Affichage des articles dont le libellé est Moteur de recherche. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Moteur de recherche. Afficher tous les articles

21/08/25

Science et moteur

 

Jean Piaget 
Autres photos https://www.fondationjeanpiaget.ch/fjp/site/biographie/index_photos_grand.php?photo_id=176

Certaines bibliothèques publiques ont monté des sites, moteurs de recherche de réponses aux questions des lecteurs. Un cas d'étude de réponse insatisfaisante m'a conduit à tenter une analyse de la question de l'impartialité scientifique dans ce cadre, afin de garantir des références solides, éviter articles de n'importe quelle presse pour faire référence ainsi qu'ouvrages de parti pris, produits sans mettre en garde l'usager. Nous craignons que les moteurs de recherche plus généraux, et les IA, souffrent des mêmes déficits, tout particulièrement en sciences humaines, comme en histoire ou en ethnologie.

  I - Coeur de l'enjeu - La scientificité pour le grand public et le respect laïque 

La scientificité, la neutralité et l’égalité ne sont pas des options : ce sont les conditions juridiques et éthiques minimales pour qu’un service public laïque comme une bibliothèque municipale garde sa légitimité.

Une bibliothèque publique laïque, financée par l’impôt et ouverte à tous, n’a pas le droit de privilégier une idéologie, une religion ou un courant militant. Elle reste dans l'obligation de :

  • Neutralité - pas d’orientation politique, philosophique ou religieuse dans les réponses

  • Laïcité - respect de la séparation entre savoirs scientifiques et croyances

  • Égalité - offrir le même traitement et la même qualité de réponse à chaque usager, sans discrimination ni partialité

Or, citer un article de presse militant ou un ouvrage de combat sans avertir le lecteur de son statut revient à brouiller la frontière entre savoir objectif et opinion subjective. C’est une atteinte à la fois au

  • Principe de laïcité car cela revenant à injecter une vision idéologique

  • Principe d’égalité puisque certains usagers reçoivent des réponses biaisées selon les sensibilités du bibliothécaire et vont les prendre pour argent comptant

Garanties d'un service public de renseignement

  1. Priorité aux sources primaires et scientifiques
    → publications académiques, articles validés par comité de lecture, synthèses d’universitaires

  2. Signalement du statut de chaque source
    → scientifique / vulgarisation / opinion

  3. Neutralité active
    → obligation de présenter tous les courants de recherche reconnus, pas seulement un angle plaisant au répondant

  4. Charte de laïcité documentaire
    → un texte officiel qui rappelle que le service doit :

    • ne jamais privilégier une religion, une idéologie ou un courant militant

    • traiter toutes les questions avec le même degré de rigueur et de respect

 II - Pistes mélioratives
  • Pour rester grand public, accessible, pédagogique

  • Pour gagner en crédibilité scientifique et en neutralité

  • Les usagers bénéficient d’une véritable éducation à l’esprit critique, ce qui est la mission fondamentale d’un service culturel laïque

L’objectif n’est pas de créer un moteur de recherche universitaire ou académique mais de garantir que chaque réponse donnée au grand public respecte scientificité, neutralité, laïcité, égalité.

1. Références hiérarchisées

  • Les bibliothécaires citant leurs sources doivent le faire selon un protocole précis

  • Hiérarchie claire de sources primaires et secondaires

    • Sources scientifiques (articles académiques, éditions critiques, travaux universitaires).

    • Sources de vulgarisation fiable (encyclopédies reconnues, ouvrages de synthèse universitaires)

    • Sources d’opinion (presse, essais militants) → uniquement à titre illustratif, jamais en preuves principales

2. Transparence sur la nature des sources

  • Chaque source citée doit être accompagnée de sa qualification

    • "Source primaire" -document historique

    • "Article scientifique (revue à comité de lecture)"

    • "Ouvrage universitaire (synthèse)"

    • "Article de presse (opinion, non scientifique)"

3. Neutralité et pluralité - Equilibre

  • Si un sujet est polémique, la réponse doit présenter toutes les thèses académiques reconnues, pas seulement l’une d’entre elles.

