Représentation tridimensionnelle de l'ADN - Acide Désoxyribo Nucléique[Ill. 1] |
Pour nous même, nous n'irons pas par quatre chemins : je suis de sexe féminin et n'appartient qu'à un seul genre, le genre humain, et pas à deux. Les femmes, dont je suis, ne sont pas réductibles à une catégorie sans sexe, et les petites filles encore moins car leur sexe est bien déterminé dès le premier moment de jonction des deux gamètes. La femme, réduite à une sorte d'eunuque (homme sans sexe mais pas sans sexe...), l'on connait déjà cette thèse bien expliquée en l'ouvrage de Simone de Beauvoir
Du temps où le sexe vu en producteur de génération, il s'appelait genre... Il revient se mordre la queue presque mille ans plus tard.
B. 1. Ca 1200 "sexe" (Dial. Grégoire, 144, 3, ibid. : ... nïent ke il despitoit lo genre [non quia aspernabatur sexum])[1] /"[pas parce qu'il méprisait le sexe]"
Précisons donc aussi d'entrée que le féminisme n'a pas de sexe car cela n'a pas l'air évident ou cela est trop évident ? Le féminisme de tous les députés qui ont institué les lois d'égalité des sexes s'est inscrit en actes. Ils n'ont pas fait que dire, et l'on a pu parler plus avant ! Certainement prirent-ils conscience au travers de femmes combattives, de toujours il y en eût. Nos grand-mères... Femme, femelle adulte de l'espèce humaine lassée d'être seconde, secondant, ou secondaire.
L'histoire banale de comment les nanas se sont fait chourer l'idée intéressante du processus de stéréotype différentiel (valence) -démontrant les recoins du sexisme à leur égard-, et leur sexe à terme ?
"Nous pouvons affirmer qu’à la différence de l’anglais, où gender renvoie à la différence culturelle homme-femme et sex désigne les seules différences biologiques des sexes, en français le terme genre est utilisé comme synonyme de sexe au point de pouvoir être remplacé dans le syntagme en question par entre les hommes et les femmes et/ou entre les sexes tout court. Cette confusion conceptuelle est plus rare en anglais, où l’expression equality between women and men est normalement utilisée de manière « fonctionnelle » (Bertaccini et alia, 2005 : 9), notamment dans les textes contraignants, où le contexte strictement juridique demande l’utilisation d’un lexique réticent aux mécanismes de remaniement du sens préalables à la néologie sémantique.La première chose que l’on remarque lors de la traduction de gender en français, c’est donc la présence d’une « équivalence plurivoque » (Cosmai, 2007 : 149). Gender équivaut à la fois aux calques sémantiques « entre les hommes et les femmes »/ « entre les sexes », plus rarement au calque structural « genre », ainsi qu’à des formes dérivées de sexe, par exemple les adjectifs « sexiste » ou « sexuel », comme il est recommandé par la COGETERM en 2005."
Citation et tableau, Rachele Raus, Idiomes français à l'international : la traduction du terme gender et des syntagmes dérivés au parlement européen (2004-2009), Éla. Études de linguistique appliquée, 2011/4 (n°164), p. 491-501 https://www.cairn.info/revue-ela-2011-4-page-491.htm |
Méfiance toujours devant les apparences - A propos des indications extérieures, principalement. Les différences imperceptibles directement à nos sens et nos mesures actuelles ne disent pas que tout en différence des sexes serait uniquement du domaine de l'acquis social et culturel entre les sexes et devrait empêcher l'égalité en droit.
Dans le "genre", le sexe toujours instrumentalisé. Adopté en anthropologie française,
"...observation de la différence sexuée qui est au fondement de toute pensée, aussi bien traditionnelle que scientifique" Françoise Héritier, Une pensée en mouvement, Odile Jacob, 2009, p. 89
Il paraitrait que
"Le tabou qui a entouré et continue à entourer le biologique dans le féminisme égalitariste a pourtant fini par imposer le recours à "genre"." Marie-Blanche Tahon, Corps, sexe et genre, Travail, Genre et Sociétés n° 10 – Novembre 2003, p. 202-207 https://www.cairn.info/revue-travail-genre-et-societes-2003-2-page-202.hPar contre, restreint dans un premier cas, homme et femme au sens culturel, gender identity (John Money parlait bien déjà du total rôle socioculturel du sexe, celui-ci ne faisant pas qu'observer mais prétendant détruire et reconstruire) traduit également égalité des sexes parfois, et toujours plus souvent "identité de genre", à la place, ouvre champ libre à tout discours de sexe masculin s'autodéterminant en s'identifiant aux personnes de sexe féminin et à leurs droits, de protection sexospécifique, refuge, intimité, sécurité et autres.
- Souvent ce qui est sous nos yeux passe inaperçu, comme, j'en suis sûre, personne ne remarqua La Fontaine évoquant le statut de crème à battre au moindre faux pas de celle qui trébuche ; perdue en imaginations rattrapée par la torgnole de son époux en droit de correction ? Personne ne s'offusque alors de ce que la trempe pleut, la morale ne se préoccupe que, et ses moralistes, de rêve debout et ses risques communs à tous et que donc la fermière n'en mérite pas châtiment...
D'autant plus rageant de voir que du droit punitif uxoral, jusqu'à l'uxoricide, l'on bascule à fausser tous décomptes grâce à la nouvelle appellation du sexage, le genre, le type donc : Le fermier, la tête chargée, pourrait se dire fermière, et fermez-là le ban ? Ce qui fait s'interroger sur ce nouveau stéréotype de lubie de prendre le sexe pour "espèce sexuelle". Un sac de noeuds ou un cul de sac, ou l'un dans l'autre.
Un objet qui se révèle totalement inutile et qui se fait un malin plaisir de se trouver sous votre pied gauche à chaque pas, devient une vraie peau de banane.
Le processus de sexage n'est pas une catégorie.
La féminité, dont un glissement de langue ferait genre n'est pourtant pas constituée que de stéréotypes forgés de toutes pièces. La féminité n'est ni un genre, ni une espèce- C'est l'anglicisation qui permet l'abus de langage puis l'abus en actes. Plus un mot est polysémique et se module en morphologie, plus on lui fait dire ce que l'on veut, Ce type de termes devraient être banni du vocabulaire féministe, afin de viser à une communication facilitée et honnête. On a aussi l'exemple du "patriarcat" qui signifie le clergé orthodoxe (églises d'Orient) se trouve être en total porte à faux avec le patriarcat devenu à la mode de reproduction de classes, patronat, etc. Prêter à confusion amène à terme à des rejets.
MAJ 2022 - Pour cela, je propose de faire le mot "gynécité"* pour dire la part des attributions sociales sociales variables selon les appartenances de l'individu (aristocrate, guerrier, bourgeois, etc.), les populations et les époques.
En outre, aurait on imaginé, concernant toute autre catégorie réelle ou "rêvée" de personnes (certaine restant hypothétique tant que n'étant que révélée sans preuve), d'en faire genre sur ce modèle ?
-Après tout pourquoi pas, parlons d'autres groupes qui supportent des persécutions au sein de leur société- Ainsi pour ceux des Indiens émigrant du Kerala devenus les Tziganes, pourrait-on imaginer un seul instant que le processus des rapports sociaux naissant entre eux et les autres devienne "un genre".
J'ai croisé la trame pour bien montrer que nuancer, préciser, et fignoler reste fondamental, ce que ne fait du tout cette débauche de genres.
Cependant et malgré que déjà chose dite et la partie jouée, nous allons remonter la généalogie du genre comme annoncé par le titre -Normalement, j'aurais du m'arrêter là, cela m'aurait épargné du boulot à calepiner-
Seriez-vous étonnées que l'on vous dise de suite que ni le sexe d'un enfant, ni d'un adulte, ne se choisit sur catalogue ? Décider de son sexe, soit refuser de voir celui que l'on a réellement entre les jambes (pour partie, ce n'en est pas toute l'expression), cela rime à quoi ? Pour dire sexe neutre à l'état-civil voudrait dire "je refuse de constater mon sexe" ou que quiconque d'adulte l'ait constaté, surtout ma mère la première à me reconnaître, la réalité, l'évidence...
Ce rejet s'appelle un trouble dysphorique, comme si l'on allait mettre les troubles dyslexiques en critère neutre. Rien de neutre à l'horizon et cela ne s'améliore pas en inventant des catégories neutres insignifiantes, ou sursignifiantes. Faire entrer en droit les problèmes sexuels de certains au détriment des droits du sexe féminin, c'est à dire de toutes, voire la majorité de l'humanité ?
Sûrement pas. Et aussi ensuite l'âge ? L'âge neutre pour ceux qui ne veulent pas vieillir ou ne veulent pas grandir, ou veulent vieillir et veulent grandir plus vite que les autres parceque tout de même l'âge instrument de pouvoir basé sur la biologie... etc ? Et l'espèce neutre pour ne pas vexer mon chat ?
C'est pourtant à cette tâche confusionniste à laquelle semble s'être attelée poignée d'activistes d'abolition de toutes frontières, du sexe y compris, et de norme, en fait en les déplaçant, créant de nouvelles, mais en quoi cela pourrait-il détruire le "mâle establishment" ?
Au contraire, plus de limites, plus de bornes à son appétit. Droit atomisé, la protection des femmes et leurs enfants, de la veuve et l'orphelin foulés au pied avec, parfois, délectation, d'autres fois, inconscience.
A l'ombre du grand frère relativisme culturel, tout devient possible.
La philosophie identitariste religieuse, obsédée de "relativisme sexuel*" et social fondé sur la complémentarité (discontinue totalement), délaierait-elle les limites sémantiques pour les inverser ?
Comme entre égalité et identité, entre sexe et genre, et au moyen d'alliances objectives incongrues, voudrait-elle imposer sa vision du bien par l'individualisation à outrance. Désirs, rêves et leur réalisation, sans souci de ce que seraient leurs conséquences sur un espace commun de droit général, qui doit tempérer le droit individuel ?
Mais voyons qu'est-ce que la trouvaille féministe de bon aloi du sexage* et ses antécédences, mutée en outil de casse des protections des spécificités des femmes et des enfants. A savoir que bien évidemment ce qui se dit pour des gallinacés à peine éclos, à qui attribué un sexe masculin au pif, ne vaut pas pour les hominidés (et en cas d'apparence trompeuse des parties génitales malformées) sauf pour la phase sociale après prise de connaissance du sexe de l’homo sapiens sapiens où l'on constate sans difficulté son sexe à la naissance (non ovipare) et même auparavant on le distingue au scan dès très tôt chez ce vivipare.
- -Miss "Maisj'enrage" et "Tuenom"*- MM. Misgendering et Deadnaming
C'est donc que ce logiciel imprime au monde le droit jurisprudentiel américain et que les pages en français qui y figurent mises sous sa coupe intellectuelle et juridique, sans recours possible ?
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Confettis, arc en ciel de couleurs |
On n'a tout de même pas à risquer notre vie car certains idéosociologistes et philosophistes auraient décidé d'annuler notre sexe féminin. A peine les lauriers gagnés des droits à l'égalité et à la sûreté propre et spécifique à notre sexe et pas à autre chose, que d'aucuns tiennent à tout bousiller ? Etre groupie de M. Wittig ou de J. Butler qui croyait en l'interchangeabilité du sexe et du genre vaut-il bien la peine d'y perdre la vie, allant en urgence à l'hôpital, de taire son sexe féminin (non étalon) sur lequel certains produits n'agiront pas ou mal pouvant vous valoir de risquer la mort ? Plus même la peine de recourir aux urgences, restez chez vous ! Une sorte de suicide mais bon chacun son chemin ?
Le féminisme ne pourra jamais se satisfaire de l'instrumentalisation et manipulation à des fins politiques de personnes en difficulté ou de jeunes personnes influençables lorsque les hormones grondent pour la puberté...
Fini le temps des marionnettes. La sortie de tutelle du sexe féminin de sous le masculin dispensant auparavant permission et ordres date du XXe, et encore qu'une partie du siècle. Il est bien compréhensible que la société mette quelques générations à s'y ajuster et à parfaire la porte claquée. Tout reste important pour qu'elle reste fermée à jamais mais aussi pour l'humanité entière. Nous ne sommes pas claquemurés sur une île.
Tout concept, soit-il de sciences (dites dures, exactes) ou de sciences (dites molles, exactes aussi) -les premières seraient donc débandées d'emblée ?- devrait être soumis à l'esprit critique le plus impérieux.
Le mot accolé au concept doit être mis sur la sellette. Surtout lorsque l'on voit qu'il facilite maintes dérives destructrices du sexe féminin, prenant le train du concept de construction sociale irréfutable. Qui nierait que les représentations sociales en sont issues et pour grand nombre sont liés au sexe de l'individu ? Et alors ?
D'autant qu'incrédule de naissance, je suis restée les yeux écarquillés de voir que certains utilisent le mot "genre" pour dire "égalité des sexes", ce qui est pour le moins curieux puisque le sexage* au contraire fait toujours inégalité de droits surtout contre les seules filles... Sexage ce ne sera pas que pour les poussins ou les veaux ):z (proposition d'émoticon du veau qui mâche) - On propose avant de disposer.
Sexage n'est pas sexe, et l'on voit de suite mieux le paysage. Pas de dérapage homonymique. Alors que genre (sexuel social, soit stéréotypie) brouillon, de suite, l'abus de langage se glisse, le processus fait catégories, comme déjà détecté plus haut. Plus personne ne sait plus y retrouver veaux, vaches, poussins, cochons.
Le sexage n'est pas synonyme du "genre" - Jusqu'ici le sexage n'était pas égalitaire en assignations sociales mais ne niait jamais le sexe, alors que le "genre" idéologique se prétendrait l'être plus en niant les sexes, donc le sexe féminin, et le cannibalisant ? Il n'y a donc plus aucune bonne raison de garder ce barbarisme angliciste dans le vocabulaire officiel en préambule d'une écriture inclusiviste servant le transgenrisme prétendus féministes, puisqu'on lui a trouvé un remplaçant qui ne simule pas, ledit sexage (MAJ et l'acolyte gynécité*
Certains travaillent d'arrache pied à noyer les responsabilités du système (anthropologique) patriarcal et à brouiller les pistes historiques, et scientifiques en premier. Qui pourrait ne pas voir que les bigoteries des identity politics sont aux premières loges de la manoeuvre dilatoire de genrer et enrôler ?
Après ce détour par le Rift, revenons à l'actualité que désormais tout le monde pêle-mêle et à sa manière défend "son" genre hors sol, hors sexe. Il est bien temps d'en tenter l'ontogénèse... qui nous ramène aux lointaines brumes où un seul, l'unique père des dieux et des hommes, à l'origine du tout au tout pour les Grecs du VIIIème siècle env. avant notre ère. Où, en tout cas, la racine partie de ce pied-là n'a rien de féministe dans son rayon :
"Le genos est avant tout un ensemble de familles qui prétendent toutes descendre en ligne masculine d'un ancêtre commun...", p. 51, Emile Mireaux, La vie quotidienne au temps d'Homère, Librairie Hachette, Paris, 1954Déjà l'on y voit poindre les lignées royales de grands ancêtres de souffle divin... genre pas de gauche du tout... Il vaudrait mieux ne pas le rendre populaire -au sens noble- juste par réaction à l'attaque droitière... Monsieur Sans Gêne, le clan patrilinéaire ou matrilinéaire (peu importe finalement) patriarcal parle donc tout d'abord de naissance d'un mâle premier, de son "patrilignage (genià)". http://halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/35/29/76/PDF/Couroucli_2003_GENOS_Ateliers.pdf
Au Mâle, la force productrice, l'ingéniosité, voire le génie, le surplus aux assistantes ? Dont l''illustration en continue jusqu'aux mères d'intention ou d'intérêt (cf. proxénétisme gestatif*) dont l'enfantement restent réservé à toute mais point d'engendrement (genos inside) qui reste toujours dans le giron viril. Le gendre en est bon atout et la belle fille à tout faire qui est d'enfanter.
http://projetbabel.org/mots/index.php?p=gens
Une étymologie "prédictive", performative, visionnaire de ce que le genre en train de faire aux esprits délités - Où l'on verra que s'obstiner à user de ses ramifications par son ambiguïté à peine dissimulée va simplement continuer à cacher, ignorer et annuler le sexe féminin, surtout lorsque utilisé en catégorie de l'ensemble des obligations et privilèges liés à un sexe ou à l'autre. Le sexisme y disparaît, paraissant tout atténué, pas bien grave...
Il n'y a donc hors langue, et grammaire, pas de genre féminin, puisque le genos, le génie du genre ne tient compte que du gendre et pas de ma grand mère. Même si l'on convenait de dire que genre est sexuel et plus qu'espèce, il ne reste que mâle, nous nous heurtons à une impossibilité, nous n'en pourrons pas changer la racine empoisonnée ! Vous reprendrez bien un peu de manioc. http://base.d-p-h.info/fr/fiches/premierdph/fiche-premierdph-2767.html
En pratique donc comme en théorie et tout de go, je refuserais de faire simili caractères avec le sexe masculin ;o) me sentant, ressentant, analysant, vivant dans mon sexe. Que je ne prends pas non plus pour une patère identitaire, bien que j'y tienne et m'y accroche... Je n'appartiens ni à la gent masculine, ni au genre masculin (surtout qu'il n'y en a pas, sauf en grammaire), et surtout pas au genre féminin (étant plus que virgule). Pour autant, je n'en suis nullement essentialiste, au contraire, je vous rassure également.
"A. − Langue abstraite et cultivée; langage technique. Ensemble d'êtres ou d'objets ayant la même origine ou liés par la similitude d'un ou de plusieurs caractères." http://www.cnrtl.fr/definition/genreNe serait-il donc pas plus efficace, et moins dangereux, pour le féminisme d'utiliser un terme moins patriarcalement connoté ? Et, comme vous allez le voir par ses dessous, ci-dessous, moins ambigu et générateur de conflits et de malentendu -ça rend sourd-, d'opportunisme et de querelles ? Un néologisme à sa place nous aérerait, à moins de s'en tenir à ce que nous possédons en propre. Pour défendre ce barbarisme angliciste, certains feraient allusion à l'ambiguïté historique du négatif "féminisme" à sa naissance. Ce qui ne cesse de montrer qu'aucun terme n'échappe à sa naissance au contexte patriarcal d'émission de l'androlecte ou du patrilecte mais ne légitime pas cependant la validité de s'agripper au genre (sexuel). Un poil d'ethnolinguistique ne nous fera pas grand mal (j'ai bien dit un poil, rien d'académique).
Tout n'est pas égal par ailleurs - Entre ce mot qui retrace l'origine de l'individu uniquement de consistance d'une ligne masculine, niant donc l'existence de contribution féminine et maternelle, et un autre qui, au moins part de la racine de notre appellation de femme (feo), la gradation parait favorable au second (féminisme), qui de plus a depuis gagné ses lettres de noblesse à arracher droits de vote, de chèque, de circuler, d'étudier... Alors que l'on se demande en quoi le premier (genre) aurait prouvé sa bonté pour les tenantes du sexe féminin. "Délétère", diluant le féminisme en mise à plat, en mise à bas. http://salondandree.blogspot.ca/2014/06/entrez-entrez.html
"Quand le queer s'entiche du genre" ? (cf. Sheila Jeffreys)En tout cas, il reste utile de savoir d'où émerge et qui le mit à la mode en psychologie avant que l'organisation des Nations Unies et des féministes américaines décident d'imposer le terme égalité des genres en développement, à la place d'égalité des sexes. Comme si l'égalité des sexes en Droit gênait quelqu'un ? Cui bono...
