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19/03/19

Le club des 8 en 48

Déclaration originale double en français et américain  - La Déclaration universelle des Droits de l'homme de 1789 -socle constitutionnel français- servit de piédestal à deux autres.

L'une contiguë, écrite par Olympe secouant le cocotier des privilèges masculins que les révolutionnaires comptaient garder, et bien les seuls puisque ceux des clercs et féodaux devaient passer à la trappe. Et, une autre notre contemporaine en original français des Droits de l'homme de 1948.

"Le texte du préambule et de la déclaration est inamovible. Sa version en français, composée de 30 articles, est un original officiel, signé et approuvé par les membres fondateurs de l'Organisation des Nations unies, et non une traduction approuvée."[0]
Gare au ravin, où elle serait jetée, du reniement historique de changer le titre d'un document historique original. Il n'existe historiquement et juridiquement que les Droits de l'homme, et non pas les droits humains, barbarisme. Une personne peut désigner un homme, tout comme homme peut signifier une femme, une fille, un enfant. Ceux-là devant bénéficier de protections spécifiques, qui tient à leur biologie. Le genre grammatical marqué ou non marqué n'a donc pas à être mêlé à cela, au risque de les démolir.
Comme choisir le qualificatif "humains" en traduction "de l'homme", c'est faire part belle au droit anglosaxon, individualiste, identitaire et jurisprudentiel, contre le droit français, universaliste, de bien commun. Tournant en épingle à cheveux du point de vue de l'anthropologie juridique. Le WASP du protestantisme des fondateurs américains puis les instigateurs de l'inclusivisme biblique ayant suscité les concepts d'identity et diversity et de langue inclusive se trouve probablement à l'origine de la position d'Eleanor Roosevelt sur la version anglophone, dont elle fit changer man's en human.

Nul besoin de modifier ou écraser la version originale française pour faire la part belle à une autre philosophie politique. L'on y remarque que les deux sens et étymologies respectives ne sont d'ailleurs pas non plus comparables. En rester là serait faire honneur au barbarisme de l'anglicisme, inutile de fait. Toute déclaration désireuse de renforcer la spécificité des droits féminins devrait se titrer clairement Déclaration des droits du sexe féminin puisqu'elle ne se peut réduire aux femmes et concerne immanquablement toutes filles. D'autant que les protections s'amenuisent pendant que les droits virils de se prétendre féminin à tout âge envahissent droits et espaces à elles dédiés et enflent. L'opinion commence à réaliser que les exigences de transdroits, alors que ce n'est que figure de style pour exiger ceux du sexe féminin, qu'ils n'ont pour sur pas -point besoin de vouloir atteindre les droits de l'homme que tout le monde possède déjà-

Elle ne fait que préciser en pendant la déclaration historique qui, elle non plus, n'est pas exclusive aux mâles adultes mais s'étend à toute personne.

En effet, en quoi un lexème serait sexiste, et le terme "homme", particulièrement ou en général lorsqu'il désigne l'individu mâle ou le mot, l'espèce humaine dite genre humain ?

En quoi les langues le seraient ou créeraient le sexisme ? A moins d'être inféodé à la notion quasiment magique (verbe fondateur) de Sapir, relativiste linguistique, précédent la conception performative appuyée à la théorie du prototype (des couleurs) invalidée, dont l'on est donc revenu. "Homme'" signifiant tous sans même besoin de majuscule. Plus de précisions en carnets SAF Citoyenne Olympe et SAF Grise querelle

Obnubilation - Voir toujours le mâle de l’espèce, père, frère, fils, dans "homme", alors que là surtout il ne constitue que partie d’une expression historique parlant de l'humanité et ses "droits naturels", relève d’une focalisation. Celle d'un "féminisme inclusif", carte nouvellement tirée par des idéologues américains, prétendant pourtant aduler MLF et Beauvoir, qui entretient l'idée sous-jacente que le féminisme historique aurait été ostracisant et "mauvais". Beaucoup de féministes ne la partagent pas -tout vient de de l'espèce d’”homo", enracinée dans “humus", de plus que les Droits de l’homme sont passés tels quels en 1948 et non pas mal traduits comme évoqués par le camp de l’anglicisme inclusiviste, qui en veut à la langue et au droit. Le suprémacisme américain emprunte des voies impénétrables mais faciles à percer à jour.
 
