"Ne prenez pas la vie au sérieux, de toute façon, vous n’en sortirez pas vivant"
Bernard Le Bovier de Fontenelle*
"Le visage humain fût toujours mon grand paysage"
Colette*
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Louise Willy, disparue des radars à partir de 1912[Illus. 1] https://le.grimh.org/index.php?option=com_content&view=article&layout=edit&id=2567&lang=fr |
"Quelques années plus tard, en 1897, Georges Méliès tourne Après le bal, où il met en scène un striptease (en réalité, le déshabillage et le bain d'une femme)."[2] https://www.wikiwand.com/fr/Le_Coucher_de_la_mari%C3%A9e_(film,_1896)
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p. 6, Nouvelles études sur la toilette - Déshabillés de nuit, La vie parisienne, 29 novembre 1890 https://agorha.inha.fr/inhaprod/ark:/54721/003252507/doc/393916 |
Le corps nu, qui avait fait au music-hall une tapageuse irruption au début du siècle avec les exhibitions de Mata Hari, de Régina Badet ou de Colette Willy, tendait à la conquête de l'espace laissé libre par la mise au rancart des gommeuses épileptiques et des tourlourous à l'accent rural. La femme nue devenait l'une des figures fondamentales de ces revues, de plus en plus audacieuses et opulentes, qui seraient aux années 20 ce qu'avait été l'opéra aux dernières années du siècle." Pierre Philippe, Rachilde saisie par la débauche, Le Monde 21 Août 1998Depuis 1892, Louise Willy, "mime" de dix-sept ans, doit son nom de scène à Willy qui l'en baptise -pseudonyme de l'écrivain, mari de Colette, et père de "Le 3ème sexe", son livre le plus célèbre de 1927. cf. Florence Tamagne, Histoire de l'homosexualité en Europe : Berlin, Londres, Paris, 1919-1939, Seuil, 2000
"...La première dont Gabrielle va entendre parler sera une fille qui se déhabille sur scène, et que Willy gréquente depuis 1892. Quelques mois après son mariage, en septembre 1893, elle reçoit une lettre anonyme qui lui apprend son infortune. Willy aurait une liaison avec une jeune mime qu'il avait même rebaptisée Louise Willy...." Marie-Céline Lachaud,
Colette à 20 ans, Au Diable Vauvert, 2011[3]
Maintes mentions en presse dans Gil Blas, dans La Plume, dont une concernant Gauthier-Vilars, 11 août 1894.
"Et par M. Pierre Lafitte qui est peut-êttre le même personnage (11 août 1894) :Liaison confirmée par l'intéressée au premier chef, La Vagabonde, et par les biographes de Sidonie Gabrielle Colette, dont la première a peu recherché "la prédestination" du nom de la maîtresse de Henry Gauthier-Villars Willy...
Parmi les pédaleuses : Marcelle Dumay, Suzanne Huet, Jeanne Bakly, Louise Willy /est ce votre ville, M. Gauthier-Villars ?) Renée de Presles.. et tutiae quantiae."
