12/12/12

Sortologie des féminicides

"L'admission des femmes à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation, et elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain."*

¡Féminicides! http://susaufeminicides.blogspot.fr/2011/11/feminicides-definis.html
& Groupe 2011 Pour la reconnaissance des féminicides en droit

Silène et nymphe - Monnaie de l'Ile thrace et Cité grecque de Thasos
Photographie numismatique de Gerhard Haubold (SNG, Thasiennes 6, Kopenhagen), via Wikimedia Commons
 -Ou Le faux consentement-
http://cnumismatiqueliegeois.wordpress.com/2011/10/25/monnaies-de-thasos/

Une sorte de délits et de crimes font ma sortologie*... Depuis toujours, le meurtre des femmes émeut, et il y a de quoi, mais ce n'est pas suffisant.

De les nommer féminicides n'en fera reculer aucun. C'est tout un processus à démonter dont la gynolyse*, qui va du plus bénin au pire de bien d'autres féminicides qui dégradent douloureusement les filles, sans les tuer tout à fait. A notre avis, seule une loi de surplomb comme le fût le Statut de Rome pourra décisivement enrayer leur multiplicité.

MAJ - Octobre 2023 - Au croisement de deux négationnismes (des féminicides et de l'antisémitisme), de relativisme culturel et politique

-  Nous avons réagi à la sortie de la vidéo de Shani Nicole Louk dans nos groupes de campagne de reconnaissance des féminicides (2011) car elle était éloquente - Il s'avère bien que nos alarmes étaient fondées et qu'elle fit partie d'un féminicide antisémite de masse, comme jamais vu en direct. En effet, si les pogroms furent toujours théâtre de viols féminicides massifs, il n'y avait probablement pas d'intention préalable orchestrée, comme ici indiquée par les jihadistes violeurs et comme il ressort des dépositions des combattants miliciens panislamistes (faits prisonniers par la police et l'armée nationale israélienne de conscription), dont les chefs ont répété à l'envi de l'étranger qu'ils allaient récidiver dans leur tentative d'extermination des Israéliens juifs et de Juifs dans le monde, ainsi que les selfvidéos de glorification par caméras gopro des perpétrateurs gazans, d'enregistrements de surveillance diverses, et des témoignages de survivantes.

- Non moins négligeables, des données de médecine légale en moindre mesure confirment des crimes sexuels androcides, de rabaissement, d'humiliation et de déshumanisation à caractère sexuel mais non sexistes, étant que des femmes ne sont pas à la manoeuvre, ni perpétratrices dans un contexte matriarcal, de matriarcat politique n'est relevé nulle part.

En tout cas, l'on remarque toujours la permanence de volonté de couvrir la parole des victimes de féminicides, et la grande lenteur à se "désidérer" de la société mondiale.

Féminicide de viols en masse et , systématique, et Le viol individuel relève déjà de la torture dont l'éventail va de la plus basique, torture morale disons "classique" d'être forcée à se laisser faire à être pénétrée de force, donc douloureusement, jusqu'aux pires violences, dont l'on se relève avec des blessures inguérissables, comme la jeune femme qui témoigne qu'elle a été laissée pour morte tellement elle souffrait du viol et que terminé au couteau, elle restera paralysée de la jambe.

Là, l'ordre de perpétrer parait bien avoir été donné de s'attaquer spécifiquement à l'honneur des femmes... comme il n'est pas rare, certes, lors de conflits de propriété et de guerre mais un tel systématisme antisémite ne semblait pas avoir été jusqu'au jour de la Fête de la nature (pour les Juifs athées) ou fête juive des tentes du 7 octobre 2023, dont désormais il est connu que l'intrusion et pogroms avaient initialement été prévu au mois d'avril pour le Hamas et ses comparses, FPLP, JI, et caetera.

Cela apparait en crimes contre l'humanité à plusieurs titres, d'autant que les milices panislamistes antisémites ne sont nullement une armée nationale et ses miliciens ne sont pas des soldats réguliers. 


- intimes
- non intimes
- de dot
- d'honneur

Les féminicides ne se résument nullement à ces quatre items familiaux ou tribaux et à la mort, meurtres, assassinats, à des massacres, et aux temps de guerre, loin de là. 

Ils sont surtout ce qui se passe avant, et après en temps de paix... Il faudrait récuser les féminicides alentours au motif du caractère évidemment criminel des massacres de femmes ? Ou autrement dit, il est temps de voir que ce n'est pas de fatalité et que les féminicides ne sont pas des faits divers, mêe si les passions rôdent souvent autour ; et s'ils peuvent être meurtriers ne sont jamais des homicides. Il se trouve effectivement des meurtres et assassinats féminins qui sont des homicides, lorsqu'ils sont sans conteste crapuleux, mais tellement moins nombreux, presque rares. 

Il faut concéder que si l'on décidait de ne criminaliser que les meurtres d'un peuple de femmes, ce pourrait être "un génocide" sauf que si cela est bien du fait du gène, ce n'est pas pour annihiler un peuple (ce qui est le cas des génocides tels qu'entendus jusqu'ici) et ce n'est pas un peuple, une communauté ou identité menacée, ni une minorité, il ne s'agit pas d'évoquer restrictivement

- meurtres et assassinats, ou tortures-
- peuple de femmes -elles et leurs filles ne sont pas ethnie, catégorie, classe (et encore moins le sexe féminin, qui ne se peut réduire à catégorie, concept, idée, sentiment)
- femmes puisque aussi et surtout de petites filles, comprises en enfant neutre ou en petite femme-
- descendance patrilinéaire (genos), ainsi pas de génocide,
- guerre, aucune n'a fait Etat, déclarations et armes absentes, pas de belligérantes,
- histoire exotique, ou de pauvresses, le mécanisme descend de tout le genre humain-
- identité menacée, le sexe n'étant qu'une des caractéristiques constitutives de l'identité administrative ou de la personnalité d'un être humain,
- communauté (religieuse) menacée...
  • Gardons l'oeil ouvert de notre méfiance sur ces formulations qui nous desservent souvent - 
L'expression de "guerre contre les femmes", "guerre des sexes", restant un slogan, et comme tout slogan et tout gant peut être retourné. Le culturalisme idéo sociologique* a toujours été relativiste, surtout lorsqu'il a voulu prouver qu'ailleurs et qu'avant c'était mieux pour les femmes, en place à l'inverse de la science de collecter les données en évitant de construire uniquement à décharge... Ainsi celle de "culture du viol", sous entendant que seules certaines cultures seraient plus dignes -généralement les traditionalistes non européennes (ce qui est sonne comme une triste plaisanterie car ce sont les plus enracinées dans le sexisme)- que d'autres en la matière ? Ceci pour ces raisons-là en même temps mêlant naturalisme, culturalisme et darwinisme social ne seront pas des expressions jugées pertinentes dans nos travaux.

De cette même veine que nous n'emprunterons pas non plus, la perpétuation des concepts du culturaliste, identitariste avant l'heure, John Money tournant autour de ses psychologiques gender identity, roles, expression... Qui éteint et castra les sexes des jumeaux, et donc par extension de sa lutte, tout ce qui ressortit du sexe féminin. Ce qui se révèle du dernier masculinisme, plus sexiste impossible, bien que s'étant fait passer pour le summum du progrès sexologique, épaulé par Mc Kinsey dans la foulée d'Hirschfeld (déjà connu pour son eugénisme).. 

Dans l'ensemble, personne ne cherche à se débarrasser de nous tout à fait- Utiles et agréables, incontournables... Les expressions traditionnelles, à garder car preuves historiques elles restent, sont parfaitement révélatrices et disent le contraire des effets... Crimes d'honneur... pour protéger l'honneur paternel qui se porte garant de l'honneur du groupe, clanique puis tribal, ensuite féodal.. Aucune des violences féminicides n'est honorable, toutes sont déshonorantes mais tellement enracinées qu'un statut de protection est nécessaire. A force, les responsables politiques vont finir par en convenir comme ils en convinrent concernant les crimes, dont homicides de génocide, pour lesquels l'on créa pour "cause d'origine" un statut particulier entré dans notre Code pénal - Les personnes de sexe féminin décimées n'y auraient pas droit alors que les chiffres des violences féminices sont tellement plus élevés ? Le racisme alors en ligne de mire, et désormais le sexisme doit être traité par un statut protecteur des personnes maltraitées pour cause de leur sexe féminin. A cela doit aussi servir notre typologie des féminicides.

Cela reste donc une recherche de restriction, de réduction, de mise aux normes patriarcales, phallocrates et viriarques, n'entendant par là une classe, un clan ou une caste correspondant à des analyses de féministes marxistes mais à un système anthropologique qui n'a pas comme axe unique l'économisme.

