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15/06/25

Atome et Iran

 Fiche synthétique

Ayatollahs atomiques conjugués au passé


Lion en origami

Rising lion - Hébreu - מבצע אריה (Arieh Oleh) Lion se levant
Persan  شیر برخاسته (Shir-e Barkhâsteh) Lion qui s’est dressé


L'arc chiito-sunnite du jihadisme - L'attaque de la fête de la moisson survenue le 7 octobre 2023, fomentée avec l'aide de l'Iran, mit le feu aux poudres. Pendant que des opérations militaires menées à Gaza pour les otages et contre les factions jihadistes, le feu couvait sous les cendres pour s'embraser la nuit du 12 au 13 juin 2025.

A l'heure où j'examine avec l'aide de l'IA les capacités de nuisance militaire de la République islamique et de son pouvoir, leurs usines atomiques d'enrichissement pour l'arme nucléaire sont mises hors d'usage. Même s'il est difficile d'atteindre des installations souterraines, les accès coupés les ensevelissent.

L'objectif israélien consiste à neutraliser toutes capacités offensives iraniennes ainsi que leurs tactiques d'encerclement d'Israël, ainsi que leur collaboration y compris nucléaire, avec d'autres chiites comme ceux du Yemen.
"nos renseignements montrent que l'Iran souhaitait transférer une arme nucléaire aux Houthishttps://www.i24news.tv/he/news/news/politics/artc-8242445f
- 22 ans de patience paraissent suffisants ? Dans le cas où les ayatollahs avaient été jugulés et renversés plus tôt, il n'y aurait probablement pas eu d'alliance avec les 12 factions jihadistes de Gaza et leur irremplaçable financement iranien, et donc, pas de 7 octobre 2023.

Presque un jubilée à traîner les pieds devant tous les coups d'opinel au contrat portés impunément par le régime religieux tyrannique. Il semblerait que cela découle de la doctrine négociatrice instaurée, en parallèle des désarmements qui ont aminci les capacités de défense des pays européens et permis de désamorcer toute réaction, y compris défensive et la gabegie en prime.

Finalement, seul l'état israélien forcé par cinq guerres successives de coalition arabo musulmane à garder son armée de conscription, incorporant également le sexe féminin, a du rester sur le pied de guerre et se mobilise.

Who cares ? Parler pour parler... De manifestement faux pourparlers depuis 2003 pendant que les mollahs enrichissaient à tout va au point d'être à une ficelle d'avoir leur bombe avec promesse d'atomiser Israël avec forcément quelques dommages pour des pays sunnites alentours. Pourtant, les sunnites, de la Turquie au Qatar ne sont pas friands d'une éventuelle suprématie nucléaire chiite... 

Pourtant et à Paris même, l'on voit bien la la "guerre spirituelle" entre niqabs wahabites et tchadors, qui contournent de plus en plus la loi de 2004, grâce à des masques chirurgicaux, qui se faufile même au détour d'affiches de meetings électoraux.

Sur les chaines publiques, les défenseurs de la souveraineté ayatollique, la bouche en coeur très diserts sur les fautes israéliennes, militent-ils pour la destruction du Levant car le risque est aussi celui-là, lorsque l'on visualise l'impact atomique sur Israël qu'aurait eu l'attaque atomique promise sur Israël.

Comme en Afghanistan, préférer un clergé musulman au socialisme et au communisme, qui pourtant le soutenaient ? L'ONG humanitaire MSF, de fait politique, y a oeuvré contre les Soviétiques, participant de la porte grande ouverte aux talibans du Pakistan. Les Etats-Unis et la France qui ont mis au pouvoir l'ayatollah Khomeini ne se défendent pas d'y avoir contribué mais tardent à s'en dédire et reconnaître leurs choix délétères ?

Levant, Syrie, Irak, Israël, Bande de Gaza, Jordanie, Egypte et AS pourraient être tchernobilisés avec notre mer intérieure par la promesse de longue date des Ayatollahs, désormais que l'Agence a déclaré les engagements non respectés, laissant supposer attaque à court terme. https://news.un.org/fr/story/2025/06/1156391

Pourtant, cela ne semble pas affecter les campagnes des branches écologistes de nombre de partis de droite ou de gauche, toujours emberlificotés dans la "doctrine de la réunionite", tout comme 700 km de tunnels ayant irrémédiablement détruit les sous sols de Gaza grâce également à des fonds et soutiens chiites ?