  • Les références partisanes et militantes sont admises uniquement si elles sont signalées comme telles et contrebalancées par d’autres sources

4. Formation interne à l’esprit critique

  • Former les bibliothécaires à la méthodologie critique : distinguer fait établi, hypothèse scientifique, prise de position militante

  • Utilisation systématique des ressources académiques en libre accès (Gallica, Persée, HAL, OpenEdition)

5. Respect de la laïcité et de l’égalité

  • Le service doit appliquer une charte documentaire rappelant que :

    • idéologie ou courant politique, ou idéologie religieuse, ne peut être favorisé

    • tous les usagers sont égaux face au service

    • la médiation documentaire se fonde sur la rigueur des savoirs et pas sur l’orientation du répondant

III - Charte de neutralité scientifique – Moteur de réponses d’une bibliothèque publique

Version est prête à être annexée au règlement interne de tout moteur de réponses d’une bibliothèque publique, par extension de tout moteur de recherche, ou IA

Préambule

Le service de questions-réponses de la bibliothèque est un service public laïque, neutre et pluraliste. Toutes les réponses doivent respecter les principes de neutralité scientifique, transparence et égalité d’accès. La présente charte s’applique à tous les agents intervenant dans la rédaction des réponses et à tout moteur de réponses associé au service.

Section 1 : Application immédiate

  1. Principes fondamentaux

    • Le contenu doit être laïque, neutre et pluraliste

    • Aucune opinion personnelle, conviction religieuse ou orientation politique ne doit influencer les réponses

    • Les réponses doivent être accessibles et équitables pour tous les usagers

  2. Sélection des sources

    • Sources prioritaires : primaires, articles scientifiques à comité de lecture, ouvrages universitaires, rapports institutionnels fiables

    • Sources secondaires : encyclopédies reconnues, synthèses pédagogiques d’experts

    • Sources contextuelles uniquement : presse, blogs, ouvrages militants → uniquement pour illustrer un point historique ou social, jamais comme preuve principale

    • Chaque source doit être clairement identifiée et qualifiée : “scientifique”, “vulgarisation”, “contexte”, “opinion”

  3. Rédaction des réponses

    • Réponses courtes et claires, distinguant fait établi et interprétation

    • Inclusion d’un encadré “Niveau de preuve” précisant le type et la fiabilité des sources

    • Les liens, références et métadonnées doivent être normalisés (ISO 690, Dublin Core si possible)

  4. Critères d’exclusion

    • Contenus prosélytes, idéologiquement militants ou discriminatoires

    • Informations pseudoscientifiques ou non vérifiables

    • Matériel diffamatoire ou haineux

  5. Transparence

    • Une page publique doit exposer :

      • protocole de recherche et validation des sources

      • types de sources utilisées

      • modalités de relecture et de mise à jour des réponses

Section 2 : Contrôle qualité

  1. Relecture et validation

    • Chaque réponse est relue par au moins un autre agent avant publication

    • Vérification de la neutralité, de la scientificité et du respect de la laïcité

    • Bloc “sources et niveau de preuve” systématiquement contrôlé

  2. Journal de version

    • Historique complet conservé : auteur, date, modifications et sources mises à jour

    • Toute correction doit être horodatée et documentée

  3. Formation et mise à jour

    • Formation continue des agents sur l’évaluation critique des sources, le pluralisme et la laïcité

    • Mise à jour périodique du protocole pour intégrer les bonnes pratiques et évolutions normatives

  4. Audit périodique

    • Contrôle interne annuel pour vérifier :

      • respect de la charte

      • équilibre des sources et pluralisme

      • absence de biais idéologique ou religieux

    • Publication d’un rapport synthétique annuel consultable par le public

Sur ma demande circonstanciée, ChatGPT me propose un modèle technique d'amélioration, que je joins en Annexe





IV - Cas d'espèce - illustration

1. A quelle période la Palestine a été royaume ou état ? Réponse courte de plage de date sans explications, merci." https://www.guichetdusavoir.org/question/voir/139244 

3. Réponse exacte - A la question initiale "plages de dates d’un royaume ou d’un État de Palestine" :

Il n’y a jamais eu, à aucune période historique, un royaume ou un État souverain portant le nom de “Palestine”.