Ainsi, le premier problème majeur constitué de ce que la plupart des féminicides ne sont pas fait pour tuer, ni pour nous éliminer. Et là, on cache le mot qui dit tout, les féminicides... L'omerta gardée sur le terme et, par contre, point central de tabou sur la condamnation et punition des actes féminicides.

Il ne faut pas attendre qu'elle meure d'un féminicide pour admettre les féminicides, et ignorer la gynolyse*.

Ex. probant - L'excision féminicide n'est nullement  un génocide. Certaines qui pensent en terme de "génocides des femmes", dans leur peur, en oublient les petites filles, attendant qu'il soit question de meurtres - Et avant et après ? 


Avant le meurtre féminincide, il n'y a toujours pas de mot - Et c'est là que se situent le plus de féminicides, les plus implacables- Invisibles, transparents- Douleur et souffrance au vu et au su général ne donnent aucun droit mais le droit d'en être protégées reste patent. Pas de victimisation, juste des victimes. Là dessus je diffère formellement de la phrase de Gandhi qui prétend que la souffrance montrera les droits dus (il s'agissait alors d'oppresseur impérial britannique... une tactique entre hommes de pouvoir qui n'ont pas encore pris conscience du sort mineur qu'ils ont réservé à leurs bonnes à tout faire ?)

La guerre se conçoit et se mène entre camps belligérants, qui ont des armes- Les filles ne sont pas des belligérantes et n'ont pas d'armes- La guerre se fait entre hommes- Pas entre hommes et femmes, il n'y a jamais eu de guerre des sexes- C'est une conception romantique, voire courtoise, histoires de saigneurs- 

De plus, le terme "génocide" porte historiquement un poids si lourd que l'on ne peut ignorer son passé un seul instant qui fait que le terme s'applique, sauf aux femmes, ou femmes incluses en peuple. Donc, si l'on réclamait le terme génocide pour les filles et pour les femmes et qu'on l'obtenait, elles seraient juste noyées avec les autres génocides ? Et elles ne sont pas un peuple, ni une catégorie et surement pas des subdivisions encore une fois. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/negationnisme.html

S'accrocher à les inscrire au sein des génocides resterait inefficace, voire contreproductif- A moins que, afin de pousser la logique à son terme, l'on sorte tous les autres génocides d'origine, race, etc. -manifestement fantaisiste sur le gène- du lot- J'augure d'une impossibilité, tellement génocide a été profondément ancré depuis sa création au point que l'on veuille en antidater des massacres de peuples plus anciens- http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/genocides-au-xxeme-siecle.html

Hasardeux, fragile et autodestructeur de camper le drapeau sur le terme génocide au lieu du terme féminicide... Ici on ne joue plus ! Dans un premier temps, les pires à nommer étant ceux dont les "infantes" sont la cible. La forfaiture consiste même parfois à les faire suivre l'un de l'autre, à les empiler... Ce blog en donne tous les relevés ethnographiques http://susaufeminicides.blogspot.fr

Tous les féminicides ont malheureusement l'occasion d'être pédocriminels, donc pédophobes, et c'est la raison majeure et profonde de ma mobilisation cybéractive, unions violeuses de mineures, excisions féminices , etc. 

- Féminicides publics* et les féminicides privés* (non pas qu'ils ne soient pas sus mais se déroulant en habitation) -

Féminicide dactyviolent* ou dactyvioleur* Le terme dernier né, qui vient de m'être inspiré par les étrennes aux allemandes et touristes offertes par des groupes d'hommes jeunes et moins jeunes, et par ma propre expérience éprouvée petite fille. cf. dactyviol* en Index 
http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/02/index-illustre-bal-feministe.html

Les "féminicides de petites filles", ou féminicide puéril*, donc pédocriminels, omniprésents montrent comment se nourrit et renforce un système. La qualification des féminicides pourrait être le grain de sable, s'il est bien glissé au bon endroit en haut de la pyramide... Sans dilution.
(semi public ? public mais réalisé à la maison généralement)

- Féminicide excisionnel*, ou excision féminicide, exercée dans le but de "calmer", de faciliter l'union (entendu entre familles, lignées dirigées ou par le père -patriarcat- ou par l'oncle -avunculat-), de prévenir les infidélités et de maintenir en statut social inférieur à la future femme mariée. Les matrones le disent d'elles-mêmes sur le terrain, "la civiliser" qu'elle devienne "fiançable", donc femme épousable par deux ex machina descendu sur terre par l'influx vital divin, proprette, sans contamination de maladie et sans le risque d'un autre père de l'enfant qu'elle va porter de son mari- calmée de ses impulsions sexuelles. On voit bien le but de "pureté sanguine" des rejetons issus du grand ancêtre dans les cosmogonies de nombre de peuples, matrilinéaires comme patrillinéaires. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/excision-feminicide.html 

V
ariante, on lui fait un premier gosse et jeune accouchée, on la mutile, afin qu'elle ne coure pas la prétentaine, ses ailes de nymphes seront rognées comme celles des perroquets- Où l'on voit que l'encyclopédie n'éclaire pas assez loin pour voir le clitoris excisé ? http://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Encyclop%C3%A9die/1re_%C3%A9dition/NYMPHE

  • Féminicide uxoricide, ou féminicide conjuguicide dont le premier terme déjà ancien de 1853 en France (par Toussenel) permet de préciser et élargir l'antique romain qui ne différenciait pas l'époux occis de l'épouse, tout comme le conjuguicide.
"A la première baffe, casse-toi !" On peut voir dans les uxoriféminicides* les rebonds suivants, qui englobent également les violences préalables au décès :

féminicide matrimonial*, nuptial* l'union toute destinée à créer une descendance dans des conditions optimales de sécurité et de plaisir, la petite fille n'a pas pu jusque là être contaminée par une maladie vénérienne et libère du doute de la paternité étrangère. Le viol nuptial n'existe pas sur les hommes, ni sur de petits garçons de la part des petites filles, doit-on le rappeler ? Voir les liens solidement noués avec "la nubilité", jusqu'à l'entrave, de l'article 16.1 où l'on y continue à faire croire que faire famille serait un droit pour une petite fille à sa puberté ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/02/petites-bonnes-petites-epouses.html

- féminicide conjugal*, intime*, de partenaire intime (formule anglosaxonne qui embrasse maîtresse, concubine) faisant aussi partie des féminicides domestiques (qui se passe dans la zone de la maison, l'oïkos) ça y est, elle est casée, ou mariée ou en couple, mais là rien n'est fini, pour certaines tout commence. Uxoriféminicides* donc - Meurtre et assassinat féminicide mais aussi viol conjugal. A savoir que la loi pénale française applique la circonstance aggravante :
"Article 222-24 (...) 11° Lorsqu'il est commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité" https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000026268256&cidTexte=LEGITEXT000006070719
En France - La proportion diminué de environ 150 féminicides conjugaux pour soixantaine de millions d'habitants, une fois le dossier bien connu et établi que la mort n'est pas accidentelle, montre les progrès en la matière dans un pays comme la France mais il n'en reste pas moins qu'il serait enregistré un seul, ce serait déjà trop.

Il faut souligner que le fréquent suicide du féminicide (environ du tiers) ne défait pas plus le phénomène d'inégalité notable. Car comment autre que par cette analyse féministe peut-on expliquer le nombre de passages à l'acte tellement plus répandu contre sa compagne ?

L'on ne peut fuir les statistiques en dur qui dénombre les décès d'accidents de la route ou du tabac rapportés à la population générale, s'abstraire de juste examen des progrès ne permettra pas de mettre plus fin aux féminicides conjugaux actés avec certitude.

Féminicides génésiques*, qui comprennent les petites filles et les femmes mortes d'être engrossées, succombant aux mauvais soins et maltraitances pendant leur grossesse ou en couches (ladite mortalité maternelle), comme celles à qui est interdite la contraception, et l'avortement médicalisé (IVG) et qui meurent donc des suites des avortements sauvages. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/homelie-dappel-la-violence-feminicide.html

- Féminicide répudiatoire*, elle ne convient plus, elle est malade, elle est répudiée... toujours du souci du droit du sang pur de lignée masculine.


