Le temps des passations - A partir d'un certain nombre d'anniversaires, l'on se demande ce qui pourra servir aux autres. Que vais-je laisser derrière moi, d'utile ? La parole, intègre et intégrale, restant, par devers moi, mon bien le plus précieux.
Il y a dix ans, je tentai de dépoussiérer le terme de féminicide (découvert d'un père en deuil), de l'approfondir, le vulgariser, de l'imposer, par une campagne tous azimuths hyperactive et agressive sous des articles de presse et dans tous groupes plus ou moins féministes. Ce fût au prix d'être expulsée d'à peu près partout...
Ne
portez pas le chapeau, même si certains vous y invitent... Ma Marianne préférée reste celle-ci car elle enlève le le couvre-chef d'esclave.
S'émanciper, c'est ôter le bonnet phrygien, pas le porter ! -Etre féministe, ce n'et pas imiter les femmes ou se mettre à leur place en leur enfonçant le bonnet sur la tête- Au milieu, le génie de la France,
"L’allégorie de la liberté : nous apercevons un bonnet phrygien en haut à gauche de la peinture (signe de liberté) ; la figure féminine possède aussi une écharpe tricolore, signalant que l’allégorie est un symbole d’union, d’unité et d’indivisibilité ; enfin, nous identifions aussi le triangle à niveau et le fil de plomb, qui symbolisent l’égalité."
Comment dire tout de Marianne sans médire, cessons de tourner autour du pot du genre en danse de guerre. Plus besoin de Danse du Feu aux sanglants sacrifices pour prouver sa masculinité féministe...
Faisons famille qui ne soit pas du genos (lignée patrilinéaire, dont dérivent gens, gent, gène, génome, génocide) :
- Gynécité* pendant de la surenchère de la virilité = sursexualisation* de la masculinité - Catégorie utile de l’analyse ethnologique, anthropologique, historique, sociologique, psychologique... - Surplombant féminité et virilité, qui sont des caractéristiques biologiques "indéformables" à la différence du social à géométrie variable... C'est tout de même plus précis de parler gynécité* plutôt que "genre"
"Le genre n’est pas le sexe, mais la différence des sexes construite par la culture et par l’histoire, et par conséquent susceptible de déconstruction."
Fondateur de l’ethnologie politique, Maurice Agulhon a été un précurseur, y compris en ce qui concerne la différence de sexes qu’il a été un des premiers à percevoir, et à identifier comme un problème, à une époque où cette dimension était fort peu ou pas prise en compte dans l’étude de la symbolique politique, en un temps où il n’était guère question d’histoire des femmes."
"Mais comment traiter ces questions ? L’auteur se défie des interprétations en termes de psychologie collective, ou, pire encore, de psychanalyse. En 1979, en conclusion de la première Marianne, il écrit : « Le sexe des nations !…" "L’enquête historique et géographique, voilà la tâche, modeste mais efficace, de l’historien. Celui-ci n’est ni psychanalyste ni philosophe. Il se revendiquerait plutôt d’un certain empirisme ethnologique, à la manière de Marc Bloch, le maître inégalé, dont Ernest Labrousse reprenait l’exigence quantitative d’exhaustivité, défiante vis-à-vis des échantillons. L’enquête de terrain est une méthode, et aussi une morale. Elle évite les généralisations hâtives et prétentieuses. Elle tente simplement d’établir des faits, de les mettre en relation et, au bout du compte, elle permet de saisir une vérité. L’enquête est pour ainsi dire interminable et tant qu’elle ne l’est pas, on ne peut que formuler des hypothèses prudentes.
Enquêter donc. Pérégriner. Pèleriner, presque, tant l’objet de l’enquête est digne, précieux, captivant. De cette enquête, on connaît l’ampleur, la précision, l’acuité. L’auteur sait chercher, trouver, regarder, contempler. Il sait aussi nous communiquer son plaisir d’une enquête qui devient une quête intrigante." Michelle Perrot, Le genre de Marianne p. 233-243
https://books.openedition.org/psorbonne/59657?lang=fr
- Sursexualisation* du sexage (certains vont crier leur grand dieu que cela rappelle trop la castration des poussins ?) lorsque il s'agit de décortiquer le processus social (qui ne peut être une catégorie /genre puisque c'est un processus)
-
Féminité (
haplologie -une syllabe saute, pour éviter le bégaiement) étant le caractère intrinsèque du sexe féminin avec toutes ses caractéristiques incontournables chez la mammifère vivipare, donc biologique, du sexe féminin et non pas le mauvais ou le second genre.
Ni essentialisme, ni différentialisme, juste la biologie. La féminité n'est pas une catégorie, une sorte ou une espèce de classe. Sa sursexualisation* peut être dite gynécité* puisque déjà l'on dit masculinité.
Logiquement, certaines ont parfois décrypté ses normes développées en masculinités toxiques dans certains cas.
- Féminitude étant ce que revendiqué au-delà de la sexualisation (sexage) par une femme. "Attitude, pose revendiquée de femmes, en opposition à la féminité, état ou qualité intrinsèque de la femme. "
"Il existe trois états de femme possible. Le terme femme renvoie avant tout à une réalité biologique et anatomique, la féminité correspond à l'accentuation des caractères dans un rapport de différenciation par rapport à l'homme, aussi bien au plan psychologique que du comportement. La féminitude enfin, c'est le passage du stade de la femelle-femme à celui de l'individu-femme, de l'être pensant et agissant." Malek Chebel, La Femme marocaine tire son épingle du jeu, 1997
Comme quoi, toutes les allégories ne sont pas flatteuses ou sexy :) Au sortir de la guerre de 14/18... La Baïonnette, no 146, 18 avril 1918. © Bnf-Gallica. Ursula E. Koch, Les allégories féminines de la nation Encyclopédie d'histoire numérique de l'Europe
https://ehne.fr/fr/node/12185
Tout comme Marie hérita des déesses, Marianne et toutes les autres allégories certainement de même matrimoine, tout simplement. Pour en savoir plus de Marianne vue par l'historien Agulhon, Marianne ou l'histoire de l'idée républicaine aux XIXe et XXe siècle à la lumière de ses représentation par Anne Marie Sohn, professeur d’histoire contemporaine, ENS Lyon
https://hist-geo.spip.ac-rouen.fr/spip.php?article271
Recension iconographique de La Liberté 1789/1799 - Benzaken Jean-Charles. L'allégorie de la Liberté et son bonnet dans l'iconologie des monnaies et médailles de la Révolution française (1789-1799). In: La Gazette des archives, n°146-147, 1989. Archives et révolution : création ou destruction ? (actes du colloque organisé par l’AAF, groupe régional Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Châteauvallon, 10-11 mars 1988) pp. 338-377
https://www.persee.fr/doc/gazar_0016-5522_1989_num_146_1_4157
On boucle sur une Allégorie de la Musique plus discrètement dénudée que Marianne. Les Femen sont des musiciennes :)
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Affiche L'allégorie de la Musique plus dénudée que Marianne Fête des écoles de Lyon, affiche de E. Beaussier, 1908, AML 2FI/3703 |
N. B. Soyons méthodique - Le genre reste mal dit puisque cela ne signifie que type ou catégorie voulant dire celle de l'ensemble stéréotypé variable en même temps que le processus social. Ces stéréotypes ne sont pas la féminité biologique mais une amplification surfaite comme de la virilité l'est la masculinité. On vous a concocté un néologisme aux petits oignons, nous l'espérons, de "la féminité ampliative", ou gynécité.
- GENRE (social sexuel) = SEXAGE*
Cémoi - L'identité individuelle du "je suis", déclinée en identité sexuée, identité sexuelle, identité de genre, ces trois formes n'étant pas même bien conceptualisées, permettent des glissements étourdissants, surtout que prise comme étant la principale fonction, alors que si bien évidemment majeure, elle n'est pas seule directrice, au contraire de ce que la gent virile s'agite à faire croire à la suite de la psychanalyse obsessionnelle. Mais commençons au début du verbe. En tout cas, l'on peut douter que partie de ce pieds-là, ce mot soit féministe ?
http://beyourownwomon.wordpress.com/2012/07/31/le-genre-tombeau-des-femmes-mort-du-feminisme/
"Le genos est avant tout un ensemble de familles qui prétendent toutes descendre en ligne masculine d'un ancêtre commun...", p. 51, Emile Mireaux, La vie quotidienne au temps d'Homère, Librairie Hachette, Paris, 1954
Où comment les mots à double sens finissent en non sens ou même régressent ? Employé comme sorte, type..
"B. 1. Ca 1200 « sexe » (Dial. Grégoire, 144, 3, ibid. : ... nïent ke il despitoit lo genre [non quia aspernabatur sexum])" /(pas parce qu'il méprisait le sexe) http://www.cnrtl.fr/etymologie/genre
En pratique donc et tout de go, je refuserais de faire simili caractères avec le sexe masculin ;o) me sentant, ressentant, analysant, vivant dans mon sexe, que je ne prends pas non plus pour une patère identitaire, bien que j'y tienne et m'y accroche... Je n'appartiens ni à la gent masculine, ni au genre masculin et, pour autant, n'en suis nullement essentialiste, je vous rassure également.
"A. −Langue abstraite et cultivée; langage technique Ensemble d'êtres ou d'objets ayant la même origine ou liés par la similitude d'un ou de plusieurs caractères." http://www.cnrtl.fr/definition/genre
L'éternel non pas féminin mais va et vient nature-culture - Depuis les années 70 environ, des féministes françaises et américaines ont passé outre la racine "génique" du mâle, en le raccourcissant à "genre" pour dire "genre sexuel" ou "sexe social" -concept soit psychologique, soit psychanalytique, soit de sciences sociales- en désignation des différences non biologiques entre les des deux sexes, sous le sceau de la construction sociale. Pas très étonnant chez une espèce d'animal social pétri de sociétés... http://clio.revues.org/4702 En
1971, le "sexage" inventé et pris à parti par Colette Guillaumin (de Questions féministes, Féministes matérialistes). Si des analogies existent entre le sujet favori de la sociologue du racisme et les rapports de domination entre les sexes et le concept de race qui permit de dominer au gré de celle-là, l'on voit que la dernière ne peut plus exister en sciences puisque la génétique et formelle. Alors que
le sexe ne souffre pas de doute, deux pôles bien identifiés sur deux chromosomes et pas un de plus existent effectivement et
marquent chaque cellule participant de l'intégrité d'un corps humain.
Le sexage humain, chaque jour davantage, se révèle institution patriarcale, en même temps que processus, générateur de ses propres normes et coutumes, tatouant le sexisme jusque dans la peau des filles, toujours tourné vers et par les fins du système patriarcal qui privilégie de toute évidence ses instigateurs principaux. Nul besoin de comparer le sexage aléatoire et volatile des poussins du Gallus gallus, est malaisé par dimension, je ne comparerai jamais la moitié de la population à des coqs ou à des poules, bien que l'on sache que le machisme ne s'en soit jamais privé, pas question de jouer à l'oeil pour oeil. On ne "sexe" qu'en cas de doute devant des organes génitaux mal formés, rarissimement.
