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05/07/21

A l'abri

La chance sourit aux audacieux Virgile**
La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" Pasteur** 

¡Féminicides! http://susaufeminicides.blogspot.fr/2011/11/feminicides-definis.html & Groupe 2011 Pour la reconnaissance des féminicides en droit

Anthony Dimitri, Renardeau endormi sur des troncs moussus dans les Vosges[Illus. 1

Pour que tout le monde dorme tranquille, y compris les malades.

Lourd problème qui ne se satisfait pas de tergiversations et semi-mesures "d'accompagner" la maladie dans la rue où cela ne mène qu'à la mort. Un leurre de penser que cela coûte moins cher, chaque année combien de millions dans le caniveau pour pas grand chose ? Parfois, pire de redoublement de consommation.

Indignité pour tous - L'expérience censée être libérale du parcage, c'est du vent.[1] Regroupement peu familial, dont les autorités croient qu'ils surveilleraient mieux les débordements ?

Tous aux abris -  Plus de cloche de bois - Dans toute la capitale, de pauvres hères errent. Peu d'entre eux n'ont pas de problèmes mentaux s'aggravant tous les jours. 535 clochards morts à la rue. Sans compter nombre de personnes admises aux urgences in extremis, en overdose et delirium sans retour.  

Actuellement, les problèmes au Nord-Est de Paris, en particulier, grandissent. Guérit-on les toxicomanes, en aménageant leurs prises et piqûres, pour qu'ils continuent à se suicider mais plus discrètement et plus proprement ? Ce qui surtout permet d'augmenter la consommation, attirer plus de criminels trafiquants à qui la tâche facilitée ; cela n'aide en rien les toxicomanes qui se suicident à petit feu. 

Vociférations, agressions contre les passants, tir de mortier contre les malades toxicomaniaques, viols féminicides[2] 

"Depuis 2009, les usagers et revendeurs de crack n’ont cessé d’être réprimés, entraînant le déplacement de la scène de consommation entre Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), des cités du 19e arrondissement, les stations de métro du Nord-Est parisien, la gare du Nord, la porte de La Chapelle (dans un endroit connu sous le nom de « squat de la Colline »), le jardin d’Eole ou la place Stalingrad. Ces différents épisodes ont tour à tour rapproché ou éloigné les usagers de drogues des lieux d’habitation, mais ils sont restés sans effet sur l’existence même de ces scènes de consommation ou le nombre de personnes qui les fréquentent. Indignité pour les usagers et les habitants..."[3]

Comme s'il fallait un projet d'avenir pour obtenir son traitement ?  En cure d'office, et une fois, l'esprit plus clair, susciter les projets et non pas l'inverse. Comment des personnes malades à en crever monteraient-ils des projets cohérents ? L'exception ne fait pas la règle. Pourquoi tout est à l'envers ?

  • MIE ou MENA - Enveloppe ARS pour examen de base et vaccinations de mineur mais pas contre la maladie addictive qui plombe de départ toutes chances d'intégration bien compromises, alors que tas de métiers n'ont pas leurs postes pourvus, d'autres attendant des apprentis ?
Les mineurs étrangers non accompagnés pour environ tiers à quart d'entre eux, malades d'addiction en même temps que petits délinquants de ce fait. Ils continuent à se mettre en danger et à mettre en danger autrui ! Ce n'est pas que du fait d'insuffisamment de places de foyer (encadrement éducatif 24/24), tempéré par des nuitées d'hôtels. Un gros raté et honte toute bue de la CIDRE. 

Souvent ceux-là ne sont que de ces enfants des rues, non instruits et inéduqués, sur lesquels les touristes s'apitoient lorsqu'en vacances à l'étranger... Ce sont ces jeunes gens qui forment le gros du bataillon des ratés de la mise à l'abri des MENA par la Croix Rouge ou France Terre d'Asile à qui déléguée. Malheur à celui, malade, qui à eu affaire à la Police qui ne verra pas lui ses dix-huit ans élastiques,
"Ils bénéficient d’une protection jusqu’à leurs 18 ans, qui peut aller, dans la loi, jusqu’à 21 ans." https://www.migrationsenquestions.fr/question_reponse/2510-qui-prend-en-charge-les-mineurs-non-accompagnes/
 Soignons-les avant que de baisser les bras et les remettre sur le trottoir.