- Féminicide stérile* - Stérilisations
"neuf fois sur dix, c'est la femme qui est stérilisée.http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_population/fiches_pedagogiques/naissances_natalite/contraception_monde/
- Féminicide de confort*, lupanars militaires organisés par le gré (servage sexuel de prostitution) et par la force (esclavage sexuel de traite) - là non plus on ne connait nul cas de masculicide- Pas plus dans les camps de concentration que dans les camps militaires. Tuées en esclaves et serves sexuelles en temps de guerre et de paix (bordels en général et pour militaires et guerriers tout particulièrement mais aussi pour les civils). http://susaufeminicides.blogspot.fr/2009/08/enfants-soldats-soumis.html
http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/02/viols-feminicides-japon-etc-dedommagez.html

Féminicide déshonorant* -tout crime du fait de l'honneur masculin, vouloir se retirer de l'affaire, surseoir au viol jour après jour consiste à faire atteinte à l'honneur masculin, patriarcal, marial ; cette atteinte à leur honneur se paye d'un féminicide, à l'acide, à la pierre ou au feu... L'honneur de l'église et des pères, toutes celles qui y ont échappé ou s'éloignaient de la tutelle ou la bravent, notamment sous accusation de sorcellerie étaient définitivement punies. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/02/feminicides-sans-honneur.html
http://susaufeminicides.blogspot.fr/2005/02/feminicides-dhonnneur-virilarchiveun.html
http://susaufeminicides.blogspot.fr/2003/04/augmentation-des-feminicides.html

Féminicide de sexapartheid* -les effacer pour mieux les garder sous  tutelle virile- séparer les filles, les empêcher de tout, de se vêtir, d'apprendre, de voir le monde, le ciel, de conduire, de marcher, les protéger d'elles-mêmes, et les protéger de la tribu patrilinéaire voisine qui pourrait bien tenter le rapt, le ravissement, c'est les considérer en mineures éternelles, les inférioriser- Se revendiquer mineure ou complémentaire n'arrange pas la situation en droit- http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/03/devoilez-vous-mesdames-une-fois-pour.html
- Féminicide incestueux* (réalisé, généralement pédocriminels, parfois sur femmes adultes) et incestuel* (potentiel proxénétisme sur petites filles) - Deux qualificatifs issus du terme inceste, règle matrimoniale ou si vous préférez de mariage de personnes majeures ou émancipées. Sachant que l'inceste reste interdit par l'article 162 du Code Civil LOI n°2013-404 du 17 mai 2013 - art. ) - 
"En ligne collatérale, le mariage est prohibé, entre le frère et la soeur, entre frères et entre sœurs"
Féminicides prostitutionnels*- Légions sont tus, selon certains, elles le cherchent bien à traîner dans les bas fonds- toutes dans la même galère qui n'est pas une arche. Nombre de prostituées en font les frais.

- Féminicides sorciers* - responsable des désordres du monde, battues et pourchassées jusqu'au bûcher. Les sorcières y passent mais aussi des femmes visées par l'ordre moral du lieu sont décimées par sorcelleriehttp://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/retour-vers-le-futur-feminicide.html
  • Féminicide annihilatoire* ou queeristique*
Des documerciaux toujours plus nombreux de "shemale", ou trans FtoM, francophones tournent en boucle sur des chaînes TNT (pour moi cela reste de l'explosif) car on sait les effets d'exemple télévisuels (les courbes des suicides sont sensibles aux nouvelles qui sont publiées)-


Rêve de garçon manqué de la nubilité mal digérée (?) qui croit devenir et bénéficier de leurs privilèges. Ressassé le désir phallique et le complexe de Diane, mis sur les rails par Sigmund centré sur son nombril comme tous les premiers sexologues partant et s'inspirant de leur propre obsession, que furent Havelock, Hirchfeld, Kinsey et Money (pour les plus rabattus) ?

Mais mutilées que vont-elles devenir ? Quelle méconnaissance profonde du sexe masculin, comme s'il suffisait de supprimer les apparences et mettre une prothèse pour expérimenter les privilèges et jouissances masculines, et quelle négation ultime du sexe féminin... !

En plus que d'araser tous les attributs féminins, qui sont parfois de quelque avantage, elles perdent sur tous les plans et ne changent jamais de sexe malgré ce qui leur est prétendu. Une certaine illusion de changement de genre occidental revenu aux primitivismes religieux de l'illusion théophanique gnostique et adamique... ?  De plus que l'on n'a pas non plus le recul pour connaître les pathologies conséquentes qui adviendront au 3ème âge...

En fait, en collectant les données sur les croyances avec au centre la divinité androgyne ou hermaphrodite, bisexuelle -reprises en modernité par l' anima / animus (resucé jungienne du yin yang ?), ou bien uraniste, ou bien reichienne, tous ces rejetons du pénis central freudien, ou autre 
http://susaufeminicides.blogspot.fr/2014/09/la-fete-papa-s-f.html

S'est imposée à moi la conscience de l'état profondément dégradé de l'estime de soi des femmes. J'y mis longtemps et eu du mal à le concevoir pleinement car le milieu social ouvrier féministe où j'ai grandi n'a jamais obéré en rien ma croissance du poids de stéréotypes sexistes féminicides) Celles-ci se soumettent sans renâcler à une image, un reflet étriqué d'elles jusqu'à se raboter et droguer pour faire comme monsieur -même réduit à des atours, leur sexe même pris pour un sexe masculin qu'il suffirait de débarrasser de ce qui dépasse ; très peu se révoltent d'être restreintes à une poche hormonée au centre de tout un attirail d'artifices dits féminins.

Au contraire, un nombre certain parmi les femmes instruites s'en réjouissent ou s'en trouvent flattées ? 
Le plus stupéfiant reste que des médecins prêtent la main à cristalliser la féminité versus la masculinité sous l'aspect qui leur parait donc recevable, jupes, talons hauts, manucure, mise en plis, permanente, teinture capillaire, bas et collants, résilles et bijoux, ou costards.


Pourtant, ils ont fait assez d'anatomie pour savoir comment est conformé un sexe et qu'il n'a rien à voir de concret avec le genre sexuel, qu'il soit de catégorie historique, sociologique ou psychologique. Ou bien faut-il augmenter leurs cours en la matière ? Ah mais mademoiselle, voyons hormis la psyk, il parait que deux juges ont décidé utilitairement ce qu'était le sexe féminin, dont définition magistrate, et non du tout magistrale, serait qu'un pénis diminué fait clitoris, qu'un scrotum invaginé (soulignons invagination et non pas vagin original), et abnormalité doivent faire règles en place de menstruations ? En effet, juridiquement il s'agit bien des deux décisions de justice américaine et suisse que s'approprient pour demander leur changement de sexe administratif les "ellemâles"* pour marcher dans la combine du transvestissement qui finalement ne profite qu'au sentiment érotique viril.

Tenant à souligner que ceci n'est d'aucun jugement sur les désirs qui poussent certaines à ces extrémités, j'ai gardé pour la fin de la liste typologique des féminicides cette conséquence de la plus récente et extrême logique de système patriarcal.

Ce mécanisme qu'Andrea Dworkin niche dans son cinquième chapitre "gynocide annoncé" (préférant manifestement gynocide à féminicide de masse (repris le terme d'Antoinette Foulque), et ne pensant qu'en terme de décès ?) sous la métaphore en balance de la ferme et du bordel, réinventait la mère et la putain. 

Ainsi, le féminicide annihilatoire queeristique* (clairement sacrificiel mais l'animale est gardée vivante) n'est pas pris en compte dans ses écrits ; estimant que doivent être tolérées les transitions par le soutien de l'assurance sociale aux conversions prétendues sexuelles puisque le système capitaliste étant ce qu'il est provoque ces pathologies.

Restant dans la droite ligne d'une condescendance compassionnelle envers les trans connus, dont la société devraient réparer le trouble, plutôt en travestis et transformistes vers les apparences féminines qui étant une des composantes de l'homoérotisme ? Il parait qu'une fois débarrassées du capitalisme (entendez patriarcat au sens politique qui n'est pas la définition anthropologique du système patriarcal, notez bien), les hommes n'auraient plus de fantaisies sexuelles, qu'ils ne se prêteraient plus aux travestissements bandants ? Permettez-nous d'en douter plus que catégoriquement car ce ne sont pas toujours que les classes bourgeoises, ou les aristocrates, qui font passer leur sexualité avant tout, y compris avant leur respect des femmes. 
http://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2013/03/dworkin-femmes-de-droite4.pdf


Devant la campagne en pointe d'une faction transactiviste -faite pour continuer à convaincre des jeunes filles de s'automutiler pour prouver la thèse chère à certains consistant à affirmer que le sexe est une invention politique-, vous ne serez pas surpris d'apprendre que parler de "mutilations génitales féminines" (MGF / Female Genital Mutilation) accusé de transphobie par une partie de cette école de pensée !

Les institutions internationales et d'autres nationales sommées de retirer le terme de femme enceinte par le transgenrisme, transinisme, queeristes... ?