Malgré l'engouement teinté d'américanisme, le genre si mode ces jours-ci reste impuissant à rendre compte du sexage dans son entièreté et son pléonasme de le dire sexiste. Qu'on le laisse donc à l'anglais, la langue française de beaucoup plus de ressource. Il est vrai que cela fait moins classe et moins germanopratinois, de dire "études de sexage" ? -concernant les stéréotypes sexuels contre les filles, qui ne font que les soumettre à la position dominante- que l'autre qui n'est qu'une génération moderne du lignage viril ! Et sert désormais à nous déposséder à nouveau de nos espaces par l'identité de genre poussé en avant pour étouffer la conférence de Pékin qui continuait à ouvrir l'espace public à moitié de l'humanité enfermée en privé. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/10/feminicide-categorie-genericide.html
Restons-en également au stéréotype sexuel bien carré. Le meilleur moyen d'égarer la chalande a consisté jusqu'ici à créer du nouveau qui n'en est point, n'apporte pas de précision supplémentaire mais de l'imprécision Ainsi l'on voit le type en stéréo qui fait acouphène à force de tirailler ses adjectifs. Stéréotypes sexuels veut tout dire et simplement (pouvant s'entendre en modèles normatifs) donnés par une société en rapport avec les sexes et la sexualité, donc à tout ce qui touche à la vision sociale du sexe. Sexué freudiste n'apporte rien, pas plus que genre sexuel en surenchair qui brouille la piste. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/07/le-genome-du-genre.html
Où se voit si bien toute la méprise propagée depuis déjà quelques décennies par ces messieurs, qui au demeurant considèrent peu les femmes et n'aiment pas les lesbiennes ? Ces femmes n'aimeraient pas leur sexe ? Tudieu mais aimer son genre est-ce que cela fait jouir ? Je plains ceux qui jouissent par leur genre, ce doit être très éthéré. Peut-être n'est ce que forfaiture de traducteur de ce texte de 1967, ou bien fussent les auteurs en côterie qui inventèrent l'affaire ? Va savoir. Quoique déjà traduire "sex roles" par l'expression affectionnée par John Money (groupe d'influence Kinsey) comme indiqué en note de trad. qui déplace et genrise ("3 Dans ce texte, l’expression « sex-role » est traduite par « rôle de genre » (N.d.T.)")., c'est limite non ?
Et non les lesbiennes ne diffèrent pas en sexage, ni en sexe, et ne s'oriente vers nul genre féminin, les femmes ne sont pas d'espèce, et leur amour n'est pas intraspéciste !
"Les lesbiennes diffèrent des autres femmes par le genre vers lequel s’oriente leur sexualité." http://gss.revues.org/1830
Mon choix définitif sans brichebrocher, ni baragouiner ou bretonar (occitan) de sexage et stéréotypes sexuels fait date en bloc. Nous avons trop à perdre à laisser perdurer l'homologie entre sexe et genre, aliment des confusions identitaires. http://fr.wiktionary.org/wiki/brichebrocher
http://www.lexilogos.com/breton_mots.htm#baragouinhttp://projetbabel.org/forum/viewtopic.php?t=3288
Ou "stéréotype de sexe", comme l'a relevé enfin heureusement le dernier rapport du Haut Conseil à l'Egalité Femme-Homme,
"En effet, les stéréotypes attribuent des caractéristiques à des personnes catégorisées selon un critère particulier, ici le sexe. Le genre en tant que « système de normes hiérarchisé et hiérarchisant de masculinité/féminité » ne désigne pas des catégories de personnes. « Stéréotype de genre » est donc un abus d’usage." http://www.haut-conseil-egalite.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_hce-2014-1020-ster-013.pdf
Enfin, de toute façon, quel malaise de devoir utiliser un mot de si lourde étymologie et avec la paternité et le sens éducatif pesants de John Money sur le paletot. A cause de ces deux faits historiques indétrônables, jamais je ne me serais emparée de ce terme qui ne méritait pas de proliférer au point qu'il faille aujourd'hui se forcer à décrypter tout son gène homme. lhttp://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/07/le-genome-du-genre.html
Et quel heaume !?
"Le “casque d’invisibilité” d’Hadès était la kyné/ Cuné, mot qu’on peut sans doute rapprocher de cuni chez les Latins et qui est le sexe féminin or, chacun sait qu’ainsi le chef / pen… d’où “pénis” est provisoirement invisible : ce casque possède une découpe assez spéciale qui ne peut que nous confirmer dans cette supposition !"
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Chimpanzé chef marmiton - Couverture livre 2010 |
La cuisson nous a rendu humain.
"
Wrangham cite des observations récentes de chimpanzés qui, après le passage d’un feu de brousse, vont collecter dans les cendres, pour les consommer, des graines de légumineuses qu’il serait quasi impossible de mâcher à l’état cru. Le goût amélioré de l’aliment cuit peut donc être (et fut donc nécessairement, implique Wrangham) découvert par Homo erectus. Les charbons de bois découverts sur de rares sites en Afrique correspondent à cette interprétation et situent l’évolution du genre humain dans une nouvelle perspective."
https://journals.openedition.org/primatologie/457
La viande grillée (bien cuite) étant le propre des chasseurs cueilleurs depuis que l'homme use du feu et le reproduit par friction et percussion, au briquet et à l'arc.
"Ils proposent que l’utilisation du feu a démarré très tôt, peut-être dès 1,8 millions d’années, peu de temps après l’apparition des premiers Homo. Parmi ces chercheurs, Richard Wrangham, dont on a déjà parlé ici, postule par exemple que l’utilisation précoce du feu est à l’origine du succès écologique humain actuel, car il a permis aux hommes d’accéder à des nourritures plus riches en énergie (viande notamment), permettant le développement d’un plus gros cerveau." https://www.cafe-sciences.org/quand-lhomme-a-t-il-commence-a-utiliser-le-feu-controverse-chez-les-archeologues/
Les premiers à se servir étaient probablement les chasseurs eux-mêmes sur le lieu victorieux, puis qui la transportaient vers le groupe des moins véloces, plus âgés, des enfants et de leurs vigies et gardiennes.
Images d'Epinal à vie dure -
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Imagerie romantique des vaillants chasseurs |
Quand on lit trop Rahan et tous les romans de la préhistoire romantique, l'on oublie que la collecte, c'est aussi celle des charognes, cassage de l'os à moëlle, et grillade de graines, séchage de viandes si par bonheur le chasseur court assez vite pour choper la bestiole véloce -ce que j'ai compris de vivre en brousse-
"Les premiers hominidés d’Afrique orientale (les australopithèques et leurs cousins) se contentent d’exploiter les charognes trouvées sur le terrain. Leurs successeurs, les premiers Homo, continuent sur cette lancée – en utilisant des outils rudimentaires tels que des galets aménagés. Mais, durant l’Acheuléen, Homo erectus (-1,8 à -0,5 Ma environ), parfois appelé Homo ergaster en Afrique, y ajoute peu à peu d’autres pratiques : la capture de petits animaux, puis le piégeage de proies plus grosses (dans des fosses) qu’il n’a plus qu’à achever." https://www.hominides.com/articles/les-premiers-chasseurs/
Auparavant, l'on nommait tout aliment "viande".
L'homme, carnivore non exclusif ou non restrictif ancien charognard, dit communément omnivore. "1. Ca 1050 « tout aliment qui entretient la vie » (Alexis, éd. Chr. Storey, 251)" https://www.cnrtl.fr/etymologie/viande
La lutte contre le naturalisme (et essentialisme, attribués tous deux à tort au différentialisme qui ne fait que prendre acte de la différence sexuelle) incarné par la thèse d'ethnologie de Priscille Touraille dirigée par Françoise Héritier en 2005. Dimorphismes sexuels de taille corporelle : des adaptations meurtrières ? : les modèles de la biologie évolutive et les silences de l'écologie comportementale humaine
http://www.theses.fr/2005EHES0199
Les chasseurs ne gardent pour eux, ni ne jettent la viande de chasse, on la fait sécher, comme la collecte végétale, au retour au foyer, comme vu en Haute-Zambézie. La survie du groupe est basée sur la collaboration et la ramener peut également devenir gage de rapports sexuels facilités.
"(...) interview de Françoise Héritier accordée au journal Le Monde quelques jours avant sa mort. À la question d'Annick Cojean "On ne peut pas nier une différence de stature physique qui accentue la vulnérabilité de la femme", Héritier répondait : "Même cette dysmorphie [sic] a été construite! J’ai une jeune collègue qui a travaillé sur ce sujet et elle montre que toute l’évolution consciente et voulue de l’humanité a travaillé à une diminution de la prestance du corps féminin par rapport au masculin. Depuis la préhistoire, les hommes se sont réservé les protéines, la viande, les graisses, tout ce qui était nécessaire pour fabriquer les os. Alors que les femmes recevaient les féculents et les bouillies qui donnaient les rondeurs. C’est cette discordance dans l’alimentation –encore observée dans la plus grande partie de l’humanité– qui a abouti, au fil des millénaires, à une diminution de la taille des femmes tandis que celle des hommes augmentait. Encore une différence qui passe pour naturelle alors qu’elle est culturellement acquise." Peggy Sastre, Si les femmes sont plus petites que les hommes, ce n'est pas à cause du steak, 22 décembre 2017 http://www.slate.fr/story/155300/patriarcat-steak-existe-pas
Egalement résultat de tendances récentes à extirper de ressemblances entre les organes génitaux et le cerveau féminins et masculins, tout en soulignant la mâlitude de la masculinité (stéréotypes sociaux variables) et de la virilité (caractéristique physique et comportementale du sexe).
"
cette différenciation morphologique n'était pas l'œuvre de la Nature ? Si elle était plutôt l'indice de sélections non naturelles" Hommes grands, femmes petites : une évolution coûteuse - Les régimes de genre comme force sélective de l'adaptation biologique? Maison des sciences de l'homme, 2018
https://books.openedition.org/editionsmsh/9687?lang=fr
"À mes yeux, le mérite principal de Hommes grands, femmes petites est d’avoir mis en question le paradigme naturaliste, trop souvent tenu pour allant de soi par les scientifiques." Irene Barbiera, Priscille Touraille, Hommes grands, femmes petites : une évolution coûteuse. Les régimes de genre comme force sélective de l’évolution biologique , Clio. Femmes, Genre, Histoire, 37 | 2013 https://journals.openedition.org/clio/11364
Le journalisme militant écoféminisme contre l'homme prédateur, spoliateur a trouvé sa justification en résumant sans preuves pour tirer la couverture vers l'antispécisme
végétarianiste, qui frappe dans les cantine de personnes âgées et scolaires au nom de la transition écologique, pourtant sans preuves d'efficacité non plus,
https://youmatter.world/fr/regime-vegan-est-pas-plus-ecologique/"Quoi qu’il en soit, cette ségrégation alimentaire s’est toujours exercée en premier lieu à travers la viande, sa consommation ayant systématiquement été synonyme de domination, de pouvoir, puis de richesse. Moi, homme, je suis le maître de la nature, je ne suis pas sensible comme vous les femmes et je le prouve en tuant les espèces inférieures. Pour certaines sociétés, manger le produit de la chasse est aussi une manière d’absorber la force ou l’énergie vitale du gibier." Nora Bouazzouni, Peut-on être féministe et manger de la viande ? 1 septembre 2017 http://www.slate.fr/story/150447/faiminisme-bonnes-feuilles
Certes les représentations de barbecues américains, dont l'origine chez les Arawaks nous ramène aux jungles et "tribus à l'ancienne", mettent en scène les gros morceaux de bidoche saignante maniés virilement par des "hommes qu'ont vu l'homme"... Cependant en France, les grillades restent beaucoup plus variées, et les viandes blanches appréciées, surtout de ceux qui font régime "basses calories".
Si le BBQ à l'américaine fait côte, les grillades à la françaises sont mixtes, poivrons, oignons, tomates, brochettes, saucisses (chipolatas, meguez)...
Les femmes, maîtresses des ventres, des cuisines et des rôts, détiennent grand pouvoir en cuisines, y compris sur les viandes tant rôties, braisées que bouillies.
Les maîtres coqs finalement ne sont qu'accessoires, commerçants, alors que
les maîtresses de maison dictent le régime.