A Paris, le Commissaire a autorité pour faire soigner. Pourquoi n'est-ce pas fait ? Pourquoi sont-ils laissés à la rue, ou remis à la rue, en particulier MNA à leur majorité par main levée, alors que souffrant de maladie addictive, promis à la délinquance? https://www.iledefrance.ars.sante.fr/system/files/2017-07/Guide_Psy-sans-consentement-2015.pdf

Mettre à la rue, c'est alimenter la délinquance. Si ce n'est pour eux, le faire pour vous (Aux représentants RN et LR qui bloquent décisions et financements). Et la naissance de circuits d'exploitation de ces populations vulnérables bien présentes et qui ne s'évaporeront pas. Personne ne peut les reconduire aux frontières.

En fait, cela coûterait, si c'était possible, encore plus cher que de s'en occuper correctement pour en faire grâce à l'éducation populaire, l'éducation civique et la formation professionnelle de bons citoyens pour tous les secteurs en tension. Bons ouvriers, bons ingénieurs, finie la délinquance. 
    • Foin de bonnes excuses pour ne pas soigner les gens 
Du libre choix à l'américaine le résultat, ce sont des toxicomanes (maladie) trafiquants (on sait bien que c'est à double sens toujours, tu deales pour consommer), qui errent dans les rues en se détruisant et pendant leurs crises, des risques pour passants et riverains- des campements abjects disséminés sur les trottoirs... gale, tuberculose -injure à la dignité humaine, insulte à la Santé publique donc et à l'humanité, sous couvert de compassionnalisme. Cure d'office car mise en danger de soi et d'autrui, cela parait simple de sauver du suicide, y compris social, des personnes humaines. 

Quant aux mineurs, ils mettent le souk dans les hôtels d'hébergement (ils le mettront dans l'hébergement 24 h en train d'être mis en place grâce aux injonctions européennes) et dans l'accueil de jour, rendant la vie dure à l'encadrement des intervenants socio-éducatifs, dévoués, et obèrent si bien par fugue (absent à l'horaire dicté du soir), larcins et bagarres leur casier qu'une fois majeurs, ce sera la rue pour seul avenir ! De fait, le système actuel rejette les plus malades, en place au sortir de l'adolescence de les accompagner pour faire une vie décente.

Sans compter que les dégâts neurologiques risquent d'en faire des handicapés sociaux, s'ils ne meurent pas à petit feu sur les trottoirs.

On peut en conclure facilement qui est fautif, responsable, coupable (comme vous voulez) de la délinquance accrue et mise en danger des résidents. Ce sont ceux qui font tout capoter en lits médicalisés et vrais soins.
  •  Création de villages infirmerie en addictologie pour sevrage et réinsertion artisanale et intellectuelle (arts, archéologie, botanique, etc.)

Hormis jouer aux gendarmes et aux voleurs en vain en jetant l'argent par les fenêtre, la seule façon de couper l'herbe sous le pied du trafic reste et restera de soigner en distance les malades errants... Loin de l'abcès de fixation appelé elliptiquement salle de shoot, anglicisme atténuant, de plus que d'un écho avec le foot... Shootés et crackers méritent le sevrage, pas la fixette.  

Pour ceux qui prétendent que l'on ne peut pas obliger les gens à se soigner, d'une part, l'on soigne bien de force, sans leur consentement, les suicidaires ?[4]

Suicidaires ils sont devenus avec ou par leur maladie et les laisser mourir de fait dans la rue,  accompagnés par des salles de shoot qui n'empêchent du tout qu'ils recourent à d'autres vendeurs et sans garde fous hygiéniques ? Des études prouvent que c'est bien... proovent quoi, que ce processus s'autoalimente ? 