Et fait miroir - Ainsi que les menstruations et les lochies, à l'inverse symétrique de règle religieuse en vigueur en monothéisme qui y accole interdictions formelles (prières, héritage, témoignage, etc.).
  • Le leurre de la longévité ne fait pas transhumanisme - Cela ne vise-t-il qu'à couper la racine et le lien parfaitement visible entre les mutilations génitales féminines consenties par coutume (dites traditionnelles) et celles vendues pour progressistes du transhumanisme ? On voit là la patte de Martin Martine Rothblath (pété de thunes et proprio de labo) qui est présenté dans la presse comme la patronne la mieux payée des stètes, au passage frustrant toutes les statistiques discriminatoires puisque son état a fait droit à son exigence queere (nihilisme et misogynie de la théorie désormais n'étant plus à démontrer) de changement de sexe administratif, dans la troupe remarquable, les Jenner, Cox, Kardashian minaudant sur papier glacé et entraînant des générations à se mutiler ? Le sommet de la misogynie, on n'aurait jamais imaginé que cela irait si bas et entrainerait des filles dans ce naufrage. Un des préjugés sexistes étant que les femmes regorgeraient de bon sens...
"En cours une campagne Twitter afin de désigner MGF en terme "transphobique". Est-ce de folie collective ?" "There is a campaign going on at Twitter to label FGM as a "transphobic" term. Have they collectively gone mad?' 'M/traduc' libre) http://elegantgatheringofwhitesnows.com/?p=2069
Nous n'adhérons pas, le transhumanisme se caractérisant par des capacités humaines augmentées, à la version transhumaniste de mutiler d'organes sains qui constitue évidemment l'inverse, sans compter les conséquences néfastes des intoxications aux stéroïdes, dont de stérilisation partielle et définitive. Fausse piste habilement introduite en autojustification de la croyance de Rottblath qui s'appuie sur une étude sur la longévité des eunuques chinois, en particulier.

L’impératrice douairière Cixi portée et accompagnée d’eunuques du palais, avant 1908
https://www.chine-magazine.com/les-eunuques-maitres-et-serviteurs/

Mimétisme - Ainsi, le "féminicide annihilatoire" des femmes qui abusent dg testostérone pour "faire homme", va probablement les mener à une réduction de longévité... 

Finalement, le drame personnel et social restant bien que l'indifférenciation de l'embryon, concernant les fœtus féminins portés par ces jeunes femmes abusées  et du fait de la testostérone ingérée, badigeonnée et infusée, sont mués en hermaphrodites : Une telle irresponsabilité contre les femmes et les petites filles (une forme très subtile de féminicide embryonnaire, déjà bien connu en Asie qui tord le taux de masculinité avec les risques que l'on voit déjà se développer sur le terrain) de la part des médecins, chirurgiens et psychologues complices devraient être condamnée lourdement, d'autant que l'on ne sait rien non plus des conséquences au long des générations sur les membres de l'espèce humaine et de celle-ci en général...

Nous ne parlerons pas du lait sécrété par des seins boobstés à la testostérone... Vous vous étonnez mais voilà vous savez aussi que certaines mettent en suspens leurs piquouzes afin d'allaiter les enfançons nés d'un ventre ellemâle... Quand on sait les levées de bouclier que l'on fait s'agissant de l'ingestion des pesticides hormonotoxiques (provoquant semblerait-il une augmentation notable des cas hermaphrodites chez les familles de paysans de l'agriculture industrielle) et qu'en la matière tout le monde se tait religieusement... parceque c'est histoire de femmes ?

La Sécurité sociale aussi prêtant la main à ces mascarades destructrices, qui va enfin les attaquer parmi les familles et parents proches de ces femmes mutilées grâce à la doxa queeristique ? Et imaginez seulement comment les personnes mises dans cet état vont vivre le troisième âge ? D'ailleurs une fois les hormones arrêtées, si par bonheur elles n'ont pas provoqué de graves pathologies cancéreuses et mortelles, comment ces personnes vivront-elles une fois évanoui l'enthousiasme de se prendre pour des héros mythiques ?


Entretenir dans l'illusion des femmes comme quoi elles deviennent des hommes enceints et que cela leur relève le moral, cela relève des expériences à la Mengele-

Sommet du féminicide, on ne peut qu'y repérer le féminicide annihilatoire, s'empoisonner avec un tel toxique (androgène), pour faire comme si, se castrer chimiquement, s'amputer les seins qui en effet servent à l'allaitement et se faire appeler papa ou parent... Malheureusement cela court dans les media présenté en transhumanisme progressiste.


Alors que le transhumanisme augmente les capacités humaines et n'est pas censé diminuer les femmes en chair, l'on voit bien ici le contraire en tout de destruction profonde.
.

Nous mettons en garde nous une poignée de féministes contre ces abus depuis trois ans au moins, et rien ne se passe hormis une surenchère de films documentaires qui font de la propagande pour l'idéologie queere ! Cela suffit, à voir les détransitions ou déconversions de plus en plus nombreuses à s'afficher sur la Toile https://gendertrender.wordpress.com/2012/04/25/ftm-detransitioning-experience-quitting-t-and-getting-back-to-life-as-a-woman/


Il ne s'agit comme d'habitude de fait que de basculer, ou plutôt, compléter entre privé et public... Gauloiseries et grivoiseries vexantes et dégradantes sur le dos d'une protagoniste présente peuvent fuser en cercle privé comme public sans complexe ?

Et sans oublier que désormais toutes les statistiques à suivre attentivement des injustices contre les filles et les femmes, qui permettraient de surveiller l'état d'application des lois d'égalité des sexes et de protection, sont sensiblement faussées par les inscriptions d'hommes comme femmes, sur leur demande (lorsque cela se fait sans juge et sans aucune autre forme de procès, c'est un grand progrès d'éviter les atteintes chirurgicales à l'intégrité) et ressenti, cela masque la réalité en toutes choses. Delta salarial ou autre défaut de traitement se trouvant minoré, et à l'inverse d'autres se trouvant majoré, comme celui la criminalité féminine biaisée par l'entrée de ces nouveaux chiffres. Imaginez seulement les salaires de Rottblath, Jenner (beau père mère Kardashian), Cox.. http://www.le-blog-de-la-pintade.fr/2014/10/la-femme-la-mieux-payee.html
  • Oikos - Maison - Domus - Des féminicides domestiques* -Ces féminicides peuvent se trouver perpétrés dans le cercle de famille et sous le sceau du mariage. On en a vu plus haut déjà. L'on peut donc douter à juste titre de la protection qu'offrent ces deux institutions patriarcales aux petites filles...
Le maître fait ce qu'il veut en sa demeure- Sa maison reste à sa main et parfois l'on pourrait se demander si cela ne serait pas une tromperie car au fond l'espace fermé de la maison devient piège mais jamais pour le maître, domus, dominus. Le concept sert bien à ce qu'il ne soit plus mise en cause ? Il reste couvert.

En tout cas, l'on pourrait presque croire la survivance vivace de toute la dichotomie de l'actif et du passif à l'antique, Athènes et Rome viriles...
"L'adulte était en théorie toujours actif et transmettait sa semence à l'adolescent qui devait rester passif dans la relation sexuelle." http://www.lambda-education.ch/content/menus/histoire/antiquite.html#2
  • Polis - Cité - L'espace public- Des féminicides publics - Pas plus qu'en intérieur, elles ne sont épargnées à l'extérieur - Au contraire puisque l'oïkos reste la zone de privilège renforcée des patriciens qui l'exercent déjà fort pesamment en polis... Où l'on peut se demander si cette dichotomie privé / public ne montre que catégorisation qui profite aux domini.
féminicide de servage sexuel (de prostitution courante) 
féminicide d'esclavage sexuel (de traite) http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/11/amicale-proxene-et-feminicides.html

L'expression féminicide d'Etat, déjà utilisé en Amérique latine, récemment apparu celle de féminicide légal, dans le cadre de l'abolition du proxénétisme en France. http://sanscompromisfeministeprogressiste.wordpress.com/tag/feminicide-legal/

Encore plus répandu, celui qui reste transversal et frappe toutes, admis, toléré, voire entretenue par des religions,

Féminicides religieux nombreux à compulser les règlements religieux sexistes qui ont deux branches, contre ses propres femmes mais aussi mortels contre des femmes d'autres issues.


féminicide de viol, viol génital, viol nuptial, viol conjugal, où l'on voit sa particularité aggravé en ce qu'il fait risquer à la victime enfant ou adulte une grossesse, un accouchement, puis la charge affective et matérielle de l'éducation de l'enfant. En droit international, le problème subsiste entier et ne se peuvent pas juger les agresseurs, à défaut d'actus reus et de mens rea.. ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/viols-etc.html

         "Violamination"* - Il faut remarquer que la guerre bactériologique artisanale (entre tribus viriles) bat son plein depuis que les machiavels guerriers contaminent des populations par des germes divers. Dans ces conditions, comment et pourquoi ONUSIDA et autres institutions cherchent-elles à dépénaliser les contaminateurs, ou empoisonneurs ? D'ailleurs, avant le sida, toutes les chtouilles étaient bonnes à refiler, siphilis et blennos, l'idéal pour miner les morals des troupes, comme des civils. Personne ne marche droit la bite en feu et n'a plus de jugeotte.
*néologisme in André Sarcq est écrivain, poète et auteur dramatique. Le Monde des 13-14 février 2005, sous le titre « Une impunité d’exception » via Femmes Positives http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/11/07/2632201_violamination-une-impunite-d-exception-par-andre-sarcq-le-monde.html

En tant de paix, en sortie de guerre, pendant la guerre, en première ligne... http://www.wikistrike.com/article-rdc-les-soldats-armes-qui-sont-porteurs-du-sida-sont-payes-deux-fois-plus-cher-pour-violer-see-119004402.html


On ne peut plus contemporain, omniprésent, innombrable, le féminicide reste acte social et politique de coercition, de remise en place, de punition, de torture, réservé aux êtres humains de sexe féminin. Quel que soit ses goûts érotiques, elle sera en butte à des actes féminicides tout au long de sa vie.