Les abats également convoqués sont dans les sociétés à sorcellerie (invocation des esprits de la nature et des ancêtres et jetage de sorts) offerts aux sorcières en offrandes pour favoriser le truchement spiritiste. Comme constaté chez les
nyamusoros changanes de Maputo, ou les
malaïkas elomués et macuas du Nord du Mozambique.
Une ethnologie comparée s'est-elle aussi penchée sur les vikings et varègues, dont la grande taille des femmes laisseraient imaginer qu'il s'agirait de peuples du Nord qui n'auraient jamais, selon la logique de la "masculinité du steak", privé les individus de sexe féminin comme "les sudistes" ?
A mon avis et ce ne me semble pas évoqué et examiné à la loupe dans cette thèse, le fait que les fillettes à peine nubiles non développées tombent enceintes, mènent leurs grossesses à terme, et interrompent définitivement leur croissance me parait constituer une raison beaucoup plus vérifiable.
Mon grain de sel sur grillades - De ma maigre expérience en barbecue à l'américaine, côte comack (nulle) et grillades d'été, aucune d'entre nous ne s'approchait du grill à cause de l'odeur envahissante de l'épaisse fumée qui s'accroche aux cheveux et aux tissus, alors que certains se mettent torse nu en partie pour cette raison. Les bons pères de famille ont le bedon facile .
Le premier Index faisait Bal, ici au quinquet, pinard et guinche. https://www.histoire-image.org/fr/etudes/representer-guinguettes
Les "hommes zones", ou zones viriles - Puisqu'il fallait le dire, ayant été propagé que les cafés ouvriers n'auraient pas ouvert leurs comptoirs aux femmes, une floraison d'images de bistrots ouvriers et de guinguettes populaires envahit le Net en dénégation.
Ains, nous pouvons identifier avec certitude deux zones urbaines où les femmes sont peu présentes, voire absentes, dans certains quartiers et banlieues, notamment parisiens.
D'une part, vers Stalingrad, Porte de la Chapelle, où la gisquette se fait rare surtout à certaines heures et où je trouve toujours des grappes masculines sur les trottoirs quand je traverse pour aller chiner et glaner jusqu'à Crimée. De ce côté-là aussi, des cafés où pas une jeune femme surtout du quartier ne s'assiéra pas, histoire de ne pas au mieux être regardée en chien de fusil, au pire, que l'hostilité ambiante voire le patron ne l'en sorte, surtout s'il aime accomplir à la lettre ramadan et charia. Il y a de ceux-là plus que de raison.
D'autre part, sur la partie communautaire du Marais délimitée par des queers flags" (nation queer) au sol entre autres, du Marais, où nombre d'établissements l'affiche, dvant les établissements de 100 à 98 % de public masculin.
"Ce vase représente Héracles en train de combattre les amazones, les femmes sont représentées avec la peau blanche (le blanc est utilisé pour differencier les femmes des hommes), seul Héraclès est entièrement noir."
Sam' Suffit !
Les icônes bellicistes ne peuvent émanciper personne ! Afin de contrecarrer l'assignation à l'espace domestique et ses tâches, je ne saisis pas bien comment la gauche américaine et son afroféminisme intersectionnel inclusiviste parviendrat-elle à pousser les filles à s'émanciper en leur donnant en modèle des héroïnes totalitaires. sorcières idéalisées, reines sanglantes, guerrières androcides, bécasses princesses, saintes pourfendantes, mercenaires agiles, chevalières volantes, ouvrières d'armement, la plupart personnages copiés collés à peine déguisées de héros aux pratiques viriles impériales, et monarchiques. La crème du totalitarisme.
Me méfiant tout particulièrement de la sorcellerie continue bel et bien à faire des dégâts profonds, notamment sur les albinos et les enfants des rues (la maladie est conçue comme un sort ou une possession, la difformité de même, la différence).
https://susaufeminicides.blogspot.com/2012/01/retour-vers-le-futur-feminicide.html
Et comme indiqué à l'item MINE, mention spéciale aux ouvrières de l'armement en délégation virile.
Plutôt mal placés aux states pour faire de l'anticommunisme primaire envers les soviétiques, d'autant que désormais Staline plutôt à situer dans la droite ligne du tzarisme que du communisme ?
Après l'on s'étonne que ce sentiment de toute puissance entraînent des jeunes femmes imbues de ces icônes à agresser à tout va toute chèvre émissaire, désignée assaillante.
Pour l'air - 'Le Chant des déportés ou Chant des marais (en allemand Moorsoldatenlied, « chanson des soldats de marécage », ou Börgermoorlied, « chant de Börgermoor » ou Die Moorsoldaten) est l'adaptation en français d'un chant allemand composé en 1933 par des prisonniers du camp de concentration, pour détenus politiques, de Börgermoor, dans le Pays de l'Ems, en Basse-Saxe.' https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Chant_des_d%C3%A9port%C3%A9s
Pour les paroles - Le mouvement politique féministe, Mouvement de Libération des femmes
"Nous qui sommes sans passé, les femmes Nous qui n’avons pas d’histoire Depuis la nuit des temps, les femmes Nous sommes le continent noir....Refrain : Levons-nous femmes esclaves Et brisons nos entraves Debout, debout, debout ! Asservies, humiliées, les femmes Achetées, vendues, violées Dans toutes les maisons, les femmes Hors du monde reléguées. Seules dans notre malheur, les femmes L’une de l’autre ignorée Ils nous ont divisées, les femmes Et de nos sœurs séparées. Le temps de la colère, les femmes Notre temps, est arrivé Connaissons notre force, les femmes Découvrons-nous des milliers ! Reconnaissons-nous, les femmes Parlons-nous, regardons-nous, Ensemble, on nous opprime, les femmes Ensemble, Révoltons-nous !" Autorat collectif, voir MLF https://fr.wikipedia.org/wiki/Hymne_du_MLF
De maillons, sont faîtes les chaînes. Un clitoris ne vaut pas un gland ? ONU avec la complicité de l'OMS au complet, la tolérance de l'UNESCO, et l'appui des ONG occidentales qui ferment les yeux quand elles ne prêtent pas le bistouri pour procéder à l'exérèse féminicide- En fait, on ne sait pas quelle institution internationale et nationale n'est pas mouillée, FMI compris- Un clitoris ne vaut pas un gland !?
MAJ Depuis notre premier carnet Excision féminicide de 2012, la lutte contre l'excision a été précisée par les institutions onusiennes.
Une règle glandulaire - Les glands se multiplient comme des petits pains- De plus en plus de glands ?
Bien heureusement, il n'existe pas d'excision masculicide du gland. La seule égaliberté* possible, c'est qu'il n'y ait plus une seule excision féminicide, jamais, nulle part !
- Pour commencer par l'Egypte !
L'art égyptien reste remarquable, je dévore tout ce que je trouve sur le sujet depuis longtemps, et je ne me lasse pas de parcourir les tombeaux des dynasties, afin de mieux revenir dans le présent. Estimation de 223 excisions féminicides /heure dans le monde qui me pousse à toujours plus questionner ce pays entier qui continue à exciser toutes ses filles, et tous les dirigeants qui prônent le droit international et fustigent le moindre crime contre l'humanité sans qu'aucun n'élève le ton réellement ! - Imaginez si c'était tous ses petits garçons qui étaient amputés, juste gardée leur fonction reproductrice par quelque artifice... Une seule explication se dégage après des milliers de pages parcourues au fil des ans : L'aveuglement du système patriarcal !
"Aucune personne dotée de sensibilité ne niera que l'art égyptien ait corporifié l'essentiel." Howard Carter a Lord Carnarvon (lettre 1914), cité par Christian Jacq, L'affaire Touthankamon
Quand j'imagine qu'il s'agit d'une telle précision en art et croyance du 14ème siècle avant notre ère, pourtant que de retardement en Droit...
Et pourquoi de tous ces grands hommes qui ont séjourné tant et plus sur les lieux aucun n'a eu de commisération pour les fillettes mutilées ? POURQUOI - Pourquoi nos immenses archéologues les ont négligées, où sont leurs observations sur les momies excisées ?
Comment la métaphore de Maât peut-elle naître dans cet environnement ? Harmonie et droiture, symbole d'une telle puissance resté lettre morte. Sa plume dans les cheveux ne sert pas à compter les le nombre d'ennemis tués. A nous de la réanimer, nous en avons les moyens, désormais que nous avons rouvert nos bouches pour de vrai. La momification ne permettrait pas de discerner avec certitude de leur excision, mais toutes celles que l'archéologie fréquentait par ailleurs étaient excisées- Difficile de savoir de quand et de qui partit cette vilaine manie d'amputer les filles.
L'Egypte peuplé du Moyen Orient et non pas d'Afrique subsaharienne, en tout cas, pour les 90 momies dont l'ADN a pu être investigué au Nord. La thèse kémitique plutôt battue en brèche par la génétique. https://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9mitisme
".300 ans d’histoire de l’Égypte ancienne qu’ils ont couverts, le génome de la population est resté remarquablement stable et très proche de celle du Proche-Orient. Cela malgré les conquêtes et invasions." https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/archeologie-adn-dizaines-momies-egyptiennes-decrypte-67528/
"Toutemcombrant 1ère", - 170... ou plutôt Ta-Iset - On finira sur un bout-de-chou que l'on espère restée intacte
. https://www.youtube.com/watch?v=sz-9S5juZ7s
- GOGOLE*, n. f. de gogo (m/féminin 22/12/2015)
Des stéréotypes éculés au plus haut avec les voyages touristiques qui n'arrangent rien. Au contraire, le touriste d'avoir visité un coin ou un autre pendant une heure ou une semaine légitime des discours folkloriques des plus saugrenus. Une mention spéciale concernant ceux qui auraient la musique dans la peau.
Gitane aux castagnettes qui claquent en Espagne face au sombre gitan cambré. C'est comme un brand, il parait qu'il n'y aurait pas d'autre bon teint qu'ibérique, selon le touriste spécialiste en ethnologie de bref terrain ; et que toutes se conforment à l'image d'Epinal de l'orientale fantasque dansant aux mille et uns voiles qui hypnotisent gogos et gogoles*.
On imagine bien que ce ne seront pas des féministes qui croiront à ces billevesées. Gogo n'ayant pas son féminin, je l'en ai donc pourvu en bonne et due forme.
- "GUERRE INCIVILE"* à la place de guerre civile et guerre ethnique
Ne devrait-on pas appeler les guerres civiles, non pas ethniques comme prétendu pour certaines populations, mais inciviles pour toutes ?
J'affectionne la formule de Léa Gourdji, que j'ai reprise en main, histoire de faire un peu plus politique,
Les femmes ont inventé la politique quand les hommes ont inventé la guerre (11 août 2013) tiré de
"Les hommes ont inventé la guerre et les femmes la politique". Françoise Giroud, p. 12, Les Françaises de la Gauloise à la pilule
- GYNAGOGIE* (m/néologisme) - gynagogique*
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Pardon M. Le Prince, j'espère que vous ne m'en voudrez pas de ma légende :o) |
Moulé sur "démagogie", mettant "gynê", femme à la place de "demos" (peuple), non pas car nous serions substituables au peuple ou même un peuple (cela étant uniquement formules romantiques en poésie lyrique) mais bien car la publicité et donc la propagande idéologique masculiniste a compris que nous étions un bon segment depuis Bernays...
Devant la déferlante du mouvement gynagogique de types modernes et fraternaux* ;o) qui essayent de nous faire aimer notre condition bénie de petite culotte, comme, par exemple, le pornosoft des jeux de trônes et autres tarteries, je me vois forcée, obligée, d'avoir une pensée "émue" pour Ginette et ses princes, tous ces braves gars qui trépignent d'envie devant toute l'immensité de "nos privilèges".