Grâce au conservatisme de la collaboration avec le clergé chiite iranien - La décision coupable de l'époque VGE cornaqué par EUA de mettre des curés chiites au pouvoir en chouchoutant Khomeini ne doit-elle pas être jugée ? N'a-t-on pas frôlé la catastrophe nucléaire annoncée, avant qu'enfin un Etat prenne le mors aux dents ?

A - Opération "Le lion se lève" - ou Eveil du lion

Programme nucléaire iranien — 2023 - enrichissement à 83,7 %

  • L’AIEA a confirmé que l’Iran a enrichi de l’uranium jusqu’à 83,7 % en 2023, soit juste en dessous du seuil militaire (90 %)

Source : Rapport AIEA 2023 (Reuters) https://www.reuters.com/world/middle-east/iran-enriches-uranium-837-pct-near-weapons-grade-diplomats-say-2023-02-28/

Portée balistique des missiles

Le missile Khorramshahr-4, testé en 2023, a une portée estimée de 2 000 km avec charge utile lourde. Ce  quicouvre Israël, Chypre, la Grèce, mais pas Paris (3 500+ km)

Cependant, l’Iran développe des vecteurs plus longs, et certains experts estiment que la conversion vers des missiles à plus longue portée est techniquement possible si le régime choisit de briser les tabous.

Hostilité et promesses d'anéantissement d'Israël

Ali Khamenei dénonce régulièrement l’Occident comme ennemi idéologique, et le régime iranien désigne les États-Unis, Israël, et parfois la France comme cibles d’influence à détruire ou à faire reculer.

  • Appelle à éliminer sa "décadence" et à sa "disparition morale"

Source : Khamenei.ir – discours 2020–2024 https://english.khamenei.ir/

1. Les déclarations d’Ali Khamenei

2. Origines historiques - Ruhollah Khomeini et l’idéologie officielle

3. Menaces des gardiens de la révolution (IRGC)

  • Des hauts responsables de l’IRGC (ex. Hossein Salami en 2010, 2013) ont déclaré : 

"Nous avons des missiles capables d’effacer Israël en entier ; ce régime doit être rayé de la carte" fr.wikipedia.org+2honestreporting.com+2memri.org+2
  • En 2023, les officiants iraniens ont justifié une "intifada active et continue" jusqu’à la "libération complète de la Palestine" memri.org

4. Synthèse des menaces explicitement formulées

Cible viséeMenace exprimée
Israël (État)"Tumeur cancéreuse" et régime sioniste* à éliminer, destruction programmée
Réponse militaireDéclarations de guerre totale, soutien aux frappes contre Tel Aviv / Haïfa, campagne d’intifada
Communauté juive ?Distinction officielle, parfois assimilation aux "sionistes", accentuant le risque antisémite pour toute la diaspora juive dans le monde

*Nota bene - Dès lors que l'antisionisme consiste à nier tout droit à l'Etat des Juifs à subsister, alors qu'instauré par la Société des Nations en 1920, et refuser sa présence sur le mandat, même occidental, il s'agit d'un parti pris antisémite, qui rejoint l'expression tsariste par pogroms d'expulsion (pratique d'épuration ethno religieuse d'un territoire) et dissémination, afin qu'il soit absorbé par d'autres et disparaisse. D'autant que le même grief n'est jamais opposé par les Ayatollahs aux Arabes du Hedjaz implantés par force sur la Palestine orientale.



Conclusion 

Faits vérifiables :

  • L’Iran plus que proche du seuil nucléaire -possède de grosses réserves d'uranium et de carburants pour lancement de ses missiles

  • Dispose de missiles pouvant menacer l’Europe de l’Est, voire de l'Ouest

  • A déjà conduit ou soutenu des opérations terroristes en Europe

  • Contribue à toutes les avancées des factions terroristes palestinistes au coeur d'Israël

  • Israël agit comme barrière avancée

Profondeur des sites

Les données les plus fiables indiquent une profondeur de 80 à 150 mètres, ce qui est néanmoins suffisant pour rendre très difficile toute attaque militaire conventionnelle. Les installations nucléaires iraniennes sont protégées par des structures souterraines de profondeur variable. Voici les données les plus précises disponibles sur les principales installations :

1. Fordow Fuel Enrichment Plant (FFEP) – près de Qom

  • Profondeur estimée :
    Environ 80 à 100 mètres sous une montagne de calcaire dur.
    Sources :