"La théorie du genre a toujours été queer. La drag queen est la figure iconique d'un certain féminisme." http://next.liberation.fr/sexe/2013/04/29/la-theorie-du-genre-a-toujours-ete-queer_899849Certain féminisme dont il vaudrait mieux dire "féminisme incertain"* ? Celui grâce auquel la manie de remplacer "féministes" par "genre [sexuel social] envahit nos universités, pour faire branchées ?
Cet anglicisme venu de "gender" peut raisonnablement être précédé de l'article "de" et il serait utile si de suite, il n'avait pas été également accolé à "des", ce qui nous met doublement dans la panade, on ne peut plus employer ce terme-là barbarisme qui roule pour le masculinisme. Repeat after me again and again, Mr. Money, il n'y a pas de genre féminin et les filles ne sont pas un genre.
Effacer les termes "féministe" et "sexisme", que d'ambition ! Et le transinimse rejette "femme" et "mère", et voilà le parent indifférencié dans l'arène... Ouste les femmes. Ex. Etudes féministes, qui était tout à fait compréhensible remplacé au forcing, sans nulle concertation et sans avis scientifique, tout comme sexes et égalité des sexes maquillé en égalité des genres même à l'ONU Femmes, devenu "études de genre"...
> Il faudrait mieux en faire "études du sexisme", si études féministes vous heurtent.
L'identitarisme s'accapare tout et toutes. Encore étude en sexage, cela signifierait mieux. Mais le pire est que l'on ne sait de quel concile et comment la nomologie scientifique fonctionne ; en tout cas, l'on ne peut que constater que, sans aucune concertation, certains ont basculé "féministe" de bon augure en "gender" glissant comme une anguille.
- Ce qui va beaucoup plus loin que la simplicité scientifique du rasoir d'Okham - Simplicité ne peut pas être réductionnisme et révisionnisme biologique !
- une négation de la biologie,
- la croyance toute puissante créatrice humaine (par peur de son insignifiance ?) et
- la croyance en la bisexualité spiritiste que l'on biseaute au scalpel :(
- Les chevaliers des genres - Un homme, aussi bien et joliment vêtu (talons, coiffure, bas, maquillage) ou travesti soit-il, représenterait les droits des femmes à l'égalité ? Il est permis d'en douter. Tout comme s'habiller en homme serait une marque d'homosexualité, ou en femme...
Römer Willy Josef Meißauer devant sa boutique à Mühldorf am Inn Après 1910. Sur la base du rapport de Magnus Hirschfeld (1868-1935), intitulé Les travestis, la préfecture de police autorise aux hommes le port de vêtements féminins. https://www.photo.rmn.fr/archive/18-500702-2C6NU0AKHMLZV.html |
"Rendre visible. Aux origines de la sexologie" MAJ Damien Delille, « Trans-archive. Magnus Hirschfeld et l’atlas visuel des sexualités de l’entre-deux-guerres », Genre & Histoire, 23 | Printemps 2019 https://journals.openedition.org/genrehistoire/4215
Deux cases, aucun besoin d'une troisième, le strict nécessaire déjà présent - De suite pour écarter tout embarras civil en matière d'hermaphroditisme, il n'y a nulle contre indication si le souhait était général de cocher les deux cas de sexe à l'état-civile. Pourquoi compliquer les choses simples et que franchement se peut dire désormais ?
1899 à 1923 -(...) Hirschfeld reprend à son compte la théorie du « troisième sexe » développée par Karl Heinrich Ulrichs. Il avance l'idée de stades « intermédiaires sexuels » (en allemand, sexuelle Zwischenstufen) : une échelle allant, indépendamment du sexe biologique, de la masculinité à la féminité. L'homosexualité, considérée comme innée et comme une question, alors, d'ordre médical, ne pouvait être pénalement répréhensible."Les positions de Hirschfeld ne font pas l'unanimité au sein du comité et des conflits apparaissent rapidement. Certains, comme Benedict Friedlaender (en), désapprouvent la comparaison que Hirschfeld fait entre homosexuels et handicapés. Ils estiment également que les « uraniens » ne sont pas nécessairement féminins. En 1903, une scission a lieu et certains, avec Adolf Brand, créent la Gemeinschaft der Eigenen (GdE) ou « communauté de l'unique » (à comprendre comme « communauté des gens singuliers »).Il fonde aussi en 1918 l'Institut de recherche sexuelle à Berlin, qui fut la cible des nazis, où ils firent les premiers autodafés avec l'importante bibliothèque qui s'y trouvait. Ses écrits, conférences et ouvrages ont été d'une importance capitale pour la « révolution sexuelle » qui s'annonça au XXe siècle et ont eu une influence déterminante sur les travaux des scientifiques et chercheurs pionniers de la sexualité Wilhelm Reich et Alfred Kinsey."https://fr.wikipedia.org/wiki/Magnus_Hirschfeld
- 1990 - Genre "queer theory" à la croisée. cf. Maxime Cervulle, Françoise Duroux, Lise Gaignard, Teresa de Lauretis et la politique des différences, "À plusieurs voix" autour de Teresa de Lauretis, Théorie queer et cultures populaires, de Foucault à Cronenberg, Mouvements, La Découverte, 2009/1 (n° 57), https://www.cairn.info/revue-mouvements-2009-1-page-138.htm
- Départager judicieusement entre stéréotypes
"Encart terminologique - Nous utilisons la notion de « stéréotype de sexe » et non celle de « stéréotype de genre ». En effet, les stéréotypes attribuent des caractéristiques à des personnes catégorisées selon un critère particulier, ici le sexe. Le genre en tant que « système de normes hiérarchisé et hiérarchisant de masculinité/féminité » ne désigne pas des catégories de personnes. « Stéréotype de genre » est donc un abus d’usage." p. 10 du rapport du 20 octobre 2014 http://www.haut-conseil-egalite.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_hce-2014-1020-ster-013.pdfAinsi fût construit le concept de race, de même l'idéologie queeriste aborde le genre queer, allant au gré des marées de la féminité outrancière à la masculinité, dit l'éventail de genres qui va trouver son plafond mais pour lors les catégories s'enchevêtrent, chacun se case.
Barbarisme anglais "de genre" placé subrepticement en place de "féministe" ! Alors que dans le sens de construction sociale, il concerne tant les hommes que les femmes et, somme toute, nie notre subordination systémique depuis toujours, enfin ébréchée durablement par les lois féministes établies du milieu du XXe.
En sus de sa première émission vers 1955 et des peu reluisants "gender roles" (du domaine de la psychologie comportementaliste de J. Money (1963) -ledit connu en héritier de A. Kinsey et salué de la médaille M. Hirschfeld, puis suivi de la psychanalyse de J. Stoller & alii comme nous l'allons voir d'un pas alerte ci-bas-)
Surtout que donc nous venons de voir qu'il n'y a pas deux genres, il n'y a pas des genres ! Tentative ultra individualiste de faire de chaque individu un genre, une espèce en soi, qui dérape et trappe l'homonculus. Si vous souhaitez vous servir du "terme savonnette"*, genre, il s'agit de savoir d'un processus de sexage et non pas de catégories- Mettre genres au pluriel reste un abus de langage, il est temps de vérifier de près vos notions du cru...
Un gros coin dans la sécurité - Et on en voit l'illustration revendicative de mixité du petit coin par le transinisme qui en fait un point d'honneur... Tout le monde oublie donc que ménager de l'intimité au sexe féminin, des toilettes publiques selon le sexe ait été le résultat d'une raison de sécurité très évidente de protéger les femmes. Trouver des inconnus dans ses jambes étant forcément inconfortable pour majorité d'entre nous, beaucoup moins pénible lorsqu'il s'agit d'une personne de même sexe, même si exceptionnellement, l'on s'en accommode toujours crispée. Quant au sexage (distribution de rôles sociaux selon le sexe) il ne forme pas de genre grammatical, ce confusionnisme ne profite pas au Droit du sexe féminin, jeune ou vieux.
- 1915 - William Blair Bell - 1er usage de "gender" - Concernant l'hermaphroditisme.
voir note 14 Dreger, Alice Domurat, Hermaphrodites and the Medical Invention of Sex (Cambridge, Massachusetts: Harvard University Press, 1998), pp. 158-59; Gherovici, Patricia, Please Select Your Gender: From the Invention of Hysteria to the Democratizing of Transgenderism (New York: Routledge, 2010), p. 31; Reis, Elizabeth, Bodies in Doubt: An American History of Intersex (Baltimore, Maryland: Johns Hopkins University Press, 2009), p. 99 cité par http://spooksrus.tripod.com/circle/tranhist-timeline.html
- 1943 - Un "influenceur" de poids... Clive Staples Lewis, théologien, apologète anglican orthodoxe (converti en 1931) et auteur de science fiction - Le genre marqué au sceau de la Réforme protestante dans Perelandra. Gender regroupant les stéréotypes liés au sexe, et des deux sexes. Une catégorie qui regroupe des catégories. 1943 : Perelandra (Au-delà de la planète silencieuse (1938) Perelandra (1943) Cette hideuse puissance (1945)) [...] https://www.reforme.net/opinions/2011/01/19/journal-12232010-3397-opinions-cs-lewis-imagination-service-christ/
1947, 'Trans-sexual' would be a better word than 'sexless' for the heavenly life.” Miracles, 1947 (ch. 16)
- 1952 - Thèse soutenue par John William Money en vue du Doctorat de Philosophie des relations sociales de l'Université d'Harvard - mots clés Intersexualité - Aspects sociaux - Identité de genre
"1965, États-Unis : Le mot "transgenre" est utilisé pour la première fois dans un texte médical du Dr John F. Oliven, où il l'utilise pour désigner le transsexualisme.* Il prend un sens tout à fait différent et est popularisé par Virginia Prince (1913-2009). dans les années 1970. Prince prétend avoir inventé le mot elle-même et l'utilise pour définir les personnes qui vivent à plein temps dans le sexe de leur choix, sans nécessairement avoir subi, ni même vouloir subir, une opération de confirmation de sexe. La différence de sens entre l'utilisation de ce mot par Oliven et Prince crée encore aujourd'hui du mécontentement et des divisions dans certaines sections de la communauté trans." Oliven JF, Sexual hygiene and pathology: a manual for the physician and the professions, Philadelphia: Lippincott, 1965, p. 514
1973 - Athéorisme DSM - Le collectif de psychiatres américains (pondant leur manuel des troubles mentaux, probablement très imprégnés de psychanalyse, on y sent les pattes de Benjamin et Stoller) parti sur sa bonne lancée de refuser le diagnostic psychiatrique de sexualité homosexuelle sous la pression de l'opinion ; plus de consultations pour homosexualité, moins de patientèle.
"Pour notre part, en regard de notre expérience clinique, nous nous focaliserons surtout sur les troubles sexuels et les troubles de l’identité de genre Sexual and Gender Identity Disorders. Il semble que le terme…, plus précisément sur lesdites « paraphilies », soit littéralement les « manières d’aimer à côté », troubles cliniques que l’on range sur l’axe I du DSM (...) Ce néologisme, empruntant à la Grèce et à la noblesse de l’Antiquité une sorte de sonorité savante et légitimatrice, relève d’un aveu terminologique : à travers l’usage de ce nouveau signifiant se donne à entendre la manœuvre d’exclusion du terme « perversion », péjoratif et soi-disant moralement connoté (comme si les classes du DSM ne l’étaient pas…).' (...) "En matière de psychiatrie, le trompe-l’œil a trouvé son bréviaire dans le DSM-IV. En principe, apolitique et athéorique – en tout cas ascientifique – le DSM n’avait à ses débuts que l’ambition modeste d’offrir aux psychiatres du monde entier un outil de communication. Mais d’a-théorique cet inventaire est devenu carrément anti-conceptuel, en même temps qu’au fil d’un silencieux coup de force il se muait, de manuel de conversation clinique, en répertoire mondial obligé des écarts à la norme (disorders). Dans le mode d’emploi actuel du DSM, penser n’est qu’une variable parasite faisant perdre du temps à l’évaluateur. À l’heure du coaching, diagnostiquer, c’est cocher. Il s’ensuit que tout clinicien qui veut travailler correctement sans pour autant risquer sa carrière, se voit obligé de traduire ses dossiers en CIM-10 (…) invoquant F60.4 (…) au grand jour."" Christophe Adam, Jalons pour une théorie critique du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), Déviance et Société, 2012/2 (Vol. 36), p. 137-169. https://www.cairn.info/revue-deviance-et-societe-2012-2-page-137.htm
Par ce défaut de réflexion fondamentale, APA repart en roue libre dans tous les sens : tout ce qui relève du sexe et de la sexualité, paraphilique (histoire d'affection, plus de sexe), devient affectueux sauf que ses nouvelles créations identitaro-genristes entrainent l'inverse, puisque abouti au 5 à adopter l'idée que les personnes troublées qui ne veulent pas de leur sexe principalement car elles refusent les stéréotypes sociaux qui y sont variablement attachés doivent être accompagnées louablement dans leur intoxication aux hormones et mutilations sexuelles qui les entretiendront dans l'illusion du changement de sexe...
"Sexual and Gender Identity Disorders. Il semble que le terme "genre" remplace celui de "sexuel" sans que cette opération n’ait fait l’objet, à notre connaissance, d’une discussion."
- Binarité conflictuelle activée - Créer deux camps d'affrontement - Responsables et coupables
An editorial by a transsexual lesbian, addressing the issues and misconceptions about trans lesbian identity. Originally published on pages 6 and 7 of volume 2 number 35 of Gay Community News https://www.digitaltransgenderarchive.net/files/r207tp58j |
- 1979, George William Christine Jorgensen rejette transsexuel
"commence à prendre de sa propre initiative une hormone féminine, l'éthinylestradiol" https://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_Jorgensen
" le genre n'a rien à voir avec votre partenaire mais avec votre identité""gender doesn't have to do with the bed partners, it has to do with identity"

1952 - Tapage médiatique - La célébrité - L'opinion publique frappée par sa plastique, facilitant l'identitarisation en marche...
"ce genre d'opération avait déjà été pratiqué par des médecins allemands, pionniers en la matière, à la fin des années 1920 et au début des années 1930. L'artiste danoise Lili Elbe et "Dorchen", toutes deux patientes du Dr Magnus Hirschfeld à l'Institut des sciences sexuelles de Berlin, avaient déjà bénéficié d'une telle opération en 1930-31 "...les cliniciens danois de Jorgensen, les Drs Christian Hamburger, Georg Stürup et Dahl-Iversen ont écrit pour le Journal of the American Medical Association en 1953." Les spécialistes danois Preben Hertoft et Thorkil Sørensen qui ont étudié les dossiers médicaux et interrogé le Dr Georg Stürup, un psychiatre, affirment que "l'intention première de l'équipe médicale n'était pas de changer un homme en une femme, mais d'aider un homme qui souffrait de ses pulsions homosexuelles"
- Décès en 1989 à "62 ans d'un cancer de la vessie et des poumons" https://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_Jorgensen1984, "Communauté transgenre", utilisation en terme-parapluie, palier identitaire supplémentaire
1992, Conférence internationale, "transgenre" déploie le parapluie sous lequel "transsexuels, transgenderistes, cross dressing" et quiconque "transitionne". La transition, ou conversion, consiste en castrations chimiques et chirurgicales - La médicalisation sexuelle continue commencée avec Freud à Vienne (ablation de Sa prostate) et avec Hirschfeld de Berlin sautant en Afrique du Nord, enjambant l'océan avec Benjamin pour se rejoindre chez Burrou.
On retrouve le parapluie rouge correspondant chez Strass, transactiviste, qui prétend réglementer la prostitution contre l'abolitionnisme du proxénétisme.
Un blog transéducatif* prétend dater "transgenre" de 1978. L'on sait, en tout cas, que transvestiten vient de Tante Magnésie, alias Magnus Hirschfeld, publiant en 1910, Die transvestiten, le même terme de l'acronyme de son association STAR (Transvestite) de Sylvia Rae Rivera de Stonewall. Ainsi que trans sexualismus, vu plus haut.
Que le "gender confirming" aboutisse à l'hormonalisation et la chirurgie, ou reste telle quelle, c'est-à-dire sans actes invasifs, uniquement de travestissement comme avant les expérimentations uranistes-, l'exigence à terme reste toujours d'obliger les règlements à changer le sexe d'un citoyen (sur la base juridique de ce qui fût posé de la conception utilitaire du sexe féminin par des juges (Neufchâtel et aux EUA) - Louable de ne pas mutiler mais le risque prend quelque ampleur pour la sécurité du sexe féminin, à lire les verbatims délictueux et criminels qui s'allongent contre des femmes, hétérosexuelles ou lesbiennes.
Lorsque, assez vite dès la tentative d'imposer "le genre" (sexuel) en catégorie, la générocritique* naissait sous sa première forme, malheureusement niant le sexe féminin et à terme il deviendra impossible de protéger le sexe qui aime du même sexe, le lesbianisme, la lesbianité et les lesbiennes donc, ou comment creuser sa propre tombe après s'être tirée une balle dans le pied...
"Comme Wittig, Mary Daly dénonce le terme 'genre', en illustrant son manque de précision et de force pour contester les catégories : est-ce que Simone de Beauvoir aurait pu intituler son livre Le Deuxième genre ? (Daly, 1998 : 135)" Kate Robin, Au-delà du sexe : le projet utopique de Monique Wittig - Beyond Sex: The Utopian Project of Monique Wittig p. 71-97, Journal des anthropologues 124-125 | 2011 : Les rapports de sexe sont-ils solubles dans le genre ? https://jda.revues.org/527
- 1995, la Nobel allemande - Le sexe n'est ni spectral, ni fluide - C. Nüsslein-Volhard
Comme si le sexe biologique féminin qu'ils s'attribuent ne mériterait pas débat public et participation de toute la citoyenneté ? Cinquante ans plus tard, des féministes commencent à peine et partiellement à réaliser le problème que pose un projet de règlement gouvernemental non débattu de changement transgenriste qui se prétend de sexe. http://sisyphe.org/spip.php?article5069
Ce montage ne reste-t-il pas contradictoire et sans vertu opératoire, puisqu'une fois la personne trans enregistré à l'état civil selon son désir, ne se trouve-t-elle aussi redevenir "cis" ? Dès que l'Etat concède de modifier le sexe inscrit sur les papiers d'identité et dans les bases de données d'état-civil, la personne redevient cisgenre :
"Qualifie une personne dont l’identité de genre est en concordance avec son sexe déclaré à l’état civil." http://www.genrespluriels.be/Glossaire.html#LettreC
Tout de go, posons les questions douloureuses de castration délibérée du féminisme par des idéologues invasifs :
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Les tropes du fluidisme genriste censés combattre le vilain binarisme -lisez scissiparité- L'obsession d'échapper à la binarité sexuelle (niée) et de croire que le monde n'est qu'illusion doivent être éprouvants à vivre ? En tout cas, cela ne préserve pas les hommes se sentant femmes ou "autres" d'exercer leur violence machiste, à lire les longs verbatims criminels, qui ne fait pas de tous les transvestiten des délinquants mais laisse à penser que cette nouvelle norme fluidiste pose de graves problèmes quant à la sécurité féminine et prévention des abus contre elle. voir Transgender Tropes 101, December 26, 2010 https://gendertrender.wordpress.com/2010/12/26/transgender-tropes-101/
Justement, s'il y avait spectre ou fluide de bouquet de sexes, pourquoi alors vouloir à tout prix faire femme ou homme, en copiant à la virgule de l'extérieur ces sexes respectifs uniquement ?