Je me laisse aller à des métaphores et métonymies dont j'espère personne ne me tiendra rigueur. En tout cas, l'on voit que cette posture masculine moderne fait bien des émules.
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Pardon M. Kroll, j'espère que vous ne m'en voudrez pas de grabouiller... :o) |
J'ai écarté gynégogie me rappelant trop les gynécées ottomans de Constantinople, ma ville natale. Ainsi, de mon point de vue, la gynagogie*, qui me rappelle un autre mot que je me dispenserais de vous livrer -je vous laisse décauder- constitue une tactique de communication performative distincte de la démagogie. Insidieusement dirigée vers les femmes, sait bien leur faire prendre des vessies pour des lanternes.
"Documercial*" (m/néologisme) - Les "documerciaux" qui tournent en boucle sur les chaînes de télévision TNT ou pas (tévé web et autres fils) montrent l'aspect pédagogique et andragogique (gogisation des adultes) ; constitués de téléséries, documentaires biaisés, et téléréalités où l'on "informe" des tatouages, des opérations esthétiques, etc. et l'on voit immédiatement des personnes qui s'en parent comme de canons de beauté. Vendant du même coup produit et idéologie du pont ultralibéral. Tout est devenu publirédactionnel*.
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Ma destinée, Victor Hugo (1802-1885), dessinateur, 1867. Plume et lavis d'encre brune, gouache, sur papier vélin Paris, Maison de Victor Hugo, Inv. 927 © PMVP |
"en proie aux événements comme vous aux vents, je constate leur démence apparente et leur logique profonde ; je sens que la tempête est une volonté, et que ma conscience en est une autre, et qu'au fond elles sont d'accord ; et je persiste, et je résiste, [...] et je fais mon devoir, pas plus ému de la haine que vous de l'écume." http://expositions.bnf.fr/hugo/grand/005.htm
Le "genre" a tellement été utilisé à mauvais escient, phagocyté, cannibalisé par certains qu'il est comme un outil abîmé, un marteau démanché que l'on se prend sur l'hallux- Normal de mettre en index une histoire de gros orteil, écrasé.
3 262 jumelles passées à la loupe révèlent le gène gastronome.
Branche puînée du patriarcat, l'aînée étant hétéropatriarcat, du fait de la théologie testamentaire,
"Le terme patriarcat trouve son origine dans l'Ancien Testament et désigne l'étendue du territoire soumise à la juridiction d'un patriarche" http://www.cnrtl.fr/lexicographie/patriarcat -
N'ayant pas pour habitude d'utiliser "patriarcat" (terme marxiste féministe), malgré sa pertinence impertinente et confiscatoire mais plutôt système patriarcal. Bien que consolée ;) par l'anthropologie,
"Le patriarcat désigne « une forme d'organisation sociale et juridique fondée sur la détention de l'autorité par les hommes"
Partons donc de ce second socle, pour ma part et dans mes textes, je m'en tiendrais à penser le système patriarcal phallocrate, et donc viriarque, composée de structures patriarchiques de divers degrés adaptatifs. Et l'un d'eux, nouveau continent émerge à l'horizon, l'homopatriarcat*, qui se trouvait diffus dans l'antiquité et qui exige désormais le pied d'égalité entre pères, pairs et paires.
Il est devient de plus en plus présent qu'il s'agit d'un patriarcat redoublé. Contre l'"hétéropatriarcat" se sont dressées des rejetons qui veulent jouir sans entraves et désormais éviter pour la génération de leurs lignées patrilinéaires sans aucune immixtion d'autorité parentale maternelle la cohabitation de mixité. L'"ordre hétéro" très inégalement au gré des lieux et des temps montre sa violence contre l'homosexophilie masculine (resté avec le dix-neuvième coincée dans la polysémie trompeuse d'homosexualité) montre désormais fausse route. Le système patriarcal reste indissoluble et ne se résume pas à ses multiples appréhensions ethniques de l'orientation sexuelle. Plus spécifiquement et principalement pour l'Occident moderne, l'on voit que celui-ci souvent confondu avec les moralistes (patriciens puis pères religieux) se faisant fort de limiter les relations sexuelles entre citoyens, hommes libres, qui jusque là entretenaient de se servir sexuellement en imprimant leur marque tout d'abord par pédérastie. Il va sans dire que les pratiques occidentales actuelles se sont écartées de ce mode éducatif.
Nous ne pouvons que prendre acte de l'invention précisément datée des termes issus de la mouvance d'Ulrichs, constructeur social de parole juridique au travers d'une "théorie biologique" des Uraniens et Dyonisiens et du pamphlet de 1869 en allemand
homosexual et Homosexualität, du gr. homo, « semblable » et lat. sexualis, « sexuel » opposé à "normalsexuel" dit ensuite "hétérosexuel", Karl-Maria Kertbeny" Halperin, p. 15 http://fr.wikipedia.org/wiki/Homosexualité_dans_l'Antiquité
Urninge (uranien ou uraniste, d'Ourania, céleste Aphrodite), Dioninge, et Urninden- par un pamphlet attribué aux hétérosexophiles* un patron remuant en diable, Dyonisos, très masculin et viril à l'extrême, qui veut accréditer que l'Uranien et l'Uranienne sont de douces sexualités, alors que les Dyonisiens sont de sauvages orgiaques, ou n'est ce que son surnom de "le deux fois né" "δίογονος / díogonos", qui fonda ce choix ?- "Homosexualité" de 1869 entre en lexique français en 1894- En cela perdure une confusion qui ressortit de ce que l'espèce reste hétérosexuelle (valable pour tous ses membres, comme primates et mammifères, sauf si l'on recourait à la parthénogénèse, seule possibilité technique d'homosexualité) mais hétérosexophile, homosexophile* (bien que bisexophilie pourrait être assumée par le terme hétérosexophilie pouvant en faire office étymologiquement d'aimer les rapports sexuels avec les deux sexes comme d'entre les deux) pour ce qui est des affections (dites au sens large). L'histoire du terme conforterait donc le substrat essentialiste promu par le pape queeristique Ulrich à qui il est rendu unanimement hommage.
Par le néologisme hétérosexophile* et son homologue, homosexophile* qui me parait juste et sans détour pour aimer le même sexe, j'effectue un rapprochement de forme avec le grec moderne : "homophylophile : ομοφυλόφιλος" '(homo-, du grec ancien ὁμός - et phylo-, du grec ancien φυλο- : sexe et du grec ancien φιλώ (aimer /affection) - suffixe -phile, même. Dans le même registre des termes mal dosés, à noter également
"construction inversée dephilopaide (les lettres αι sont parfois retranscrites avec un e). Ce suffixe -phile est gênant car la philia (φιλία) grecque n'a rien de pervers. (...) Le francophile, c'est celui qui aime la culture française et non celui qui viole les jeunes Français !" http://www.lexilogos.com/etymologie_gay.htm
Ligne de mire de la communauté allosexuelle (queer) et de ses soutiens idéologiques de tous bords, appelés "alliés", comme il se voit bien dans le sigle l(esbiennes). g(ays). b(isexuels). t(rans). q(ueer). i(ntersexués). a(lliés) -énumération parerastique*- et plateforme ILGA. Point de départ de l'alliance : Le sexe est politique lesbianiste émerge là lorsque se forme le couplage uranien d'Ulrich :
"1904 (décembre): Allemagne : la féministe Anna Rueling encourage toutes les femmes à s'unir au mouvement des Uraniens. Elle voit des buts communs entre la libération de la femme et l'émancipation homosexuelle." http://www.lambda-education.ch/content/menus/histoire/chronologief.html
L'homme blanc hétérosexophile (tous les membres de l'espèce étant hétérosexuels au départ, sinon foin de la survie) colonialiste et capitaliste, serait désigné comme composant de l'hétéropatriarcat à lui tout seul (les autres phallocrates seraient tous des opprimés et devraient servir l'excuse ?), métonymique du patriarcat (rhétorique d'une partie pour le tout, qui n'est pas la vérité). Y participant et devant être honnies ses viles complices femelles bourgeoises sinistres égarées vues en tortionnaires indignes d'entrer dans le cadre des femmes défendues par le féminisme ? Rien n'est moins sur.
Il ne suffit pas d'excuser toutes les stratégies phallocrates sous prétexte d'homosexualité. Surtout que qu'est-ce qu'aurait donc à voir la lesbianité aphallique avec l'entre soi phallique ?
On laisse entendre que le lesbianisme aurait mené la politisation gay, alors que ne serait-ce pas plutôt sa propre instrumentalisation ? Confondre l'égalité dans la sexualité avec la sexualité entre personnes du même sexe ? Les couples gays comme lesbiens ne sont pas des modèles d'égalité, chacun à sa place, c'est bien connu. http://www.cairn.info/revue-francaise-d-etudes-americaines-2007-4-page-88.htm
Aucune injonction et assignation n'est supportable plus qu'une autre.
Hors de question de se retrouver sommée d'être lesbienne car le coït serait de mauvaise politique, alors que c'est la stimulation conviviale à la pénétration qui déclenche l'orgasme féminin. Ou que toute pénétration serait domination masculine dont consentement obtenu par tromperie (?) des hommes ? Ou que le plaisir construit de bout en bout selon des psychologues et des psychanalystes critiques ?
Au fond de ces thèses, où est donc cette si grande remise en cause de la psychanalyse, qu'elle soit lacanienne, jungienne, ou de type primaire freudien ? Il est tant pardonné au père théorique d'avoir permis à sa fille Anna d'être lesbienne et de reconnaître le clitoris en pseudo pénis, au point que Marie Bonaparte le chercha toute sa vie mise dans l'impossibilité de reconnaître en fac-similé...
Déplacer constamment un bouton de rose ne peut que le faner.
Le début de la fabrication de notre avoué consentement date clairement de 1922 articulé à la manipulation des attentes des suffragistes, voir également en item EGALIBERTE* :
"Walter Lippmann (1889-1974) – en dialogue avec lequel certains ouvrages de Bernays semblent avoir été écrits. En 1922, dans Public Opinion, Lippmann rappelait que « la fabrication des consentements […] fera l'objet de substantiels raffinements » et que « sa technique, qui repose désormais sur l'analyse et non plus sur un savoir-faire intuitif, est à présent grandement améliorée [par] la recherche en psychologie et [les] moyens de communication de massenote »" http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=21#chapitre7
Rappelons que mettre du contractuel dans le rapport sexuel en fait un commerce... Cela signifierait que le seuil de consentement des mineures à 14 ans permet tout commerce
- HUMOUR FEMINISTE (? ?) (3.08/05/13)
de DERISION à coupler avec IRONIE, ci-haut, évoquée en bref sur un exemple vu en affiche "Bal des 343 pouf" (ne pas oublier que le puff est le BMC teuton et que de cette époque d'occupation fût inventé pouffiasse)
Après avoir été à tour de rôle des gourdes, des cruches, nous voilà devenues des tabourets ? Que de subversion, pouf pouf pouf et collégram, tout cela n'étant affaire que de mobilier... C'était cela l'expression "faire tapisserie", celle pendue au mur, peut-être ? Reprise la "jolie" blague grasseyante des 343 de ce cher Charlie H. (non, pas celui de la télésérie Drôle de dames), qui risquaient la condamnation pénale par leur aveu d'un avortement- Voir les signataires d'alors dans l'article. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/homelie-dappel-la-violence-feminicide.html
En attendant, hop une jupe façon abat-jour pour MAM ZIC devant sa psyché.