p. 245, La Plume, Volume 6, publié par Léon Deschamps, Karl Boés, Albert Trotrot, 1895[4] https://www.google.fr/search?tbm=bks&hl=fr&q=louise+willy
"Tiens, regarde, Willy, ce qu'on m'a envoyé ce matin, c'était sous une enveloppe tout seul, et je ne connais pas l'écriture. [...] Oh ! Willy, pourquoi m'as-tu dit que ce n'était pas vrai, quand je te demandais si tu avais des droits sur Louise Willy ..." Gérard Bonal, Colette,·Place des éditeurs, 28 mai 2014
"La première lui apprend qu'une mineure, Louise Willy" p. 66, Colette Piat, Colette et Willy, 2009
Qu ' il ait été difficile à Gabrielle, devenue Colette, de s'adapter au tourbillon de la vie parisienne , en compagnie d ' un homme très en vue ... Avant comme après le mariage , il a , semble - t - il , une liaison avec Louise Willy (nom prédestiné !)" p. 55, Colette, Madeleine Lazard, Gallimard, 2008
"... enfariné qui éclipsa peu à peu tous les types de la commedia dell' arte : Georges Wague ne lui conserva qu'une complice, Colombine, incarnée tantôt par sa compagne et bientôt sa femme, Christiane Mendelys, tantôt par Louise Willy." Cahiers Colette - Numéro 28 - Page 67, Société des amis de Colette, 2006
"... Des billets anonymes ne manquent pas d'avertir Colette des liaisons de son mari : d'abord c'est Louise Willy, au nom prédestiné, puis Charlotte Kinceler, que Gabrielle surprend avec lui en 1894" p. 51, Julia Kristeva, Le génie féminin: la vie, la folie, les mots : Hannah Arendt, Melanie Klein, Colette, Volume 3, Fayard, 200
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![]() Cartes postales, Vers 1904 https://www.notrecinema.com/communaute/stars/stars.php3?staridx=349540 [Illus. 3 et 4 et 5] |
1899 Le coucher de la mariée 1897 Douche après le bain 1896 Les époux vont au lit 1896 Coucher de la mariée.
Dernière représentation retrouvée de 1906, Cléopâtre à l'Olympia. Après 1912, plus aucune trace de Louise Willy, l'élève de Charles Aubert https://catalogue.bnf.fr/rechercher.do?index=AUT3&numNotice=12111212&typeNotice=p, Nulle part, évaporée. Ni fanfares, ni obsèques. https://le.grimh.org/index.php?option=com_content&view=article&layout=edit&id=2567&lang=fr
Dix à quinzaine d'années plus tard, une cartomancienne, chiromancienne, prostituée à Pigalle, dont la maquerelle faisait courir le bruit qu'elle aurait été hermaphrodite.
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https://memoirechante.wordpress.com/2011/02/20/frehel-ou-est-il-donc/ |
"(...) Fréhel qui avait fini seule, séchée par l’abandon, la misère, la coke, l’alcool et l’éther, dans une piaule sordide d’un bouiboui à tapins de la rue Pigalle à même pas soixante ans" https://gonzai.com/damia-madone-a-pedes-icone-pre-punk-oubliee/
"Dans ce petit café de la rue Fontaine, tous les soirs à minuit, vous pouvez trouver deux spécimens typiques de la faune que nous explorons. L’une ex-maîtresse de maharadjah. L’autre ex-vedette des plus grandes scènes. Toutes deux ayant pour principale ressource un passé extravagant que la richesse a doré – un passé, en somme, riche de présents… Ce passé, l’une vous le raconte pour un pernod : c’est Marinette. L’autre, pour 500 francs ou pour cent sous : c’est Bijou."
"Bijou – qui ne connait pas Bijou ? -, elle s’assied. Il faut découvrir, sous la cascade de plumes d’un chapeau en arc de triomphe, son visage extraordinairement fariné, où l’ocre le dispute au noir, le carmin à l’indigo. Tout son buste et ses bras et son cou et sa tête sont couverts de breloques multicolores et poussiéreuses ; cinq bagues par doigt – et des carafons s’il vous plaît –des bracelets à n’en plus finir, et des colliers et des rivières. Une bijouterie – quincaillerie ambulante. Bijou, elle aussi a tout fait et même plus. Elle ne s’en cache pas.
- J’ai chanté chez Cassive.…oui… mes petits, nous dit-elle, le petit doigt levé. J’ai joué dans « Le Coucher de la mariée »…. J’ai été premier prix du Conservatoire. Et diablement entretenue. J’ai eu tout ça (elle montre ses bijoux) en vrai, et un hôtel, et des équipages. J’ai été la maîtresse d’un roi….
- lequel ?...