Les entités listées (Israël, Juda, Hasmonéens, Hérodiens et à l’époque moderne le Mandat britannique, la Jordanie et Israël) ont existé sur une région géographique que les sources nomment « "Palestine", mais aucune n’a porté ce nom comme dénomination politique officielle.

Explication liminaire - Au cas où certains s'étonnerait que la Déclaration d'Alger 1988 et l'ONU n'aient pas créé d'état :

La Déclaration d’Alger de 1988 est un document unilatéral à caractère religieux, invoquant dieu et affirmant la seule souveraineté divine. La revendication diffuse d'autochtonie et de majorité par l'“arabité ancestrale” ne reflète pas la réalité : le recensement britannique de 1922 (Census of Palestine 1922, Barron, p. 7-9) indique 589 177 musulmans, 83 790 juifs, 71 464 chrétiens, 7 028 druzes et 1 400 autres, avec estimation de 72 898 Arabes nomades et semi-sédentaires, chiffre concordant aux recensements turcs et français -La culture arabe du désert à l'époque ne retient pas de tradition  foncière, et de clôture avec pour conséquence le refus de l’impôt foncier et, par conséquent, de tout recensement- 

Le statut d’“État observateur” attribué par l’ONU en 1988 ne confère pas les critères d’un État selon la Convention de Montevideo de 1933 (population permanente, territoire défini, gouvernement effectif, capacité à entrer en relations internationales). Ni le Vatican ni Israël n’ont été “créés” par l’ONU : le premier par le traité du Latran (1929), le second par sa proclamation légale dans le cadre du Mandat SDN confié au Royaume-Uni (1922–1948), repris par l’ONU en 1946. 

Ainsi, la déclaration reste un acte politico-religieux, qui ne relève pas de la fondation juridique d’État de droit positif. Cette déclaration portait sur le règne islamique à compter du VIIème. Elle ne peut porter sur une majorité arabe inexistante sur le Levant. La présence arabe qui ne fût jamais de peuplement y étant restreinte. Les habitants de la Palestine ne sont ethniquement arabes car ils descendent de multiples peuples sémitiques, européens et méditerranéens

Leur prétendue arabité reste le fruit  
  • d’une imposition politique linguistique et administrative (Omeyyades, Abbassides) 
  • d’un maquillage idéologique au XXᵉ siècle (nationalisme panarabe enclenchée par l'Empire anglican)

Arabe de Palestine reste un label politique sans autochtonie ethnique et symboliquement ethnocidaire

a Réponse concise sur l'histoire de Palestine -plage de dates- débordant du "sans explications"

Réponse CHAT GPT (pour verification)

c. 1020–922 BCE — Royaume d’Israël (monarchie unifiée) Encyclopedia Britannica

c. 930–586 BCE — Royaume de Juda. Encyclopedia Britannica+1

c. 140–37 BCE — Royaume hasmonéen (Judée). Encyclopedia BritannicaWikipédia

37–4 BCE — Royaume hérodien (Hérode le Grand). Encyclopedia Britannica+1

41–44 CE — Royaume hérodien restauré (Agrippa I). Encyclopedia Britannica

29 Sep 1923–15 Mai 1948 CE Mandat britannique pour la Palestine (SDN → ONU en 1946). Digital LibraryRefworld

25 Mai 1946 CE– Royaume hachémite de Jordanie (Transjordanie). Wikimedia CommonsHistoire États-Unis

14 Mai 1948 CE– État d’Israël. Gouvernemen israélien Organisation des Nations Unies

3.b Réponse développée en accord avec la neutralité scientifique et laïque d'une Charte éthique 