L'on ne peut que remarquer et se féliciter que les avancées du féminisme à mettre en Droit des lois qui concourent à l'égalité des sexes aient considérablement contribué à réduire les formes des féminicides, qui, par exemple, en France avaient pour certains complètement disparu. Les féminicides meurtriers y sont également beaucoup plus réduits en nombre à proportion de la population générale.

  • Typologie récemment augmentée- Après les féminicides immémoriaux de nouvelles formes apparaissent-
Acquis du principe d'égalité des sexes dans la démocratie laïque (française, il n'en existe pas deux au monde) et risques en vue pour les droits des femmes.
Concernant spécifiquement la France et sa législation, il est indubitable que l'arsenal juridique serait bientôt complet pour continuer à endiguer ces abus contre le sexe féminin. 


Mère n'est pas un parent comme les autres. Cependant, la récente négation du terme "mère" remplacé dans le Code civil notamment par "parent" (indifférencié) ne parait pas de bon aloi. Il suffit de solliciter le moteur de recherche de Légifrance, où l'on, voit que ne reste plus que six documents citant le terme qui ne sont que de disposition et d'aucune loi en code (les deux premières sans pertinence, il nous en reste 4 pour parler de l'état de "mère", ce qui est peu car nous en avons toutes une. Bien qu'il soit maintenant d'évidence depuis Simone de Beauvoir que la maternité n'est ni fin, ni moyen pour une femme qui n'a pas à y être assignée ou condamnée, ou pénalisée de la refuser -et entré dans le sens commun, grâce également à bonne loi-, ne pas parler de la maternité ne la fera pas disparaître, pas plus que les mères. 
"Résultats de votre recherche : 6 document(s) trouvé(s) Dispositions législatives et réglementaires ALLOCATION AUX MERES DE FAMILLE - DURE-MERE - EXAMEN MEDICAL DE LA MERE ET DE L'ENFANT - FETE DES MERES - MERE DE FAMILLE - MERE PORTEUSEhttps://www.legifrance.gouv.fr/rechSarde.do?reprise=true&page=1&lettre=
Egalité des sexes n'est pas identité de genre sexuel - Pas plus que l'émergence de la psychologiste et sociologiste, autrement dit idéologique, "identité de genre" (qui s'utilise à l'ONU et l'UE pour rembarrer l'égalité des sexes) fait planer un lourd et potentiel risque sur les droits des femmes à la protection et à bénéficier de zones privées interdites aux hommes du fait de phases de vulnérabilité.  http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/10/feminicide-categorie-genericide.html

De plus, il est à noter que cette conjugaison conceptuelle scientiste tend à permettre et favoriser un effacement sporadique du parcours de vie, transformée en état de poule couveuse pondeuse inséminée dans le cas de la "maternité initiale substituée" -un an de vie envolée pour elle et sa famille, avec conséquences inconnues sur , achetée par une rétribution symbolique (argentée ou sentimentale) par des couples queers mariés. En bout de course, l'on comprend aisément que le droit créance exigé par le désir d'enfant de deux transes -MtoF- ne trouvera terme que par ce moyen dit communément de GPA ; à nouveau, la parole masculine de toute puissance, comme jamais. Des lebensborn éclos en Inde à l'appui de l'idéologie queeriste ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2015/06/maternite-lencan.html


Leur fréquence et leur gravité ne dépendra que du degré de cristallisation et de phallocratie du patriarcat (au sens anthropologique de processus de pouvoir bénéficiant au père, pater familias sous quelque latitude soit il, et par conséquent à tout homme par ses implicites, ainsi moteur du viriarcat), ou plus juste disons, de la patriarchie où elle vit. Il ne s'agit pas d'un placard essentialiste, comme d'aucuns le voudraient croire. Celui qui s'y risque, ou est mal renseigné, ou fait oeuvre de négationnisme. En effet, les agresseurs pourvus de conscience et libre arbitre et tant d'autres d'êtres humains en conçoivent parfaitement l'injustice sans même que cela leur soit expliqué. Rien de bestial là dedans. Un système, une structure, une machine, pater, famille, patria, et caetera.

- Femmes féministes et féminicide politique. Depuis le début de notre campagne où présida la publication de ce journal numérique, il nous semble avisé, d'utiliser lorsque des féministes (porteuses des aspirations politiques de défense et illustration des droits du sexe féminin) sont massacrées en tant que femmes féministes l'expression de "féminicide politique". Voir à ce sujet 1989, date-clef pourtant peu connu en Europe qui marque, hormis les jets d'acide en 1979, le Québec de ces féminicides politiques.
  • En temps de paix - 7 octobre 2023 - Israël Sud -Féminicide antisémite de masse et en réunion
L'incursion de panislamistes armés, terroristes du Hamas et autres factions gazawis dominées par l'administration du Hamas -émanation des Frères musulmans de patriarcat musulman- perpètre un pogrom génocidaire contre les civils israéliens avec enlèvements de deux cent cinquante otages des deux sexes, qui ouvre une plaie dans le XXIe siècle. Sa cruauté a touché en masse les femmes de tortures et de viols féminicides en vie et mort, et force à noter cette sorte de féminicide.

Le système patriarcal tsariste des pogroms et les persécutions depuis toujours et chasses aux Juifs avec viols féminicides systématiques auraient déjà du être indiqués. Cette sorte de féminicide aurait du entrer plus tôt dans ce carnet de notes mais nous ne l'avions pas encore identifié bien que les précédents pogroms n'aient pas épargné les femmes. La seule différence ici se trouve dans l'envahissement du sol national israélien, d'un état-nation démocratie parlementaire issu de la décolonisation de l'Empire turc ottoman, défait par l'Europe exaspérée de ses intrusions, razzias et rapts méditerranéens et massacres hamidiens de chrétiens arméniens, grecs, turcs, puis des Britannique en 1948.

Christine Gamita, Ph. D., ethnologie
ex-ingé en informatique, spécialisée en management de la qualité des systèmes informatiques et des systèmes d'information