Pouf de mille emplois - Et sur la tête encore... ! Pas que sur et sous les fesses, objet magique- Puff... Voilà maintenant vous saurez que cela signifie en allemand bordel militaire, aussi...
Identifier signifie reconnaitre une nouvelle arrivée administrative au sein de la nation. Et non pas les fantasmes ou phantasmes des unes et des autres. Il s'agit de ne pas confondre tous les sens du terme. La vision prospective devrait être devenue la règle, il n'en est rien grâce au droit jurisprudentiel anglosaxon qui suit les demandes individuelles au détriment du bien commun.
Nous n'utilisons jamais le terme identité en place de personnalité, comme il est à la mode en milieu sociologiste.
L'identité administrative garde une importance politique fondamentale, c'est à elle que nous nous en tenons. Nous n'avons pas non plus grand intérêt à glorifier l'identité collective, dite nationale, qui peut se dire autrement et ne peut découler de l'idée de sang patrilinéaire, ce qui jusqu'ici fût fait.
Les sans papiers - Alors que l'Afrique cherche à enregistrer ses naissances et cesser les abus aux droits de l'enfant de l'absence de certificat de naissance qui crée des gosses sans existence possible montre que la gageure inverse confine à l'anomie et au déséquilibre.
"Selon l'Unicef, l'Afrique enregistre 27 millions de naissances annuelles. Mais 55 % de la population africaine n'a aucune existence légale. Or d'ici 2030, l'ONU veut garantir à tous une identité juridique, notamment grâce à l'enregistrement des naissances »." https://www.bbc.com/afrique/region-42020068
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Bracelet à bulle de l'application ICivil |
Sylphidaction* / Négation de la parole de la mère parturiente par la SI (self identification) ultérieure - Cet abus du mot sert à l'auto identification de personnes qui s'offusquent de ce que l'on veuille rester fidèle à la réalité de leur naissance. Impliquant la déclaration à l'état-civil par la mère, la première constatant précisément le sexe de l'enfant nouveau-né avec sage-femme, médecin et éventuellement le père.
Ensuite à la protestation des femmes devant cette tentative de plagiat, négation de même, injures et bannissements pleuvant.
La réalité n'est jamais une insulte et la science, sa plus fidèle observatrice, non plus.
Ce ne peut non plus pas être une injure que d'appeler un enfant ou un adulte par les prénoms et pronoms que sa mère utilisent à la naissance en connaissance de cause -hors de rares cas d'hermaphroditismes, où la difficulté de nommer désoriente tout le monde-
Un grand amour des femmes au point de vouloir en être une ne justifie en aucun cas l'usurpation d'identité.
Suvie des poursuites à leur encontre pour les faire taire lorsqu'elles refuseraient d'appliquer le vocabulaire féminin à un homme -qu'il se prétende transexuel ou transgenre ou transvestie ou étant intersexué, ne lui permet en aucun cas.
Les institutions qui poussent à la roue de cet abus de condamner de s'opposer à des castrations symboliques et physiques entrent dans
une misogynie jusqu'ici jamais vue à ce point. A terme, le nez sur le guidon, celles-ci n'auraient pas vu que le désordre les mettra elles aussi cul par dessus tête ?
Si leurs conversions sexuelles, dites transitions (impliquant castration élective combinée, ou simple en masse) n'entraînaient nul dommage aux droits du sexe féminin et à ses membres accablés par les nouvelles règles qui leur somment de se taire ; et au Droit attaqué en ses
principes fondateurs comme la non rétroactivité, et les critères citoyennes d'état-civil dont dépend l'application, se débarrasser de leurs organes et attributs sexuels n'intéresserait personne.
Ainsi, vouloir s'amputer de son nez (qui pourtant n'empêche aucune fonction majeure) impliquerait un bouleversement juridique non seulement pour la majorité humaine du sexe féminin, mais aussi comme les "transitions" détruirait le principe d'intégrité du corps humain -une des bases des droits universels de 1789 et 1948- et de sa non patrimonialisation en droit français, notamment, ou organes et corps ne peuvent être possédés et commercés.
Statut de katogynie* (processus contre le sexe féminin à la base de dysfonctionnement des sociétés issues du système anthropologique viriliste et patriarcal) - La gynolyse* (effacement des femmes) à son comble par les
féminicides annihilatoires contemporains.
Le
principe d'inocuité, adaptation du
harm principle de 1923, avec celui de réprocité me parait bien négligé. Pourtant du haut en bas de l'échelle le "no nocere" manque au bataillon.
"Le harm principle (traduit principe de non-nuisance ou principe du tort) est un principe de philosophie politique et morale. Il énonce que la société ne peut contraindre un individu contre sa volonté que pour une seule raison : empêcher de causer du tort à autrui (to prevent harm to others)." Denis Ramond, « Liberté d'expression : De quoi parle-t-on ? », Raisons politiques, 2011/4 (n° 44), p. 97-116 https://fr.wikipedia.org/wiki/Harm_principle
Par quel passe-passe, la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 évince le magique article de 1789 ? La prochaine des celle des droits et devoirs universels va peut-être le réinviter ? Plus d'impasse sur "le principe d'inocuité"* !
L'article 11 en tint bien compte et l'on voit à quel point sur les réseaux la liberté d'expression sans retenue, sans principe d'inocuité, mord les fesses des plus faibles et des éternelles victimes, se vautrant dans les pires travers du sexisme, et des racismes.
"La Déclaration des droits de l'homme définit la liberté comme le fait de « pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » dans les limites de la loi (article 4). Or comme nous venons de le voir, l'article 11 consacre « la libre communication des pensées et des opinions » dans les limites « déterminées par la loi »." https://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2011-4-page-97.htm
Dans quelle buisson obscur et touffu, s'est-il caché ? Vivement qu'il revienne éclairer les pas de tous.
Histoire de débarbouiller le mot d'inconscient tout rendu méconnaissable, barbouillé par les brouillons et rodomontades de Sigmund, je propose de
remplacer philosophiquement "inconscient" par "insu".
"Calchas s’avance pour lui donner le coup mortel, tout annonce en lui le désordre d’un enthousiaste, qui s’imagine en répandant le sang obéir à la voix du ciel & désarmer son courroux." http://sites.univ-provence.fr/pictura/GenerateurNotice.php?numnotice=A5290
A visionner la "Commission assemblée nationale - Animaux de boucherie -Abattage rituel - 16 juin 2016", j'y ai entendu une incohérence de taille sur laquelle pourtant s'arc boutent certains prêtres radicaux (puisque ce mot est à la mode allons y - perso, je préfère intégristes) : pourquoi ne pas étourdir un animal, déjà peu éveillé, selon ces messieurs, autant l'épargner dans le doute par principe de précaution, non, ce serait plus humain finalement ?
http://www.assemblee-nationale.fr/14/dossiers/enquete_conditions_abattage_animaux_abattoirs.asp
Résumons - L'animal conscient (peu) n'a pas à être étourdi du fait de son statut de ce doute sur sa conscience, dixit les deux plus enragés sur le sujet, mm le rabbin de metz et moselle (expliquant que cela étant de traditions rabbiniques, droits fondamentaux religieux ainsi les droits des prêtres sont majeurs et écrasent les droits des citoyens ?), et le recteur de la mosquée de paris (que de circonvolutions pseudo biologiques pour parler de l'insensibilité animale) coupant la parole au rabbin conciliant qui allait parler de la possibilité symbolique de transformation du sacrifice... :(
Ainsi des pays ont interdit cette boucherie voulant vider à tout prix de son sang l'animal pour le rendre propre à la consommation- sang impur : vivent la Suède, la Suisse et le Danemark, les Pays Bas ? Vous allez déchanter, ça continue à pignocher. Au sein de la République laïque, voilà que le sacré religieux a pris une place de choix par des Rogations ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jours_des_Rogations
"La France elle permet, par dérogation, cette pratique religieuse. Dans les abattoirs français, ce seraient ainsi 25% des ovins et bovins qui seraient tués sans étourdissement préalable. Mais selon le rapport du Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux (CGAAER), le chiffre est beaucoup plus grand : "ce qui ne devait être qu'une dérogation s'est généralisé". http://www.maxisciences.com/abattage-rituel/abattage-rituel-les-pays-bas-abregent-la-souffrance-animale_art25062.html
A propos d'autres soutanes intégristes, j'ai cru en apercevoir une floraison pastel à Mantes la jolie... qui ont pourtant de bien mauvaises fréquentations fleuretant (ancienne forme de flirter) les jihadistes ? ah mais d'aucuns et certains diraient qu'il faudrait les excuser car venant en conciliation faire amende honorable au commissariat du lieu, menant leurs brebis voilées, pour se refaire des virginités avec des couronnes fleuries ? On peut comprendre que cela représente une vexation de trop pour Agamemnon & Clytemnestre accablés de douleur et la famille au complet :(
Frisant l'indécence car les accointances sont bien connues ? D'ailleurs qui est l'instigateur de la marche parallèle, pourquoi une seconde marche, pourquoi la scission populaire, voyons voir ce que trouvé sans beaucoup gratter le vernis :
".. président de l’AMMS, Abdelaziz El Jaouhari, sur la page Facebook de la mosquée convie ses congénères à de fort intéressantes conférences qui en disent long sur l’aspect « modéré » de l’islam pratiqué et enseigné sous sa houlette : https://www.facebook.com/amms.mosqueemantessud/timeline
Un certain Abdellhatif Hmito, imam à la mosquée de Oissel, a été invité à répandre la bonne parole à la mosquée de Mantes-Sud en novembre et juin derniers. On pourra se référer au site Islam mine l’Europe pour savoir qu’à l’évidence les prêches du sieur Hmito s'aligne sur la ligne des mosquées UOIF les plus radicales : « Les responsables de l’AMO dénigrent l’Occident et ses valeurs, adepte du « double langage et la duplicité » en cultivant l’art du mensonge, et glorifient la moralité de l’Islam, ainsi que le port OBLIGATOIRE du Hijab » http://islamineurope.unblog.fr/search/mosqu%C3%A9e%20de%20Oissel
Sur la page Facebook du prêcheur d’Oissel https://www.facebook.com/abdellatif.hm on trouve la photos d’un certain Sheikh Abdullah bin Bayyah , dont il vante les « paroles en or ». Ce sinistre barbu est un islamiste radical, vice-président de l’Union Internationale des Savants Musulmans, grand ami de Al Qaradawi, why-was-radical-muslim-scholar-sheikh-abdullah-bin-bayyah-white-house : « Bin Bayyah is vice president of the International Union of Muslim Scholars, a group founded by Egyptian cleric Yusuf Qaradawi — a Muslim Brotherhood leader who has called for the death of Jews and Americans and himself is banned from visiting the U.S.” Anonyme
"MAGNANVILLE - PERQUISITION DE LA MOSQUEE DES MUREAUX Le Parisien nous fait justement remarquer aujourd'hui que la mosquée de Mantes-la-Jolie a manifesté massivement contre les meurtres odieux de deux policiers la semaine dernière.Ce qui m'étonne, c'est que personne, pas même ce journal, qui avait pourtant relevé les faits en novembre dernier, ne s'interroge sur la réaction d'une autre mosquée, celle des Mureaux, perquisitionnée dix jours à peine après le Bataclan, pour suspicion de salafisme. Pourtant, l'un des deux officiers de justice abattu, le commandant de police Jean-Baptiste Salvaing, travaillait bien à cet endroit.Règlement de compte ou bouc émissaire ? Les faits sont là, une fois de plus, on passe sous silence des éléments pourtant importants pour comprendre ce qu'il s'est vraiment passé, d'autant que, selon RTL, deux policiers des Mureaux seraient, eux aussi, ciblés par des proches de Larrossi Abballa. ... " https://www.facebook.com/laurence.taillade/posts/10209175887011129
Et complément d'infos - L'Isère vit le premier Hervé égorgé rituellement (Cornara) qui ne soit pas trahi à l'étranger (comme Hervé Gourdel, par son guide et ami, ou d'autres anonymes disparus.
http://www.radioscoop.com/infos.php?id=118747
Heureusement que plus d'égorgement d'Iphigénie, et que plus personne de sang impur ne se goberge ! Il n'en reste que des tableaux. Couac... quoique...