  • Aucun de ce nom dans l'antiquité

  • La Palestine est une région géographique aux limites incertaines et n’a jamais été un État ou royaume indépendant après le dernier royaume juif d’Agrippa I (41‑44 de notre ère)

  • Ensuite sous domination et administration directes des Romains, Byzantins, Califat arabe Réponsetoman (1516‑1917) vaincu par les Alliés en 14/18

  • En 1922, le mandat international de la Société des Nations pour la Palestine a été confié au Royaume-Uni, incluant l'Emirat de Transjordanie sur sa partie orientale

  • En 1946, par traité bilatéral entre le Royaume-Uni et le roi Abdallah de Transjordanie, royaume musulman arabe, l’administration britannique se retire de cette partie du mandat palestinien

  • En 1948, la seconde déclaration d'indépendance de second état, Israël, est proclamée dans l’articulation juridique du Mandat palestinien de 1922 ↔ Charte de l’ONU (1945), faisant droit aux engagements de la Société des Nations

  • Aucune proclamation ultérieure, dont de l’OLP en 1988 ou la reconnaissance de l'ONU, ne crée juridiquement d'État indépendant, conformément aux articles 75 et 80 de la Charte des Nations unies -reprenant les devoirs du mandat SDN-

Sources primaires et officielles

  1. Décrets et lois romaines sur la Judée après 44 de notre ère, codifiés par Tacite et Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, Livre XX, chapitres 1‑3
    → Source primaire historique antique

  2. Traités et chroniques médiévales concernant Croisés, Ayyoubides, Mamelouks (extraits du Recueil des historiens des croisades, documents originaux).

  3. Mandat de la Société des Nations pour la Palestine, 24 juillet 1922, Série C, Commission des Mandats, SDN.
    Texte officiel en archives ONU

  4. Accord anglo-transjordanien de 1946, Ministère des Affaires étrangères britannique, Foreign Office Treaty Series – retrait du Royaume hachémite de Transjordanie
    → Archives nationales britanniques, FO 371/15000

  5. Décret de fin du mandat britannique sur la Palestine, 14 mai 1948, UK Government Gazette, Foreign Office

  6. Charte des Nations unies, articles 75 et 80, prohibition de modifications unilatérales de souveraineté territoriale
    →  Texte officiel en site ONU

  7. Texte officiel : Israel Ministry of Foreign Affairs – Declaration of Establishment of the State of Israel, 14 May 1948

  8. Convention de Montevideo (1933) - Texte intégral : Convention on Rights and Duties of States, Montevideo, 1933, Nations Unies – League of Nations Treaty Series, vol. 165, p. 19  - Version claire et commentée  taiwandocuments.net – Montevideo Conventio

  9. Avis consultatif de la CIJ sur la déclaration d’indépendance du Kosovo (2010) Texte intégral (Cour internationale de Justice) : ICJ – Accordance with International Law of the Unilateral Declaration of Independence in Respect of Kosovo, 22 juillet 2010, officiel, en anglais). Communiqué de presse de la CIJ (résumé) : Communiqué n°2010/28 – CIJ

Références scientifiques 

  1. H.E. Will, A History of the Jewish People in the Time of Jesus Christ, 1962

  2. M. Avi-Yonah, The Holy Land in the Period of the Maccabees and the Herodian Dynasty, 1976

  3. Encyclopaedia Judaica, vol. 7, Herod Agrippa I, 1971

  4. Article de synthèse en droit international (État) - Article encyclopédique : État en droit international – Wikipédia

Ce test de rigueur en sciences humaines et sociales n'a pas été réussi par ce moteur de recherche de bibliothèque, qui propose sans prévention des références peu fiables et des ouvrages militants de son catalogue, au détriment de recherches rigoureuses et de sources primaires suffisantes. 