- Chut… Pas si fêlée… J’ai tout plaqué pour un homme… Et puis j’ai tout perdu aux courses. Mais je suis devenu célèbre. Je suis Bijou, Bijou de Montmartre, le fantôme de la nuit. J’ai des portraits « comme ça » partout. Et c’est pas fini. Tous les soirs, on me prend… la terre entière me connait… Damia a chanté pour moi… pour Bijou ! Vous comprenez mes petits, Bijou… c’est tout Montmartre. Alors… je vous fais les lignes ?... Allez… quoi ! Pour un loulou ! Ah… faites pas les radins comme Mistinguett et Chevalier… Car Bijou – tirant partie de sa célébrité – est carto-chiromancienne et pour elle les lignes de la main n’ont pas de secret. Ainsi, après avoir donné quelques consultations à bon marché dans le café de la rue Fontaine, elle s’en va, jusqu’à 5 heures, faire sa tournée dans les boîtes. La nuit est à peine assez longue pour lui permettre de faire sa tournée." Pierre Daninos et Olivier Merlin
Citée Cassive, Louise Armandine Duval (1867-1940), comédienne -rôle de la môme Crevette-
Au café Boudon (décembre 1936).
"L’autre soir, comme nous descendions le bout de la rue Fontaine qui va au carrefour Mansart, un voyou à l’allure féminine venant de la croiser s’est retourné ébahi, en disant à son compagnon avec un fort accent méridional :
- Mince alors, Lolita, voilà Miss 1900 qui décarre… !
A quoi outrée et grossière, Mlle Bijou répliqua :
- Ta gueule, eh ! pédale ! Tu veux que je te flanque une fessée, espèce de roulure… !
J’arrivai à la hauteur de la grosse femme […] :
- Bonsoir, Bijou, dis-je.
- Bonjour, mon petit, fit-elle sans façons. Mais t’as tort de me dire bonsoir, c’est à cette heure-ci que je mets les pieds dehors, pas avant… As-tu entendu l’impertinence effrontée de ces fillettes à la manque… ? T’as vu comment je l’ai remise en place… ?
- Oui, mes compliments. Mais vous a-t-il offensée gravement ?
- Il m’a traitée de Miss 1900 en se marrant.
- En effet !...
Nous descendîmes la rue toute embrasée des lumières des boîtes de nuit. En mon for intérieur, je riais doucement. La répartie du gavroche aux mœurs douteuses n’était pas sans esprit. Nous suivîmes Bijou chez « Boudon », cette brasserie pleine de nègres et de filles aux aguets qui reste ouverte toute la nuit et où notre compagne tient habituellement ses assises."
"Au début de l’été 1938, la môme Bijou rencontre le romancier britannique Somerset Maugham (1874-1965) qui profite d’un séjour en France pour visiter Montmartre. Comme à
son habitude elle lui propose de lui lire les lignes de la main en échange d’un peu d’argent ou d’un verre de rouge." - Extraits de l’enquête de Maxime Jourdan, 2019
https://www.facebook.com/photo?fbid=10215378999739962&set=a.10215367882542039
500 balles l'interview, "... pour 500 francs ou pour cent sous, c'est Bijou.."