- Intriguée que l'expression études féministes ou études de femmes soient reléguées aux oubliettes, nous avons donc rapidement découvert ce que les généromilitants* visaient par la propagation de celle des "études de genre", qui ne cassent pas trois pattes à un canard...
b) l'universalisme supplanté par le relativisme religieux
c) les Droits universels, passant sous la coupe de religieux*
-*ceux-ci parfois suprématistes prétendus gardiens moraux- Voilà dirait-on le tour de passe passe des Identity politics-
"Le concept de genre présente deux avantages principaux. D'un point de vue épistémologique, les rapports sociaux entre les hommes et les femmes sont considérés comme centraux dans la construction des pratiques et des représentations. Cette prise de position va permettre une distanciation de l'universalité considérée comme masculine, ainsi que l'étude des faits sociaux considérés comme naturels (le sexe) ou culturel (le genre). D'un point de vue stratégique, ce concept permet de dépolitiser les recherches académiques. Par conséquent, il permet d'amoindrir le militantisme féministe et favorise l'acceptation de ces études par le monde universitaire." https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tudes_de_genre
Salade cuite - Passation de pouvoir du genre sexuel au genrisme, et du transgenrisme au transinisme. Nous sommes cuites, faites comme la romaine. Ce n'est pas tout, hormis dépolitiser les recherches académiques, amoindrir le militantisme féministe, voyez que les institutions internationales se hâtent de troquer l'identité à l'égalité. De jouer des mots, elles aggravent les maux des femmes en supprimant l'égalité des sexes pour que ne se profile plus que l'identité de genre /des genres. Tentant ou faisant croire à la neutralité typiquement agenriste* à la Wittig "lesbianiste radicale" (générocriticisme neutral*) et sa théorie dite de "féminisme matérialiste" (reprise par Christine Delphy, par ailleurs très curieusement tolérante et perméable aux imamah tant chiites que sunnites, alors qu'imperméables à tout pasteur, chrétien ou juif, les autres croyance restant dans un flou vague sans consistance) car on aurait pu croire que le matérialisme goûtait peu l'opium ? ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/10/feminicide-categorie-genericide.html
- Petit virage, dérapage contrôlé sur les jantes vers la définition juridique passée en vigueur du sexe féminin imaginaire
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Jante personnalisable "mystic aluminum wheels" chez Schmidtt révolution
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1968 - Deuxième pavé en jurisprudence - Un autre, américain, définit femme a contrario, en dépit même du bon sens. Voilà c'est bon, le sexe féminin défini fait jurisprudence-socle sur un mot-valise qui sert à l'envi à tous ceux qui prétendent à notre sexe travesti en genre, coups de maître... je badine. Ces beaux messieurs des beaux quartiers créateur du sexe féminin sans que personne ne récrimine !? Conclu in petto que mettre des robes et du maquillage serait changement vers le sexe féminin (travestissement des plus classiques) avec quelques arrangements sous les jupes. Cet alibi de vouloir bénéficier des aspects de la féminité du genre dicté par notre obligatoire séductivité* à la marylin ou à la môman. C'est cela même retailler un stéréotype sexxiste ? A peine lifté l'ancien, et encore ! Les lapins courent hors du chapeau haut de forme, en veux tu en voilà-
La définition de "la" "Femme" par des hommes reste en roue libre... parole substituée, parole volée...
"Une affaire qui a créé un précédent récemment est celle d’un Français originaire de Villeneuve-sur-Lot (47), qui est devenu légalement femme, sans avoir subi d’opération." http://www.aufeminin.com/news-societe/transsexualite-un-homme-accouche-d-un-garcon-en-allemagne-s164109.html(l'opération dont il est question étant une mutilation sexuelle de transition, ou conversion sexuelle -difficile d'apostasier-
"Ablation accidentelle ou volontaire, retranchement d'un organe externe qui cause une atteinte grave et irréversible. Syn. amputation, mutilation rituelle, sexuelle" http://www.cnrtl.fr/definition/mutilation )
- Créneau de la linguistique contemporaine - Suffit de l'antiquité, E-car prend son vol vers le futur... aucune critique n'est interdite.
Point de vue prudent et bien vue de l'expression "rapports sociaux de sexe" préconisée le 22 juillet 2005 par l'Académie française et qui n'embrasse que partie du problème :
"La substitution de genre à sexe ne répond donc pas à un besoin linguistique et l’extension de sens du mot genre ne se justifie pas en français." http://www.dglflf.culture.gouv.fr/cogeter/gender.htmPourrait-on dire "théorie de la sorte" ou "études des sortes" ? Genre grammatical n'étant que catégorie. Grammaire n'étant pas grand mère arriérée, mais plutôt l'art de tracer les lignes, l'on pourrait dire aussi "théorie de la catégorie" ? Pourquoi faudrait-il garder à tout prix la notion de lignée génésique virile et son souffle vital premier ? http://www.lexilogos.com/latin/gaffiot.php?p=722
Mais where is donc Orn'I car ? - Un détour vers l'emploi grandissant du mot genre en anglais après 1945. Voir David Haig, The Inexorable Rise of Gender and the Decline of Sex: Social Change in Academic Titles, 1945–2001, Archives of Sexual Behavior, vol. 33, no 2, avril 2004, p. 87-96 http://www.oeb.harvard.edu/faculty/haig/publications_files/04inexorablerise.pdf
Essentialisme démocratique - Toujours sur le même rayonnage, l'on voit que les démocrates américains semblent confondre constamment sexe et genre puisque argué que les sex assaults seraient "non gender specific" (et hop protection des femmes exit) : En dépit que ni parité, ni égalité, l'on y voit la minceur de leur féminisme, toujours vouloir comparer que les hommes aussi seraient victimes, mais toujours en retard d'un train, alors que se croyant à la pointe du progrès. Simple à confirmer toute la spécificité, ou sexospécificité unilatérale de toutes les agressions féminicides, tellement patente en nombre, proportion et en conséquences ; cela ne leur met pas la puce à l'oreille les viols féminicides dans l'us army (pourtant d'apparent statut et métier viril, ne les protègent pas, et cela n'a rien à voir avec le rituel initiatique du bizutage entre soldats) ? http://abonnes.lemonde.fr/ameriques/article/2013/05/31/us-army-l-epidemie-silencieuse_3420904_3222.html
L'éternel non pas féminin mais va et vient nature-culture - Depuis les années 80 environ, des féministes américaines puis françaises ont passé outre la racine "génique" du mâle, en le raccourcissant à "genre" pour dire "genre sexuel" ou "sexe social" -concept précédemment, soit psychiatrique, psychologique, psychanalytique, soit de sciences sociales- désignation des différences non biologiques entre les des deux sexes, sous le sceau de la construction sociale. Pas très étonnant chez une espèce d'animal social pétri de sociétés... p. 291-304, Karen Offen, Le gender est-il une invention américaine ?*, Clio, 24 | 2006 : Variations http://clio.revues.org/4702
- Synonymie et proxémie -chronologie-
"Le rôle de genre [sexuel] est l'expression "publique" de l'identité de genre [sexuel], qui est l'expression "privée" du rôle de genre [sexuel]" / "Gender role is the public expression of gender identity, and gender identity is the private expression of gender role." p. 4, John Money et Anke Ehrhardt, Man and woman, boy and girl. The differentiation and dimorphism of gender identity from conception to maturity Johns Hopkins University Press, 1972 http://fr.wikipedia.org/wiki/Genre_(sciences_sociales)L'effroyable "cobayage" comportementaliste du psychologue John Money sur une dyade de jumeaux qui visa à prouver la constructivité des rôles de genre participant de l'identité de genre -à qui l'on doit donc ces deux concepts qui ont fondu comme neige au soleil de la raison- a échoué totalement et au contraire a prouvé indubitablement que ces deux notions sont fautives. Pourtant, cinquante ans plus tard, ils surnagent réchauffés au court bouillon. Quel est le but de ceux qui s'y prêtent ?
"John William Money a étudié la conscience sexuelle des troubles du développement sexuel et a préconisé le concept de genre en 1957. Par la suite, la disparité entre le sexe anatomique et l'identité de genre a été appelée la condition psychopathologique du trouble de l'identité de genre, et cela a été utilisé pour son nom diagnostique. lorsqu'il a été introduit dans le DSM-III en 1980." Jun Koh [The history of the concept of gender identity disorder]. Seishin Shinkeigaku Zasshi. 2012;114(6):673-80. Japanese. PMID: 22844818. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22844818/
Totalement zappé le sexe de l'enfant, l'on nait fille, l'on ne naît pas femme, bien évidemment, et il est hasardeux d'avoir prétendu que le nourrisson n'aurait pas de sexe en quelque sorte, et ce n'est qu'un modèle féminin qui est formé par l'entourage, rien de naturel sauf que de pressions des maîtres de maison...
"Première partie - Formation - Chapitre premier Enfance - On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figureque revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la civilisation qui élabore ce produit intermédiaire entre le mâle et le castrat que l'on qualifie de féminin". p. 13, Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe II L'expérience vécue, Gallimard Folio essais, 1949, renouvelé en 1976
Ainsi prouvé que la "théorie du genre" en quelque sorte n'existe plus puisque son axe central "l'identité de genre" est invalidée par la destruction des jumeaux Reimer. A survécu la théorie queer, revendiquée haut la main par Judith Butler, rumination des thèses de Monique Wittig et la french theory en général, relecture tronquée de Beauvoir. Celle-ci aurait tout de suite débusqué que la femme confondue à l'eunuque, au castrat, par les queers, renforcé le modèle sexiste.
Cette illustration de couverture, comme en tâtonnant, pratiquement sans le vouloir, nous donne la clef.
b) "Sexage" - Celui retenu ici en place de gender, pratique et théorique à la fois, sous réserve qu'il soit étendu. Simple et clair, mais mis au placard aux balais ? voir item DENI http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/02/index-illustre-bal-feministe.html
Pourquoi passer sous silence "sexage", de peur d'être prises pour sexologues ? Bien sur, nous ne sommes pas des poussins à trier mais l'on voit bien que la mécanique du déterminisme social peut revêtir aisément en la matière cette jaquette qui dit clairement son but. http://www.cnrtl.fr/definition/sexe
Ni forcées de se restreindre au foncier, ni au classisme, le terme pourrait être élargi à tout le mécanisme, sans se laisser circonvenir par le genrisme (dans un cas, activement favorable au queerisme et son transactivisme et; dans un second, moins butlerien mais plus dworkinien; le soutenant charitablement, au motif de la doxa marxiste -fondé sur le bien connu précepte de ce que tant que l'harmonie inexistante du fait des classes ne.surviendra de la dissolution du droit n'ayant plus lieu d'être dans un monde idéal sans classe, il faut combattre toute oppression, en soutenant tout opprimé) :
"Nommé «esclavage» et «servage» dans l'économie foncière, ce type de rapport pourrait être désigné sous le terme «sexage» pour ce qui concerne l'économie domestique moderne, lorsqu'il concerne les rapports de classes de sexe." ? Colette Guillaumin, février 1978 http://entreespoiretcolere.free.fr/PG/Colette-Guillaumin-Pratique-du-pouvoir.pdfRepris aussi par Michelle Causse, serais-je médaille de bronze ? Ne nous laissons pas brider par l'économisme ambiant, il n'y a pas que cette analyse qui frise désormais l'économystique* qui doive prévaloir.
"de même disparaîtra demain le sexage, forme également admise à l'heure actuelle de l'existence des êtres humains appelés femmes (du latin foemina, de moindre foi). Dans cet ouvrage, Michèle Causse s'attache à montrer que la condition de celles qu'on appelle "dividues" n'est pas éternelle et qu'un jour prochain elles ne se laisseront plus sexiser ni sexualiser mais seront des êtres non divisibles dotés d'un soi à soi." https://books.google.fr/books/about/Contre_le_sexage.html?id=3OezAAAAIAAJ&hl=frMoins alourdi et n'ayant pas statut de concept dérouté par libéraux libertariens et libertaires, la civilité Mademoiselle a été assise sur siège éjectable de nous dire bonne à marier, que de damoiseau l'on n'a cure, que de la maîtresse il ne faut pas s'effrayer, et nous offusquant, alors qu'à comparer, c'est une peccadille qui devrait être mise au rencard, car politiquement elle n'a aucune des conséquences graves de ce concept de genre, boulet qui sourd d'une longue et glauque histoire patriarcale (au sens anthropologique, s'entend)...
L'avantage consiste en ce que "sexage" ne se pourrait substituer, comme il est fait de plus en plus comme on l'a vu à tort, au mot "sexe". Et sa conformation parait plus adaptée par son suffixe "age", qui indique une collection, une action ou son résultat. La polysémie et l'imprécision de genre entrave les retombées positives. http://bv.alloprof.qc.ca/francais/le-lexique-et-le-vocabulaire/la-formation-des-mots/la-derivation/le-suffixe.aspx
L'économie et tout autre domaine de société, chasseur cueilleur ou impérialiste, voient les marques du sexage. L'économie domestique n'est qu'un des écheveaux.
b) "Identité sexuelle" en 1990
"L’identité sexuelle reste une idée. L’identité sexuelle -croyance en la virilité, la féminité et en la nécessité d’être soit homme, soit femme- fait partie des idées des plus fondamentales en jeu dans nos interprétations autobiogaphiques." Sexual identity is an idea. Sexual identity—the belief that there is maleness and femaleness and that therefore one is either man or woman—is among the most fundamental ideas with which we interpret our experience." p. 2 http://www.feministes-radicales.org/wp-content/uploads/2010/11/Stoltenberg-Refusing-to-be-a-Man.pdfDisparaissant en 2013 en "identité genrée". http://www.isabelle-alonso.com/john-stoltenberg/
c) Identité sexuelle = "identité de genre ou expression de genre", casée en études de genre, et toute la confusion entretenue juridiquement :
"Gender Identity or Gender Expression), 2012" http://www.e-laws.gov.on.ca/html/source/statutes/english/2012/elaws_src_s12007_e.htmCe qui fait en tout oublier l'égalité des sexes, s'entend en Droit, et la bafouer (cf. Sénatrice Nancy Ruth) en laissant croire à une synonymie avec "identité de genre", identité n'est pas égalité, genre n'est pas sexe ! Et des femmes battues par des hommes ont le droit à sauvegarder toute leur intimité entre femmes, la mixité n'est pas tolérable en cette matière !
"DiNovo characterized same-sex meetings as “reprehensible” and vowed to use Toby’s Act to eliminate and prosecute current and future same-sex gatherings of women or lesbians in the province. “I’m hoping that now under Toby’s law, this will be considered illegal.” http://gendertrender.wordpress.com/2013/07/07/mpp-cheri-dinovo-tobys-act-made-same-sex-gatherings-in-ontario-illegal-for-women/Point ici le "genre social" couplé à "identité de genre", écrit en place de "genre sexuel" :
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Extrait de "Identité de genre, droit et médecine : un débat à bas bruit ?" Diane Roman, mai 2012 http://www.raison-publique.fr/article530.html |
sur le modèle de l'historien Arthur Schlesinger Jr ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Identit%C3%A9_politique
Voir aussi LGBT issues : Queer nationalism and Political lesbianism. http://en.wikipedia.org/wiki/Identity_politics
L'aide des tayloristes (Charles Taylor, grand fan de l'expression religieuse pilariste, de renforcement religieux) a-t-elle contribué au couronnement de ce concept juridique dolosif d'identité de genre, qui ne croit pas deux seconde à l'égalité des sexes - le mariage de ces deux termes se révélant une bombe terroriste contre le féminisme (politique) ? L'inclusivisme évangéliste en sous main.
- Antonyme - Aucun - Tout stéréotype varie, diminue, s'érode ou grandit mais ne disparaît jamais chez aucun groupe humain.
*Distinguer la couette (petit oreiller) de la couette "(diminutif de l'ancien français coue, du latin cauda, "queue") désigne chacune des petites queues de cheveux" pour faire fifille qui n'est pas du tout une natte. Ayant passé mon enfance à défaire toutes couettes, en rejet de fleur de peau, je ne supporte que la première. http://fr.wiktionary.org/wiki/couette
Qui doute de l'inimitable sexe féminin ? Sa partie clitoridienne restée jusque là dans l'ombre faite en 3D existe depuis la sculpture américaine, plus que clitoris ou vagin, utérus et trompes, sans parler d'autres de nos attributs glorieux. Tout, tout, tout, je vous dirai tout sur notre beau sexe.
A noter quelques précédents :
- La mutilation affreuse de notre sexe féminin par l'exérèse féminicide ne transforme heureusement pas les fillettes en petits garçons, cela ne fait que réduire leur liberté sexuelle et leur autonomie, leur plaisir, les ailes de leur vie rognées à jamais. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/excision-feminicide.html
- Avec le triste épisode Distilbène -prescrit environ de 1945 à 1977-, "... hormone de synthèse était sensée protéger des fausses couches", encore une négligence pharmacologique venue de décisions majoritairement masculines que les femmes payent cher..., des organes féminins mal conformés par une "erreur médicale", concernant des millions de femmes enceintes, qui n'a pas transformé leurs 160 000 nouvelles nées concernées en garçons, malgré leurs organes sexuels souvent malformés. http://www.e-sante.fr/victime-distilbene-ou-histoire-erreur-medicale/actualite/790
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http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Pediculus_humanus_var_capitis.jpg |
En tout cas, tant que dans chaque cellule de l'individu, on n'aura pas fait repousser le X cassé, dit Y, jusqu'à faire le zouave ou plutôt le X... pas moyen de changer de sexe... Faire une brebis Dollx ?
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Trouvé dans dans http://www.fonddutiroir.com/blog/?p=8678 |
"Il est en effet bien connu que l'ablation hormonale ne parvient pas toujours à éliminer complètement ces différences, ni la supplémentation hormonale à les recréer." p. 186 "Pendant longtemps les tissus extra embryonnaires, en particulier le placenta, ont été considérés comme des organes asexués, la plupart des études ne prenant pas en compte le sexe de l’embryon [14]. Des travaux récents - dont ceux de notre laboratoire - ont montré, par une approche d’analyse de gènes candidats ou transcriptomique, des profils d’expression sexuellement dimorphiques dans le placenta de bovins, de rongeurs et humains" http://www.medecinesciences.org/articles/medsci/pdf/2012/02/medsci2012282p185.pdfIndifférencialisme* politique - Face à la science, l'idéologie genriste s'évertue...