  • ANNEXE - PROPOSITION - "Avenant “Normes – Protocole – Améliorations techniques”

1) Normes et référentiels à adopter (socle obligatoire)

  • Description & échange de métadonnées (niveau service)
    Dublin Core Terms pour décrire chaque réponse (questions, fils, sources), base largement interopérable. DCMI+1
    OAI-PMH 2.0 pour exposer ces métadonnées (moissonnage par portails, BnF/ABES, etc.). Open Archives+1
    JSON-LD 1.1 pour publier un graphe lisible par le Web (marquage sémantique des réponses et de leurs sources). W3C

  • Schémas complémentaires (selon le type d’item)
    DataCite (v4.5/4.6) si vous citez/collectez des jeux de données, preprints, OSF, etc. DataCite Schema+1
    schema.org (ex. ScholarlyArticle/CreativeWork) via JSON-LD pour l’indexation Web (Google/OPGs) – compatible avec le point précédent. W3C

  • Contrôle d’autorité & vocabulaire
    RAMEAU pour l’indexation matière (discipline, notions), IdRef pour les personnes/collectivités. RameauIdRef
    SKOS (W3C) pour modéliser les vedettes/thésaurus et leurs relations (BT/NT/RT). W3C
    ISO 25964 pour la gouvernance d’un thésaurus et l’interopérabilité (si vous maintenez un micro-vocabulaire interne). iso.orgniso.org

  • Références bibliographiques (forme et rigueur)
    ISO 690:2021 comme style par défaut (toutes natures de documents, presse incluse, avec indicateurs de version/date/URL/DOI). iso.org+1

  • Éthique & neutralité (doctrine de service)
    IFLA Code of Ethics comme cadre opposable (neutralité, pluralisme, transparence). ifla.org+1

2) Protocole éditorial (procès-verbal opposable)

But : garantir traçabilité, neutralité, et hiérarchisation de la preuve sans “académiser” la relation au public.

  1. Triage & qualification de la question (horodatage, domaine, mots-clés RAMEAU, entités IdRef). RameauIdRef

  2. Recherche & revue des sources

    • priorité aux sources primaires/secondaires académiques (HAL, Persée, Gallica, éditeurs scientifiques) ; presse = contexte faible preuve.

    • chaque source est typée (primaire, revue par les pairs, ouvrage synthèse, presse, institutionnel, blog) et datée.

    • mention explicite des limites/controverses le cas échéant.

  3. Rédaction

    • réponse courte, suivie d’un encadré “Niveau de preuve” + liste de sources normalisées ISO 690 (ordre : académiques → institutionnelles → presse). iso.org

    • métadonnées Dublin Core/JSON-LD embarquées (auteur-répondant, date, sujets SKOS, liens d’autorité). DCMIW3C+1

  4. Relecture croisée (un pair) + journal d’audit (qui, quand, quoi modifié).

  5. Publication avec permalien et versionnage ; corrections ultérieures visibles (diff).

  6. Ouverture : flux OAI-PMH des notices de réponses pour moissonnage par tiers. Open Archives

3) Proposition d’améliorations techniques (pragmatiques, non “académiques”)

  • Index de recherche dédié
    – Déployer un index site-wide type Elasticsearch (puissant, filtres avancés, vecteurs) ou Meilisearch (léger, très rapide, tolérance aux fautes) ; brancher les champs structurés (titre, résumé, sujets RAMEAU, types de sources, niveau de preuve). Elastic+1meilisearch.com+1

  • Mise en données (datafication) des réponses
    – À l’enregistrement, générer un record Dublin Core + JSON-LD (@type: CreativeWork/ScholarlyArticle, dcterms:subject ← RAMEAU/IdRef, creator = équipe). DCMIW3C
    – Publier un endpoint OAI-PMH (read-only) afin d’être moissonné ; transformer au minimum les champs DC simples. Open Archives