"Ceci est un aspect commun aux nations riches, excepté en ce moment pour l’Allemagne et le Japon réputé à tort suicidogène. On y constate une relative facilité d’insertion professionnelle, et aussi des unités de vie collectives en nombre"[4] Françoise Fonteneau, Suicide et sociologie, l’après-Durkheim, in La Cause freudienne 2006/2 (N° 63), pages 176 à 180

Mais aussi, personne n'est sans savoir que la loi du 31 juillet 1970 permet de considérer en personne délinquante susceptible d'être soumise à une injonction de soins, ou bien il reste la solution de mise sous tutelle des malades suicidaires toxicomaniaques.

  • Le problème majeur des actuels centres d'addictologie 
Ne serait-il pas plutôt qu'ils se trouvent concentrés en ville ? Les pontes en la matière sont urbains, ce ne sont pas des médecins de campagne.

La rechute ne peut y être que rapide et massive, et les pourvoyeurs aux anges. Ce qui relève de la contagion psychique. Donnée bien sous-évaluée concernant les enfants et les proches vulnérables des riverains de la force de l'exemple répété, permis, puisque toléré au vu et su des écoliers...

"De multiples articles montrent des taux de rechutes d'environ 50%"

Après lecture des rapports toxicomanie, plan crack, plan truc et chose, dont je vous épargnerai les complications, je suis persuadée que l'on peut faire plus simple.[5]

Reste à créer des structures de santé réinsersifs de cinquantaine de malades, dizaine de professionnels de santé médecin à demeure. 

Pourquoi pas pour soigner enfin ces 23 000 malades suicidaires dans les rues parisiennes (selon la Préfecture de Paris) dus aux drogues se mettant en danger de mort et les riverains en danger également, sans compter la contagion psychique ? 30 000 pour tout le pays ?

Les malades même toxicomanes, même suicidaires, même clochards conservent leurs droits, y compris celui à l'image (40 000 la photo non consentie), alors pourquoi pas celui aux soins ?
[6

Le temps de l'innovation - Il existe déjà nombre d'exemples de villages psychiatriques, ou des groupements comme à Barsac. Voilà quand on prend la peine de leur demander leur avis :

""Le crack, c'est vraiment derrière moi": pendant dix ans, Rémi* a plongé dans l'abîme de ce dérivé fumable de la cocaïne. Pour s'en sortir, il n'a trouvé qu'une "seule solution": quitter Paris et ses tentations permanentes, pour intégrer une communauté thérapeutique en pleine campagne. (...)

""Partir à plus de cent kilomètres de Paris, c'est le mieux à faire", souffle-t-il." cité par Drogues: exil et abstinence, la recette des rescapés du crack Par AFP le 30.06.2021

Un pas de plus pour faire ceux que requiert le traitement des malades d'addiction grave en colonies (non familiales) ? Sans pour cela que dans d'autres cas, l'accueil thérapeutique familial soit préféré.[7

Réhabiliter des hameaux et des villages à cet effet thérapeutiques, dont les communes pourraient faire un recensement, en place de laisser ronces et ruines.[8]

Mobilisation de plusieurs ministères, d'autant que déjà le plan toxicomanie est transversal - Pour démarrer, quelques tentes militaires ; voire avec les piquets, faire venir quelques militaires et sapeurs pour l'apprentissage des techniques de bivouac. 

Quelques maîtres compagnons et retraités pourvoyeurs de savoir, toujours bon pied, bon oeil, pour encadrer les opérations...

Villages fantômes pour zombies, une belle alliance pour repartir du bon pied. Le patrimoine en péril n'est pas que de châteaux. Les hameaux ont aussi des quartiers de noblesse.

Châteauneuf-les-Moustiers[Illus. 2

  • Osons - Qui sera le nouveau Dr Marie ? 
Déjà au XIXe à Dun-sur-Auron, l'audacieux Dr Auguste Marie instaure une colonie familiale en 1892.

Avec les avancées depuis dans les traitements depuis les années soixante, il aurait certainement atteint de remarquables scores.

Pourquoi la volonté politique manque-t-elle en ce domaine, alors que les grandes maisons hospitalières psychiatriques pourraient s'embellir de tout un réseau rural meilleur pour tout le monde ?[9]

"...les colonies familiales n’existent plus depuis 1970. Ainay le Château est maintenant un Centre Hospitalier Spécialisé Interdépartemental où 430 patients environs sont hospitalisés en Accueil Familial Thérapeutique."[10]

L'on observe beaucoup à notre époque, l'on peut maintenant aller au-delà et joindre les efforts des Observatoires ?