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Maud Canet Illus. Pierre Daninos et Olivier Merlin, Les chimères de l'asphalte, p. 7 Paris midi, 22 mai 1938 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4737819b/f7.item.zoom |
Dans le film de James Cameron, où sombre le Titanic le dimanche 14 avril 1912, le héros aurait croqué le personnage (selon cliché de Brassaï ?), voir anachronismes 87 et 88 https://titanic.pagesperso-orange.fr/page23.ht
Les croquis sont du réal. https://www.elle.fr/Loisirs/Sorties/Dossiers/25-infos-rigolotes-sur-la-pop-culture/Les-croquis-de-Titanic-sont-du-realisateur#xtor=CS5-90
00:49:33 - “Madame Bijoux” de Paris qui attendait le retour d'un amour perdu parée de tous ses bijoux.", dixit Jack Dawson aka Leonardo di Caprio à Rose http://titanic.superforum.fr/t3132-madame-bijoux
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Brassaï, La môme Bijou, Bar de la Lune, Paris, 1932 https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:SRdddNz9pW0J:https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/musee-d-art-moderne/oeuvres/la-mome-bijou+&cd=14&hl=fr&ct=clnk&gl=fr |
"La petite bourse aux tantes se tient également, de cinq heures de l’après-midi à cinq heures du matin au « Clair de Lune », modeste bar à l’apparence peu dévergondée de café Biard, tout près de la Place Pigalle. Elle comporte des marchandises variées, – pour toutes les bourses – la spécialité de la maison est plutôt le marin et le soldat. Sur une des banquettes du fond, se tient en permanence l’ineffable "Bijou", matrone cuirassée de crasse et de fard, qui procure à de paternels sénateurs la joie d’éduquer quelque lycéen. Ô ces causettes dans l’ombre de l’impasse Guelma !" Willy, Le Troisième sexe, 192
"Ineffable" sonne comme tendrement etsème le doute -il avait la plume plus méchante que cela- et qu'il savait. Les Grands Boulevards ne respiraient pas le même air que Montrmartre.
L'aurions-nous reconnue, d'ailleurs, en mémère à bibi. Personne jusqu'ici n'a rien soupçonné, sous ses yeux pochés de deuil, si j'en crois ce que j'ai pu lire à son sujet.
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Georges Blanc La Môme Bijou, 1930 (?) |
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Georges Blanc, (Madame Bijou), 1936 https://www.moma.org/interactives/objectphoto/objects/83788.html |
Toujours dans les années 30, en compagnie de surréalistes.
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https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/musee-carnavalet/oeuvres/interieur-d-un-cabinet-parisien-musicien-portraits-de-la-mome-bijou-et-de#infos-principales
- Tilt - Ce maquillage me rappelait furieusement quelque chose. Soudainement, je l'ai remise, khôl noir, khôl bleu.
Kees Van Dongen, Yvonne George, 1920 |
"Cocteau que c'est "une ombre qui s'accroche au rideau de la scène pour ne pas tomber"" https://zapldair.blog4ever.com/yvonne-george-le-tragique-dans-la-voix
Nichée au colombarium du Père Lachaise.
"Yvonne George, tuberculeuse, meurt à Gênes, le 22 avril 1930. Elle n'avait que 33 ans." http://www.desnos.udenap.org/pages/yvonne_george.htm
- De la Môme Bijoux, on reparle en 45... le 30 août puis à nouveau,
"Je me souviens très bien d’elle.
On la rencontrait jadis lorsque finissait la nuit de Montmartre et que l’heure venait de la fatigue et des hallucinations. Elle apparaissait tout à coup dans une brasserie du boulevard de Clichy ou dans une charcuterie de la place Pigalle et personne ne s’étonnait. On avait l’habitude. Elle faisait partie du peuple nocturne, du peuple trouble. On avait l’habitude. Pourtant quel personnage !
Ce chapeau immense fait de loques et de plumes sordides… Cette robe conçue au début du siècle, cent fois déchirée, cent fois ravaudée, guenille percée et scintillante, à laquelle s’accrochaient pêle-mêle, broches, colliers et camées de clinquant. Ce visage raviné, hagard, maquillé à l’aveugle. Et parmi les trous et les plis de la chair, ces yeux énormes, d’un brillant mort, les yeux perdus.
Des ruffians lui payaient saucisses et vin rouge pour lui faire raconter des histoires. Elle s’enivrait chaque matin et ne riait jamais. On appelait « môme Bijou « la vieille affreuse et fascinante qui portait, au bord de sa folie et de sa déchéance, je ne sais quel reflet obscur de grâces perdues, de pourrissantes amours.