  • Aide à la sélection de sources fiables (assistée, non prescriptive)
    Intégrer des connecteurs de recherche vers HAL, Persée, Gallica (suggestions dans l’interface de rédaction : “voir aussi”). documentation.abes.frW3CRameau
    Unpaywall API : détection automatique de versions en libre accès pour chaque DOI cité (facilite la vérification publique). unpaywall.org+1

  • Gabarits & validation
    – Gabarit de réponse avec bloc “Niveau de preuve” + “Sources (ISO 690)” + “Controverses/limites” ; vérificateur de champs obligatoires (date de consultation URL, année édition, pages, DOI le cas échéant). iso.org

  • Contrôle d’autorité & étiquetage
    – Auto-complétion RAMEAU pour sujets et IdRef pour auteurs/collectivités; stockage en SKOS dans l’index (pour exploiter BT/NT/RT en facettes). RameauIdRefW3C

  • Transparence & auditabilité
    – Page publique “Méthode” (résumant le protocole ci-dessus + liens normatifs) et changelog des réponses (versions).
    – Exposition d’un fichier JSON-LD par réponse (lien “Métadonnées”). W3C

Priorisation (6–12 semaines de chantier, à adapter)

  1. Gabarits + check de complétude ISO 690 (zéro dette de forme). iso.org

  2. Index Meilisearch (mise en place rapide) + facettes sujets/typage de sources. meilisearch.com

  3. Marquage JSON-LD & page “Méthode”. W3C

  4. Endpoint OAI-PMH (DC simple). Open Archives

  5. Connecteurs HAL/Persée/Gallica + Unpaywall. documentation.abes.frW3CRameauunpaywall.org

  6. Intégration RAMEAU/IdRef (auto-complétion + contrôle). RameauIdRef

    Via ChatGPT 2025 gratuit


http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/be/ Reproduction autorisée à condition de citer les liens © Copyright- Toute citation de cet article doit être de contexte, précise, avec date de version, blog "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr " le lien exact du document & id. en cas d'usage du logotype montage photographique "Eradication des féminicides - Larmes de sang" CGMD © Christine Gamita Tous droits réservés illimités international - Unauthorized use and/or duplication of this material without express and written permission from this blog’s author and/or owner is strictly prohibited. Excerpts and links may be used, provided that full and clear credit is given to " Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde http://susaufeminicides.blogspot.fr " with appropriate and specific direction to the original content. However, no link is to be reproduced on slanderous motives and/or miscategorization. Therefore, before any use of network Tools such as scoop-it or pinterest, the author’s permission is required. Il est essentiel lors de toute utilisation de cette production ou partie de cette production de préciser la source : le lien et l’auteure de l’article, ponctuation adéquate encadrant la citation -entre guillemets- et dans son contexte, sans distorsion ni manipulation ( article L122-5, du code de la propriété intellectuelle) . La permission formulée et explicite de l’auteure est également exigée. De la même manière, concepts, termes et approches empruntés à l’auteure du blog doivent être mentionnés comme tels- références adéquates. En vertu du code de la propriété intellectuelle stipulant à l’article L121-1,‘ L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible.’ Unauthorized use and/or duplication of this material without express and written permission from this blog’s author and/or owner is strictly prohibited. Excerpts and links may be used, provided that full and clear credit is given to "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr with appropriate and specific direction to the original content. However, no link is to be reproduced on slanderous motives and/or miscategorization. Therefore, before any use of network Tools such as scoop-it or pinterest & so, the author’s permission is required.Castellano Castellano(España) Català Dansk Deutsch English Esperanto français Galego hrvatski Indonesia Italiano Lietuvių Magyar Melayu Nederlands Norsk polski Português Português (BR) Suomeksi svenska Türkçeíslenska česky Ελληνικά русский українська العربية 日本語 華語 (台

Campagne 2011 - Synthèse ¡Féminicides!

Loi

Les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires. Charles de Secondat, dit Montesquieu, 1748 Photographie Vladimir Trunoff http...