Pourtant, l'on y sait aussi que le coût social se monte à milliards, qui ont du augmenter encore avec le crack en six ans. Je parierais que l'IDH et l'économie touristique n'y sont pas comptées ?

Le coût social en lien avec les drogues illicites  s’établit à 8,8 milliards d’euros. Le coût externe constitue l’essentiel du coût social pour chaque substance ou groupe de drogues : il en représente 95 % pour l’alcool, 85 % pour le tabac et 68 % pour les drogues illicites. Le coût des drogues pour les finances publiques représente 1,1 % du PIB. L’Etat doit chaque année payer respectivement pour l’alcool, le tabac et les drogues illicites, 4,9 milliards, 14 milliards et 2,4 milliards d’euros."[11] Pierre Kopp, 2015 Note de synthèse du rapport Observatoire français des drogues et de la toxicomanie

Et l'on n'investit un pauvre million et des brouettes avec difficulté pour le combat de la santé ? Alors que le retour sur investissement d'une démarche complète et audacieuse de soins serait inestimable.

"... 3. le financement de 1,3 million d'euros par l’ARS Île-de-France de l’accompagnement et de la prise en charge médico-sociale, des usagers de drogues en errance"[12]

Quant à trouver le nombre de personnes guéries définitivement par les centres, je ne suis pas parvenue à les trouver. Que ce soit près de CASPA, Centre de Soins, d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie, ou CAARUD, Centre d'accueil et d'accompagnement à la réduction des risques pour usagers des drogues, et SCMR, salles de shoot, abcès de fixation, contre lesquelles des collectifs d'habitants sont opposés et exigent le retour à la vie normale pour eux, leurs proches et les malades toxicomanes abandonnés à leur addiction.

"Narcossalles" en question - Des collectifs d'habitants se mobilisent pour que la vie revienne à la normale au Nord de Paris.[13]

1923 : un grand Serpent-de-mer repéré en Nouvelle-Calédonie
http://morbius.unblog.fr/2010/01/26/1923-un-grand-serpent-de-mer-repere-en-nouvelle-caledonie-1/

Deuxième serpent de mer des cautères sur jambe de bois après la légalisation du cannabis - Les commerçants à l'affut font miroboler à l'Etat des ressources fiscales. Doit-il s'y faire avoir ? Non car cela lui coûtera cher par ailleurs : 

- Les combats ne sont pas faciles mais aucune raison de les abandonner. Il n'y a pas à céder et louer sa conscience devant un fléau qui fait beaucoup d'handicapés sociaux, ce qui n'est pas vraiment le cas des tabagies alcoolisées. Comparer ce qui est comparable n'est jamais de trop.

- En vies puisque l'on sait déjà que 20 % des décès des accidents de la route sont du fait des stupéfiants, dont cannabis. 

- Nulle baisse de conso mais bien une augmentation comme cela se voit dans les pays qui ont légalisé la fumette.

- La désinhibition que Marie Jeanne et son copain Cannabinol, un peu comme l'éther qui étourdissait les soldats de 14/18 pour aller à la boucherie, ainsi dans les guerres civiles australes, la suruma et autres résines entrainent un usage désinhibé de la machette. Depuis mon vécu en zone de guerre, j'ai totalement changé d'avis sur la légalisation qui est poussée en avant par l'écologie green de comptoir.

- La drogue licite n'a rien à voir avec alcool et tabac addictifs mais du tout drogue. Faut pas pousser mémé dans les orties.

- Les trafiquants ne vont pas être diminués ni fragilisés, ils vont juste monter en gamme et gagner plus que le milliard et quelque ?!

Se gargariser du terme prohibition pour faire peur de ce qui se passa de puritanisme au us, c'est fumeux. 