P. - S.

Déjà j'avais été tentée de le déployer en sa seconde branche en 2013, le féminicide religieux meurtrier mais aujourd'hui, après à Paris même encore d'autres survenus, il n'est plus possible de plus longtemps passer sous silence,
  • Féminicides religieux antisémites - A trois, cela fait catégorie ?
"Vieilles juives", spécifiquement, en place d'être épargnée comme les autres femmes à Charlie Hebdo, un des frères Kouachi a abattu la chroniqueuse juive du fait de l'être précisément. "Vieille chrétienne" ? - L'on ne connait pas en France d'exemples d'autres assassinats de vieilles dames pour raison de leur croyance chrétienne ou autre. Sarah Halimi, Murielle Knoll sont deux vieilles dames identifiées en tant que juives, torturées puis exécutées en tant que telles dans le 11e arrondissement de Paris, là où sise une mosquée islamiste bien connue qui a défiguré le quartier. http://www.programme-tv.net/news/tv/204316-decouvrez-limprobable-lien-qui-unissait-mireille-knoll-et-arnaud-beltrame-morts-a-un-jour-dintervalle-video/
MAJ 2015 - "29. L'OMS propose une catégorisation des féminicides en quatre types : intime, familial, communautaire et sociétal.- Le féminicide intime : il s'agit d'un crime individuel commis par un partenaire ou ancien partenaire de la victime. 35 % des meurtres de femmes dans le monde seraient commis par un partenaire intime (xxxv).- Les crimes commis au nom de "l'honneur " : ces crimes de type familial impliquent le meurtre d'une fille ou d'une femme par un membre de sa famille parce qu'elle a ou est censé avoir commis une transgression sexuelle ou comportementale (ou même parce qu'elle a été violée). Les meurtriers considèrent ce féminicide comme un moyen de protéger la réputation de la famille ou de suivre la tradition. On estime à 5 000 le nombre de meurtres commis au nom de l'honneur chaque année dans le monde, mais ce chiffre est probablement sous-estimé.- Le féminicide lié à la dot : cette forme de meurtre lié aux pratiques patriarcales implique des jeunes mariées qui sont assassinées par les membres de leur belle famille pour des conflits liés à la dot. En Inde, où le phénomène est très marqué, il a été avancé en 2001 le chiffre de 163 000 décès par le feu chez les femmes entre 15 et 34 ans.- Le féminicide non intime : il s'agit d'un crime commis par une personne qui n'a pas de lien intime ou familial avec la victime. Dans cette hypothèse, les crimes peuvent être commis au hasard, de façon isolée, mais ils peuvent également être commis de manière systématique -jusqu'à s'apparenter à des crimes de masse, comme cela est le cas en Amérique latine (xxxvi) ou au Canada (xxxvii)." "34. En Europe, la Convention du Conseil de l'Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique dont l'objectif de "protéger les femmes contre toutes formes de violences ", implique un traitement différencié des crimes contre les femmes. La Convention définit et pénalise les diverses formes de violence à l'encontre des femmes (dont la violence domestique) ; elle invite les Etats à éventuellement introduire de nouvelles infractions. Et si le terme de féminicide n'a pas été explicitement repris par la Cour européenne des droits de l'Homme, les violences meurtrières contre les femmes ont été condamnées par la Cour. Ainsi dans son arrêt Opuz contre Turquie en juin 2009, la Cour a considéré que la violence pouvait être constitutive d'une forme de discrimination à l'encontre des femmes, engageant la responsabilité de l'Etat (xlv)." "39. L'introduction du terme du terme "féminicide " dans le code pénal ne semble pas opportun pour la CNCDH, dans la mesure où elle comporterait le risque de porter atteinte à l'universalisme du droit et pourrait méconnaître le principe d'égalité de tous devant la loi pénale, dès lors qu'elle ne viserait que l'identité féminine de la victime. La Commission estime néanmoins que l'usage du terme "féminicide " doit être encouragé, à la fois sur la scène internationale dans le langage diplomatique français, mais aussi dans le vocabulaire courant, en particulier dans les médias." JORF n°0131 du 7 juin 2016 texte n° 45 Avis sur les violences contre les femmes et les féminicides NOR: CDHX1614541V https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000032644413&categorieLien=id
  • Notes de fin de billet
* "L'admission des femmes à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation, et elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain"* Marie-Henri Beyle, Stendhal, De l'amour, 1822  https://citation-celebre.leparisien.fr/citations/50037#:~:text=Citation%20de%20Stendhal%20sur%20Femmes&text=au%20hasard%20%3F%20%3E%3E-,L'admission%20des%20femmes%20%C3%A0%20l'%C3%A9galit%C3%A9%20parfaite%20serait%20la,forces%20intellectuelles%20du%20genre%20humain. 
  • Octobre / novembre 2023, attaque d'Israël, féminicides antisémites de masse, en réunion, et viols féminicides - Nos alertes :
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05/12/12

Hymens de féminicide aggravé au Yemen

Avant-propos : http://susaufeminicides.blogspot.fr/2011/11/feminicides-definis.html
Vénus bleue
Anonyme
(Mollusque dit "dragon bleu" - Glaucus atlanticus, limace de mer)
A présent que l'on doit se frayer chemin jusqu'au col pour pourvoir dépister son cancer, l'hymen ne tient plus debout ! Quant à parler de pédocriminalité en appelant cela pudiquement des mariages précoces, je préfère taire les qualificatifs que cela me suggère.

Tabernacle mais à quoi jouent-ils ? Lorsque les uns font effort de raison, les autres s'enfoncent toujours plus loin, en déraisons criminelles de féminicide ? http://www.tunisiadaily.com/2014/05/25/le-parlement-iranien-approuve-une-loi-qui-permet-aux-hommes-de-se-marier-avec-leur-fille-adoptive-des-lage-de-13-ans/


Nous venons également ici vous parler d'une grosse arnaque patriarcale : Hymen tout court et "Hymen de virginité", dont Buffon expliquait déjà en son temps qu'il n'existait pas -la plupart d'entre nous n'ont pas la petite peau... et pis c'est tout ! Pas d'exfoliation en vue- Nullement, il ne s'agit de sexe, arrêtez de vous focaliser sur le phallus déflorant. Ce n'est pas lui qui est en cause, ce n'est pas le centre du monde. Il n'est qu'une contribution. Et ils le savent fort bien puisque le plus sur, c'est de s'en prendre aux petites filles, chasse gardée. Paternité, hygiène et jouissance assurées.


Tout le contraire de l'équilibre, pesants féminicides qui coupent les ponts de l'humanité... Cruelles Parques qui arrachent les fils de vie de tant de petites filles, ou les ébarbent... http://susaufeminicides.blogspot.com/2012/02/petites-bonnes-petites-epouses.html

L'hymen était un cri et continue à l'être. Au banquet du mariage, l'assistance criait  le nom du dieu du mariage -"hymenaie", "Hymenaeus" lat., chant nuptial, emprunt au grec ancien ὑμέναιος, huménaios, chant d’Hymen- L'hymen en Rome antique était un devoir civique et les célibataires, défavorisés (taxes spécifiques- ce que l'on appelle désormais des mesures discriminatoires). http://fr.wiktionary.org/wiki/hymen
Monde à l'en vert d'une goutte d'eau sur le pont
"Au fil de la photo..." http://nathaliedupont.blogspot.be/2013/01/en-equilibre.html
Irak - Antique Sumer d'il y a 3000 ans avant notre ère qui aurait abrité les premières règles matrimoniales de "lettre nuptiale"- Alors que le Yemen, comme vous le verrez plus bas, tente de mettre un terme à l'abus criminel, personne ne parvient à en croire ses yeux et ses oreilles. Qui sont donc ces hommes en Irak qui vont casser le plancher des 18 ans pour épouser des petites filles suivant la Voie ? Et qui va donc les arrêter, et vite, le projet Jaafari el Sadik est intolérable !? http://www.algerie1.com/actualite/lirak-veut-abaisser-lage-legal-de-mariage-des-filles-a-9-ans/