- IRONIE & son point ⸮ (qui ne peut plus rester de côté)
Je ne puis plus vivre sans lui, j'en suis dingue &:) Il a une touche, ce touche à tout génial- Dormant comme la belle au bois depuis plus de deux siècles, il serait grand temps qu'il figure avec son petit pois en typographie de nos claviers - Rien que pour le nom du gars qui l'a proposé, je dis ouiiiiii à son long nez qui me plait au plus haut point !
Voilà donc brevet qui enrichit notre verbe de
barjotte. Verlan parlant
http://monsu.desiderio.free.fr/curiosites/verlan1.html
Au passage, je vais vous dire qu'il me semble que voilà bien l'étymologie de barjot, qui ne serait nullement affaire d'amiral mais peut être référence à cet inventeur génial tout azimut de Jobard le Barjot.
Plus pointu que le point d'ironie, encore... la pique de mon stiletto fatal : Du coup, par mon talon, je décrète mettre en caractères numériques, en l'honneur de Jobard (1841) inventeur stylistique et typographique de l'émoticon, l'ironicon* ! Agnès B. et son journal exhume Alcanter, et je réanime Marcellin :o) http://www.jobard.eu/spip.php?article34
Voilà donc brevet qui enrichit notre verbe de
barjotte, verlan parlant
http://monsu.desiderio.free.fr/curiosites/verlan1.html
Au passage, je vais vous dire qu'il me semble que voilà bien l'étymologie de barjot, qui ne serait nullement affaire d'amiral mais peut être référence à cet inventeur génial tout azimuth de Jobard le barjot
⸮?
http://fr.wiktionary.org/wiki/barjot
Le trotskysme britannique islamo leftist ne s'est pas aperçu que soutenir une religion, un patriarcat religieux, n'avait rien de féministe, ni progressite.
"Pour Leyla Arslannn, l'idée d'islamo-gauchisme, d'origine anglo-saxonne (islamo-leftism (en)), consistait à l'origine à soutenir « que l'islam peut contribuer à faire émerger un souffle révolutionnaire ». C'est alors un terme technique et descriptif de science politique, qui relève du jargon universitaire.
Selon elle, c'est Chris Harman, le dirigeant trotskiste du Parti socialiste des travailleurs au Royaume-Uni qui, le premier, affirme dans son article The prophet and the proletariat (en 1994) que « les islamistes, en reprenant la vulgate anti-impérialiste, construiraient des groupes sociaux importants dont la colère devrait être canalisée vers des objectifs progressistes » (...)
Le terme islamo-gauchisme est employé, en 2002, par l'historien des idées Pierre-André Taguieff dans son ouvrage La Nouvelle Judéophobie. (...)
Leyla Arslam est docteur en sciences politiques, diplômée de l’Institut d'études politiques de Paris et de l’Institut national des langues et civilisations orientales...'' https://fr.wikipedia.org/wiki/Islamo-gauchisme
Certains arguent que l'expression serait raciste. Liant la religion au peuple d'origine comme le Tzar Niki,ou le Kayser Willy, en féroce chrétien le concevait contre "la race déicide" ? Comment l'Islam englobant centaine de nationalités serait considérable en lignée, d'autant que qui fait encore le collage entre Arabie et islam ?
Par ailleurs, la comparaison faite avec le bolchévisme parait mal venue, les Soviétiques n'ayant pas privilégié ou soutenu la religion israélite mais bien déjà plutôt marchant sur des oeufs avec le patriarcat islamique. Jean Comtois,. L'URSS et l'islam. In: Politique étrangère, n°5-6 - 1948 - 13ᵉannée. pp. 457-472.https://www.persee.fr/doc/polit_0032-342x_1948_num_13_5_2839
Claque au mythe matriarcal, je ne peux qu'approuver en tant qu'ethnologue dans une autre vie, la confusion vient du XIXe de supposer que matrilocalité ferait matrilinéarité et matriarcat.
"Éclairer des concepts, mettre des mots sur les réalités, participer à la construction d’un savoir qui permet d’y voir plus clair, qui permet de développer des forces pour mettre fin à l’oppression que vivent de nombreuses femmes : sans mots ou avec les mots, les possibilités de réflexions ou d’abdication sont en jeu." -http://www.barricade.be/IMG/pdf/2013-nicole-universel_patriarcat_et_legendaire_matriarcat.pdf
Ainsi, c'est dit, toutes les raisons d'adopter le mot réel des féminicides, n'est-ce pas ? Alors donc pourquoi continuer à faire comme s'ils n'existaient pas, s'accrocher désespérément à la vieille définition juridique britannique on-ne-peut-plus naturaliste de Corry ?
A) - synonyme de virginité ou Hymen de virginité -catégorie "Hymen politique" & VMA "virginité médicalement assisté" (mon néologisme) & GPA (gestation privée pour artistes et poètes)
Il y a trois cents ans (!), Buffon a prévenu mais qui en a cure ?
"Caroncules myrtiformes", "...le cas de l’hymen un cas caractéristique de confusion entre le physique et le moral : une croyance morale pour laquelle on a voulu trouver un fondement anatomique." Leclerc, Comte de Buffon, Histoire naturelle, générale et particulière avec la description du cabinet du Roy, tome second, 1749
http://www.buffon.cnrs.fr/citations/citation_read.php?id=8
"Ambroise Paré (env. 1510 – 1590) et Andréas Laurentius (1558-1609) auraient, d’après la version anglophone de wikipédia, affirmé que l’hymen est « un mythe primitif, indigne d'une nation civilisée comme la France"". https://blogs.mediapart.fr/barbara-strandman/blog/020209/l-hymen-mythe-primitif-indigne-d-une-nation-civilisee-comme-la-fr
Absent ou présent, l'hymen ne prouve ni l'un ni l'autre la virginité, ni l'un, ni l'autre la chasteté !
"La plupart des femmes naissent avec, mais il peut se déchirer facilement, ou ne pas saigner. Je connais également beaucoup de sage-femmes qui ont vu des cas de femmes vierges, pourvues d'hymen, mais enceintes. L'hymen ne prouve rien."
Actuellement, toute cette propagande idiote vient de ceux qui "se font du pognon" sur le dos des femmes encore une fois, ou pas loin ! "TOURISME MÉDICAL -Pour répondre à cette demande, des agences de voyage proposent aujourd'hui des voyages tout compris pour aller se faire opérer dans des pays comme la Tunisie. Pour 1 250 euros, l'agence assure une hyménoplastie, le trajet aller-retour et la pension. En effet, selon Nedra Ben Smail, ...à Sfax, dans le centre du pays, facturent l'hyménoplastie entre 600 et 1 000 dinars tunisiens, c'est-à-dire 300 à 500 euros."
VMA* - Virginité Médicalement Assistée - Et savez-vous qui soutient ces commerçants de bas étage dans leur escroquerie et mépris ? Devinez ! Vous ne devinez pas :
"depuis 2007, les autorités religieuses internationales ont émis une fatwa autorisant l'hyménoplastie. ...plus des trois-quarts seraient des "vierges médicalement assistées""-http://abonnes.lemonde.fr/societe/article/2012/07/06/l-hymenoplastie-une-seconde-virginite_1729088_3224.html
La pudicité prolifère partout et des médecins enfin s'élèvent contre la complicité médicale en la matière- http://www.journaldemontreal.com/2013/10/10/les-certificats-de-virginite-bannis-des-bureaux-des-medecins-du-quebec
Egalité du repucelage ! Recousez-les du gland... ! Trêve de baliverne...A la charnière du double hymen, à une époque l'on voulait proposer l'hymen de virginité, "tout juste capables de proposer la Virginité comme alternative au « masculinisme»", et désormais au tour de l'hymen de mariage, mais est-ce bien là alternative acceptable dans l'un comme l'autre cas, au masculinisme ? http://semgai.free.fr/contenu/textes/bonnet/MJB_emancipation.html
Depuis bien longtemps, une angoisse sourde se perpétue du refus des femmes de se soumettre à l'hymen, avec ou sans inceste, qui permet de fonder sa lignée, sa descendance... Vous connaissez l'histoire des cinquante Danaïdes qui refusaient hymen et viol, soupçonnées de cannibalisme ? Femmes fauves, femmes sauvages-
"qui se sont vouées à la virginité sont menacées d’être prises de force. Comble de l’horreur, par leurs propres cousins germains! […] «L’oiseau qui “mange chair d’oiseau” n’évoque pas la conjonction incestueuse des identiques, mais la relation de quasi-fraternité traversée par une haine meurtrière." - « Quand le roi d’Argos, Gélanor, aperçoit pour la première fois les Danaïdes, il les confond au premier regard avec “les Amazones sans maris, qui mangent de la chair crue” ... (Vernier 1996a: 179)" - "Danaïdes aux seules Amazones, mais plutôt à une série de «peuples de femmes» (Libyennes, Égyptiennes, Chypriotes, Éthiopiennes), dont la virginité n’est en rien une caractéristique commune[" "De toutes ces femmes nommées par Pélasge, seules les Amazones ont quelque chose à voir, non pas avec la virginité d’ailleurs – les Amazones ne sont ni vierges ni prudes à ma connaissance –, mais avec le refus du mariage. " - "...un refus des jeunes femmes grecques en général de quitter leur condition et d’entrer dans les nœuds de l’hymen." p. 287-319, Laurent Barry, Hymen, Hyménée ! , L'Homme 3/2005 (n° 175-176) http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=LHOM_175_0287
Arrêtez les massacres au nom du fallacieux hymen ! C'est suffisant, on a compris, les mignonnes en ont plein les mirettes et nous avec- Gardez vos manies jalouses et hypocondriaques loin de nous- Nous sommes des êtres libres sans chaînes et sans hymens. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/12/hymens-de-feminicide-aggrave-au-yemen.html
Fin 2015, le Conseil de l'Ordre de la Région Midi-Pyrénées en 2015 a produit un ouvrage collectif sur la laïcité et les soins avec l'Agence Régionale de Santé & al.
'Le praticien qui accepte de réaliser cette intervention, considérée ni thérapeutique, ni esthétique, et au caractère éthique discutable, exceptionnellement liée à une démarche compassionnelle, met toutefois en jeu sa responsabilité et doit l’amener à vérifier sa couverture assurantielle spécifique. " http://ordmed31.org/actualites/article/soins-et-laicite-au-quotidien
Tout patient (de l'étranger, ou Françaises) devant être protégé et délivré de l'influence prosélyte car en égalité de toutes convictions -à respecter forcément dans la laïcité française- (Et qui sait, les patientes athées outrées de devoir supporter pourraient bien un jour demander des comptes... !) et que, de ce fait, des limitations à pratique religieuse peuvent être mises en établissement de santé au professionnel de santé... Ce qui ressortit de la dernière décision CEDH (aff. ebrahimian c/ france) ! cité ici http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/03/devoilez-vous-mesdames-une-fois-pour.html
FGM /MGF de 5e type - Comment se fait-il que personne, et aucune association féministe en vue, n'attaque pour faux exercice de la médecine qui perpètrent des actes discriminatoires qui détruisent les principes d'égalité des sexes - Il n'y a pas à tortiller l'hyménoplastie comme la labioplastie, est une infemmie, et je pèse mes mots !? pour deux pognons de plus, allez coudre des femmes est une mutilation génitale féminicide totalement idiote.