Christine Gamita Ph. D. Ethnologie

  • ANNEXES 
  • Avis Académie de Médecine et Sénat
Rapport du Sénat de juin 2011 - Avis négatifs - 
"B. LES CENTRES D'INJECTION SUPERVISÉS, UNE OPTION HASARDEUSE
1. Les interrogations face aux expériences étrangères
a) Des structures issues d'initiatives souvent locales et répondant à une logique de réduction des risques et des nuisances
b) Des appréciations contrastées
c) La condamnation de telles structures par des instances officielles
2. Le véritable enjeu : déterminer l'opportunité d'un tel choix pour la France
a) Des doutes sérieux sur l'adéquation des centres d'injection supervisés à la situation française
b) L'ambiguïté du message délivré
3. De délicats problèmes juridiques
a) La responsabilité des personnels travaillant dans les centres
b) Le régime juridique de la consommation et de la détention de stupéfiants dans et à proximité des centres
"c) La condamnation de telles structures par des instances officielles
Les centres d'injection supervisés font, comme on l'a constaté, l'objet d'appréciations contrastées quant à leur efficacité et leur nécessité. Pour tenir compte de toutes les données du débat, il convient de rappeler qu'ils ont aussi été condamnés par des instances officielles, sur divers plans. (...)
? Le refus ferme de l'Académie nationale de médecine
La question des centres d'injection supervisés a été examinée par l'Académie nationale de médecine qui a fait part de sa position sur le sujet en adoptant un communiqué pour le moins explicite et adopté à une très large majorité (soixante-dix-neuf votants : soixante et un pour, douze contre et six abstentions).
Rappelons-en les termes : jugeant « qu'une démarche médicale ne peut consister à favoriser l'administration de la drogue qui a généré l'addiction », l'académie a estimé qu'on ne pouvait « demander à des médecins de superviser ou même de se livrer à de telles «intoxications médicalement assistées», ce d'autant plus que les «drogues de la rue» peuvent correspondre à des mélanges de toxicité potentiellement mortels ». Elle a en outre souligné « les moyens matériels inévitablement importants que mobiliserait cette initiative », dont elle a jugé qu'ils « seraient bien mieux utilisés pour renforcer les actions de prévention et d'aide au sevrage ». Sa conclusion a été claire : « dans ces conditions et dans l'état actuel des connaissances, l'Académie nationale de médecine ne peut que marquer son opposition à un tel projet » (261(*))." 30 juin 2011 : Les toxicomanies (Tome I : Rapport)( rapport d'information ) Par M. Gilbert BARBIER, sénateur et Mme Françoise BRANGET, député au nom de la Mission d'information sur les toxicomanies Tous les documents sur ce thème : Questions sociales et santé https://www.senat.fr/rap/r10-699-1/r10-699-1.html
  • Cartes de Paris - De la progression des points névralgiques 
Où l'on peut voir la tâche d'huile du trafic et des malades acheteurs

1990 - La colline du crack  https://fr.wikipedia.org/wiki/Colline_du_crack 

- Crise du crack https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_du_crack_%C3%A0_Paris

2012 - 2013

Jérôme Sage, La carte des points chauds de la toxicomanie à Paris, 2013
 https://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/10/12/01016-20131012ARTFIG00344-la-carte-des-points-chauds-de-la-toxicomanie-a-paris.php

Années 2000

Aude Lalande, la prohibition, au cœur de la diffusion des drogues ? marchés de l’héroïne à Paris dans les années 1968-2000, 11 avril 2018

2021 - Distribution gratuite de matériel de toxicomanie, seringues et pipes https://www.paris.fr/pages/confinement-et-addictions-des-structures-specialisees-en-addictologie-vous-aident-7737
Cartographie- Carte des distributeurs automatique de séringues SAFE- Ville de Paris-Apur-Coordination Toxicomanies SAFE- Ville de Paris-Apur-Coordination Toxicomanies Les distributeurs fonctionnent à l’aide d’un jeton distribué gratuitement dans les CAARUD, les CSAPA et certains services hospitaliers et pharmacies.