 Photo sous toute réserve, lieu, date, auteur, contexte inconnu

Yemen - Hiba allait être mariée le 8 novembre à Taiz - Les autorités commencent à se mobiliser pour arrêter les mariages féminicides de petites filles si courants jusqu'ici- http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-24870526
""Les 400 volontaires de l'association arpentent les zones rurales les plus reculées, qui sont aussi les plus touchées. Bandes dessinées en main, ils vont dans les écoles et les familles pour faire œuvre de sensibilisation et de prévention. Environ 8 500 exemplaires ont déjà été distribués. Après avoir formé 100 personnes à la rédaction des contrats de mariage et à la vérification du bon consentement de la future épouse, dans le strict respect du Code civil yéménite, l'association a rédigé un guide à l'usage des avocats amenés à défendre en justice les victimes." http://abonnes.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/11/13/au-yemen-la-longue-lutte-contre-les-mariages-precoces_3512912_3218.html
« Bonjour à tous. Je voudrais remercier Mukhtar Al-Sharafi et Amal. Je voudrais remercier tous les journalistes et vous aussi. 
C’est vrai que je me suis échappée de ma famille. Je ne peux plus vivre avec eux. Assez. Je veux vivre avec mon oncle. 
Qu’en est-il de l’innocence des enfants ? Qu’est-ce que les enfants ont fait de mal ? Pourquoi vous les mariez de force comme ça ?
J’ai réussi à résoudre mon problème, mais d’autres enfants innocents ne peuvent pas résoudre le leur, et ils pourraient mourir, ou se suicider, ou faire n’importe quoi qui leur viendrait à l’esprit. Ils ne sont que des enfants. Qu’est-ce qu’ils savent ? Ils n’ont pas eu le temps d’étudier, ils n’ont eu le temps de rien. Ce n’est pas de notre faute. Je ne suis pas la seule concernée. Ça peut arriver à n’importe quel enfant. Il y a beaucoup de cas comme ça. Certains enfants ont décidé de se jeter dans la mer, et ils sont morts maintenant. Ce n’est pas normal de faire ça à un enfant innocent. 
C’est vrai que je me suis enfuie pour aller chez mon oncle, mais il n’était pas à la maison. Alors j’ai appelé Abd Al-Jabbar pour qu’il vienne me chercher. Abd Al-Jabbar a envoyé une femme pour que je voyage avec elle et retourne à Al-Huydaydah. Quand mon oncle a entendu tout ça, il est venu me trouver. J’ai porté plainte contre ma mère à la police. Je leur ai dit que j’avais 11 ans et qu’elle avait voulu me marier de force. Je n’aurais pas eu de vie, ni aucune éducation. N’ont-ils aucune compassion ? Quelle sorte d’éducation ont-ils reçu ? 
Je préfèrerais être morte. Je préfèrerais mourir. Je préfère vivre avec mon oncle plutôt qu’avec ces gens. Ils ont menacé de me tuer si j’allais retrouver mon oncle. Quel genre de personnes menacent de tuer leurs propres enfants ? Est-ce que ça vous aurait rendu heureux de me marier de force ? Allez-y, mariez-moi. Je me tuerai, comme ça. 
Je ne retournerai pas vivre avec eux. Je n’y retournerai pas. Ils ont tué nos rêves, ils ont tout tué à l’intérieur de nous. Il ne reste plus rien. Il ne reste plus d’éducation. C’est criminel, c’est simplement criminel.
Ma tante du côté de ma mère avait 14 ans. Elle est restée mariée un an, et puis après elle s’est recouverte d’essence et elle s’est mis le feu. Elle est morte. Il la battait avec des chaînes en métal. Il était saoul. Est-ce que ça vous rendrait heureux de me marier de force ? 
Ma mère, ma famille, croyez-moi quand je vous dis que j’en ai fini avec vous. Vous avez ruiné mes rêves. »" http://www.madmoizelle.com/nada-11-ans-fuite-mariage-forcee-180959 https://now.mmedia.me/lb/en/reportsfeatures/a-narrow-escape
Ici ne seront pas abordés les mariages forcés de consensus familial ou tribal côté masculin au sens des patriarcats cristallisés, car le mari n'est jamais violé par la petite fille ou même la jeune femme et sa vie n'est nullement mise en danger par la grossesse puis l'accouchement avant dix-huit ans. L'égalitarisme forcené de la cause des hommes masculiniste qui prétend jouer au comparatisme des mariages forcés n'a pas de bornes et se révèle donc un argument purement fallacieux. Et à voir le nombre des féminicides au regard de la proportion des androcides et l'absence de masculicides, ce n'est pas leur seul argutie défectueuse http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/combien.html

Heureusement, certains ouvrent les yeux, enfin, et vont libérer les petites filles de ses féminicides agravés :
 Yémen : Mariages forcés des femmes-enfants, des jeunes filles et des femmes Le gouvernement du Yémen devrait fixer l'âge minimum du mariage à 18 ans - 8 décembre - 2011 http://www.hrw.org/news/2011/12/08/yemen-child-marriage-spurs-abuse-girls-and-women
La crise politique au Yémen a laissé des questions telles que le mariage des enfants en bas de liste des priorités politiques. Mais le moment est venu de passer à cette question, afin de fixer l'âge minimum du mariage à 18 ans, afin de s'assurer que celles qui ont joué un rôle majeur dans le mouvement de protestation au Yémen contribuera également à en façonner l'avenir. Nadya Khalife, enquêteure au Moyen-Orient et en Afrique du Nord à Human Rights Watch
Three young brides 11, 12, and 13, are married to three brothers during a combined ceremony in the rural areas outside Hajjah© 2011 Stephanie Sinclair/VII
Près de la moitié de toutes les femmes au Yémen sont mariés enfants. Même en plein bouleversements politiques, les défenseurs des droits de l'homme font pression pour une législation qui rendrait illégal le mariage des petites filles. Avec elle , l'avocat des droits de l'Homme, Shada Nasser

(Beyrouth) - Le mariage d'enfants compromet l'accès de toutes les filles yéménites à l'éducation, nuit à leur santé, et les maintient en citoyens de seconde classe, Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd'hui estime que le gouvernement du Yémen devrait fixer à 18 ans l'âge minimum du mariage pour améliorer les chances des filles et de protéger leurs droits.

Le rapport de 54 pages, « Le mariage des enfants au Yémen » porte sur les dégâts subis tout au long de leur vie par les filles forcées de se marier jeunes. Les filles et les femmes yéménites sont contraintes à des mariages d'enfants par leurs familles, puis de ne pouvoir exercer aucun contrôle quant à savoir si et quand avoir des enfants ainsi que dans d'autres aspects importants de leur vie. Ayant indiqué que le mariage précoce a coupé court à leur éducation. Certains ont relaté leur viol conjugal et la violence conjugale. Il n'y a pas d'âge minimum légal pour le mariage des filles au Yémen. Beaucoup de filles sont forcées de se marier, parmi elles, certaines n'ont que huit ans.

Au cours des derniers mois, les manifestants ont appelé à une série de réformes, y compris des mesures visant à garantir l'égalité entre les femmes et les hommes. Interdire le mariage des enfants - une des principales causes de la discrimination et la violence contre les filles et les femmes - devant être une priorité de la réforme, selon Human Rights Watch.

Les données du gouvernement yéménite et des Nations Unies montrent qu'environ quatorze pour cent des filles au Yémen sont mariées avant l'âge de quinze ans, et cinquante-deux pour cent sont mariées avant dix-huit ans. Dans certaines zones rurales, des fillettes de huit ans sont mariés. Les filles sont parfois obligées d'épouser des hommes beaucoup plus âgés. Les petits garçons sont rarement contraints au mariage.
Yemeni government and United Nations data



Le rapport [ci-dessous] est basé sur des recherches de terrain dans la capitale du Yémen, Sanaa, entre août et septembre 2010, y compris des entrevues avec plus de trente filles et de femmes qui ont été mariées enfants, des membres d'organisations non gouvernementales et du personnel des ministères de la Santé et de l'Education.
Magda T., dont le nom a été changé pour sa protection, a déclaré à Human Rights Watch: « Lorsque j'étais en cours moyen 1ère année (en sixième  classe), j'ai été retirée de l'école pour être mariée. Maintenant, quand je vois ma fille, je me dis: « Qui va lui apprendre?" Parce que je ne peux pas. J'ai compris [la valeur de l'instruction] en grandissant. "

Une jeune fille de 16 ans a raconté à Human Rights Watch: « Mon père a insisté pour que je me marie. Je voulais aller à l'université, devenir avocate, mais il n'y a plus aucune chance parce que je vais avoir un enfant. "

Plusieurs des filles interrogées ont expliqué qu'elles avaient été forcées et que plusieurs avaient été retirées de l'école dès la puberté. Une étude yéménite a constaté que de nombreux parents soustraient  l'école les filles dès neuf ans afin d'aider à la maison, élever leurs jeunes frères et sœurs, et parfois pour les marier. Presque toutes les filles et les femmes interrogées ont dit qu'une fois mariées, elles étaient empêchées de poursuivre ou de terminer leurs études, et beaucoup ont eu des enfants peu après leur mariage.

Les recherches menées par les organisations des droits des enfants et d'autres personnes telles que Save the Children a constaté que les filles ayant peu d'instruction et sous emprise du mariage ont peu de chance de contrôler le nombre et le rythme de leurs grossesses. Ce qui augmente le risque des problèmes de santé reproductive.

Les filles et les femmes interrogées ont également indiqué qu'ils étaient souvent exposés à la violence, y compris violence domestique et sexuelle. Certaines filles et femmes dirent à Human Rights Watch que leurs maris, beaux-parents et autres membres de famille du mari les agressaient verbalement ou physiquement. Les filles mariées et des femmes au Yémen vivent souvent dans la famille élargie du mari.

Tawakkol Karman, l'activiste yéménite qui recevra le Prix Nobel de la Paix à Oslo le 10 Décembre 2011, en compagnie de deux femmes leaders libériennes pour leur travail pour faire avancer les droits, a critiqué le refus du gouvernement yéménite visant à interdire le mariage des enfants. Dans un article d'opinion publié en 2010, Karman a écrit: « Il existe un vaste espace entre notre patrimoine et la loi islamique afin de parvenir à un consensus sur l'adoption de l'âge de 18 ans en âge minimal du mariage."

Le futur gouvernement du Yémen bénéficie là d'une véritable opportunité de démontrer son engagement envers l'égalité des sexes et de la protection des droits de tous ses citoyens en abordant la question, affirme Human Rights Watch. Le gouvernement devrait prendre des mesures au plan législatif pour fixer l'âge minimum du mariage à dix-huit ans et de sensibiliser le public aux causes et  dommages des mariages d'enfants. Le gouvernement yéménite et ses bailleurs de fonds internationaux devraient également stimuler l'accès des filles et des femmes à l'instruction, aux études, à l'information et aux services de santé reproductive, et à la protection contre la violence domestique.