Après une longue étude approfondie, nous sommes resté fidèle au texte originel français de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 de la Charte des Nations Unies, sur laquelle sont bâties les conventions citées dans l'opus traduit, explicitement dite dès ses préambule et article 2, d'égalité des sexes. Ce qui lève tous soupçons à tous égards d'avoir oublié ou évincé enfants et femmes -ce qui est reproché par l'inclusivité anglosaxonne plus multiculturaliste (communautariste diversitaire) qu'universersaliste-

L'anachronisme et l'effacement du vocabulaire desservirait le féminisme du propos. La fidélité aux expressions historiques n'empêche pas un examen ultérieur d'établissement d'autres dénominations, pour d'autres textes juridiques fondamentaux, "Convention de l'humanité" ou  "Charte Universelle des Droits et Devoirs" -Y ajouter "de l'homme" ou de "l'être humain" serait lapalissade, désormais que l'on sait d'où l'on vient, du servage et de l'esclavage humains.

Qui de nos jours sur la planète ne se réclame pas de ces droits universels mijotés sur les fourneaux de l'histoire et de première marmite préparée par la Révolution française de 1789 et ses encyclopédistes des Lumières ?
  • Revendications féministes des huit prises en compte par le comité" rédacteur en 1948
"Droits de l'Homme", majusculé, comme la diplomatie française écrit pour éviter la prétendue masculinisation de homme. Ceux qui masculinisent ce titre vont contre la logique étymologique et historique du comité rédacteur mené par René Cassen juriste, professeur agrégé de Droit privé.[1]

résolution 217 Droits de l Homme
Extrait de la Résolution de la Déclaration universelle des droits de l'homme[Illus. 2]
Copie d'écran des documents officiels signés par tous les membres de rédaction

A g. - "Jessie Street (Australia) canvassed for language in the Charter that would make all UN positions equally open to women and men (article 8). Marie-Hélène Lefaucheux (France) – pictured above on the left – was behind the proposals for both the Declaration on the Participation of Women and the Open Letter to the Women of the World.
A dr. - Marie-Hélène Lefaucheux (assise), Présidente de la Commission de la condition de la femme, la Britannique Mary Sutherland et l’Américaine Olive Remington Goldman. Lake Success, New York, janvier 1948. Photo ONU/MB[Illus. 3]
De confiance, en particulier aux huit femmes manifestement féministes dont la contribution les situés inexorablement en égalité des sexes dans plusieurs articles. Il n'y a donc pas à revoir la copie sur le principe de l'inclusivité évangélique des Cady-Stanton ou de la relativité linguistique de Sapir, passé de mode et de pertinence, et du relativisme culturel et identitaire des Mead ou Money.

Notamment le deuxième article, où Marie-Hélène Lefaucheux insère l'idée de traitement égal du sexe féminin avec le masculin car les Droits de l'homme 1789 politiquement différentialiste ("discrimination positive" du rôle sacré de la mère citoyenne) entrave manifestement l'application des droits de l'homme.

Il n'y a donc nul lieu de parler de traduction sexiste. Les droits de l'homme furent bien rédigés en bon français, en tout cas par cette présidente de commission, ainsi qu'entériné par le juriste français en charge.

Faisant directement référence à un texte original en français dès la première heure et écrit sous leur vigie avisée de féministes à voir leurs contributions parsemant et structurant charte et déclaration, il parait difficile de faire anachronisme. Nous les saluons toutes ici,

La première sous commission née en 1946 -
As a finale to their last meeting at Hunter College, the Sub-commission on the Status of Women hold a press conference in the delegates lounge of the gym building. Left to Right: Angela Jurdak (Lebanon), Fryderyka Kalinowski (Poland), Bodgil Begtrup (Denmark), Minerva Bernardino (Dominican Republic), and Hansa Mehta (India), delegates to the Sub-commission on the Status of Women, New York, May 1946 https://www.un.org/fr/file/26733
 

Quant à celle, troisième, qui oeuvra directement à la Déclaration universelle internationale qui nous importe, voici ses membre et points d'apport :

1. Minerva BERNARDINO (République dominicaine) 
"rôle clé dans la campagne visant à faire apparaître "l’égalité des hommes et des femmes" dans le préambule de la Déclaration universelle des droits de l'homme. (…) plaidoyer en faveur de l’introduction des droits des femmes et de la non-discrimination fondée sur le sexe dans la Charte des Nations Unies, qui, en 1945, est devenue le premier accord international à reconnaître l’égalité de droits des hommes et des femmes"
2. Bodil BEGTRUP (Danemark)

"En tant que Présidente de la Sous-Commission de la condition de la femme en 1946, puis de la Commission de la condition de la femme en 1947, la Danoise Bodil Begtrup a recommandé que la Déclaration universelle emploie le terme "tous" ou "chacun" pour parler des titulaires de droits, plutôt que l’expression "tous les hommes.
-remarque de sens en Danois (?) et anglais et du point de vue du système de droit nordique (de type anglosaxon individualiste et jurisprudentiel) mais non pertinente en langue française et selon le système de droit moral romain-

