2004 : Loi relative au divorce : protection du conjoint victime de violence. 2006 : Loi sur l’égalité salariale entre les femmes et les hommes. Loi sur la prévention et la répression des violences au sein du couple. - 2007 : Loi sur l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives. - 2008 : Loi du 27 mai 2008 portant adaptation au droit communautaire dans le domaine de la lutte contre les discriminations : parmi les motifs, « maternité y compris congé maternité ». Modification de l’article 1er de la Constitution qui dispose désormais que « la loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales ». : Loi du 26 février 2008 facilitant l’égal accès des femmes et des hommes au mandat de conseiller général ... Loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 de modernisation des institutions de la Ve République : vers la parité dans les responsabilités professionnelles et sociales. L’article 1er de la Constitution est complété par un alinéa ainsi rédigé : « La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales. » - 2010 : Loi du 9 juillet 2010 relative aux violences faites spécifiquement aux femmes, aux violences au sein des couples et aux incidences de ces dernières sur les enfants, créée l’ordonnance de protection des victimes et la sanction de sa violation, le retrait total de l’autorité parentale pour les personnes condamnées comme auteur, co-auteur ou complice d’un crime sur la personne de l’autre parent et définit le délit de violence psychologique. La loi du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites prévoit la possibilité de partir en retraite sans décote à 65 ans au lieu de 67 pour un public ciblé. Conformément aux dispositions de l’article 99, les entreprises qui ne sont pas couvertes par un accord ou un plan d’action relatif à l’égalité professionnelle seront sanctionnées. - 2011 : La loi du 27 janvier 2011 relative à la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de surveillance et à l’égalité professionnelle prévoit que la proportion des membres du conseil d’administration ou de surveillance de chaque sexe ne peut pas être inférieure à 20% au terme d’un délai de 3 ans à compter de la promulgation de la loi ; puis de 40% dès le deuxième renouvellement du conseil à compter de la promulgation et dans un délai de 6 ans à compter de la promulgation de la loi. - 2012 : Décret n° 2012-1408 du 18 décembre 2012, relatif à la mise en œuvre des obligations des entreprises pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Ce décret renforcé le dispositif de pénalité qui pèse sur les entreprises ne respectant pas leurs obligations en matière d’égalité professionnelle. Ce décret, qui s’applique à toutes les entreprises de 50 salariés et plus, a fait l’objet d’une large concertation dans le cadre du Conseil supérieur de l’égalité professionnelle. Il renforce les exigences vis-à-vis des entreprises en augmentant le nombre de thèmes devant être traités dans la négociation ou dans les plans d’action. Il rend en particulier obligatoire celui de la rémunération. Par ailleurs, Les entreprises auront désormais l’obligation de déposer auprès des services de l’Etat leurs plans d’action. En outre, le décret introduit une primauté de la négociation sociale pour les entreprises de 300 salariés et plus qui ne pourront adopter de plan d’action unilatéral qu’en cas d’échec attesté des négociations. Loi n° 2012-954 du 6 août 2012 relative au harcèlement sexuel qui définit le harcèlement sexuel. Loi n°2012-347 du 12 mars 2012 relative à l’accès à l’emploi titulaire et à l’amélioration des conditions d’emploi des agents contractuels dans la fonction publique, à la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives à la fonction publique. Cette loi contient des dispositions relatives à l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, notamment l’instauration d’objectifs chiffrés à 40% de chaque sexe dans les nominations à venir aux emplois supérieurs, au sein des conseils d’administration et de surveillance ou les organes équivalents des Établissements publics, des conseils supérieurs, des commissions administratives paritaires, des jurys et des comités de sélection au plus tard d’ici 2018. - 2013 : Décret n° 2013-248 du 25 mars 2013 relatif à la participation des assurés prévue à l’article L.322-3 du code de la sécurité sociale pour les frais liés à une interruption volontaire de grossesse et à l’acquisition de contraceptifs par les mineures. Ce décret établit le remboursement à 100% du forfait IVG par l’Assurance maladie, ainsi que la gratuité des contraceptifs médicaux pour les mineures âgées de plus de 15 ans.Loi n° 2013-702 du 2 août 2013 relative à l’élection des sénateurs. Le scrutin de liste est de nouveau appliqué dans les départements qui élisent trois sénateurs ou plus, ce qui représente environ 73% des sièges. De plus, dans les communes de plus de 1 000 habitant-e-s, les conseils municipaux élisent un certain nombre de délégués qui iront siéger au collège électoral qui élit les sénateurs. Désormais, les listes devront être composées alternativement d’un candidat de chaque sexe. Loi n° 2013-660 du 22 juillet 2013 relative à l’enseignement supérieur et à la recherche. La loi prévoit la parité en proposant une alternance femmes-hommes des listes électorales et des nominations aux instances de gouvernance des établissements d’enseignement supérieur et de recherche. Loi n° 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l’élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral. La loi réforme le scrutin pour l’élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifie le calendrier électoral (...) se font au scrutin binominal : sur chaque canton doit se présenter un binôme femme-homme. De fait, le nombre de cantons a été divisé par deux. Les exécutifs départementaux sont eux aussi soumis à une exigence paritaire. - 2014 : Loi organique du 14 février 2014 interdisant le cumul de fonctions exécutives locales avec le mandat de député ou de sénateur et loi du 14 février 2014 interdisant le cumul de fonctions exécutives locales avec le mandat de représentant au Parlement européen. (...) Cette loi constitue une opportunité de renouveler le personnel politique et donne l’occasion aux partis politiques de favoriser une meilleure représentation des femmes. Loi du 4 août 2014 pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, vise à combattre les inégalités entre hommes et femmes dans les sphères privées, professionnelle et publique. http://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/dossiers/actions-dispositifs-interministeriels/chronologie-des-dispositions-en-faveur-de-legalite-des-femmes-et-des-hommes/
      [15] L'association péricultuelle musulmane Lallab opposée à la loi contre le harcèlement sexuel au motif que cela pénaliserait les ouvriers, les clandestins, les demandeurs d'asile, les banlieusards, les étrangers, les migrants économiques. http://www.lallab.org/8-raisons-de-sopposer-a-la-penalisation-du-harcelement-de-rue/