Or, parce qu’un poète, avant de mourir, s’est emparé de cette ombre et l’a complètement transformée, il y eut hier, au théâtre de l’Athénée, un soir comme on n’en avait plus connu depuis l’autre monde, celui qui a cessé d’être en 1939." Joseph Kessel, France Soir, 21 décembre 1945
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Joseph Kessel, France Soir, 21 décembre 1945 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4746083q/f1.item.r=France%20soir%20Kessel%20Giraudoux# |
oBeucler André 1948. Les instants Giraudoux et autres souvenirs. Cité par Marie Verdier dans le journal « La Croix » du 23 août 2016 « D’où sort-elle cette folle ? », interroge Jacques Body, l’éminent spécialiste de Jean Giraudoux évoquant Aurélie, personnage principal de La Folle de Chaillot, sublime clocharde vêtue de frusques de soie élimée, de boa plumé et de chapeau fatigué. Une folle, une très grande folle que le chiffonnier appelle comtesse et que les plus grandes actrices – entre autres Marguerite Moreno, Edwige Feuillère, Katharine Hepburn, et dernièrement encore Anny Duperey – ont tour à tour incarnée sur scène et à l’écran. Parmi les hypothèses que retient Jacques Body, Giraudoux dévalant la colline de Chaillot vers l’Alma pendant la guerre, aurait croisé une créature fascinante et aurait sous le coup de l’émotion susurré « c’est la fameuse folle, c’est la folle de Chaillot ». C’est en tout cas ce que raconte son ami, l’écrivain André Beucler dans Les instants Giraudoux et autres souvenirs paru en 1948, quatre ans après la mort de Giraudoux.'' https://www.la-croix.com/Culture/La-folle-Chaillot-2016-08-23-1200784044 in https://www.researchgate.net/publication/342991787_La_folle_de_Chaillot_c'est_aussi_la_difficulte_d'une_regeneration_en_democratie_augmentee_voulue_par_Charles_De_Gaulle
Marguerite Moreno en Folle de Chaillot, 75 ans, 1945 http://cinevedette4.unblog.fr/marguerite-moreno/ |
De friponne coquine à vieille chouette aux ailes rognées par jaja et la came.
- Notes - en cours d'agencement
À vingt-trois ans, « Henri le grand-père est en garnison à Versailles. Il séduit Sophie Châtenay, la fille d'un maître horloger, née à Paris.» https://www.montraykreyol.org/article/ceci-pas-grand-monde-le-sait
''Elle signale indirectement comme tel son patronyme Colette par deux fois ; d’abord, lorsqu’elle nous apprend que sa mère appelait son père par son nom de famille « Colette »'' Université du Maine - U. F. R. de LETTRES Thèse Pour l’obtention du doctorat de littérature française Présentée par Stéphanie Michineau le 22 juin 2007, L’Autofiction dans l’œuvre de Colette " http://cyberdoc.univ-lemans.fr/theses/2007/2007LEMA3001.pdf
"En 1907, Colette se produit au Moulin Rouge avec son amante de l’époque, Mathilde de Morny, plus connue sous le pseudonyme de « Missy ». L’argument de la pièce a été écrit par cette dernière : il met en scène un égyptologue qui tombe amoureux d’une momie revenue à la vie. Missy, dont la bonne société moque son port du pantalon et colporte à qui veut l’entendre qu’elle se fait appeler « oncle Max » interprète l’égyptologue tandis que la momie est jouée par Colette. Le sujet exotique offre à la jeune femme le prétexte pour arborer un costume très minimal et hautement érotique."
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Albums de Léopold Reutlinger département des Estampes http://peccadille.net/2013/10/16/colette-presque-toute-nue/ Illustration Colette |
Table décennale - 4 lignes 6e arrondissement |
Acte de reconnaissance du 20 septembre 1875 par la mère Emilie Elisabeth Sesquès, rentière, âgée de vingt ans |
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Arbre ascendant - Extrait Généanet https://gw.geneanet.org/kunz?n=sesques&oc=&p=ida+jeanne+emilie |
- Autres biographiques
- Fondamentaux de cet ethno blog :
& Groupe 2011 Pour la reconnaissance des féminicides en droit

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