3. Shaista IKRAMULLAH (Pakistan) 
 "En tant que déléguée à la Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles de l’Assemblée générale, qui, en 1948, a passé 81 réunions à discuter du projet de Déclaration universelle des droits de l'homme, la Pakistanaise Begum Shaista Ikramullah, "l’introduction de l’article 16 sur les droits égaux au regard du mariage, qu’elle considérait comme un moyen de lutter contre le mariage des enfants et les mariages forcés."

-remarque de ce qu'il s'agissait d'un progrès notable quant à la situation généralisée en Asie des enfants mariés, en particulier, des petites filles mais dont il n'a pas été assez apprécié l'application quant à l'âge de la nubilité qui ne signifie aucunement un "âge de maturité féminine" suffisant qui garantirait moins de danger pour les jeunes filles parturientes, la grossesse, l'accouchement -à la puberté, notamment, le squelette et le bassin ne sont pas encore pleinement développés-

4. Marie-Hélène LEFAUCHEUX (France) - En tant que Présidente de la Commission de la condition de la femme en 1948, introduction de 
"la notion de non-discrimination fondée sur le sexe dans l’article 2."

-remarque que la notion de "discrimination" parait anachronique, tant en droit qu'en langage commun, car elle n'a pris son essor que dans les années 60, issue du droit anglosaxon, et reste à double sens car la discrimination de fonction cognitive est utile et nécessaire -ne serait-il pas plus judicieux et exact d'utiliser le terme d'injustice ?-

5. Hansa MEHTA (Inde) 

De concert avec Eleanor Roosevelt, "On lui attribue généralement la transformation de la phrase "tous les hommes naissent libres et égaux" en "tous les êtres humains naissent libres et égaux" dans l’article premier de la Déclaration universelle des droits de l'homme." 
-remarque, en français, l'on peut laisser sans dommage, le terme "homme", malgré l'homonymie du mâle  humain- donc idem langue anglaise non pertinente en version française- cf. Bodil Begstrup Danemark et Eleanor Roosevelt USA
en effet, le genre grammatical masculin en français n'est nullement universel, mais non marqué et inclusif (issu des transformation des déclinaisons masculine et neutre du latin par les langues romanes) ; pas plus que le terme homme ou humain ne désignerait que les mâles du genre humain (homme)- l'intitulé français n'en a donc nullement été modifié, et pour cause, le juriste René Cassin à la tête de la commission ayant des lettres usant de la synonymie "de l'homme", synonyme "de l'être humain", ou "du genre humain", ou "de l'humanité", dont racine homo de toutes ces expressions françaises-

 « proclamant directement les droits de l’être humain au regard de tous les autres, à quelques groupes sociaux auxquels ils appartiennent les uns ou les autres ».

6. Lakshmi MENON Inde -

"déléguée de l’Inde à la Troisième Commission de l’Assemblée générale en 1948, a préconisé avec force la répétition de la non-discrimination fondée sur le sexe dans l’ensemble de la Déclaration universelle des droits de l'homme, ainsi que la mention de l’ "égalité des droits des femmes et des hommes" dans le préambule."

-remarque idem nouveau concept européanisé de discrimination (anachronisme en 48) cf. version originale française

7. Eleanor ROOSEVELT (Etats-Unis) - Connue pour son engagement envers la formule "human rights" en place de "man's rights" (qui ne dit que mâle personne) - "Homme" aurait pu être traduit par "human being's rights" mais les Etats-Unis avaient la main sur la version anglaise.

Les francophones maintenant en original la langue française ne s'y sont pas trompés au sortir de la guerre devant l'emprise américaine et ont maintenu leur formulation originale -l'homme, en l'occurrence, ne signifiant pas seulement les mâles de l'espèce humaine- Déjà explicité plus haut


8. Evdokia URALOVA (URSS Biélorussie)
"Grâce à elle, l’article 23 déclare que "Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal"[2]  

Article 23 states that "Everyone, without any discrimination, has the right to equal pay for equal work." Together with Fryderyka Kalinowska of Poland and Elizavieta Popova of the Union of Soviet Socialist Republics, she also stressed the rights of persons in Non-Self-Governing Territories (Article 2).