"Les donateurs internationaux investissent des millions de dollars pour l'éducation et la réforme de la santé au Yémen », a déclaré Khalife. « Sans une interdiction de mariage des enfants, aucune aide internationale ne sera affectée à empêcher les filles d'être contrainte de quitter l'école avec les risques de santé conséquents aux mariages d'enfants."

Le gouvernement yéménite a même régressé sur la question, selon Human Rights Watch. En 1999, le parlement du Yémen, invoquant des motifs religieux, a aboli l'âge minimum légal du mariage pour les filles et les garçons, alors à quinze ans. En 2009, une majorité au parlement a voté en faveur de la fixation à dix-sept ans de l'âge minimum. Cependant, un groupe de députés, affirmant que le rétablissement d'un âge minimum serait contraire à la charia (loi islamique), a utilisé une procédure parlementaire pour retarder le projet de loi indéfiniment.

De nombreux autres pays au Moyen-Orient et Afrique du Nord reconnaissent la charia comme source de droit, mais presque tous ont fixé un âge minimum du mariage pour les garçons et les filles ; réglementant généralement l'âge du mariage à dix-huit ans ou plus, conformément aux normes et traités internationaux qui définissent comme un enfant toute personne âgée de moins de dix-huit ans. Les organismes des Nations Unies de suivi des traités qui supervisent la mise en œuvre de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (CEDAW) et la Convention relative aux droits de l'enfant (CRC) ont recommandé un âge minimum de dix-huit ans pour le mariage.

Le Yémen étant partie à un certain nombre de conventions et traités internationaux qui interdisent explicitement le mariage des enfants qui engagent les États parties à prendre des mesures pour éliminer la pratique. Il s'agit notamment de la Convention, la CEDAW, la Convention sur le consentement au mariage, l'âge minimum du mariage et l'enregistrement des mariages, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) et le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC).

« Les filles ne devraient pas être forcés à devenir des épouses et des mères, dit Khalife, Le Yémen subit un changement politique, les dirigeants doivent saisir l'occasion de corriger une injustice qui fait un tort énorme et mettre le pays sur une nouvelle voie de justice sociale, dont l'égalité des femmes et des filles." http://www.hrw.org/news/2011/12/08/yemen-child-marriage-spurs-abuse-girls-and-women

Yemen: Child Marriage Spurs Abuse of Girls and Women
Yemen’s Next Government Should Set Minimum Age at 18
DECEMBER 8, 2011

Yemen’s political crisis has left issues such as child marriage at the bottom of the political priority list. But now is the time to move on this issue, setting the minimum age for marriage at 18, to ensure that girls and women who played a major role in Yemen’s protest movement will also contribute to shaping Yemen’s future.
Nadya Khalife, women’s rights researcher for the Middle East and North Africa at Human Rights Watch
(Beirut) – Widespread child marriage jeopardizes Yemeni girls’ access to education, harms their health, and keeps them second-class citizens, Human Rights Watch said in a report released today. The government of Yemen should set 18 as the minimum age for marriage to improve girls’ opportunities and protect their human rights.
The 54-page report, “‘How Come You Allow Little Girls to Get Married?’: Child Marriage in Yemen,” documents the lifelong damage to girls who are forced to marry young. Yemeni girls and women told Human Rights Watch about being forced into child marriages by their families, and then having no control over whether and when to bear children and other important aspects of their lives. They said that marrying early had cut short their education, and some said they had been subjected to marital rape and domestic abuse. There is no legal minimum age for girls to marry in Yemen. Many girls are forced into marriage, and some are as young as 8.
“Yemen’s political crisis has left issues such as child marriage at the bottom of the political priority list,” said Nadya Khalifewomen’s rights researcher for the Middle East and North Africa at Human Rights Watch. “But now is the time to move on this issue, setting the minimum age for marriage at 18, to ensure that girls and women who played a major role in Yemen’s protest movement will also contribute to shaping Yemen’s future.”
Over the past months, demonstrators called for a range of reforms, including measures to guarantee equality between women and men. Banning child marriage – a major cause of discrimination and abuse against girls and women – should be a priority for reform, Human Rights Watch said.
Yemeni government and United Nations data show that approximately 14 percent of girls in Yemen are married before age 15, and 52 percent are married before age 18. In some rural areas, girls as young as 8 are married. Girls are sometimes forced to marry much older men. Boys are seldom forced into child marriages.
The report is based on field research in Yemen’s capital, Sanaa, between August and September 2010, including interviews with more than 30 girls and women who were married as children, members of nongovernmental organizations, and staff members at the Health and Education Ministries.
Magda T., whose name has been changed for her protection, told Human Rights Watch: “Ireached sixth grade, and left school to get married. Now, when I see my daughter, I say to myself, ‘Who’s going to teach her?’ Because I can’t. I understood [the value of education] when I got older.”
A 16-year-old girl told Human Rights Watch: “My father insisted that I get married. I wanted to go to college, to become a lawyer, but there’s no chance now because I’m going to have a baby.”
Human Rights Watch interviewed girls who said they were forced to marry young and several who had been removed from school as soon as they reached puberty. A Yemeni study found that many parents remove girls in rural areas from school at age 9 to help in the house, raise their younger siblings, and sometimes to get married. Almost all of the girls and women interviewed said that once they were married, they were unable to continue or complete their education, and many had children soon after marriage.
Research conducted by children’s rights organizations and others such as Save the Children has found that girls with limited education and power in their marriages have little chance of controlling the number and spacing of their children. This increases their risk of reproductive health problems.
Girls and women interviewed also said that they were often exposed to gender-based violence, including domestic abuse and sexual violence. Some girls and women told Human Rights Watch that their husbands, in-laws, and other members of the husband’s household verbally or physically assaulted them. Married girls and women in Yemen often live with their husband’s extended family.
Tawakkol Karman, the Yemeni activist who will receive the Nobel Peace Prize in Oslo on December 10, 2011, along with two Liberian women leaders for their work to advance women’s rights, has criticized the Yemeni government’s failure to ban child marriage. In an opinion piece published in 2010, Karman wrote, “There is a vast space in our Islamic Law heritage for reaching consensus on adopting the age of 18 as a minimum age for marriage.”
Yemen’s future government has a genuine opportunity to show its commitment to gender equality and to protecting the rights of all its citizens by addressing the issue, Human Rights Watch said. The government should take steps legislatively to set the minimum age for marriage at 18 and promote public awareness of the harm child marriage causes. The Yemeni government and its international donors should also boost girls’ and women’s access to education, reproductive health information and services, and protection from domestic violence.
“International donors invest millions of dollars on education and health reform in Yemen,” Khalife said. “Without a ban on child marriage, none of the international aid will prevent girls from being forced to leave school and from the health risks of child marriage.”
The Yemeni government actually has regressed in addressing the issue, Human Rights Watch said. In 1999 Yemen’s parliament, citing religious grounds, abolished the legal minimum age for marriage for girls and boys, which was then 15. In 2009, a majority in parliament voted to set 17 as the minimum age. However, a group of lawmakers, contending that reinstating a minimum age would be contrary to Sharia (Islamic law), used a parliamentary procedure to stall the draft law indefinitely.
Many othercountries in the Middle East and North Africa recognize Sharia as a source of law, but nearly all have set a minimum age for marriage for both boys and girls; many setting the marriage age at 18 or higher, conforming to international standards and treaties that define a child as anyone under 18. United Nations treaty monitoring bodies that oversee implementation of the Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women (CEDAW) and the Convention on the Rights of the Child (CRC) have recommended a minimum age of 18 for marriage.
Yemen is party to a number of international treaties and conventions that explicitly prohibit child marriage and commit states parties to take measures to eliminate the practice. These include the CRC, CEDAW, the Convention on Consent to Marriage, Minimum Age for Marriage and Registration of Marriage, the International Covenant on Civil and Political Rights (ICCPR), and the International Covenant on Economic, Social and Cultural Rights (ICESCR).
“Girls should not be forced to be wives and mothers,” Khalife said. “As Yemen undergoes political change, leaders should seize the opportunity to correct an injustice that does enormous harm and set the country on a new course of social justice, including equality for women and girls.”
Ci-dessous à venir, en cours de traduction le rapport Human Right Watch How Come You Allow Little Girls to Get Married?’: Child Marriage in Yemen
  • D'autres articles de ce blog sur les féminicides nuptiaux de mariages puérils...
En Europe http://susaufeminicides.blogspot.fr/2005/01/mariages-denfants-en-europe.html
Dans le monde http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/02/petites-bonnes-petites-epouses.html

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