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Tableau traduit - Utilisé pour l'éducation sexuelle au Québec http://itspronouncedmetrosexual.com/ |
Il reste de notoriété scientifique que le sexe féminin n'est pas le genre humain ; et que le "genre sexuel" n'est pas le sexe biologique.
Féminiser un homme n'en peut concevoir une femme, ni l'inverse, aussi fort que désir et volonté soient, cela reste une velléité. Au tout début, c'était le sens initial du terme féminisme et cela plait toujours beaucoup aux masculinistes qui manifestement mettent tout en oeuvre pour le réaliser, ou plutôt le faire réaliser par d'autres ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/06/rosier-pourpre.html?view=sidebar
- Cheminement géographiqus - Au pas de course, et de fond, le marathon du genre / gender -
Voyons attentivement la chronologie d'apparition des termes désormais brandis pour faire mal aux femmes récalcitrantes à laisser passer toutes leurs "affections" sexuelles sans limite d'âge...
- 1915, quarante ans avant - Premiers usages anglais de "genre" dans un sens qui ne soit pas grammatical
"(...) reçu de Evelyn Hooker, d'après l'idée de "rôle" appliquée à la différence des sexes par Talcott Parsons" (professeur au département de relations sociales à Harvard), "le "sexe d'élevage" prime sur le "sexe biologique" (in Hermaphroditism, gender and precocity in hyeradrenocorticism : Psychologic findings -Finalement démarche considérée comme frauduleuse ayant conduit aux décès tragiques des jumeaux homozygotes sur lesquels il avait prétendu fonder sa théorie de l'apprentissage social sexuel, invalidée par une analyse de 1997 de Milton Diamond et Keith Sigmundson, biologiste et psychiatre, ens "Archives of Pediatric & Adolescent Medicine" et une enquête journalistique de John Colapinto, As Nature Made Him: The Boy who Was Raised as a Girl, HarperCollins)
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John Money et Harry Benjamin
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L'article "Condition féminine" où John Money reste sans critique http://fr.wikipedia.org/wiki/Condition_f%C3%A9minine
Gender (catégorie, espèce, sorte) terme contracté de catégorie sexuelle sociale.
Il n'aura pas prouvé le "genre" assigné et assignable mais le contraire et pourtant tout le monde suit l'exemple ?! Afin de "réparer" l'ablation involontaire du pénis de l'un des jumeaux (Bruce>Brenda>David et Brian Reimer) suite à cautérisation de phimosis mal menée, il lui inculque les normes de féminité de l'époque et le travestit en le forçant avec son frère Brian à des actes sexuels, à quoi il aura été constamment rétif comme il le raconte dans un livre avant son suicide à trente-huit ans. La confusion continue à être nourrie par d'autres articles, dont un qui nous donne quelques précision sur le calvaire des jumeaux, notamment concernant les Intactivistes qui brandissent le cas comme éloquent, afin de refuser l'ablation du prépuce de la circoncision religieuse mais se refusent à analyser plus loin la théorie de Money et ses fraudes qui permettent la mutilation sexuelle élective d'ablation de tout l'organe sexuel et alii sur laquelle ils refusent par contre de se prononcer. http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Reimer
Ses expériences, elles aussi uranistes, consistaient en "réattributions sexuelles", devenu depuis réassignations (alors que le sexe est déclaré, déjà un hic, oups), où l'on voit que confondant genre (sexuel) et sexe, naturalisant ainsi ce genre, ce qui ne constitue au fond rien d'autre que négationnisme du constructivisme déterministe qui sera celui du féminisme.
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Portrait allégorique d'Uranie, par un disciple de Louis Tocqué |
Cette naturalisation du genre aurait-elle été permise par la génération de la french theory, en particulier l'assertion de Monique Wittig que le sexe est le genre, ou l'inverse, et qu'ainsi le concept genre ne sert à rien. Le mot certes, le concept que je préfère dire "sexage", si, oh combien pourtant, aux études féministes. Ayant réussi à légitimer les opérations mutilatoires de transitions, où il avait bricolé les organes, les attributs, et dressé les enfants jumeaux, il a cru que le tour était joué. http://biosex.univ-paris1.fr/dossiers-thematiques/scientifiques-du-genre-2/
Pour toile de fond la liberté sexuelle, vu en héritier de Kinsey, malgré les réassignations forcées avec "élevage sexuel" des jumeaux, en 2002 à titre posthume, John Money reçoit la médaille Hirschfeld créée par ILGA (fédération lgbtqia -lesbian gay bi trans queer intersex allies) ; ce qui n'a pas peu contribué à propager ses fausses conclusions. http://www.rolf-gindorf.de/kongress2012.htm#medaillen
- Scandale de santé publique - Au nom des pères de l'identité de genre /gender identity - Rien que le titre des Standards de soins HB/WPATH, qui use de l'expression "genres sociaux non conformes" montre une abyssale idéologie destructive ("déconstructive"*) puisque ne pas adhérer aux stéréotypes sociaux sexuels ne consistent pas à mutiler son sexe, organes et caractères secondaires, mais simplement à ne pas se soumettre aux pratiques.
"L'intervention en début d'adolescence doit être menée avec des conseils d'endocrinologues pédiatriques, lorsqu'ils sont disponibles. Les adolescents aux organes génitaux masculins qui commencent à prendre des analogues du GnRH au début de la puberté doivent être informés que cela pourrait entraîner une insuffisance de tissu pénien pour les techniques de vaginoplastie par inversion du pénis (des techniques alternatives, telles que l'utilisation d'une greffe de peau ou de tissu du côlon, sont disponibles)." / "(...) Intervention in early adolescence should be managed with pediatricendocrinological advice, when available. Adolescents with male genitalia who start GnRHanalogues early in puberty should be informedthat this could result in insufficient penile tissuefor penile inversion vaginoplasty techniques(alternative techniques, such as the use of a skingraft or colon tissue, are available)" Standards of Care for the Health of Transsexual, Transgender, and Gender-Nonconforming People, Version 7, August 2012 International Journal of Transgenderism 13(4):165-232 p. 178 https://www.researchgate.net/publication/254366000_Standards_of_Care_for_the_Health_of_Transsexual_Transgender_and_Gender-Nonconforming_People_Version_7
- Arrêtons nous un instant sur l'intersex apparu en articles de transactivistes biologistes et queeristes. La forme "intersex" reste curieuse, ce serait "entre" ou "de l'un à l'autre", ou évoquant un troisième chromosome qui n'a pas encore été découvert autre que les deux X et Y ?
- 1830 -Transvestite, J. Friedreich : Versuch Eines Niterangeschichte der Pathologic und Therapie der Psychischen Krankheiten, Wurzburg, "Sadisten und homoerotische Priester, auf Transvestiten und Flagellanten"
- 1864 - Karl Heinrich Ulrichs / Numa Numantius (et Eugène Wilhelm / Numa Praetorius) avec théorie biologique de l'uranisme et du troisième sexe de l'homosexualité,
Le mâle humain , Karl Heinrich Ulrichs's catalogation of "Uranism"
par John Addington Symonds, A Problem in Modern Ethics, 1896
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Première occurrence du terme homosexual Karl Maria Kertbeny im Jahr 1868 Foto: Ungarische Nationalbibliothek |
"Homosexual", et son antonyme "Heterosexual", opposé à "normalsexuel"". En français, "homophilie" existe également,"Attirance sentimentale ou sexuelle d'un individu pour un individu du même sexe ».Certes, des circonstances particulières favorisent l'homophilie occasionnelle, qui s'achève en général avec la possibilité de rapports hétérosexuels (Bertr.-Lapie 1970)" http://www.cnrtl.fr/definition/homophilieA savoir que l'antonyme exact d'hétérosexualité (comprenant reproduction et jouissances facilitatrices de la fécondation) reste scissiparité.
Ainsi, nous ne pouvons que remarquer que, dès lors que les sociologistes et sexologistes s'appuient sur homosexualité comme prétendu inverse d'hétérosexualité, ils se positionnent hors du champ scientifique et entre en fossé idéologique.
- 1, 2, 3 Soleil - 1879 - Dualisme (le corps réceptacle de l'âme, d'une énergie sexuelle) Le temps de se retourner et l'uranisme vole de la Prusse aux Etats-Unis d'Amérique https://outhistory.org/exhibits/show/inprogress/cercle
"June published his first autobiography, The Autobiography of an Androgyne in 1918, and his second, The Female-Impersonators in 1922. June compares himself to this ancient deity Hermaphroditus in his own self-portrait photography. Membre du Hermaphroditos circle en 1895" https://fr.wikipedia.org/wiki/Jennie_June_(%C3%A9crivain)
"(La transcription du manuscrit de L'énigme des enfers l'appelle également Dr Robert S. Newton, donnant ce nom à deux médecins différents, ce qui est une erreur de transcription.) L'aliéniste a enseigné à June qu'être androgyne était naturel pour lui, et non une "dépravation". Cela a finalement guéri la dépression de toute une vie de June, car au lieu d'essayer de se purger de son inversion de peur que ce soit un péché, il a plutôt conclu que Dieu l'avait prédestiné à être un inverti" (...) "Le phénomène global qu'il appelait Uranismus (dans l'original allemand, Urningtum), les homosexuels étaient des uraniens (urnings allemands ), les lesbiennes étaient des uraniads (urningin allemand , car -in est le suffixe féminin), alors que les hétérosexuels étaient des dionings, les hommes bisexuels étaient des uranodionings, et ainsi de suite, qui étaient tous distincts de zwitter (intersexe). Ulrichs a basé ce système de nommage sur " le symposium de Platon , où deux types d'amour différents [... sont] gouvernés par deux déesses différentes de l'amour - Aphrodite, fille d' Uranus, et Aphrodite , fille de Zeus et Dioné."
"Par exemple, en ce qui concerne les homosexuels féminins ou les reines (qu'il appelait Weiblings), Ulrichs écrivit en 1879, "Le Weibling est un mélange total de mâle et de femelle, dans lequel l'élément féminin est même prédominant, un être profondément organisé hermaphrodiquement. Malgré ses organes sexuels masculins, il est plus femme qu'homme. C'est une femme avec des organes sexuels masculins. C'est un sexe neutre. C'est un neutre . C'est l' hermaphrodite des anciens. June se compare à cette ancienne divinité Hermaphrodite dans sa propre photographie d'autoportrait."
Le Cercle Hermaphroditos a été la première organisation informelle connue de défense des transgenres aux États-Unis, fondée en 1895 à New York "pour s'unir pour la défense contre la persécution amère du monde". Le groupe s'est réuni au Paresis Hall , également appelé Columbia Hall ou simplement "the Hall", qui était un centre de la vie nocturne homosexuelle à New York . Là, les travailleurs du sexe sollicitaient des hommes sous un personnage efféminé. À une époque où le travestissement était socialement inacceptable et un crime punissable, des endroits comme Paresis Hall offraient un lieu où se décrivaient les « imitatrices instinctives », les androgynes ,les reines , les fées ou les Uraniens pourraient se rassembler et se sentir plus libres de s'exprimer et de socialiser avec des personnes similaires. https://en.wikipedia.org/wiki/Cercle_Hermaphroditos
- Richard von Krafft-Ebing qualifie transvestiten de "metamorfosis sexual paranoica" en 1892
(lateinisch cis- ‚diesseits‘ und englisch gender ‚soziales Geschlecht‘), teilweise auch Zisgender https://de.wikipedia.org/wiki/Zisgender
"Il fait valoir que face aux discours sexuels sur la libéralisation et l'autodétermination, une moralité sexuelle condamnant un comportement sexuel concret est remplacée par une moralité moderne qui se limite à évaluer si le comportement sexuel entre deux partenaires égaux a été négocié de manière adéquate. (...) Dès la fin des années 1990, Schmidt a pris ses distances avec l'hypothèse, qui était encore largement répandue à l'époque dans le domaine de la sexologie, selon laquelle il pourrait y avoir un risque de contact sexuel avec des adultes pour des enfants. Il existe un déséquilibre des pouvoirs qui menace de primer sur l'autodétermination sexuelle de l'enfant." Gunter Schmidt: À propos de la tragédie des hommes pédophiles . Dans: Journal of Sexual Research , n ° 2/99, p.133-139
Magnus Hirchfeld / Tata Magnésie
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- 1910 - Le revendiquant à son compte personnel également. Magnus Hirschfeld, auteur en 1910 de Die Transvestiten: Eine Untersuchung über den erotischen Verkleidungstrieb, mit umfangreichem kasuistischem und historischem Material. Verlag Alfred Pulvermacher, Berlin, et pour "inversion" parle en 1923 de "seelischen Transsexualismus", ou "transsexualisme mental". "Eugéniste social-démocrate". Liliane Crips, p. 104-114, vol. 87, L'Homme et la société,1988 -http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/homso_0018-4306_1988_num_87_1_3210
Une nouvelle norme se trouve recréée, que d'aucuns jugent plus juste par rapport à leur propre cadre de référence.
Pour mon compte, jamais je n'aurais confondu l'homosexualité dans cet embrouillamini mais ce sont ceux qui le firent et le font, même subrepticement, qu'il faut viser.
- 1903 - Opération en sommeil jusqu'en 1956 ou Georges Burrou réintroduit la technique ?
L'opération que le queerisme servant le transvestisme opératoire en poussant des personnes saines et sans syndrome à des mutilations et reconstructions semble prétendre que toute dysphorie sexuelle serait la révélation d' l'hermaphrodisme psychologique -
De plus en plus, des jeunes femmes ciblées, qui ont perdu ou n'ont jamais possédé l'estime de soi et de son sexe, que le féminisme a mis tant d'efforts à promouvoir... Copier les hommes devenant un nouveau vieux leitmotiv qui fustige la binarité sexuelle qui serait au contraire spectrale. Continuum ou non, peu importe, à ce moment-là quel serait l'intérêt d'exiger d'être de sexe masculin, ou féminin, puisque selon cette idéologie, les deux sexes n'existent pas et seraient à proscrire.
Les amputations identitaires, soutenues par l'idéologie du droit à l'autodétermination des peuples et des individus, vont faire suite, s'affiner et se confondre avec ces reconstructions en cas de mosaïcisme (syndromes chromosomiques), auxquelles auparavant procédé sur les nouveaux nés afin d'éviter les risques, notamment cancérigènes, également sociaux, et qui sont désormais pour certains pays laissées à l'appréciation de l'âge adulte des faux hermaphrodites.
- 1916 - D'un siècle à l'autre, Urania se réveille à Paris en 2019 en mère supérieure
On la préférait le chignon dans les nuages, en muse de l'astronomie.
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Portrait allégorique d'Uranie, par un disciple de Louis Tocqué |
"En Uranie, il n'y a ni "hommes", ni "femmes"" -"Le sexe est un accident" / "There are no 'men' or 'women' in Urania." - "Sex is an accident"
"ce qui fait une femme c’est une relation sociale particulière à un homme, […] relation à laquelle les lesbiennes échappent en refusant de devenir ou de rester hétérosexuelles » (1980b)" https://worldgender.cnrs.fr/notices/monique-wittig-ou-le-lesbianisme-intraduisible/Alors que sans sexe, le sexe féminin également détruit, le féminisme de l'égalité des sexes est annihilé. De l'anti-féminisme à l'état pur, doublé de la négation de l'homosexualité ?!
"Je ne suis pas homme je ne suis pas une femme je ne suis pas hétérosexuel je ne suis pas homosexuel je ne suis pas bisexuel. Je suis un dissident du système genre un genre. Je suis la multiplicité du cosmos..." Paul Preciado, Un Appartement sur Uranus, préface Virginie Despentes, Grasset, 2019
Foin des injonctions, monothéiste, polythéiste ou uraniste - Heureusement, que ni mère supérieure, ni père n'ont plus à dicter que l'on devrait être lesbienne pour ne plus subir une féminité soumise, ou hétérosexuelle pour mener en sous main, ou être menée !
- 1918 - Who is the 1st FtoM ? (Acronyme Female to Male)
"...psychiatre américain Joshua Gilbert. Gilbert en vint à la conclusion que Hart était psychologiquement un homme en bonne santé mentale bien qu'il ait un corps de femme." http://spooksrus.tripod.com/circle/tranhist-timeline.html
- 1922 - 1er MtoF (male to female au sens moderne puisque dans l'antiquité on en connut)
http://www.hirschfeld.in-berlin.de/institut/en/personen/pers_34.html
Toujours de constructions élaborées par de mâles architectes, inventions plastiques ? Il est vrai que les ovaires découvertes qu'en 1672,
"A peine quatre ans plus tard, Van Leuuwenhoek découvre les spermatozoïdes. Patatras, tout s’écroule. Voilà brusquement la femme démasquée : il ne s’agissait pas d’un homme !?" http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2014/02/invention-de-la-femme-viens-poupoule-viens-.html
- 1930 - Tentative de greffe d'ovaires - Un des cobayes victimes du sexologue politique Hirschfeld et ses acolytes fût Einar Mogens Wegener /Lili Elbe succombe lors de sa cinquième opération par Kurt Warnekros à Dresde.
Lors de la seconde opération, le pénis est enlevé et des ovaires sont transplantés. Ceux-ci sont par la suite retirés à cause de complications exigeant une troisième et une quatrième chirurgie, durant lesquelles on trouve des preuves de la présence d’organes masculins et féminins." http://europeupstairs.com/2011/03/25/lili-elbe-la-premiere-intersexuelle-operee-etait-danoise-2/
Toujours dans l'aura d'influence de la sexologie naissante hirschfeldienne et freudienne - Ceci s'inscrit logiquement dans les balbutiements des greffes, et la tendance eugéniste de l'époque, à lire les expériences et greffes lamellaires du Dr Samuel Serge Voronoff qui défrayèrent la chronique de l'époque. 500 millionnaires cédèrent aux sirènes endocrines. https://stringfixer.com/fr/Serge_Voronoff
"C’est en Egypte, où il part officier en tant que chirurgien auprès du Khédive en 1896, que le médecin observe et compare la physionomie des eunuques. Le jeune docteur établit des liens entre l’apparence physique et les organe génitaux. Il reste en Egypte pendant 14 ans et rentre en France après son divorce avec son épouse Margueritte Barbe, fille de François Paul Barbe, promoteur de la dynamite en France.""Au début des années 1930, plus de cinq cents hommes avaient été traités en France par sa technique de rajeunissement, et des milliers d'autres encore de par le monde, à tel point qu'une clinique spécialisée fut construite à Alger" https://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Voronoff
"Entre 1896 et 1910 le docteur Serge Voronoff va y acquérir une fort belle position sociale, sa situation officielle et influente l'autorisant à donner un élan moderne à la médecine en Egypte. Il épouse une demoiselle Barbe en 1897. (...) Bie n que la notion "d'hormone " soit acquise depuis 1905 (W. B. Hardy) la physiologie endocrine n'était pas percée à jour. Il présente au XXVe Congrès Français de Chirurgie de 1912 à Paris ses premiers résultats sur des greffes ovariennes expérimentales sur brebis castrées. Il affirme la vitalité du greffon un an après, au contrôle histologique et la fécondité des brebis greffées, résultats qu'il confirma à Londres au XVIIe Congrès International de Médecine en 1913 (...) U ne fois la grande guerre terminée, Voronoff se consacre à la recherche "des moyens de rajeunir un organisme affaibli, vieilli et d'augmente son énergie vitale", étant convaincu du rôle hormonal des testicules comme stimulants de cette énergie à la suite de ses observations faites au Caire sur des eunuques et des publications de T. Willis (1674), Brown Sequart (1869) et Marro et Sacchi (début XXe), non seulement responsables des caractères sexuels secondaires mais stimulants directs ou indirects de tout l'organisme. L'implantation de testicules de divers animaux à d'autres, dans différentes localisations de leur corps, a été réalisée dès 1767 par John Hunter suivi entre autres par Berfhold (1849), Philipeaux (1858), Paul Bert (1863), Griffith (1898), Castle et Philipps (1909) et Pezard (1912) avec, comme résultat, la résorption rapide des greffons après une phase inflammatoire aseptique.