N'oublions pas non plus la précieuse première déclaration connue précisant, puisqu'il en était besoin que le terme homme, espèce humaine, genre humain, compte d'évidence le sexe féminin citoyen, qu'elle paya de son décollement ainsi que son soutien royaliste. cf. Declaration of the Rights of Woman, 1791,Written by Olympe De Gouges[3]

Retour aux sources et respect à nos aïeules - La trahison consisterait à déformer leur propos très clair et à le traduire à l'américaine...Si il y avait besoin d'une nouvelle dénomination maintenant que la confusion semée par cinq cents traductions, nous avons proposé droits de l'humanité, ou droits et devoirs. Mais celle historique ne peut être déformée au gré idéologique. Cf. Explications et références[4]

Extrait de la vidéo youtube ONU.Info qui célèbre la contribution de huit femmes, décembre 2018
Après les Conseils ci-dessus, voici le Comité de rédaction de la Déclaration universelle, andronée* majoritairement anglophone, présidée par une Américaine parmi ses neuf membres :

Rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l'homme, Charles Habib Malik (Liban), Alexander E. Bogomoloff (URSS), Dr. Peng-chun Chang (China), Peng-chun Chang (Chine), René Cassin (France), Eleanor Roosevelt (États-Unis), Charles Dukes (Royaume-Uni),William Hodgson (Australie), Hernan Santa Cruz (Chili), John Peter Humphrey (Canada)

Qui trahit son socle fondateur universel en personnifiant plutôt que d'en rester au générique de l'espèce par synonyme de derrière lapalissade ? L'on ne peut laisser revenir en force le barbarisme anglo saxon écarté alors malgré la suprématie linguistique déjà bien posée.
  • Analyse sémantique et versant ethnolinguistique - Des mots toxiques - 
Nous avons déjà vu comment vouloir donner la primauté à "human", au lieu "de l'homme" (contre-sens historique et étymologique), impose le droit américain. 

L'anachronisme est à la mode, on repeint aux couleurs actuelles, alors que devrait être de mise une fidélité, une loyauté historique  ! En effet, il est encore plus confondant et remarquablement idiot que l'ONU désormais se pique de traduire par "genre", le terme pourtant précis et scientifique de "sexe" sur tous ses sites, documents et productions.
  • L'ONU ose également donner modèle de sursexualisation de fillettes par le voile, forme de discrimination sexiste sous la férule de dogmes machistes sectaires qui offrent au mariage d'enfant la fillette qui a ses ménarches, excusé au nom de la tradition de coutume religieuse récente prétendue liberté d'expression religieuse. Les fondamentalistes ont beau jeu avec ce canon ou étalon de modestie, pureté, de la plus grande des privations de liberté sexuelle pour toute personne de sexe féminin.
Les préceptes sous-tendant s'arcboutent contre les droits génésiques et reproductifs féminins, opposés à l'IVG médicalisée, à la contraception, à son choix personnel d'unions et de rapports sexuels, au droit en général des femmes de se gouverner. Est-ce tolérable ?

  • Apparus depuis 1948, le dévoyé "gender" (John Money,"gender role and identity", 1954), alors que le sexe humain, féminin ou masculin, ne représente pourtant pas une espèce. Facile d'y voir que s'il y était introduit par ruse ou force le concept protéiforme des "gender roles" et "identity gender" et du trangenrisme ultérieur de Benjamin ou Stoller, en place de sexe et égalité des sexes. 

Cela ne détruit plus en rien le sexisme -contre le sexe féminin- au contraire de ce que clamé mais recouvre pudiquement pour mieux in fine masquer cette éviction, dont l'on parvient à peine d'émerger. Grâce à ce concept flottant, le sexisme nous colle toujours plus aux semelles. *Lovemap, David Reimer experimentation https://www.goodtherapy.org/famous-psychologists/john-money.html

Bruce et Brian jumeaux identiques ont totalement fait capoté sa certitude mais la théorie queer le reprend sans critique ? Judith Butler qui en a fait sa principale cause l'appelle elle-même "la théorie du genre" https://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20131213.OBS9493/theorie-du-genre-judith-butler-repond-a-ses-detracteurs.html

 "Money voulait vérifier ainsi que les enfants naissent de genre neutre et explique le genre par apport. Il voulait soutenir la théorie de la neutralité du genrehttps://lca-psychology.weebly.com/dr-money-the-case-of-bruce-reimer.html

Ce qui est la même confusion qu'aujourd'hui du sexe et du genre prônée par les inclusivistes qui militent pour le transgenrisme queeristique, comme banalisé à l'oral au Congrès de psychoanalyse en 1963 par John Money. La psychologie comportementaliste conquise par son vernis progressiste. https://fr.wikipedia.org/wiki/Identit%C3%A9_de_genre

Prétendre qu'existe des "genders" innombrables et innommables parmi lesquels le genre féminin parfait le sexisme au plus  haut point ; magie pour tous les hommes qui se réclament de "genres" qui vont avoir accès aux droits des femmes... Elles seront poursuivies et vilipendées d'oser dire que les différences biologiques continuent et déterminent des droits, bien évidemment spécifiques comme les droits génésiques, dans le cadre de la fécondité et de la maternité féminine. Tout cela parfaitement contraire à l'esprit et la lettre de la rédaction.