    • IAEA report 2012

    • David Albright et Institute for Science and International Security (ISIS) [lien : https://isis-online.org]

  • Particularité :
    Construit à l’intérieur d’un tunnel dans une montagne, hautement renforcé, ventilé, abritant des centrifugeuses IR-1 et IR-6
    Rendu public en 2009 après sa découverte par les services de renseignement occidentaux

2. Natanz Enrichment Complex – province d’Ispahan

  • Installation principale (Fuel Enrichment Plant, FEP) :
    Bâtiments souterrains situés à environ 8 à 12 mètres sous terre, couverts de béton armé et de couches de gravats

  • Nouvelle extension souterraine (annoncée vers 2021–2023) :
    Travaux de creusement dans une zone montagneuse au sud du site principal, estimés entre 80 et 100 mètres de profondeur, selon imageries satellites Maxar/Planet Labs (2023)
    Cette nouvelle structure serait plus résistante que Fordow, probablement destinée à accueillir les nouvelles générations de centrifugeuses

3. Isfahan – Uranium Conversion Facility (UCF)

  • En surface, mais certaines sections sont partiellement enterrées ou protégées par des structures défensives

  • Pas une cible prioritaire pour frappes profondes, mais visée en avril 2024 par des drones israéliens

Résumé comparatif

SiteProfondeur estiméeObjectif principalStatut
Fordow80–100 m (sous montagne)Enrichissement IR-6          Actif
Natanz8–12 m (ancien) / 80–100 m (nouv. zone)Enrichissement avancé         En développement
IsfahanPartiellement enterréConversion d’uranium         Actif

Capacité de résistance

  • Ces profondeurs rendent les sites résistants aux bombes conventionnelles standards

  • Seuls les missiles pénétrateurs comme les GBU-57A/B Massive Ordnance Penetrator (MOP), déployés uniquement par les B-2 américains, seraient capables de détruire les sites comme Fordow ou Natanz profond

Risques nucléaires 

Image IA - Cercles effets atomiques

L'image fournie (générée par IA), représente les zones d'impact concentriques d'une détonation nucléaire (10 à 100 kilotonnes) sur une ville comme Tel-Aviv ou Jérusalem. Voici les explications par zones de pression (surpression en psi) et distances, selon les données des autorités scientifiques américaines (FEMA, Department of Homeland Security, etc.) :

ZoneDistance approximativeEffets principaux
Zone 1 (10 psi, ~1 km)~1 kmDestruction totale des bâtiments lourds ; mortalité proche de 100 %
Zone 2 (5 psi, ~1.5-2 km)~1.5–2 kmEffondrement généralisé des structures ; incendies immédiats
Zone 3 (3 psi, ~4 km)~4 kmDégâts graves sur bâtiments en béton ; nombreux blessés
Zone thermique (brûlures ≥12 cal/cm²)Jusqu’à 10–15 kmBrûlures graves du 2e et 3e degré, feux urbains
Zone de soufflage (bris de vitres)Jusqu’à 30–60 kmProjection de verre, blessures indirectes par ondes de choc

Sources 

  1. Fédération des Scientifiques Américains (FAS)
    Synthèse des effets et capacités nucléaires, y compris pour l’Iran et Israël https://fas.org/issues/nuclear-weapons/

  2. Glasstone & Dolan, The Effects of Nuclear Weapons (1977)
    Référence technique fondamentale sur les dégâts thermiques, de souffle et de radiation https://www.osti.gov/biblio/6852329

  3. U.S. FEMA & DHS, "Planning Guidance for Response to a Nuclear Detonation" (2022, version 4.1)
    Rapport de planification d’urgence aux États-Unis, avec modèles de zones d’impact de bombes de 10, 100 et 300 kt https://www.fema.gov/sites/default/files/documents/fema_planning-guidance-nuclear-detonation_2022.pdf

  4. Center for Strategic and International Studies (CSIS) – Iran, Israel, and Nuclear War Scenarios
    Évaluation stratégique des risques d'une guerre nucléaire régionale https://www.csis.org/analysis/iran-and-israel-nuclear-war-scenarios

  5. Journal scientifique : Conflict and Health (BioMed Central)
    Étude : Casualties from a nuclear attack on Tel Aviv – modélisation d’une bombe de 15 kt 
    https://conflictandhealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/1752-1505-4-2

  6. GlobalSecurity.org – Nuclear Weapon Effects
    Revue technique des effets selon type d’explosion (airburst vs surface burst) https://www.globalsecurity.org/wmd/intro/nuke-blast.htm

Remarques supplémentaires

  • Une bombe iranienne de 10 à 20 kt, si elle est miniaturisée et montée sur un vecteur balistique (ex. Shahab-3 ou Emad), pourrait frapper l’agglomération Tel-Aviv–Jérusalem.