- B) - Hymen de mariage synonyme noces - catégorie "Hymen politique"
Tout y mène de gré ou de force. Tout est bon pour "faire famille" et asseoir "droit à l'enfant" depuis que queer en branle ultralibéral décréta qu'il fallait faire du droit français un droit pragmatique, qui doit servir les plats au service du "care" et se devait d'annihiler sexe et genre (serait manifestation fluide et modulable de mise en scène), pas de quartier.
L'érection d'un "homopatriarcat" parait des plus novateurs dans le cadre de l'hymen et ne remet en cause pas un cheveu du système patriarcal, hormis que les hommes se sont réconciliés entre eux après quelques siècles de rejet, encore une fois sur le dos des femmes.
Sans oublier qu'il fallait blanchir toutes les adoptions internationales illégales de pères attentifs en couple ainsi que faciliter l'application de la présomption de nationalité du parent qui permettra aux consuls de délivrer le certificat adéquat propre à permettre l'établissement du passeport français, entre autres choses, de régularisation des gestations pour autrui à l'étranger. Et de mettre en avant que des lesbiennes l'ont réclamé ? Histoire de justifier que la maternité n'appartient pas aux femmes ? Le deuxième sexe retourné comme un gant.
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"Quand les queers instrumentalisent les gays et lesbiennes pour affirmer que les hétéros sont des imbéciles aliénés par le sexisme et le patriarcat. .... photo : hétérosexisme, hétéropatriarcat, hétéronorme : stigmatisation queer des "hétéros" Anonyme
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"La liberté est un acte de responsabilité envers les autres, la liberté renforce celle des autres. La prostitution dite libre provoque la prostitution forcée. Le mariage entre adultes consentants provoque les mariages forcés. Donc le mariage n'est pas libre." Anonyme (amicale)
D'urgence, mettre hors d'état de nuire cet article 16 nous ferait grand bien à nos petites filles afin d'arrêter les viols nuptiaux féminicides aggravés. A noter au passage que la Charte onusienne fait deux erreurs de taille, elle croit aux races et que la famille de fondation naturelle, restée bloquée au XVIIIème ?
"Article 16. 1° À partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution." http://ledroitcriminel.free.fr/la_legislation_criminelle/textes_fondamentaux/declaration_universelle_droits_homme.htm
Le "3° La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État." montre, oh combien, cet article est la cheville ouvrière patriarcale. Car exprimer que cela est naturel, donc naturellement déterminé, c'est entendre que la famille telle qu'elle existe par le règne paternel serait inébranlable. Et en effet, la nouvelle famille ne change pas, ce sont toujours les pères qui distribue les cartes au poker menteur.
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Hymen mygaleux "Fragments de l'araignée" avec l'autorisation gracieuse de l'auteure Hélène Epaud / Lise Bouvet |
Tant que ce n'est pas une tarentule, on ne perdra pas la tête non plus... Une fois les hymens dépassés, maternité oblige. Billet distinct spécial à l'occasion de la disparition de ma mère, "Maternité en question" http://susaufeminicides.blogspot.fr/2015/04/maternite-en-question.html
- MECS - Au nom de la famille, il semble être de bon ton de maintenir des enfants victimes de coups et de viols de leurs parents en leur présence oO que ce serait bon à leur développement ? Ce qui parait au contraire propice à toujours les empêcher de s'en sortir. Que la victime aime son tortionnaire ne devrait pas entrer en ligne de compte, puisqu'elle n'a connu que cela, elle associe l'amour et la haine avec les coups, et la confusion entretenue perdurant ne peut la libérer de ses tensions et l'émanciper.
Rien de plus terrible et destructeur que de maintenir à se côtoyer violeur et violée, il y a de quoi devenir encore plus folle, juste au nom des liens de la sagrada familia ! Sans compter que cela ne peut que saper le travailler des éducateurs et animateurs sociaux dévoués, car il faut vocation pour faire quasi famille de substitution dans de telles conditions... ! https://annuaire.action-sociale.org/etablissements/protection-de-l-enfance/maison-d-enfants-a-caractere-social-177.html
Hymen renforcé - Le féminisme des années 70 finement remettait en question le mariage aux antipodes de la liberté, désormais la stratégie idéologique de certains a décidé de le renforcer encor.
Exemple de mariage queer transgenre de renforcement de la famille et du mariage hétérosexuel prétendûment rejetés par le queerisme- Où bien les théoriciennes se fichent de renforcer les institutions patriarcales, ou bien celles-là de méninge et discours bifide ? Mariage civil ou religieux toujours promesse de fidélité...
"Nous sommes passé aux yeux de la loi du couple gay au couple lesbien transgenre pour finir comme un couple hétérosexuel..."
https://doc.rero.ch/record/10749/files/Memoire_Delaborde_Lavanchy.pdf
Du grec ancien ἰχθύς = ikhthús « poisson » - Votre perspicacité aura remarqué de suite comment d'office je "virai" le "h", trop lourde, cela aurait été comme un coup d'épée dans l'eau - Le philosophe baigne dans l'"ictophobie" lorsqu'il s'agit de botter en touche sur tout ce qui touche à l'égalité des sexes, toujours très tolérant des dogmes abrahamiques brassant de la révélation prophétique et qui propagent le diktat de complémentarité des sexes avec inévitable rapport de "pudicité"*
Où l'on voit toute la contradiction de l'école philososphique ictophobe dans ses vaines tentatives de vouloir "noyer le poisson".. http://www.expressio.fr/expressions/noyer-le-poisson.php
Je ne vous apprendrai rien en signalant qu'accoler le nom de la religion de l'ictus au terme phobique reste un simple stratagème (près de me filer un ictère) affecté à réintroduire en droit le délit de blasphème. http://fr.wikipedia.org/wiki/Blasphème
En France sorti de main de maître avec la sodomie par la Convention de 1791. Sauf que l'affaire ayant été bien conservée par procédé de choucroute, il s'agirait de garder l'oeil aussi vif que poisson frais sur étal, si l'on ne veut as se faire avoir au tournant ! http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article1258
Après l'ictophobe générique, d'autres naissent comme "protestophobie". http://quebec.huffingtonpost.ca/jerome-blanchet-gravel/le-mythe-du-racisme_b_4229161.html
On peut aussi varier les plaisirs, ajoutons "anatidophobes*". Très adaptées aux milieux acqueux..., elles suscitent l'ire, "canard[e]s de surface (genres Anas, Aix, etc.) ;
les canard[e]s plongeurs (genres Aythya, Netta, etc.) ; les canard[e]s piscivores de la sous-famille des merginés. Certain[e]s d'entre eux sont des canard[e]s marin[e]s." http://fr.wikipedia.org/wiki/Canard (en souvenir d'une conversation de fil, où une commentatrice féministe suggéra de laquer le canard)
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Souricettes taquines :) |
Pour avertir que l'avalanche de réactions, en provenance de démocraties pilaristes sécularisées qui veut classer en peur pathologique toute critique est en train de gangrèner à présent la république de démocratie sociale laïcisée ...
Il serait peut être temps que les puritaines cessent de pathologiser toute adversaire et que les phobies soient bannies du champ juridique !?
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Rajesh Panwar, Grandala bleus (Grandala coelicolor) Mâles bleus |
Les grisettes ne deviendront pas bleuets par la force de l'invocation. Nier la différence sexuelle, soit indifférencier l'être humain, diminuant l'impact sexuel (minimiser ce sexe que l'on ne saurait supporter)
, ne portera pas les bons fruits politiques que certains prétendent.
La parité représentative ou de nomination, exigence féministe recommandable, en train d'être détrônée ou submergée par une parité de résultats professée par erreur et qui n'est en rien évolution ou progrès.
Si l'indifférencialisme* s'imposait, il faudrait atteindre en baissant le quota de la parité refouler des individus de sexe féminin ?
"réalité canadienne, ont montré que pour 100 femmes qui...
– s’inscrivent à l’université, on compte 73 hommes ;
– obtiennent un diplôme de médecine, on compte 90 hommes ;
– sont itinérantes, on compte 154 hommes ;
– sont alcooliques, on compte 200 hommes ;
– décèdent entre 25 et 34 ans, on compte 232 hommes ;
– décèdent d’un accident de travail, on compte 1294 hommes ;
– se trouvent en prison, on compte 1333 hommes.
La parité démographique n’existe nulle part ! D’ailleurs, au nom de quel impératif sibyllin faudrait-il que les femmes et les hommes soient toujours numériquement égaux ?" https://www.journaldemontreal.com/2020/01/17/delire-de-neofeministes
A savoir que le titre de cet article comporte un terme faux. L'indifférencialisme* nullement du néoféminisme pour deux raisons terminologiques ; le néoféminisme se disait de la 2ème vague, et la minime partie de la 3e vague qui renie tous les fondamentaux du féminisme pour le réduire à de l'identitarisme relativiste représente du post-féminisme.
Autre illustration de glissement indifférencialiste* - Climatère ,
Quant à créditer les femmes de pouvoir ou au pouvoir de meilleures intentions, cela parait bizarre. On a vu des Tatcher, Marcos, toutes reines guerrières, prêtresses, et autres amazones, prêtes à détruire avec le même acharnement que leurs prédécesseurs... On doute donc de ce que la proportion féminine améliorerait la mentalité des gouvernements. Le féminisme comme dit très justement c'est aussi avoir une proportion d'incompétentes, donc parmi les incompétents. Si les lois et par conséquent les sociétés n'ont pas évolué, vous pourriez mettre toutes les dames de la création en place des adams que vous n'auriez pas plus la paix.
Cette ornière a été creusée par un première erreur qui fait partir en sucette toute réflexion de faire partir l'émergence d'une chose ou d'une idée uniquement à compter de la profération du mot. Un remake de la vision créatrice des jeux de mots religieux, sur pierre je construirai mon église, et de la performativité du langage.
Nombre d'actes existent sans être nommés
:) Les choses inconnues de certains vont sans nom mais vont tout de même, ou ne vont pas du tout. Par exemple, le viol a toujours existé et pourtant encore certaines langues n'ont pas le mot pour dire
:( Il n'y avait pas de féminicide avant 1801 en Angleterre et en France en 1853, ou d'homicide avant 1150 "Étymol. et Hist. Ca 1150 subst. omicide..."
A des écrits qui se voudraient féministes mais ne sont que post féministes, on va devoir si cela continue l'arrêt des dépistages d'ostéoporose à la ménopause (arrêt des règles), des cancers des seins, au motif que les hommes aussi ont des deux -de plus que la prévention passe à l'as, plus un médoc préventif pour les vieux qui soit remboursé
:( ; et autres égalisations comme dans le Code du travail la même charge pour femmes et hommes, sans tenir plus compte de la taille et corpulence moyenne plus basses des femmes, et plus d'interdiction de travail de nuit imposées par l'UE...
L'égalité des sexes des lois féministes, c'est aussi la protection des spécificités du sexe féminin, en toutes circonstances, y compris petite enfance, prépuberté, puberté, grossesse, ménopause, vieillesse.
Différences sexuelles jusqu’ici niées par les essais pharmacologiques, bien heureusement, ce sexisme en passe de reculer puisque désormais on vérifie enfin que les produits inopérants sur les femmes, ou néfastes, fonction du sexe, il y a donc bien deux maîtres étalons. Aucunement bicatégoriel, il y a peu. Ou bien elles étaient inventées, ces différences, donc de sexisme total et là il s’agissait bien d’"affabulations sociales" qui sont à nouveau en train de proliférer mais sous une nouvelle forme.