Les expérimentation s de Serge Voronoff ont début é en 1917 avec 120 boucs et béliers installés dans les écuries du Parc des Princes que possède la Station Physiologique du Collège de France. Il greffe des testicules entiers sous la peau, dans les muscles, dans le péritoine puis dans les bourses et constate une rapide résorption, en l'absence d'anastomose vasculaire réalisable. L'implantation de petits fragments est
aussi un échec. L'observation lui fait choisir définitivement le feuillet pariétal de lavaginale entourant les testicules comme site de ses greffons en respectant les testiculesexistants. Chaque site reçoit un testicule découpé en 4 à 6 languettes de 5 m m d'épaisseur" https://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1996x030x002/HSMx1996x030x002x0163.pdf
Avant lui, d'autres empiriques
Le physiologiste Charles-Edouard Brown-Séquard (1817-1894), successeur de Claude Bernard à la chaire de médecine expérimentale du Collège de France, avait initié le mouvement en ingérant de l’extrait de testicule de singe (notant un renouvellement de ses prouesses sexuelles), puis en concoctant un brouet couille de hamster et de chien, semence et sang, destiné à prolonger la vie, rebooster la sexualité, aiguiser la cognition et — ça ne peut pas faire de mal — « améliorer significativement le flux urinaire et la puissance de la défécation ». À sa suite, le Grec Skevos Zervos (1875 – 1966), délaissant la popote pour le chriurgical, avait transplantés les gonades de jeunes chiens et lapins dans de vieux chiens et lapins, suivant le principe de bons sens qu’il valait mieux directement transplanter l’usine à substance chimique afin de bénéficier en continu de sa production en interne plutôt que de s’injecter des substances externes au pouvoir éphémère. C’est ce même Zervos qui le premier, en 1910, appliqua la recette sur le singe et l’homme. L’Américain G. Frank Lydston (1858 – 1923) passa ensuite à l’étape suivante : greffer des testicules humains sur un humain. Les donneurs étaient deux adolescents accidentellement décédés et le receveur nul autre que lui-même, ce qui, reconnaissons-le, suppose tout de même d’en avoir une belle paire, même si on ne sait plus très bien à qui elle appartient… Dans la foulée, le Dr Leo Stanley (1886 – 1976), chirurgien en chef de la riante Prison d’État de San Quentin, en Californie, manipula en nombre des gonades de détenus, de boucs et de cervidés." https://headbangingscience.fr/quand-la-recherche-part-en-couilles-de-singe/
- 1942 - FtoM, Laurence Michael Dillon >Michael, suite à la prise de testostérone, puis masectomie. http://spooksrus.tripod.com/circle/tranhist-timeline.html
Mathilde de Morny, Missy - Colette et Willy |
"en 1944, se suicidant par le gaz,à 86 ans, renfermée sur elle-même, ruinée et très seule" http://aventdudomainepublic.org/morny
Curieuse opinion et raisonnement, les relations sexuelles féminines évitant toute grossesse, comme ce faisant dans les harems depuis toujours
Gérard Bonal, Des Américaines à Paris : 1850-1920, 2019 https://www.babelio.com/livres/Bonal-Des-americaines-a-Paris--1850-1920/1242364 |
- 1953 - Harry Benjamin, Johns Hopkins Gender Identity Clinic
"We strongly recommend that you NEVER use Transpeak Terminology to refer to yourself or others. It only spreads the misconceptions that are already current in society." http://www.shb-info.org/syndromeharrybenjamin.html
"(...) « les vrais transsexuels ont le sentiment qu’ils appartiennent à l’autre sexe, ils veulent être et fonctionner en tant que membres du sexe opposé, (...) La caractéristique principale du syndrome repose sur la conviction : il s’agit, chez un sujet dont la physiologie est normale, de la conviction d’appartenir à l’autre sexe. Cette conviction, souvent issue de l’enfance, est constante et donne lieu à l’âge adulte à des manifestations telles que le travestissement, d’abord privé puis public,..." http://fr.wikipedia.org/wiki/Transsexualisme
- 1958 - Casablanca, Georges Burrou - Celui-ci introduit au Maroc le traitement hormonal et convainc un artiste travesti, Coccinelle, pour l'opération. Cette clinique avait-elle un lien avec l'établissement Voronoff, évoqué plus haut au Maroc puis à Algezr ?
Pourtant dans les faits, cela ne comporte rien de féministe puisque, dans un cas, ces opérateurs font passer pour partie congrue l'organe sexuel fort complexe des femmes, en prétendant à leur patient qu'une invagination serait un vagin (vaginale des testicules retournée ?), un pénis arasé pour un succédané de clitoris, un scrotum réagencé en approximatives nymphes, des poches de liquide physiologique pour des seins. Et, dans l'autre cas FtoM, ce sont les plus lourdes opérations d'ablations non seulement de l'organe sexuel mais aussi de tous les attributs secondaires avec des prises d'hormones massives (sans Mediator) puis encore une série de d'opérations pour s'approcher du sexe opposé, là aussi en approximation et apparence. Les satisfactions restent très inégales et les estimations de suicide suite aux opérations paraissent élevées. L'on peut questionner en quoi cela consiste un progrès pour les patientes et les patients.
- Entre juillet 1963 et 1985 - Robert Jesse Stoller et Greenson, psychanalystes, freudiens
"La manière dont le corps des femmes était compris à l'époque reste liée à la conception de la sexualité féminine d'alors. La vulve était vu en pénis rent(é ; l'homme représentant la perfection naturelle, l'on pensait que la nature tentait de se corriger par ce prolapsus génital, transformant le vagin de certaines femmes en pénis" p. 14–16, Rebecca Jennings, A Lesbian History of Britain, Greenwood World Publishing, 2007On sent poindre le nez de l'orientalisme yin yang - Voulant prolonger ses pistes sur la bisexualité originelle, certains font entrer définitivement le genre (sexuel socio culturel) dans le champ psychologique. http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10508-010-9665-5#page-1
"Le terme identité de genre (…) renvoie au mélange de masculinité et de féminité dans un individu, ce qui implique que l’on trouve et la masculinité et la féminité chez chacun, mais sous des formes différentes et à des degrés différents.". Voir p. 91 et 93, David Haig, The Inexorable Rise of Gender and the Decline of Sex: Social Change in Academic Titles, 1945–2001, Archives of Sexual Behavior, Vol. 33, No. 2, April 2004, pp. 87–96. http://www.oeb.harvard.edu/faculty/haig/publications_files/04inexorablerise.pdfR. J. Stoller, Sex and Gender, Hogarth, 1968 -
"Systèmes cérébraux" / 1985 - "identité de genre" - précise et contribue à la consécration de "gender", "en dehors de quelques exceptions il existe deux sexes: l'un mâle, l'autre femelle » ....( Il semble qu'à l'avenir sera ajouté un nouveau critère : celui des systèmes cérébraux.)", restant sous un angle pathologique et de la "fragilité du système psychique d'identité sexuelle" http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_StollerIl a constamment travaillé à partir de Arnold Lowman/Virginia Charles Prince, pharmacologue, http://www.glbtq.com/social-sciences/prince_vc.html
qui éditait Transvestia, devenant une célébrité d'organiser un solide réseau. http://en.wikipedia.org/wiki/Virginia_Prince
- Taxonomie Blanchard
Alors le fait principalement d'hétérosexuels transvestis, travestis en maîtresse de maison pomponnée américaine (règne des stéréotypes sexistes en tout, s'il en est, et non remis en cause dans les prises de parole du documentaire américain) perçus comme une rébellion politique par certaines personnes (A voir à ce sujet l'illustration documentaire de Casa Susanna (Tito Valenti et d'autres chefs de "bonne famille"), maison de villégiature de 1959 à 1968 à Hunter dans la région de l’Etat de New York des Catskills -Où n'est relaté par eux nul lien avec les queers du bar de racolage Stonewall, à partir d'où des transexuels hormonés prostitués exigèrent l'ajout du T au sigle LGB, puis le Q. https://www.youtube.com/watch?v=AEbmzkLD2-0)
- Les hommes, y compris queeristes transinistes, définissent juridiquement "la femme" et le sexe féminin par défaut de pénis et dosages artificiels d'hormones stéroïdes
La définition de ce qu'est une femme a toujours été dite par les mâles de l'espèce, et en tribunal de droit moderne, la première fois ci-dessous. Sur ces deux décisions de justice définissantes se basent juridiquement toutes demandes de changement de prénom et de sexe administratif de dénégation sexuelle, qu'ils se reconnaissent transsexuels (pathologie de dysphorie sexuelle), transexuel (croyance du sexe indifférencié), ou transgenre (négation du sexe biologique, choix et autodétermination), avec ou sans hormones de synthèse et mutilations sexuelles et reconstructions de ressemblance.
L'union sacrée de la définition des femmes par les hommes ! Passés les deux seuils et le marié est dans la place...
- 1945 - Seuil 1 - En Droit helvète, femme de droit à défaut de fait :
- 1969 - Seuil 2 - Francis N. Pecora, juge US, édicte a contrario ce qu'est une femme de fait et de droit :
"Un transsexxuel mâle soumis à une réassignation sexuelle est anatomiquement et psychologiquement une femme de fait." / "a male transsexual who submits to sex-reassignment is anatomically and psychologically a female in fact."Meyerowitz, Joanne, How Sex Changed: A History of Transsexuality in the United States Cambridge, Massachusetts: Harvard University Press, 2002
- suprémacisme des croyances individuelles,
- sabordage du principe de non atteinte à l'intégrité du corps,
- déstabilisation de l'identité administrative par l'identité psychologique, au gré de désirs personnels,
- enfants convoqués à stopper leur puberté pour faciliter les mutilations génésiques à leur majorité.
- 1772 - Sous le sceau des croyances et de la mystique du sexe
Cette secte en 1772 à Toula - Refus des organes et attributs sexuels par dégoût de la sexualité censée appartenir au domaine du mal, rappelant bogomilisme et catharisme liant la pureté à l'abstinence- Secte sexuelle et blasphématrices honnies ? L'on voit un certain lien avec la queeristique sectaire, qui calomnie et injurie tout examen raisonné du phénomène en nous traitant de TERF. Cette expression acronymique reste en effet dite dans un but insultant envers les femmes et les féministes critiques et générocritiques. L'accusation de transphobie, peureuse pathologique (définition de la phobie) va aussi contre la société, vue comme malade, ainsi que ses membres hétérosexuels, les cis aveugles, handicapés, incompétents de ne pas voir les bienfaits transgenristes ? |
"...la racine du mal... ne sera détruite qu'à travers la reconstitution de l'unité androgyne originaire..." p. 229, Claudio Moreschini, Enrico Norelli, Histoire de la littérature chrétienne ancienne grecque et latine, Editions Labor et Fides, Genève, 2000Nous retrouverons plus bas, la version modernisée psychologiste avec test psychométrique à l'appui. Ou lorsque la néognostique fait sa scientiste, oubliant d'être scientifique ?
"Inventaire des Rôles de Sexe (Bem Sex Role Inventory, B.S.R.I., 1974) (...)...chercheuse Américaine croit en l’androgynie psychologique". http://osp.revues.org/3421
- De la 1ère échelle de masculinité - Magnus Hirschfeld et l'ethnologie sexuelle (1919)
"...à l'ethnologie sxuelle, une science qui est "la plus ancienne en regard de son propos, la plus récente au regard de sa méthode"" /"..to sexual ethnology, a science that is "the oldest with regard to its contents, the youngest with regard to its method"" http://intersections.anu.edu.au/issue14/bauer.html
Bitologie* - Il suffit de se la regarder pour se réclamer de anthropologie ou de la sexologie ? Tous ces chercheurs toujours focalisés sur leur déroutant fascinus devraient passer comme Sigmund et Magnus se sont érigés en anthropologues et sexologues ? Tous donnés pour immenses, alors que fonctionnant pour leurs recherches à l'identique à partir de leurs propres orientations, de leur ego qu'il projette sur autrui, sexe opposé compris. De quoi l'on peut craindre qu'ils aient tenté de justifier par leur travaux parfois contestés, et visiblement pour un grand pan plus que contestables.
- 1972 -Anne Oackley - Une féministe britannique adopte "le genre"
"En opposant le "sexe biologique" et le "genre comme construction sociale", Ann Oackley enfonçait donc une porte ouverte. Depuis Hérodote au moins (je le répète), personne n’a jamais eu besoin du mot "genre" pour comprendre que les rôles sociaux attribués aux hommes et aux femmes varient dans l’espace et dans le temps et qu’il en va de même des marqueurs symboliques permettant de distinguer le masculin du féminin."http://pedrocordoba.blog.lemonde.fr/2014/03/16/la-quenelle-leau-benite-et-le-loukoum-2-a-poil-le-sexe/Instinct maternel ? ;) Il paraîtrait donc que des féministes ne seraient pas à l'origine du concept mais l'adoptant malgré les aléas vus ci-dessus.. Convergence idéologique de chapelles nihilistes, identitaires, relativistes ?
"L’appropriation féministe du genre, au cours des années 1970, se déroulait sur fond de convergences transatlantiques." Éric Fassin, L'empire du genre, L'Homme 3/2008, n° 187-188, p. 375-392. http:/www.cairn.info/revue-l-homme-2008-3-page-375.htmCiter l'inventeur du terme genre, pourtant convaincu d'escroquerie de toute façon en la matière, en passant sous silence ses manipulations hormonalistess et comportementalistes sur les jumeaux , reculera de combien de temps le changement de nom des labos qui risquent de devoir se rebaptiser un jour ou l'autre ? Certaines des sciences politiques féministes y voient là déjà comme un catafalque. http://beyourownwomon.wordpress.com/2012/07/31/le-genre-tombeau-des-femmes-mort-du-feminisme/
- 1977 - 1981 - Bem Sex-Role Inventory (BSRI)
Le fluidisme* germe :
"Concernant Sandra Bem, hommes et femmes androgynes sont plus flexibles et mentalement plus sains que les mêmes virils et féminines" /"According to Sandra Bem, androgynous men and women are more flexible and more mentally healthy than either masculine or feminine individuals". http://en.wikipedia.org/wiki/Androgyny
Le BSRI transformé au fil des années en "schéma de genre" aurait-il donc donné son impulsion aux 56 étiquettes allosexuelles, queeres, dont la dernière prend en compte l'androgynie sacrée des berdaches (voir plus haut mystique du sexe), selon l'employé de facebook qui mit en place ces autodictions* en s'inspirant de Bem.
De Bem à hen (cf. éducation scolaire neutre suédoise)- La démultiplication androgynique - Semble avoir essaimé par le neuromarketing des réseaux sociaux ? Ainsi, les filles (qu'elles soient lesbiennes ou pas) par engouement de masse vont pour certaines se déclarer cis (antonyme de transgenre/transvestiten) ... toujours devant s'ajuster à la fonction du neutre épicène masculin ; en un mot, pas de grand changement puisque depuis toujours forcées de s'ajuster aux pères & fils. http://www.france24.com/fr/20140214-facebook-homosexualite-lgbt-genre-internet-choix-transgenre/
- "3/4" (à partir de 60 données croisées ci dessous indiquées, de caractéristiques autodictives* où l'on distingue les sexualités périphériques) - En fait à regarder de près, la psychologue Sandra Bem n'a conçu que trois états,
"masculine, feminine, androgynous, or undifferentiated"
La polarisation du sexage sur la base de l'androgynie, qui rappelle la bisexualité freudienne des origines (inspirée des gnoses), considère l'éventail des rôles sexués -Inutile d'ajouter social à rôle, autant éviter la lapalissade du qualificatif-, au contraire de la bicatégorisation circonscrite à la masculinité et à la part sociale de la féminité. Cette conception perlée a entraîné l'apparition du rejet militant de ces deux pôles. Ceux-là se trouvent dilué à l'infini désormais.
- "5" - La militante queer Fausto-Sterling, biologiste, listant les "abnormalities" se contenterait de reprendre Kinsey ? "mâle, femelle, merm, ferm, et herm". Où il se voit facilement qu'elle ne fait rien de plus que dissocier lesdits auparavant faux et vrai hermaphroditisme.
- "7" érotismes principaux - Kinsey et ses rapports en sept cases
Score | Explication |
---|---|
0 | Exclusivement hétérosexuel(le) |
1 | Prédominance hétérosexuelle, expérience homosexuelle |
2 | Prédominance hétérosexuelle, occasionnellement homosexuel(le) |
3 | Bisexuel sans préférence |
4 | Prédominance homosexuelle, occasionnellement hétérosexuelle(le) |
5 | Prédominance homosexuelle, expérience hétérosexuelle |
6 | Exclusivement homosexuel(le) |
Ce schéma montre la diversité possible des orientations sexuelles. Selon Kinsey, tout être humain porte en lui une composante hétérosexuelle et une composante homosexuelle." https://fr.wikipedia.org/wiki/Rapports_Kinsey
- "48" - Le sociologue Eric Macé prétend à un peu moins, en réagençant en éventail
"il en existe 48, soit le continuum d'intersexe entre le pôle mâle et le pôle femelle." (...) « Comprendre les relations entre sexe et genre à partir de l’intersexuation : la nature et la médicalisation en question », par Eric Macé, dans Médecine, santé et sciences humaines, dirigé par Jean-Marc Mouillie, Céline Lefève et Laurent Visier, Paris, Les Belles Lettres, 2011, (612-619)". http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2013/06/il-nexiste-pas-2-sexes-m%C3%A2le-et-femelle-mais-48.html
Déjà que vient faire en biologie un sociologue ? Et, donc être hermaphrodite serait entre les sexes (on pourrait aussi dire avec les deux "consexué*"
- "56" - Etiquettes pour prétendre éviter la stigmatisation, pour des champions du refus de la case et de la catégorie, n'est-ce pas beaucoup ? L'examen de ce listing de termes de jargon branché, pompeux et acculturant, termine sur "l'androgynie sacrée" des berdaches et ne laisse aucun doute sur la voie choisie par la suprématie à l'américaine rendant toujours plus confuse la situation, au détriment des du sexe féminin toujours. http://www.txy.fr/blog/2014/02/18/un-guide-pour-comprendre-les-nouvelles-options-didentite-de-genre-sur-fb-usa
"Les normes statistiques sont constituées de valeurs moyennes et de leurs données de dispersion et s'appliquent uniquement à un groupe correspondant. Ainsi, les normes statistiques indiquent mathématiquement la valeur caractéristique moyenne."