Rien à voir aves le féminisme que de céder à toutes lubies et desiderata infléchis par des idéologues, pernicieux virilistes masqués, désormais complices d'une industrie entière - 


Le féminisme a toujours agi à sortir le sexe féminin de son repli et déni, afin qu'il gagne en estime de soi et participe pleinement et à égalité de droit en tout.


La science est claire, les données biologiques qui n’indiquent aucun cas connu d’hermaphrodisme successif chez l'homme. De sexe, l'on ne change pas, et du fait de son sexe féminin, l'on est victime de sexismeshttps://fr.wikipedia.org/wiki/Hermaphrodisme_successif


Où si vous préférez de changement de sexe chez les mammifères, il n'y a, y compris chez homo sapiens sapiensLe sexe ne relève pas de la construction sociale mais sur sa base, les sociétés élaborent des préjugés et stéréotypes variableshttp://institutions.ville-geneve.ch/fr/bm/interroge/archives-questions-reponses/detail/question/combien-despeces-animales-sont-capables-de-changer-de-sexe-au-cours-de-leur-vie-br/
  • Touchés mais pas encore coulés - Sabordage
En bien peu de temps, il n'aura pas fallu qu'une soixantaine d'années de l'internationalisation des droits de l'homme universels, que les voilà salement sabordés ; et surtout dans la même galère en train de couler, les droits des femmes, qui méritent pourtant toute l'attention à protéger les temps de vulnérabilité qu'entrainent leurs spécificités sexuelles indéniables que nos huit aïeules, elles, défendaient...

Christine Gamita
  • Notes de bas de billet
[4] Première déclaration des droits des femmes et des citoyennes faisant grief aux rédacteurs de 1789 Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de ne pas l'appliquer à la moitié féminine de la population, puisque exclue du débat et de la fonction politique, rejetée de l'Assemblée ou seulement tolérée à tenir tricot et claque. https://susaufeminicides.blogspot.com/2012/07/citoyenne-olympe.html

Sapir invalide lui-même sa propre théorie. J.-Ph. Watbled, Université de La Réunion Membre du LCF, Les théories linguistiques à l’épreuve de la traduction  https://hal.univ-reunion.fr/hal-01501105/document

Sapir, la théorie du prototype, Jean-Michel Fortis, « De l’hypothese de Sapir-Whorf au prototype : sources et genèse de la théorie d’Eleanor Rosch. », Corela, 2010 https://journals.openedition.org/corela/pdf/1243
  • Crédit d'illustrations

    Ajout d'une illustration d'en-tête post rédactionnelle - 15 mai 2022
[Illus. 2Extrait de la Résolution de la Déclaration universelle des droits de l'homme http://www.un.org/fr/documents/view_doc.asp?symbol=A/RES/217(III)

[Illus. 3Marie-Hélène Lefaucheux (à gauche), Présidente de la Commission de la condition de la femme ; la Britannique Mary Sutherland ; et l’Américaine Olive Remington Goldman. Lake Success, New York, janvier 1948. Photo ONU/MB https://police.un.org/en/herstory-celebration-of-leading-women-united-nations
  • SAF Déclaration des droits des femmes précédentes
SAF Citoyenne Olympe
SAF Le club des huit en 48
  • SAF d'alerte sur le refoulement du sexe féminin par l'"identité de genre"
Toxicité, traduction, https://susaufeminicides.blogspot.com/2019/03/la-fiole-et-le-bistouri_8.html
Pompoplastie* en vidéo https://susaufeminicides.blogspot.com/2019/03/la-fiole-et-le-bistouri.html
A l'UE ! https://susaufeminicides.blogspot.com/2013/10/feminicide-categorie-genericide.html

  • Basiques ethnoblog SAF
  • Partie I ¡Féminicides! http://susaufeminicides.blogspot.fr/2011/11/feminicides-definis.html
    Partie II ¿Androcides? http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/androcides.html
    Plus encore : http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html
    Des preuves ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/cest-de-la-carte-tentative-darticle.html
    Des comptes ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/combien.html

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