      [16] Nombre de touiteuses en France. https://www.tiz.fr/utilisateurs-reseaux-sociaux-france-monde/

      [14] Histoire de s'afficher afro féministes, intersectionnels, les Décodeurs d'écrire allègrement en inclusivisme qui s'efforce de casser de la langue française ? http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/10/18/les-violences-sexuelles-touchent-plusieurs-millions-de-femmes-en-france_5202391_4355770.html

      [15] Ma demande pendante de "Statut des féminicides" http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html

      [17] Loïc Mangin, Moi, le gentil dauphin, drogué, pervers, Scilogs, 10.01.2014  www.scilogs.fr/best-of-bestioles/moi-le-gentil-dauphin-drogue-pervers/
      • Crédit d'illustrations
      [Ill. 1] Photographie trouvée sur http://andicha.com/historique/

      Pour mémoire- Les tribus huronnes, wendats, étaient alliées des trappeurs français, les unions mixtes furent nombreuses, ainsi les Québecois, suite à la grande déportation par les Anglais, en sont issus- Ils furent quasiment décimés par les Iroquois - On parle parfois de 'génocide wendat'. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/genocides-au-xxeme-siecle.html

      [Ill. 2] cf.[5"Mains négatives incomplètes dans la "grotte des mains mutilées "" https://fr.wikipedia.org/wiki/Main_n%C3%A9gative

      [Ill. 3a-b] Extrait - Premier touite émis par la journaliste Sandra Muller, à partir de Manhattan http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/12/30/01016-20171230ARTFIG00076-balancetonporc-le-premier-homme-vise-s-excuse.php

      [Ill. 4] Masque de la vérité - Légende romaine - Ce masque en pierre pouvait révéler vérité ou mensonge - Cette croyance, répandue au Moyen âge, affirme que le masque mange les doigts des menteurs - En réalité, dans l'Antiquité il s'agissait d'une plaque d'égout - Bas relief sous le portique de Santa Maria à Cosmedin construite sur le site de la guillotine romaine 

      [Ill. 7] "Juste vengeance" : Timoclée balance au puits le Thrace violeur au sac de ThèbesElisabeth Sirani, Timoclée, 
      1659 painting by Elisabetta Sirani (adapting Merian's engraving); Timoclea pushing the Thracian captain who raped her into a well. http://arts.mythologica.fr/artist-s/sirani.htm
      Nous la connaissons grâce à Plutarque, Mulierum virtutes, qui en fait l'illustration des femmes de vertu, qui savent exercer les valeurs viriles, en l'occurrence celle de vengeance, qu'Alexandre reconnaîtra en l'épargnant. https://en.wikipedia.org/wiki/Timoclea

      A 27 ans, tuée par les pigments verts à l'arsenic. https://fr.wikipedia.org/wiki/Elisabetta_Sirani

      Commons Media © http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/be/ - L121-1,‘ L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible."Pour citer cette ressource, mentionner votre date de consultation sous la forme (consulté le x … 20…) Auteur : Christine Gamita Droits d'auteur et de base de données numérique : Creative Commons by-nc-sa 3.0 FR - Tout usage toile ou papier hors ce cadre sera passible de poursuites - Reproduction autorisée à condition de citer les liens © Copyright- Toute citation de cet article doit être de contexte, précise, avec date de version, blog "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr le lien exact du document & id. en cas d'usage du logotype montage photographique "Eradication des féminicides - Larmes de sang" CGMD © Christine Gamita Tous droits réservés illimités international- Unauthorized use and/or duplication of this material without express and written permission from this blog’s author and/or owner is strictly prohibited. Excerpts and links may be used, provided that full and clear credit is given to "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr with appropriate and specific direction to the original content. However, no link is to be reproduced on slanderous motives and/or miscategorization. Therefore, before any use of network Tools such as scoop-it or pinterest & so, the author’s permission is required. Il est essentiel lors de toute utilisation de cette production ou partie de cette production de préciser la source : le lien et l’auteure de l’article, ponctuation adéquate encadrant la citation -entre guillemets- et dans son contexte, sans distorsion ni manipulation ( article L122-5, du code de la propriété intellectuelle) . La permission formulée et explicite de l’auteure est également exigée. De la mê)me manière, concepts, termes et approches empruntés à l’auteure du blog doivent être mentionnés comme tels- références adéquates. En vertu du code de la propriété intellectuelle stipulant à l’article L121-1,‘ L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible. existe aussi dans les langues suivantes : Castellano Castellano(España) Català Dansk Deutsch English Esperanto français Galego hrvatski Indonesia Italiano Lietuvių Magyar Melayu Nederlands Norsk polski Português Português (BR) Suomeksi svenska Türkçeíslenska česky Ελληνικά русский українська العربية 日本語 華語 (台灣