Principaux lieux de consommation à mi-septembre
  • MAJ 27 septembre 2021 -  Parpaingate - Avant évacuation par la Préfecture de Police (Action d'Etat) vers la Porte de la Villette du Jardin d'Eole et Stalingrad 
Importation en cours : 511651 octets sur 511651 importés.
"Selon la préfecture contactée par TF1/LCI, il s’agirait d’une solution provisoire. Depuis le 30 juin et l’évacuation, décidée par Anne Hidalgo, des toxicomanes de l’intérieur des jardins d’Eole s’étaient regroupés en bordure nord du parc, au coin des rues Riquet et d’Aubervilliers."

https://www.nouvelobs.com/societe/20210925.OBS49098/apres-l-evacuation-de-toxicomanes-la-construction-d-un-mur-entre-paris-et-pantin-suscite-un-tolle.html
"Le mur murant Paris rend Paris murmurant" Beaumarchais et "l’impopularité du mur en 1785, au point d’en faire une des causes de la Révolution" Histoire des agrandissements de Paris (1860), Auguste Descauriet, cité par https://www.histoire-en-citations.fr/citations/beaumarchais-le-mur-murant-paris-rend-paris-murmurant
  • Note de fin - Sources
*"La chance sourit aux audacieux" Virgile*
https://www.laculturegenerale.com/la-chance-sourit-aux-audacieux-5/
**"La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés" Louis Pasteur https://anti-deprime.com/2014/06/29/la-chance-ne-sourit-quaux-esprits-bien-prepares/

Bien sur, le synonyme d'audacieux pourrait être ambitieux. Ambition sociale qui semble faire défaut ?

[1] https://www.lemonde.fr/archives/article/1991/12/03/dernier-rendez-vous-a-la-platzspitz-la-municipalite-de-zurich-comme-celle-de-berne-menace-de-fermer-les-parcs-de-drogues-et-de-mettre-ainsi-fin-a-une-experience-liberale_4026667_1819218.html

[2https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nouvelle-affaire-de-viol-a-stalingrad-deux-hommes-sont-en-garde-a-vue-1622124601

[3]  https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/26/crack-a-paris-il-faut-s-inspirer-des-experiences-passees-pas-des-perpetuelles-ideologies-repressives_6081486_3232.html

[4] Françoise Fonteneau, Suicide et sociologie, l’après-Durkheim, in La Cause freudienne 2006/2 (N° 63), pages 176 à 180 https://www.cairn.info/revue-la-cause-freudienne-2006-2-page-176.htm

[5] https://www.has-sante.fr/jcms/c_272062/fr/modalites-de-sevrage-chez-les-toxicomanes-dependant-des-opiaces

[6] https://www.zayactu.org/2021/03/infos/europe/actualite-en-france/paris-un-sdf-touche-40-000-euros-apres-la-parution-de-sa-photo-dans-un-dossier-sur-le-crack-dun-magazine

[7] Accueil familial thérapeutique depuis 1970 https://www.famidac.fr/?+-AFT-+

[8https://www.lecurionaute.fr/villages-abandonnes-france/

[9https://sante.lefigaro.fr/article/l-etrange-et-belle-histoire-d-un-village-des-fous-au-19e-siecle/

[10] https://www.famidac.fr/?De-la-colonie-familiale-a-l-accueil-familial-therapeutique

[11]  Observatoire national du suicide https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/article/observatoire-national-du-suicide 

Observatoire français des drogues et des toxicomanies https://www.ofdt.fr/

Pierre Kopp, 2015 Note de synthèse du rapport des coûts, Observatoire français des drogues et de la toxicomanie

 [12https://www.paris.fr/pages/lutte-contre-le-crack-un-plan-d-actions-2019-2021-6843

[13]  Pétition du groupe Collectif 19, https://twitter.com/Collectif191
 NON à "PARIS, capitale Mondiale du CRACK et de la TOXICOMANIE" https://www.change.org/p/emmanuel-macron-non-%C3%A0-paris-capitale-mondiale-du-crack-et-de-la-toxicomanie

  • Crédit - Illustrations

[Illus. 1Anthony Dimitri, Renardeau endormi sur des troncs moussus dans les Vosges
https://www.facebook.com/anthonydimitrii/posts/1640781979646104

[Illus. 2] Châteauneuf-les-Moustiers
https://www.routard.com/photos/provence/1383790-le_village_abandonne_de_chateauneuf_les_moustiers.htm

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