Ce serait comme nier les règles, confondre le phénomène biologique avec toute construction sociale mène au mur antiféministe. Evidemment, que tout a conséquence sociale avec des éléments de reconstruction mais à la base la ménopause est biologique, plaisante pour d'aucunes, détestable pour d'autres, et pour d'autres au milieu indifférente. Et les membres de la gent masculine en ont l'idée que les femmes leur en donnent et manifestement certains affabulent par dessus. Et bien sur que si que la ménopause est subie comme les menstruations par tout individu de l'espèce humaine de sexe féminin. Entre le titre et la première phrase qui laissent planer un doute stérile, il y a de quoi s'arracher les cheveux qui ne doivent pas non plus être expérience universelle si l'on va par le biais.
Le risque ajouté du climatère féminin "(1554) Du latin climactericus, du grec κλιμακτηρικός, klimaktêrikos, lui-même dérivé de κλιμακτήρ, -ηρος, qui signifie « échelon », « degré d'une échelle ", spécifique déficit d'hormones féminines reste bien réel en son impact décisif sur le vieillissement. L'andropause de loin moins ressentie par tous les hommes et à peine critique, alors que la ménopause présente des troubles bien plus largement remarqués par bonne partie des femmes. Celle-ci est donc réellement critique différemment selon le sexe avant même que quelque affabulation sociale y soit associée. Tout de même, faudrait pas pousser mémé dans les orties.
"L'apprentissage de la surveillance du corps, qu'il s'agisse des menstruations ou de la gestion de la contraception du couple, pèse surtout sur les femmes.”
Il faudrait savoir, ou la surveillance du corps réservé aux femmes (ce qui est tout de même quelque peu logique de se soucier de soi même), ce qui est indiqué dans l’article, ou c’est la domination patriarcomédicale mais pas les deux.
“Ménopause sociale”, vaine découverte ! Etant baignées dans des sociétés tout état et acte sera forcément fonction des normes sociales, ou coutumes.
De plus que “construction sociale”, une formule qui évoque architecture, technique, plan, délibération, alors que tout est de bric et de broc… ? En tout cas, aucune femme ne vit seule au monde avec ses propres règles indépendante. Forcément et de même, ce que dit cet article est une nouvelle construction sociale, pour le coup délibérée.
La science ce n'est pas tordre ou omettre des éléments précis pour prouver son hypothèse, cet article totalement ethnocentré et l'ouvrage également selon ce qu'il rapporte, et c'est bien dommage.Triste de voir cela imprimé chez "recherche scientifique". Le Journal du CNRS n'est pas censé représenter une feuille de chou politique.
De même que "être fertile" et tout à fait différenciable "de se sentir", que les Japonaises se sentent en tant que grand mères fertiles jusqu'à la mort n'enlève rien à la réalité de la ménopause, terme qui traduit un état physiologique certain.
cf. Titre et introduction = "Loin d'être une expérience universelle, la ménopause serait aussi une construction sociale qui, en mettant en scène le vieillissement féminin, éclairerait les rapports sociaux de sexe en Occident. Entretien avec la sociologue Cécile Charlap, auteure d'un livre sur la question.
On découvre dans votre livre, La Fabrique de la ménopause (CNRS Éditions, 2019), que le terme de ménopause a une date de naissance assez récente, 1821, et un lieu de naissance, la France. Quel est le contexte de sa création ?
Cécile Charlap : C'est un médecin français, Charles de Gardanne, qui invente ce terme dans une période d'intérêt grandissant pour les maladies des femmes. À partir du XVIIIe siècle, dans le contexte de renouveau des Lumières, avec l'essor de la science naturelle, des catégorisations, de la rationalité, on voit s'affermir une pensée bicatégorielle du corps, avec un corps féminin et un corps masculin perçus comme des entités différentes et opposées. Jusqu'alors, le corps féminin était pensé comme une version moindre du corps masculin mais sur un même continuum. On employait par exemple le terme « climatère », hérité de l'Antiquité, pour désigner ce moment de crise du vieillissement humain, donc pas du tout propre aux femmes ni centré sur la cessation des règles et de la fécondité." https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-menopause-est-elle-une-construction-sociale
Colonisation de l'intimité féminine, investie publiquement, confisquée, supprimée... ? Réflexion inspirée par les lois qui exigent que des hommes soient accueillis sans broncher dans des lieux d'aisance intime, ou des refuges de protection.
L'expression "minorités de genre", de pure fashion transiniste typiquement queeristique, apparue à l'appui de ce grignotage.
Quel exemple parlant, en groupe prétendu "non mixte", jeunes femmes s'exprimant intimement sur leur orgasme devant des transvestiten (se disent femmes, ont parfois obtenu administrativement le changement du sexe administratif, ou sans, ou se disent de sexe masculin) ? Minoritaire crée tous les droits, même les plus absurdes ? http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1507118-reunions-non-mixtes-a-nuit-debout-sectaires-non-elles-liberent-la-parole-des-femmes.html
Puretés féminines - On remarque que l'"intimité" par des religieux peut être prise au sens corporel et qu'ainsi en même temps cachée, confisquée, mais autrement, et en même temps exhibée, puisque le voilisme à compter de la fécondité.
C'est à dire les ménarches de la fillette clament à tue tête que les marieuses peuvent agiter leurs réseaux pour que l'hymen advienne puisque l'hymen intact, offert à l'endogame tribal.
L'"intimité" décrétée par les curés n'est pas de notre ressort, on dirait même qu'elle être repoussée sous le lit avec les moutons. L'awra qui dit la femme découverte haram, et l'entortille dans une tutelle inexpugnable.
Pupa, latin, représentation humaine
D'où vient dans les classes ouvrières et moyennes la manie douteuse d'acheter des poupées aux filles, de soi-disant préparation à materner, maternité, couvade ? Mal les préparer à la maternité... pour mieux les culpabiliser ensuite ? En France, on peut dater cette vulgarisation -que l'on va bien sur prétendre démocratisation ?- du jouet sexiste* de 1920.
Les poupées bourgeoises sont notées dans Les misérables, comme un rêve de petite fille... le père s'imaginant que crinolines soient l'idéal des siennes ? Pour quelqu'un qui prônait l'égalité, sa critique ne s'est pas aventurée dans le modelage ludique à la galanterie...
En face, les poupées pour garçons existent : Bonhomme de métiers et héroïsmes "d'homme", pompier, mannequin, figurines diverses mais qui ne sont pas appelées poupées pour autant mais qui ne sont pas moins.
Je ne m'étendrai pas -ce n'est pas le lieu- sur les caricatures que certaines marques de jouets ont introduit sur le marché, qui poussent à l'anorexie quand ce n'est à la prostitution, par une sursexualisation* outrée de la poupée, et donc de la fillette qui s'identifie et s'imprègne de cette représentation active de la princesse attendant son prince... Le mode aristocratique inculqué à toutes sans exception. Il reste toujours bon de relire Belotti à ce sujet et bien d'autres propos éclairés. http://www.justedesmotsquinousressemblent.com/categorie-10461483.html

Balayées les petites ingénieuses, vite on efface et prend le contre pied du faux soutien féministe de Rosie la riveteuse. Ils n'ont pas même pris peine de changer leur fusil d'épaule, voyez comme même son prénom préfigurait l'arnaque.
La déferlante rosifiante de lolitarisation sursexualisante des petites filles à la sauce pastel princesse-du-bois-saint à l'oeil-de-manga larmichant a-t-elle fait oublier le sursaut de conscience des années 80 et tué l'intelligence des créateurs ainsi que rogné leur sens esthétique ? La beauté tellement réjouissante de cette photographie empêche de saisir les raisons pour avoir abandonné ce type de communication évoluée. Ah, cadeaux du réveillon, que de délicates attentions... Jolies illustrations de lettrines. http://www.cnrtl.fr/etymologie/cadeau
Slogan de manif' féministes des années 70 : "Nous ne sommes pas des poupées !"
En 2014, et alors qu'en 1970, l'on scandait "nous ne sommes pas des poupées", bien consciente de l'apprentissage des femmes verrouillées au foyer dans un seul et unique rôle qui plaisait aux géniteurs, maternité et ménage, kinder, kitchen, kirche) il suffisait de chercher sur Toile par gogool "poupée hijab" pour qu'apparaissent des des modèles discriminatoires de pudification* des petites filles, donnant enseignement contraire à l'égalité des sexes de la banalisation et intériorisation de leur impureté aux petites filles -qui devraient donc être saisies, des jouets racistes ne seraient pas tolérés un seul instant mais sexistes ne posent aucun problème ?- vendues dans le 11ème arrondissement de Paris sans que personne ne s'en offusque... la troisième e-doll est londonienne ! http://geopolis.francetvinfo.fr/bureau-londres/2014/12/19/les-premieres-poupees-islamiques-sans-visage-en-vente-en-grande-bretagne.html
Récitantes du quran en arabe, quelle sourate, celle des femmes soumises ? Marque d'infériorisation et de sexualisation des fillettes (le voile est signe de l'impureté essentialiste des créationnistes tout de même, et bannir la tentation et en faire de bonnes dévotes soumises, et ne pas culpabiliser les garçons au sexe incompressible :) à proscrire ! Et favoriser les conversions avec une blondinette aussi ? Les magasins de jouets sont sans vergogne, quand va-t-on les saisir ?! Pourquoi ce fâcheux favoritisme et tolérance envers les traditionalistes sexistes ?
Imaginez des magasins qui vendraient des poupées chrétiennes fondamentalistes, bible au clair, récitant un petit truc sur la soumission conjugale (au lit), le tollé immédiat et véhément !? Non seulement, les fillettes et les femmes sont traitées comme moins que rien à voiler, bander et soumettre mais, de plus, sont attribués aux musulmanes et musulmans d'office des pratiques sectaires des salafs et des tablighs fondamentalistes ? Jusqu'à quand faut-il se laisser attribuer les pires caractéristiques ?
Il serait temps que certaines portent plainte pour usurpation religieuse ! Ni jeu éducatif, ni tant musulman (sectaire, sexiste), c'est une escroquerie, portez plainte, nom d'un bouquetin. Ne vous laissez pas discriminer ainsi. Cela étant de rapport évident à l'item INTIMITE
Je peux d'autant mieux mettre toutes poupées aux chiffons que j'appréciais particulièrement les livres dès toute petite et n'ai gardé aucune en mémoire émue... On avait tenté de me refourguer une dînette et des poupées, sans grand succès. https://macollectiondepoupees.wordpress.com/tag/anne-marie-porot/
Cela m'a intrigué car la revendication de certaines inclusives intersectionnelles américaines allaient à réclamer de l'absence de poupées noires et de l'effacement des organes génitaux, alors que finalement les deux existaient. En cherchant la Bella en question et repensant aux fonctions des jouets, je suis tombée sur des baigneurs sexués.
Ainsi que sur des poupées explicites, sans secret sur leur sexe, pas si bégueules que le voudraient faire croire ceux qui ne connaissent que l'ère victorienne, c'est-à-dire le puritanisme anglosaxon ? Les Poupées Royales de la cour de Louis XVI, de F. Theimer, Ed. Polichinelle
http://marie-antoinette.forumactif.org/t3748-poupees-royales-a-la-cour-de-louis-xvi
Le Carême ou le Vendredi saint du poisson obligé ont fait long feu car ces rituels alimentaires à tabou de nourriture ne sont plus imposés depuis la sortie forcée des congrégations et leurs écoles confessionnelles a desserré la tenaille catholique sur la société et en particulier sur les athées et autres croyances qui faisaient profil bas puisque sous la férule de la grande soeur... et l'école laïque pour les enfants des deux sexes, et de toutes classes socioprofessionnelles et origines