- MAJ Stanford Medicine, Children's health, Types of Chromosome Abnormalities https://www.stanfordchildrens.org/en/topic/default?id=types-of-chromosome-abnormalities-90-P02158
"31" pour NYC, nombre arrêté par la commission des droits de l'homme de New York. Permet d'interdire toute discrimination à l'égard de ceux qui s'en réclament et marque d'une nouvelle pierre noire le reflux des droits des femmes au nom de toilettes mixtes, où elles sont soumises à l'amende si elles osaient commenter ou refuser la présence d'un homme qui a choisi une des "propositions féminines". L'identité de genre et l'expression du genre déclinées dans le document du planning familial qui ne s'occupe plus de contraception et avortement des droits reproductifs des femmes mais d'exprimer sans retenue tous types de sexualité en public, lesdistes sexualités périphériques regroupées en généralistes queers* de toutes croyances sexuelles opposées à la femme de la rue. En pratique, cela aboutit à une amende pour toute femme refusant un "homme indécis", un "ex-homme" dans les sanitaires, ou toute autre circonstance, la libre expression des femmes mise à mal en ce qui concerne leur propre sexe et protection en intimité, autant dire adieu tranquillité et sécurité. Les droits virils au firmament ? https://www.planning-familial.org/sites/internet/files/declaration-droits-sexuels-ippf.pdf
Ce qui démontre un grand défaut de démocratie et surtout la mort de la liberté d'expression des femmes.
A partir de tous les documents biologiques et médicaux compulsés, nous pouvons constater qu'il n'existe toujours aucune preuve scientifique de la "féminité" en homosexophilie masculine. Et l'on voit toujours nombre de "gays" souffrant de cette image féminisante de leur sexualité, tout comme, les lesbiennes restent victimes de l'image masculinisante de leur sexualité.
A noter que finalement, ces stéréotypes négatifs sont masqué par le néologisme globalisant à la mode de l'anathème lancé par le mouvement lgbtqia d'homophobe, de transphobe qui jouxte celui d'islamophobe, venu tout droit du globish identitaire ? La censure sexuelle et religieuse atteint des sommets, et on ferait passer la critique des sectes pour de la peur panique et pathologique ?
- 1985 - 1995 - UN - Nations Unies - "gender mainstreaming" ("suprématie du genre")
Third World Conference on Women, Nairobi, Kenya. The idea has been developed in the United Nations development" community. http://en.wikipedia.org/wiki/Gender_mainstreaming -
"relations entre hommes et femmes basées sur des rôles socialement définis que l’on assigne à l’un ou l’autre sexe". Annexe IV Déclaration sur le sens général du terme "gender". Chen Muhua, Présidente p. 239. http://www.un.org/fr/documents/view_doc.asp?symbol=A/CONF.177/20/Rev.1235 occurrences de genre en place sexe. Cela annonce le document plus haut cité du planning familial international que l'ONU adoube des deux mains des droits sexuels qui couronne l'identité de genre si néfaste aux droits des femmes. http://www.un.org/womenwatch/daw/beijing/pdf/BDPfA%20E.pdf
- 2012 - Union Européenne- Voir également Rapport Züber - L'égalité des sexes métamorphosée par miracle en égalité des genres, voulant dire égalité des rôles sociaux-
- 1986 - L'historienne américaine Joan Wallach Scott - Cette amie de Judith Butler édifie
"Le genre comme catégorie utile d’analyse historique", Les Cahiers du Grif, 1988, numéro 37-38 -http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/grif_0770-6081_1988_num_37_1_1759
Trente ans passés, chérissant toujours le genre ?
"Dans un article de 2009 (publié en français dans la revue Diogène) elle a ajouté un triste point d’interrogation à son titre initial : "Le genre : une catégorie d’analyse toujours utile ?"" http://pedrocordoba.blog.lemonde.fr/2014/03/16/la-quenelle-leau-benite-et-le-loukoum-2-a-poil-le-sexe/
La théorie queer est devenue sa marque et une autre théoricienne allosexuelle parle de "théorie païenne de la sexualité". Toute proportion gardée, très proche par certains aspects de la théorie de la sexualité humaine freudienne. Camille Paglia, No law in the arena : A pagan theory o sexuality in The vamps and tramps, Vintage books New York, 1994
De multiples et récentes précisions sur les études de genre (ou de genres) et la (ou les) théorie du genre - Certains, généralement les aficionados du queer butlérien, utilisent les deux expressions de façon équivalente, "théorie queer" ou "théorie du genre", Judith Butler, Gender Trouble : Feminism and the subversion of identity, Routledge, 1990. http://fr.wikipedia.org/wiki/Judith_Butler) :
"Dans les années 1980 et 1990, le croisement de la tradition anthropologique américaine et du structuralisme français a donné naissance à la théorie du genre." http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20131213.OBS9493/theorie-du-genre-judith-butler-repond-a-ses-detracteurs.html
"...qui se figent avec le temps de telle sorte qu’ils finissent par produire l’apparence de la substance, un genre naturel de l’être." ?Enfilée donc la soutane de "pionnière de la queer theory" (pour sur, comment aurait-elle refusé ce subi pont d'or offert pour détruire son père spirituel religieux qui l'indispose depuis toujours) et met le turbo dans ce cadre depuis la fin des années 2000, dont le titre montre bien tant une sorte de logique identitariste et nationaliste (cf. queer nationalism). Judith Butler, Trouble dans le genre. Le féminisme et la subversion de l'identité, Paris, La découverte, 2006, p. 109
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- Néodéterminisme social, par subversion de l'identité, sexuelle en premier ? Contribution qui n'est donc pas de préciser particulièrement le concept mais de se servir d'un concept linguistique, la performativité, afin de peser contre la puissance publique et pouvoir de l'Etat en l'empêchant de définir stablement l'identité de ses citoyens. http://www.cnrtl.fr/definition/performatif
"Elle pense donc qu'il ne faut pas confier à l'État seul le soin de décider ce qui est dicible ou pas." http://fr.wikipedia.org/wiki/Gender_Studies
La "seconde peau" inscrite par bistouri dans la peau ? Butler soulignait en 2004 l'absence de toute accointance avec Money, tout en gardant le terme qu'il a créé et sa réassignation genre/sexe pour les adultes auquel il s'essaya sur les jumeaux Reimer à fracas et, à ma connaissance, restant taisante sur les arrêts artificiels de puberté de petites filles, se prétendant de sexe masculin, donc des petits garçons, par administration hormonale en vue généralement de mutilations ultérieures, afin de se donner illusion d'appartenir au sexe où elles ne sont pas nées mais dont elles se révèlent irréfutablement pour les médicaments qui ne conviennent pas.
La cible de la théorie transgenre reste donc la transgression du genre par l'annihilation du sexe ? Justifier les "gender feelings" qui rendent possible le changement de genre par son amputation, aux fins de prouver philosophiquement que détricoter l'affaire consiste à asseoir que le sexage est délié du sexe (anatomique et génétique) à choisir à sa guise (s'autodéterminer).
Cette philosophie queere refuse, d'une part, l'opération de réorientation sexuelle d'un nouveau né hermaphrodite vers le sexe le mieux conformé des deux (se référant de même probablement à la circoncision religieuse juive d'office et, d'autre part et au contraire, banalisant la mutilation sexuelle à l'âge adulte ?
"(...) Défaire le genre. Elle critique aussi bien l’usage normatif d’une théorie constructiviste du genre qui permet à Money de décider qu’un enfant sans pénis doit être éduqué comme une fille, que les théories naturalistes de la différence sexuelle défendues par Diamond, selon lesquelles l’anatomie et la génétique doivent définir le genre." http://littlevampire.canalblog.com/archives/2014/03/15/29439454.html
- L'Iran s'est singularisée dans le monde pour avoir poussé ses homosexuels (vus comme travestis et féminins) à se castrer...
"(...) : ils les transforment en garçons dès leur plus jeune âge, grâce à une génitoplastie pénienne (...)" Dr Michèle Dayras. http://sisyphe.org/spip.php?article3956
"Le Dr V. P Goswami, président de l'Académie indienne de pédiatrie à Indore, se dit choqué par ces informations : "la génitoplastie peut se faire sur un bébé normal, quel que soit son sexe, mais plus tard, les organes génitaux ne grandiront pas avec l'influence hormonale et les personnes concernées seront infertiles et impuissantes."TABLEAU des MUTATIONS du GENRE
"Old" "genre"
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"New" "genre"
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Définition
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Le "genre" Un système de relations sociales de pouvoir structuré par une division binaire entre les "hommes" et les "femmes" La catégorisation en étant basée sur le sexe biologique, mais le "genre", comme nous le savons, est un objet plus social que biologique (cf. masculinité et féminité différemment définis en lieux et places divers
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Aspect de l'identité individuelle et sociale, à laquelle vous êtes assigné à la naissance à la vue de votre sexe biologique (mais ce lien "naturel" est une illusion-- de même que l'idée qu'il faille compter avec deux "genres", de même que les deux sexes)
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Oppression
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Le fait d'oppression de ce système social est basé sur la subordination d'un genre (femmes) par l'autre (hommes)
| Fait d'oppression d'un système binaire. Forçant toute personne à s'identifier en tant qu'homme ou femme (ni sans, ni les deux à la fois, ou quelque chose entre les deux ou quelque chose d'entièrement autre) et punit tout ceux qui ne s'y conforment pas. (Oppressant tout autant hommes que femmes, tout spécialement ceux qui ne s'identifient pas avec le modèle prescrit par leur genre) |
But d'une "politique contre le genre" radicale
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Féminisme : Les femmes organisées pour surmonter le pouvoir masculin ainsi que tout son système de "genre" (Pour certaines féministes radicales, l'idéal tendant à "0 genre")
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"Genre allosexuel*" : Femmes et hommes rejettent le système binaire et se proclament en "hors-la-loi du genre" (cad queer, trans) et demande la reconnaissance de "l'identité de genre" (Dans cette perspective, l'idéal des genres serait… infini ?)
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M/Traduction libre -extrait selon Debbie Cameron and Joan Scanlon at London Feminist Network’s ‘Feminar’ in May 2010, Talking about gender, par Delilah Campbell
*queer : "l'Office québécois de la langue française a reconnu le terme en novembre 2001 et propose la définition suivante: « Le terme allosexuel, formé à partir du préfixe allo-, qui signifie « qui est d'une nature différente », a été inventé pour rendre en français le mot anglais queer. Ce dernier terme, traditionnellement utilisé pour parler péjorativement des hommes homosexuels, a été récupéré, vers la fin des années 1980, pour désigner, dans une nouvelle acception inclusive et axée sur la différence sexuelle, l'ensemble des personnes homosexuelles, lesbiennes, bisexuelles et transgenres. ». http://fr.wikipedia.org/wiki/Allosexuel"Ostrakhos" - Les osselets de la mort (à l'époque de leur utilisation, le jugement de bannir hors la ville valait peine de mort)
Des personnes ne s'y reconnaissent en rien et restent rigoureusement écartées avecdes menaces verbales, intimidations, parfois physiques et, ne sont jamais sollicitées, ainsi que leurs alliées, par les media séduits et fascinés par le transgenrisme des queer's theoricians, comme par des najas menaçants qui les hypnotisent. http://lesboseparatiste.canalblog.com/archives/2010/06/19/18360737.html
Hen - Neutralité n'est pas égalité, tout comme identité n'est pas égalité ! Mazette, il y en a qui ne vont pas avec le dos de la cuiller, hein... http://www.arte.tv/guide/fr/048395-000/il-elle-hen L'universalisme poussé en son retranchement le plus tordu car, au passage, l'on remarquera donc la tentation non voilée exercée par ce modèle suédois identitaire individualiste neutralisant par la création d'un pronom neutre à l'usage des enfants. Leur organe de sexe biologique devenu neutre, caché, nié, sous prétexte qu'il ne produise plus de catégorie sexuelle et de stéréotypes. Supprimer l'organe devrait, si l'on saisit bien leur logique, faire table rase de la discrimination. Mesure drastique de tyrannie des adultes qui ménage un réveil cauchemardesque sur terre à la petite fille qui sera cruellement confrontée à la réalité de la ménarche de son sexe biologique incontournable. De l'ascension à la descencion - "en particulier l'emploi du neutre pour désigner les enfants" et des prénoms qui dissimulent leur sexe biologique aux enfants... Mince alors, ont-ils oublié qu'élever dans le mensonge, c'est tout le missel religieux en deux mots et que cela est donc loin de la Raison et, de surcroît, de toute élévation spirituelle ! On sent bien la tradition religieuse pastorale derrière le rideau... Quel triste programme génétique, finalement symboliquement eugynique*. Qui pourrait croire que c'est un progrès transhumaniste d'annihiler le sexe féminin et d'effacer ses différences ? Fondre le sexe féminin dans le sexe masculin, autrement dit au fond nier tout le fonctionnement cognitif de mise en catégorie qui nous permet de discerner le monde, de l'ordonner et de l'humaniser : L'effet final allant à la déshumanisation totale ?
De bêtification à béatification - Snippa vient de snopp comme zézette vient de zizi (je maudis l'idiot qui a inventé une telle bêtification), le modèle pénil toujours mis à l'honneur- Et l'on voit bien comment cela consiste à remplacer l'égalité par la neutralité ? Quel sens de l'égalité, n'ayant pas de mots pour le sexe de la petite fille, oh miracle on copie et diminue sur modèle du sexe du petit garçon, c'est merveilleux... - Incohérence et mystique boréales ?
"pas de terme pour désigner le sexe des petites filles et nous avons imaginé le mot ‘snippa’ [dérivé du terme snopp qui désigne le sexe des garçons]." http://www.courrierinternational.com/article/2012/03/01/l-egalite-des-sexes-des-le-plus-jeune-age
Le seul objectif serait-il donc de former un individualiste au masculin neutre, comme quoi on l'a déjà en français toujours à l'avant-garde ;o) ? Un enfant ne s'est jamais forgé son identité lui-même, ce n'est qu'un avatar du gosse tout puissant enfant-roi à la Dolto, sous forme toujours plus individualiste, plus identitaire. Même plus de personne en vue, plus personne ? Totale grisaille de l'absence de libre arbitre. http://360.ch/blog/magazine/2013/05/suede-un-genre-d-avance-22385/
Ces méthodes sont mises en oeuvre dans cinq écoles certifiées queer (lgbtquia), type de structure plébiscitée par la voix droitière en 2011. http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130218.OBS9257/suede-au-pays-des-enfants-sans-sexe.html
Pourtant, l'anthropologue ethnologue à l'origine du concept de "valence différentielle des sexes" souligne "L'égalité homme/femme n'est pas l'indifférenciation" sans que cela n'empêche, entre autres femmes, nombre d'intellectuelles de se pâmer devant l'invention du règne du neutre. Ce qui parait identique nous empêche de différencier, de distinguer et de rendre justice. http://www.slate.fr/france/83201/francoise-heritier-egalite-homme-femme-pas-indifferenciation L'on dirait bien que cela nous vient en héritage de l'hermaphroditisme, rebaptisé intersexuation par la ligue LGBTQIA) dont on sait pourtant à présent qu'il n'a rien de monstrueux. Les escargots montrés en exemple ne font peur à personne. Il serait temps de dire la vérité aux enfants s'ils sont nés avec les deux sexes biologiques. Reste à savoir qu'est ce qu'il vaut mieux, attendre ou ne pas attendre l'âge adulte pour privilégier le sexe le mieux abouti des deux ou laisser les deux, si cela ne représente pas un risque pathologique. Il n'en reste pas moins que des pays n'étant en rien au même niveau de santé publique et dans le domaine materno-infantile, des situations épineuses concernant des athlètes inscrites aux compétitions féminines internationales concurrenceront inéquitablement par leurs performances de niveau masculin des femmes, et alors que se révélera aux examens anti-dopage que leurs taux de testostérone indiquent des cryptotesticules et donc un hermaphroditisme indétectable dans leurs nations d'origine. Par ailleurs, ce qui se trouve désormais classé en quelque sorte en hermaphroditisme psychologique, le travestisme (appelé désormais trans) est devenu une pratique banale. De plus en plus, il est su que la sexualité humaine se plie à des normes fluctuantes et localistes, qui soit éduquent à des normes homosexophiles masculines ou féminines, ou seulement hétérosexophiles. http://www.slate.fr/story/46739/societe-homosexualite-masturbation-akas
Sortes de mélanges et d'indifférenciation que chacun pourrait moduler à sa guise jusque physiquement transformer durablement le corps, attributs secondaires et sexe lui-même. Et il n'est pas question là de chant mais subitement d'un droit à l'enfant, y compris pour tous trans, puisque le sexe n'est plus déterminant ni caractéristique ; le genre sexuel prééminent et prédéterminant chapeauterait tout :
"...précède le sexe ; dans cette hypothèse le sexe est simplement un marqueur de la division sociale". Christine Delphy, 2003, "Penser le genre : quels problèmes ?", p. 94-95 in M.-C. Hurtig, M. Kail, & H. Rouch, Sexe et genre. De la hiérarchie entre les sexes p. 89-102, CNRS Éditions, Paris 2003 Ainsi que signifie de réduire la maternité, l'accouchement, le rapport sexuel à de la technique ? Certaines paraissent en avoir la conviction mais est-ce bien là analyse féministe ? Obnubilées, aveuglées par les techniques médicales et le pouvoir du monde de l'industrie chimique, plastique, médicale, apeurées ou fascinées ? Il semble pourtant bien qu'il suffise d'organes et corps au complet pour que cela passe comme une lettre à la poste. En tout cas, leur "appareil" (cela ne me serait pas venu à l'idée seule d'appeler mon beau sexe un appareil mais allons-y gaiement, nous suffit à beaucoup et c'est ce que tout de même nombre de femmes vivent parmi nombre de femmes indépendantes, émancipées, conscientes de l'aliénation patriarcale ambiante- Cette phrase misogyne à un degré inégalable en mépris des femmes, les pauvres filles en brousse sans techniques n'accouchent donc pas ? Elles se retiennent certainement de manquer de technique !
"Pour être enceinte, il faut avoir certaines fonctions reproductives opérationnelles, mais aussi des techniques. Ça ne suffit pas d’avoir un appareil reproducteur biologiquement féminin. " Ursula Del Aguila, Têtu Mag n° 138, nov. 2008, Entretiens Butler / Preciado. http://www.tassedethe.com/cadres/souscadre/journpages/questiongenre.htm#PHILOTout cela reste donc témoignage d'absurdes essais inachevés en variations de queerisation anatomique de la seconde auteure qui s'essaye depuis des années à la copie partielle d'attributs masculins par divers stratagèmes qui ne paraissent efficaces qu'en première impression et ne résiste pas à une analyse approfondie. Tout en en faisant le fer de lance de son combat contre la chape patriarcale des pères religieux du catholicisme qui sont encore puissants dans son pays d'origine ibérique ? Les deux complices paraissent surtout obsédées par les pères contre lesquelles elles ne font que s'arcbouter illusoirement pour avoir le dernier mot ? Quelle meilleure preuve illustrée de ce que les mutilations sexuelles et prises de produits de synthèse, quel qu'en soit le prétexte moral, non seulement ne sont pas combattues mais adoubées et favorisées. Les labos doivent se frotter les mains avec ces intellos qui propagent de telles illusions. Nulle condamnation de l'atteinte à l'intégrité du corps et ses organes ou du biopouvoir de l'industrie pharmaceuticoplastique, bien au contraire. http://www.youtube.com/watch?v=9bOVZVBp5PM Beaucoup croient encore que toutes ces théories restent confinées et ne sont pas reprises en fait e acte, alors que rien ne reste là en symbolique. Il y a des effets tangibles dévastateurs, comme toutes ces petites filles qui réclament sans en saisir un seul instant la portée l'arrêt de leur puberté puis leurs mutilations irréversibles avec reconstructions hasardeuses. On leur vend du vent. Où l'on voit donc que c'est tout l'inverse de ce que le féminisme réclame en égalité et droits des filles et que la castration androcide? Quelle différence avec les castrats et les eunuques, désormais augmentés qui restent à l'ordre du jour au nom du désir désormais. Qui l'aurait un jour imaginé ? Probablement les uranistes le rêvèrent.
Que certains exercent ce type d'action prouverait que ces théories transinistes devraient être vraies et bonnes ? Je me refuse à les nommer une seule seconde transhumaniste car pas une goutte d'humanisme dans cet océan d'amertume. Liberté de choix oblige... en mélange du genre et du sexe, on déconstruit l'organe coupable de tout- Prétendant dénaturaliser le sexe, l'on s'applique à reformer l'organe, prétendant que le sexe ne serait que question de morphologie et d'apparence sociale. Toute la tentative de prétendre occuper le féminisme par nature ambiguë (ce n'est donc rien de clair, rien de solide et voilà le féminisme pris en otage et bientôt castré si nous n'y prenons garde ; la tension de l'ambiguïté nous définirait ? C'est un sabordage en règle, nous n'avons rien à voir avec cette confusion sexuelle masculine et leurs néonormes*. "La nature ambiguë du genre, à la fois normatif et critique, est aujourd’hui une tension qui définit les études féministes". opus cité plus haut Eric FassinLa déconstruction allant toujours en sens unique, plutôt masculin ? Récemment lors de sa promotion en radio de dernier opus concernant la guerre et le deuil, la prof' de rhétorique Butler, littérature comparée et philosophie, rappelle sa ligne éditoriale du genre troublé à la confrontation au deuil des gays décimés par le sida -aux US, sous entendu par leur rejet des pères blancs, esclavagistes et colonialistes, moralistes notamment wasp, guerre des religions entre protestantisme et judaïsme ? et l'endeuillement du conflit. En américaine bon teint, elle se réfère d'avoir été élevée dans le sionisme colonialiste et y être rebelle donc contre ses pères hébraïques en plus que réformés ? Stupéfaction d'entendre que faisant toujours référence, alors que nous sommes en 2014 à la notion de "race" par dessus tout, elle considère faire partie d'une race ? Sa philosophie parait relever plus d'une culpabilité judéo chrétienne, voire compassionnelle plutôt que de quelconque féminisme. Dans ses propos, difficile de voir où sont concernées au premier chef les filles, alors que, en termes de succomber à la mort par maladie, grossesses précoces, accouchements, etc. deuils donc de soi et des autres, les femmes n'ont jamais été à la traîne, bien plus nombreuses à succomber qu'au sida. http://www.franceculture.fr/emission-la-suite-dans-les-idees-israel-palestine-pour-une-ethique-de-la-cohabitation-judith-butler- A noter que, par ailleurs, les mêmes partisanes du choix sont tentées de mettre en règlement et droit des coutumes antiques contre les femmes, trouble de la liberté, confusion des genres, choix confondu avec liberté -liberté de choix passant pour liberté- comme la coutume antique de servage sexuel (monté et soutenu par "pornoboskos"), venant objectivement en soutien au STRASS "autoentrepreneurial" car autogéré, dont l'idéal reste le bordel mixte en autogestion à la néo-zélandaise, ainsi qu'aux voileurs de pudicité. Ce qui montre pourtant tout le stigmate de l'impureté des filles avec complémentarité des sexes de croyances et coutumes on-nepeut-plus patriarcales (mêmes des non féministes le comprennent). Ce qui constitue renforcement et institutionnalisation de la construction sociale d'entrave en ce qui concerne les filles, tout au contraire de l'émancipation ou libération de qui que ce soit : les garçons restant totalement coincés et empêchés par la même occasion de libération sexuelle eux aussi. Ce qui entraîne une interrogation sur le caractère de rejet de cette position s'enracinant à nouveau des pires marques de sexxisme patriarcal, démontré que seules les filles d'Afrique ou d'Asie n'auraient pas accès aux droits fondamentaux non relativistes et à leur protection par l'Etat ? En plus donc philosophie raçocentrique, malgré toute la commisération qui semble y être dispensée aux cousins eux aussi "sémites" ?
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"L'identité juridique anglo-saxonne est basée sur un vice : octroyer des droits qui font fi des principes." http://quebec.huffingtonpost.ca/sylvie-bergeron/ffq-feminisme-anglosaxon_b_4674983.html
- Transgenre sexuel
Beaucoup de suicides et personne n'interroge la déception de constater sur pièces que le genre n'est pas le sexe, comme l'inverse, le sexe n'est pas le genre ? Aucune mutilation sexuelle n'est neutre, aucune atteinte à l'intégrité n'est exempte de conséquences sociales graves- Peut-être que les opérations désormais bien rodées depuis les premières entreprises en Prusse au XIXème donnent une excellente apparence esthétique mais qui ne sait que l'extraordinaire organe féminin ne peut se copier, à part ceux qui portent des oeillères ? http://m.slate.fr/monde/83161/suicide-trans-americains
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http://corporate2point0.wordpress.com/2010/05/10/anecdote-1-0-veridique/oeilleres/ |
Die Transvestiten: Eine Untersuchung über den erotischen Verkleidungstrieb, mit umfangreichem kasuistischem und historischem Material. Verlag Alfred Pulvermacher, Berlin 1910, où le médecin naturopathe "évoque ces femmes soldats aux comportements héroïques". Ses théories ne sont pas suivies par tous : "Certains comme Friedlander désapprouvaient la comparaison de Hirschfeld entre homosexuels et handicapés. Ils estimaient également que les hommes gays ne sont pas nécessairement féminins. En 1903, une scission eu lieu et certains, avec Aldof Brand, ont créé le Geminschaft der Eigenen (GdE) ou « communauté de l'unique » (à comprendre comme « communauté des gens spéciaux »)". http://fr.wikipedia.org/wiki/Magnus_HirschfeldCette forme prit le relais de drag queen "Queen, « reine » en anglais désignant péjorativement les gays, DRAG étant l'acronyme de « Dressed as a Girl », litt. « habillé comme une fille »", travesti en femme. http://fr.wikipedia.org/wiki/Travestissement
Crêpes flambées, une des recettes (les hommes aussi savent faire des desserts, condescendons donc à le leur concéder) - Une clique de queers intersectionnels trollent (tactique entriste facilitée par les outils informatiques) systématiquement les groupes féministes pour y imposer leur diktat hoministe-
"Le flamebait fait partie de la panoplie des trolls professionnels pour ruiner un forum ou pour y assurer leur prise de pouvoir idéologique." fr.wikipedia.org/wiki/FlamebaitCela se fît, sulfites, notamment à l'occasion de la performance artistique d'Avery Edison, UK qui a mis dans un mauvais cas la police des frontières canadiennes avec son passeport de sexe féminin et ses roupettes sans rouflaquettes, en émule de Snowden qui réclame sa prison de femmes à cor (voir hallux) et à cri. Ainsi il faut désormais faire confiance à un mâle non mâle avec tous ses bijoux de famille qui a peur d'être forcé à des relations sexuelles en prison qui donne sa parole qu'il ne présente aucun danger pour des femmes ? On veut bien le croire sur parole, donc autant faire des prisons mixtes, ce sera plus fun et j'ai peine confiance en tous les messieurs du monde du moment & les litanies. Je me mélange dans les esperluettes, tout éberluette que je suis- http://www.cbc.ca/news/canada/toronto/transgender-woman-avery-edison-moved-to-women-s-jail-after-outcry-online-1.2532392
- Au futur simple
Les mêmes ne pensent pas une seule seconde à leur bien être et avenir, et se gausse des principes les plus élémentaires de Santé publique, de Droits fondamentaux universels, et restent obnubilés de stratégie politique queeristique :
2 - combien de suicides, une fois constaté les opérations (lourdes et multiples) ne répondant à rien et ne changent pas le sexe au fond ?
3 - des problèmes de pharmacologie qui vont faire qu'elles ne seront pas soignées avec les médicaments adéquats (car l'adn cellulaire femelle des femmes ne réagit pas identiquement aux cellules mâles des hommes, en dépit de toute déclaration d'intention) ?
4 - certains en guerre contre les vaccins et d'autres molécules qui ont des effets secondaires, comme toute substance pharmacologiques et autres approximations, et pas de souci sur ces longs traitements sans fin ?
5 - le biopouvoir dénoncé par Foucault est passé de l'autre côté de la barrière ?
6 - athées et agnostiques croyant aux antiques croyances de l'être humain de création hermaphrodite ou androgyne, devenus créationnistes ?
7 - l'amen à la casse de la garantie des droits fondamentaux par les états, basée sur l'identité administrative stable du citoyen, à casser par fluctuation (psychologique) qui va dégarantir tout droit et tous programmes qui en découlent ?
8 - ce que sera leur 3ème âge, ou lorsque ne pouvant plus prendre leurs hormones et qui les soignera alors ?
9 - "Female" après castration mais en conservant leurs gamètes mâles ? Un autre volet de taille qui ne parait pas préoccuper grand monde, "père biologique" en même temps que et "mère légale" - Quoi que désormais avec la modification dans tous les codes en terme vague de parent, la voiture est avancée.
Afin de procréer, sont réclamées par des personnes trans la conservation de sperme et la dépathologisation, autrement dit l'arrêt du statut d'Affection de Longue Durée (hors cadre) de la prise en charge par les Caisse Primaire d'Assurance Maladie des remboursements de mutilations sexuelles, hormones, antihormones, et autres traitements. http://www.agence-biomedecine.fr/IMG/pdf/pv_co_du_19_dec_13.pdf
10. Il est parfaitement compréhensible qu'une femme simplement travestie puisse concevoir, même si se prétendant "Male", le hic serait plutôt au niveau des doses d'hormones dont on ne sait rien des conséquences sur la génétique des enfants, ainsi que les risques psychosociaux sur les mêmes. Cet aveuglement ne s'apparente-t-il pas à de la maltraitance ? Quelle soit délibérée ou pas.
"Aux Etats-Unis, Thomas Beattie, une personne FtM n’ayant pas eu d’intervention chirurgicale stérilisante, a pu concevoir un enfant avec ses propres gamètes et mener une grossesse à terme [15]. Cette personne a eu ensuite deux autres enfants et des cas similaires ont été rapportés en Espagne, en Allemagne et en Israël." http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2014/03/25.3.14-JOUANNET-info2.pdfCependant, si le ou la travestie prend ou a pris des produits de synthèse de type perturbateurs endocriniens à dose régulière longuement pour changer son apparence pileuse, entre autres, que seront les répercussions sur les enfants ainsi que sur les générations futures ?
Mais aussi, comment élever sainement des enfants dans l'idée que l'organe du sexe féminin est copiable, quelle sera la répercussion sur l'appréhension d'une petite fille de son propre sexe, alors que la complexité d'un vagin, d'un clitoris, de sa sensualité ainsi que de la jouissance féminine sont inégalables et incomparables avec un organe mâle démuni et réarrangé ?
Illustration terrible des vieilles lunes religieuses de la honte du sexe, en particulier féminin !
Quoi de neuf en maîtres mots ? Jusqu'ici, nous n'avions pas atteint le bout mais la fixette sur la paternité et les patenôtres ont atteint sa culminance, on ne peut aller plus avant. Devenir patron pour exalter sa haine du patronat ou l'extrême fordisme. Comble du conformisme, ah mimêsis quand tu nous tiens. Néoconservatisme de faire paternité à tout prix et se couler dans le moule paternel en s'accrochant de toute force au rôle de père ? Ce ne serait que sous-réalisme, contrairement aux apparences de surréalisme, de voir accoucher cette idée fixe de la paternité conçue par et pour les hommes reprise à leur compte par des femmes... Jamais innover, toujours copier. Immémorial sexisme antiféministe et désormais antilesbique, dont sans être grande clerc, l'on imagine ce que l'enfant va intégrer de négation des femmes et de la lesbianité. Nous voilà là avec fivette à l'appui en Vierge Parie tout simplement car ce ne sera pas pour cette fois la parthénogénèse -Y a contribué tout en restant vierge- L'avènement du transpatriarcat, le patriarcat est au complet et démontrant toutes ses facettes, s'il en était besoin, et va pouvoir être globalement combattu ? A noter que passant pour poète, alors qu'insultant violemment toute contradictrice sur tous les groupes fcbk dans lesquels a ses entrées, nourrisson ourson va être abreuvé au son de l'insulte ? A trop en faire et à moins d'être masochistes, le divorce lesbien est consommé. Fascination d'Anna Arnaud envers le légionnaire à l'état pur ? http://yagg.com/2014/08/29/arthur-cest-papa-par-arnaud-vauhallan/
GBTQG - Culminer en tyrannie virile de confusion mentale - Au motif de devoir prouver leur gender par leurs papiers qui notent leur sexe = Beau résultat des âneries crasses du genrisme queeristique, une gosse se voit interdite de chiottes ? Le symptôme du délit de faciès contre une jeune lesbienne habillée unisexe montre la pénétration des esprits grâce à la propagande incessante "
"Show your ID to pee" ! https://stoptranschauvinism.wordpress.com/2016/04/14/lesbian-teen-kicked-out-of-mcdonalds-for-using-womens-bathroom-failing-to-prove-gender/Avec la fascination du virilisme guerrier du sable chaud qui copient la paternité que nous venons d'évoquer, les politiques vont vraiment devoir se pencher urgemment et décisivement sur la protection de l'enfance ! La sursexualisation n'est pas pour rire. En annexe, l'on peut aussi se demander pour quelle raison en comparaison, une femme célibataire sans aucuns troubles ni obsessionnels, ni de l'identité, ni idéologique, voulant adopter ou concevoir par procréation médicalement assistée restera examinée sous toutes les coutures par les services sociaux et sera recalée ? Mais c'est simple, pourtant, ce n'est qu'une femme sans fioritures, trop seinple !? Des transes lucides et honnêtes nous alertent. http://genderapostates.com/transgender-ideology-needs-to-change-to-support-women/
- Emeute du 28 juin 1969 - Emergence du mouvement queer autour d'un bar, Stonewall
Je rajouterais rapidement qu'à un bout de ce large mouvement des orientations figure la variante asexuelle, dont les actions de la précurseure de cette position en orientation sexuelle, Madeleine Pelletier, auteure de "La femme vierge" (autobiographie, 1933), "(...) ont été vues comme un attentat porté contre l'identité sexuelle". http://fr.wikipedia.org/wiki/Madeleine_Pelletier
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Camion de pompiers à friction et à échelle de marque Majorette |
"très nombreux (85,3 %) a être traités par des hormones. Les opérations génitales ne concernent a contrario qu’un nombre restreint de sujets : 22 % ont eu recours à la chirurgie de stérilisation et 29,4 % à la chirurgie de réasignation de sexe. Cependant, chez ceux n’ayant pas encore eu recours à ces interventions, 66,9 % des personnes interrogées disent les souhaiter à l’avenir." http://www.jim.fr/en_direct/pro_societe/e-docs/00/01/F5/5F/document_actu_pro.phtml - "vécu des complications suite à une intervention chirurgicale sur les organes génitaux. Près de la moitié (48,9%) des individus opérés dans un hôpital public français ont déclaré avoir connu de telles complications, contre seulement 17,6% et 23,7% respectivement de ceux ayant réalisé l’opération en clinique privée en France ou à l’étranger." p. 433, Alain Giami, Emmanuelle Beaubatie, Jonas Le Bail, Caractéristiques sociodémographiques, identifications de genre, parcours de transition médicopsychologiques et VIH/sida dans la population trans. Premiers résultats d’une enquête menée en France en 2010- Inserm, Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations, U1018, Équipe Genre, santé sexuelle et reproductive, Le Kremlin‑Bicêtre, Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l’Institut de veille sanitaire (InVS), n° 42, 22/11/11 http://www.invs.sante.fr/Publications-et-outils/BEH-Bulletin-epidemiologique-hebdomadaire/Archives/2011/BEH-n-42-2011
Déjà Sheila Jeffrey a fait les frais d'avoir osé désigner cet aspect. Au passage, réduit le féminisme à néant car si celui-ci était de ressembler à des hommes et que, dans la tête des hommes, il y a des femmes, et qu'ils sauraient mieux que nous qu'est-ce qu'être une femme est, à quoi bon lutter contre cet essentialisme déguisé ? http://www.unapaf.com/docs/Pousse%20au%20cul.pdf
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Illustration Apophylite (trouvée sur https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1840395536186080&set=a.1377918242433814.1073741825.100006469535241&type=1&fref=nf&pnref=story ) |
N'ignorons pas et ne sous estimons pas la difficulté de vivre de personnes trans (je m'en tiens à la formule générique mode (voir hipster qui masque des situations sans autre commune mesure autre que le travestissement sexué pour toutes les variations existantes en la matière) et signalons tout de même que si Magnus (années 30) et John (années 500 n'avaient pas fait joujou,sous l'influence du mouvement uraniste des deux Numa (Karl-Henrich et Wilhem, et Karl-Maria - années 60 du 19ème), aucun de vos amis n'auraient souffert leur calvaire de transition opératoire, complications et séquelles, suicides de déception et dépit, comme vu plus haut- Sans compter celles non encore advenues car qui prendra en compte la souffrance de leur troisième âge ? Datation d'émergence dans http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/androcides.html
L'indifférenciation et le masquage du sexe biologique pose des problèmes en tout cas de santé publique - Autre problème de santé publique, de ce que jusques ici, l'on a sous estimé les spécificités de réactions pharmacologiques ou de pathologies, et que les petites filles et les femmes ont subi des dommages, on commence tout juste à en tenir compte. Si les changements d'identité se font au gré des désirs et ressentis psychologiques que se passera t il si pour bonne partie de la population, si l'on donne à savoir le contraire de ce qui est cellulairement et biologiquement ? voir item EGALIBERTE* http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/02/index-illustre-bal-feministe.html
Geai givré des chênes
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Le sexe, notion fondamentale qui n'est pas qu'apparences, reste un pilier majeur de l'identité administrative, qui se trouve très précisément délimité a contrario, soit défini par défaut (notion bien connue en sciences de l'information et linguistiques). Ainsi, toute personne jugeant de changer un ou, pourquoi pas, tous critères ressentis inadéquats grignote la garantie de ses droits citoyens par l'Etat (liés à son identification première d'état-civil) devenant labile et incontrôlable. L'Etat protecteur des droits nationaux (intégrant les droits internationaux dont universels) n'aura plus de moyen de s'assurer du bénéfice légal de ce que l'ensemble des caractères du droit à l'identité juridique (statique) se moulerait sur les appréciations d'apparence et de convictions intérieures uniquement, dont les arbitres ne pourraient être que des écoles psychologiques -L'une des deux corporations devenant toujours plus puissantes, barreaux compris- C'est porter loin la liberté d'expression. C'est confondre mixifier avec mixité.
A propos d'échapper à toute détermination sociale, l'on pourrait imaginer de naître sans nom, sans prénom, et d'attendre d'être prête à le choisir, attribut social parfois très déterminant ? Un nom portant préjudice de par son apparence et son sens se modifie par la Cour de Cassation et n'a pas commune mesure avec un sexe. En modifiant à l'envi ce dernier, on le compare donc juridiquement avec le nom ou le prénom qui est uniquement attribut social. Le sexe n'étant d'aucune façon un attribut social. Il est le socle de diverses constructions sociales. L'objet même ne peut être son propre attribut. http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1656.xhtml
- Les pays qui permettent de s'assurer d'un sexe uniquement sur l'apparence (soit-elle modifiée par pharmacologie et chirurgie ou pas) ne pèsent pas les conséquences à long terme.
- Quant aux Etats-Unis de tradition de liberté individuelle et de droit jurisprudentiel (donc coutumier adaptatif) croient faire une bonne affaire en tentant d'imposer ce principe relativiste et individualiste en Union Européenne et alentours de façon à saper des états nationaux (où prévalent le principe de bien commun des républiques et le droit romain -si la jurisprudence y est source de droit, elle n'a pas force de loi-), afin de renforcer l'atlantisme, les états protecteurs devant devenir des sortes de grandes régions. Ce qui reste un retour aux sociétés traditionnelles de droit coutumier et communautaire.
- L'on sait bien toute l'importance dans leur stabilité (voire immobilisme) revêt le stéréotype du sexe et la valence différentielle déséquilibrée des sexes qui n'est aucunement remise en cause par ses changements administratifs. Modifié n'en reste pas moins sexe, puisque il est demandé aux tribunaux et, en Suède et Belgique, à la loi de permettre de modifier ou d'invalider le concept même de sexe distinct.
'Le changement d'état civil est actuellement en France une procédure uniquement basée sur la jurisprudence, laquelle est constante depuis le fameux cas de Coccinelle dans les années 1960." http://fr.wikipedia.org/wiki/Transsexualisme
Parlons politique et surtout féminisme, où l'on se doit de faire acte et preuve de responsabilité largement, complètement, et il n'est question que de principe du début à la fin, non respecté ; défendons nous une fois pour toute l'intégrité du corps humain, quel que soit sexe et origine, et sa dépatrimonialisation totale à terme, oui ou non ? Et, au cours des siècles passées, n'avons-nous pas déjà eu quelque souci et démêlés avec la sempiternelle liberté de choisir la couleur de ses sentiments, la couleur des ses chaînes et le corollaire du consentement ?
Bref résumé conclusif - Abstract - Le terme genre (sexuel) se trouve donc en tension au plus haut dans le rapport entre deux courants, culturalisme et naturalisme, qui veulent croire à leur extrême que, ou tout est détermination culturelle (ou sociale), ou tout est de fait naturel, voire divin.En germe depuis longtemps, l'idée que rôles et fonctions masculines sont inventées sur desiderata de la gent masculine, avec pour prétexte et excuse nos caractéristiques naturelles, déplacées modernement en biologiques pour certains. Comme soupçonné et subodoré depuis longtemps, la masculinité / virilité et la féminité, toujours mis en second, représentent aussi des constructions (sociales) comme le slogan beauvoirien le voulait exprimer en 1949 s'exprimant sur le second sexe où l'on ne naît pas (mais bien sur l'on naît tout de même munies de notre sexe féminin).
On en étudie les impacts et dans des secteurs disciplinaires, mécanisme du genre et ses conséquences. Des théories diverses y germent et pour certaines en surimpression dans les secteurs politiques, l'ensemble des individus amenés à remplir ces rôles et fonctions sociaux se nomme une classe, le genre s'y trouve restreint en rapports de classes (2) hiérarchiques dépendant de l'appréhension économique des classes- Une autre théorie, issue directement du droit anglo-saxon hors principes, postule que la liberté de choix constitue toute l'émancipation des filles. Des traverses diverses existant entre ces deux tendances.
Les droits des femmes n'étant pas que sexe, sexualité et donc sexuels, et rapports entre les uns et les autres rendus politiques, une autre analyse politique émet que la libération des femmes (et des filles) ne se satisfait ni de la neutralité du genre faite passée pour égalité des sexes métamorphosées en genres, ni de la neutralisation de la nature (dite dénaturalisation du genre), ou de l'idéologie du choix et de patrimonialisation individuelle, toutes concédées par le système patriarcal toujours en vigueur et qui y trouve son compte.
- B - Pourquoi le transgenrisme va notoirement à l'encontre des droits sociaux des femmes
2. Quant à mélanger le genre et le sexe administratif, cela entraîne par absence d'identité fixe, l'abandon des garantie de droits fondamentaux universels des filles. Que deux camps, évangélistes libertariens et queers libertaires, s'entendent sur le dos des femmes, cela fiche les jetons.
- "Pour les féministes, les effets de l’expérience sociale vécue ne sont pas négligeables, et on ne peut les transcender par un simple acte de volonté individuelle. Il faut plutôt transformer la nature de l’expérience sociale à travers l’action politique collective, afin de changer la société." - "(...) version essentialiste du trans qui affirme le caractère naturel et l’universalité intemporelle de la division entre « trans » et « cis », et utilise deux autres discours : d’une part, de la pop-neurologie (vous ne pouvez remettre en question le sexe de mon cerveau), et d’autre part, une politique identitaire au néolibéralisme exacerbé (vous ne pouvez remettre en question mon oppression, mon compte rendu de mon oppression, ou les choix individuels que je pose pour résoudre mon oppression)." Delilah Campbell, Qui possède le genre ? http://sisyphe.org/spip.php?article4423 http://www.troubleandstrife.org/new-articles/who-owns-gender/
- Hirsutisme
Auparavant, l'ignorance scientifique comme populaire tenait lieu d'étonnement parfois horrifiée devant les femmes à barbe des foires mais notre époque devrait naviguer loin de ces superstitions sur les méfaits divins ? Rien à voir avec des hommes qui se travestissent tout en laissant leur barbe allant.Voici quelques maladies susceptibles d'accroître chez une femme le niveau d'hormones mâles, normalement bas :
Syndrome de Stein-Leventhal (syndrome des ovaires polykystiques) ;
Syndrome de Cushing ;
Tumeurs des ovaires ou des glandes surrénales (cancer) ;
Hyperplasie congénitale des surrénale https://fr.wikipedia.org/wiki/Hirsutisme
D'autres, d'extractions plus aisée, faisaient faire leurs portraits de famille, comme Magdalena allaitant, vue En magnum naturae miraculum.
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Jusepe de Ribera, La mujer barbuda (Magdalena Ventura con su marido) /La femmme à barbe -Madeleine Ventura avec son époux et son fils https://fr.m.wikipedia.org/wiki/La_Femme_%C3%A0_barbe_(Ribera) |
A notre époque, Clémentine Delait, Lorraine très nature et femme d'affaires avisée, aurait-elle appris à chanter pour l'Eurovision pour damer le pion à Dana ? De nombreuses photographies montrent, en tout cas, que des femmes fortes et sans complexe avaient une vie bien remplie et n'étaient pas des parias du fait de leur différence, comme voulu constamment faire croire par les doigts pointés constamment vers de prétendues intolérances. Difficile de les imiter. http://www.mylorraine.fr/article/clementine-delait-ou-la-femme-a-barbe-/3465
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http://www.mylorraine.fr/article/clementine-delait-ou-la-femme-a-barbe-/3465 |
L'olympisme voit agitée la bannière queer par Valery Luxuria à Sotchi en Crimée. http://abonnes.lemonde.fr/jeux-olympiques/video/2014/02/18/le-cio-defend-l-arrestation-de-l-ex-deputee-transgenre-vladimir-luxuria_4368908_1616891.html
- Conséquences graves - Intégrité et parité, poubelle ?
Des refuges et des abris refusés aux femmes victimes de féminicides intimes ; inimaginable, n'est-ce pas ? Eh bien pas du tout, une loi a réussi en substituant à l'égalité des sexes, "gender identity" ; plus de refuge possible : Ce sont des génies avec leur loi Toby... http://www.torontosun.com/2014/02/15/shocking-case-proves-tobys-law-is-flawed
Traduction robotique approximative : http://translate.googleusercontent.com/translate_c?act=url&depth=1&hl=fr&ie=UTF8&prev=_t&rurl=translate.google.fr&sl=auto&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.torontosun.com%2F2014%2F02%2F15%2Fshocking-case-proves-tobys-law-is-flawed&usg=ALkJrhgObYPslyrWAhfuRSCT-oef5w9g-A
- La souffrance génère des droits ? Ainsi, il suffit de se plaindre que souffrant (de ne pas être une femme) ou qu'étant opprimés et tant lésés en leurs oeuvres vives (comme les pères masculinistes), et l'on obtient des droits en prime ?
Comment un enfant saurait ce qu'est être une femme juste parce qu'il aime se travestir (crossdressing) et employer des robes ou du vernis à maman ? Ou copier papa ou les frères, où les copains, comme Claude, le garçon manqué, du Club des cinq ?
Et s'il aime les toges, on le change en romain antique ? Cette notion sociale totalement abstraite que même des adultes averties ne comprennent pas serait un truc inné chez les gosses ?
Condamner les gosses à perdre partie de leur sexe et ne pouvoir jamais atteindre l'autre, oui c'est rester entre deux mondes, et c'est criminel ! Sacrifier des organes et leur sexualité, juste pour prouver que des adultes auraient raison dans l'indifférenciation sexuelle. Mais enfin, regardez donc avant cela ce que signifie le mot gender et même son étymologie. Plongée dans le Rubicon.
"Transgenderism Kills Feminism", lorsque ce sont les mecs qui le disent, ils se reconnaissent bien entre eux émoticône smilele nouveau blase de décathlon de Jenner est une insulte aux femmes émoticône smile http://www.theblaze.com/contributions/calling-bruce-jenner-a-woman-is-an-insult-to-women/
Sous un post de scoutisme qui faisait apologie des transgosses*, un contact disait, "on leur apprend depuis quand à dire que les hongres sont des juments ? !" L'on va donc rembourser la longue maladie dans un sens et après dans l'autre... ? C'est sans fin l'éternel retour, et pendant ce temps on reste sans dents et sans lunettes pendant qu'on engraisse l'industrie plastique !? C'est aussi un mec qui le dit... Conversion, détransition, qu'est-ce qui va rester au bout ? Voir tous les regrets d'un converti http://www.sexchangeregret.com/
Ce refus du dimorphisme sexuel relève d'une stratégie juridico politique initiée par Wilhem Ulrichs en Prusse, reprise par Magnus Hirschfeld, arrosait ensuite aux US par les révolutionnaires du sexe, comme Kinsey, Money, Benjamin, tous échangeant constamment, récupérée par le nihilisme actuel et les évangélistes grands ouverts à reprendre les termes de la gnose. Les Terriennes ne peuvent se laisser prendre au piège à ce fade miel. http://information.tv5monde.com/terriennes/genre-neutre-il-ou-elle-pas-besoin-de-choisir-60046
Sont-elles de celles qui prêchent de l'exception et refusent de s'occuper sérieusement du sujet ? Ce n'est pas bien grave, c'est si rare, et que l'analyse générocritique de ce calepin inutile du fait de l'exception et rareté de la transitude (Québec) ? https://fr.wiktionary.org/wiki/transitude
Examiner quel est le chiffre visé par le milieu qui souhaite imposer cette norme, lui-même, laisse à penser que des années de traitements remboursés pour affection de longue durée de non pathologie sexuelle et ses castrations chimiques et physiques, réagencements et séquelles font tout de même des sommes importantes ou la puissance publique doit exercer un contrôle strict, et sur sa duplicité idéologique ?
La population mondiale en 1940 tournait autour de 2,5 milliards. Si la proportion de 1:500 s'y appliquait, le chiffre potentiel de transexuels serait de 5 millions..." / "The world population in the 1940s was around 2.5 billion. If the 1:500 ratio applied then also, there would have been 5 million potential transsexuals, but only a small few were offered the opportunity. Even the discredited 1:10,000 ratio would give 250,0000."D'autres détails multiples dans ce blog transéducatif* zagria.blogspot.fr/2011/09/tg-word-and-concepts-part-4-myth-that
Tendre à neutraliser le sexe, que voilà un propos des plus puritains et des plus virils. Ils craignent leur propre sexe et ne savent plus comment s'en sortir ; et, pour cela après avoir mimé, envoient des filles sur la ligne de front ?
Post-scription - Féministe, puis-je dire de naissance sans révérence ou fascination particulière pour le sexe masculin, une cinquantaine d'années passée, j'ai pris sur le nez ce concept fouillis, auquel certaines féministes faisaient part belle, en même temps qu'elles taisaient quasi-totalement celui si parlant et utile de féminicides -ce qui m'a époustouflé au premier abord, je dois l'avouer, et je pense aujourd'hui que cela n'est pas anodin-
Désormais, la position genriste serait tempérée par certaines donnant l'explication d'excès et abus de l'idée- Je n'avais donc jamais eu vent de ce mot auparavant, ni, au cours de mes nombreuses pérégrinations, ni pendant mes études universitaires dans plusieurs établissements, depuis le lycée en 1967, l'outil "sexage" me parait des plus suffisants, ne souffrant aucune confiscation et ne faisant jamais le lit du confusionnisme ambiant.
Pourquoi aux deux sexes en froid, qu'on les prennent pour des pôles ou pas, l'on substituerait deux genres, féminité et masculinité et un éventail ? Absurde et contre indiqué pour les droits du sexe féminin. Pas de néon à l'horizon, ce n'est pas une lumière mais un post qui clignote. Même plus du féminisme, dépassé et abandonnent chacune à la communauté du père...le post féminisme cornaqué par toutes les règles virilistes, y compris religieuses...
La générocritique* (critique du genre humain et critique du concept faussement nommé par le barbarisme genre) s'attaque à la racine du sexisme sans l'ombre d'une misandrie, au contraire de ce qu'un certain néomasculinisme tenterait de faire admettre.
L'asexage consisterait à permettre d'en terminer avec les stéréotypes sexuels, ou plutôt les préjugés, qui jusqu'ici étaient sexistes, et non pas avec les différences sexuelles, alors que le vain combat créationniste contre les deux sexes, prétexté de progressiste de détruire la hiérarchie binaire en multipliant les sexes n'a finalement comme conséquence que l'annihilation du sexe féminin,
Alors qu'il existe bel et bien car même les futurs hommes, et ex-hommes* (ceux qui refusent leur sexe masculin) y passent neuf mois au chaud pour commencer.
Le conservateur finalement bien heureux de donner un nom à ce processus social qu'il souhaite maintenir contre houles, vents et marées.
Je serais très triste que le nombre des victimes de cette coûteuse tactique de remplacer le terme sexisme par celui de genre grandisse... Ethnologie du sexisme, et anthropologie du sexisme, études féministes ou études du sexisme suffisent bien largement pour défendre envers et contre tous les droits du sexe féminin, et je défendrai toujours cette approche féministe.
Nous avons donc débusqué nombre d'indices et preuves, qui indiquent sans retour en arrière que la propagation de l'anglicisme "genre" effaceur des deux sexes biologiques nuit manifestement aux droits du sexe féminin, favorisant et renforçant le processus sexiste bien à l'inverse de ce que le féminisme recherche pour toutes.
- Mème conclusif
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"Les organes génitaux sont asexués mais vous avez un esprit de fille ?" source photo de Stop Trans Chauvinism 2.0. |
"GENITALS ARE SEXLESS BUT YOU HAVE A GIRL BRAIN?" (Mème anonyme ) / Vos organes sont asexués mais vous avez le cerveau féminin" ?"
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Perrette tricyclée - Laitière - Anonyme http://raymichemin.canalblog.com/archives/2009/09/26/15208280.html |
[...] 1943 - Perelandra de Clive Staples Lewis ""Both the bodies [of the Oyarsas] were naked, and both were free from any sexual characteristics, either primary or secondary. That, one would have expected. But whence came this curious difference between them? He found that he could point to no single feature wherein the difference resided, yet it was impossible to ignore. One could try — Ransom has tried a hundred times — to put it into words. He has said that Malacandra [the archon of Mars] was like rhythm and Perelandra [the archon of Venus] like melody. He has said that Malacandra affected him like a quantitative, Perelandra like an accentual, metre. He thinks that the first held in his hand something like a spear, but the hands of the other were open, with the palms towards him. But I don’t know that any of these attempts helped me much. At all events what Ransom saw at that moment was the real meaning of gender. Everyone must sometimes have wondered why in nearly all tongues certain inanimate objects are masculine and others feminine. What is masculine about a mountain or feminine about certain trees? Ransom has cured me of believing that this is a purely morphological phenomenon, depending on the form of the word. Still less is gender an imaginative extension of sex. Our ancestors did not make mountains masculine because they projected male characteristics into them. The real process is the reverse. Gender is a reality, and a more fundamental reality than sex. Sex is, in fact, merely the adaptation to organic life of a fundamental polarity which divides all created beings. Female sex is simply one of the things that have feminine gender; there are many others, and Masculine and Feminine meet us on planes of reality where male and female would be simply meaningless. Masculine is not attenuated male, nor feminine attenuated female. On the contrary, the male and female of organic creatures are rather faint and blurred reflections of masculine and feminine [emphasis mine]. Their reproductive functions, their differences in strength and size, partly exhibit, but partly also confuse and misrepresent, the real polarity… he of Malacandra was masculine (not male); she of Perelandra was feminine (not female)."
- A thesis submitted by John [William ] Money as a requirement for the degree of Doctor of Philosophy in Social Relations at Harvard University - mots clés Intersexuality -- Social aspects. Gender identity. 1952 https://www.worldcat.org/title/hermaphroditism-an-inquiry-into-the-nature-of-a-human-paradox/oclc/76994083
" 1965, USA: The word 'transgenderism' is first used in a medical text by Dr John F. Oliven, where he uses it is to mean transsexualism.* It is given quite a different meaning and popularized by Virginia Prince (1913-2009) in the 1970s. Prince claims to have invented the word herself, and uses it to define people who live full time in their chosen gender, without necessarily having had, or even wanting to have, gender confirming surgery. The difference in meaning between Oliven's and Prince's use of this word creates discontent and divisions in some sections of the trans community to this day." * Oliven JF, Sexual hygiene and pathology: a manual for the physician and the professions, Philadelphia: Lippincott, 1965, p. 514
- Crédit photo et illustrations
A savoir, découverte réalisée grâce au premier cliché X, 1951, Rosalind Franklin, biologiste. http://www.franceculture.fr/emission-la-marche-des-sciences-rosalind-franklin-depossedee-de-l-adn-2013-01-03
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- Proposition politique http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html
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- Proportion mondiale http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/cest-de-la-carte-tentative-darticle.html
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