  • La densité de population dans ces villes augmente les pertes humaines estimées : jusqu’à 250 000 morts selon Conflict and Health.

  • L'attaque du 13 juin 2025 évite donc avec certitude une attaque nucléaire annoncée de longue date par le régime des Ayatollahs contre Israël, et ses conséquences toxiques 

Conséquences possibles sur les eaux - notre mer intérieure

L’impact d’une bombe nucléaire sur la Méditerranée et les eaux du Jourdain dépend de plusieurs facteurs : la puissance de l’explosion, l’altitude de la détonation (en surface, en altitude ou sous-marine), les vents dominants, le type de sol touché, la saison et la topographie.

Effets directs et indirects sur la Méditerranée et le bassin du Jourdain, pour une bombe iranienne plausible de 15 à 100 kilotonnes explosant à Tel-Aviv :

1. Effets sur la Méditerranée

a) Détonation proche ou sur la côte (ex. Tel-Aviv)

  • Effet thermique immédiat : l’eau absorbe une partie du rayonnement, mais la température de surface s’élève brutalement dans un rayon de 1 à 2 km (brûlures, mortalité massive de la faune marine littorale).

  • Onde de choc sous-marine (si explosion en mer) : déstabilisation locale, désintégration de structures côtières, mais pas de tsunami (puissance trop faible pour déplacer un grand volume d’eau).

  • Contamination radioactive : si la bombe explose en surface ou au sol, des retombées radioactives peuvent être lessivées par les pluies et atteindre la mer dans les jours suivants.

b) Risques pour les écosystèmes

  • L’effet principal est la pollution radioactive secondaire (eaux pluviales, nappes souillées, ruissellements). Le cesium-137 et le strontium-90 peuvent contaminer les côtes, les sédiments, et la chaîne alimentaire (poissons, plancton, crustacés).

Sources :

2. Effets sur le bassin du Jourdain

Le Jourdain se situe à l’est du point d’impact hypothétique (Tel-Aviv), au-delà de la chaîne de collines de Judée. Il est donc partiellement protégé de l’onde de choc directe, mais pas des retombées atmosphériques.

a) Retombées radioactives

  • Les vents dominants en Israël soufflent d’ouest en est la majeure partie de l’année (vents méditerranéens), ce qui signifie que des particules radioactives pourraient atteindre les collines de Judée, Jérusalem, puis descendre vers la vallée du Jourdain

  • Risques de contamination de l’eau douce par iode-131strontium-90 ou tritium via les précipitations et ruissellements.

b) Effets sur les nappes phréatiques

  • Le système hydrogéologique de Judée-Samarie alimente partiellement la vallée du Jourdain. Une contamination au niveau de la côte pourrait infiltrer les nappes via les couches karstiques.

c) Conséquences agricoles et sanitaires

  • Pollution des cultures irriguées par les eaux du Jourdain.

  • Ingestion indirecte de radionucléides par la population (via les aliments et l’eau).

Sources :

Résumé des distances d’impact radioactif (selon FEMA/DOE pour 15–100 kt)

Distance du point d'impact (km)Type d’effet potentiel
0–4 kmDestruction totale, pas d’effet hydrologique
5–15 kmRetombées locales, contamination urbaine et côtière
15–40 kmRisques pour nappes et ruissellements (dont bassin du Jourdain)
> 50 kmContamination de très faible intensité, mesurable mais pas létale


B - 1978

1. VGE, Khomeini et la France :

  • Khomeini est accueilli en France en octobre 1978, après avoir été expulsé d’Irak

  • Michel Poniatowski, ministre de Valéry Giscard d'Estaing, son proche, aurait donné son accord à l’accueil de Khomeini à Neauphle-le-Château, en lien avec le ministère des Affaires étrangères

  • Des services de communication modernes (télex, téléphone, presse) lui sont accordés, facilitant ses contacts avec les opposants au Shah en Iran

Sources :

  • François Kersaudy, De Gaulle et les grands, Perrin, 2010

  • Dominique Lorentz, Une guerre, Les Arènes, 1997 (enquête controversée mais bien documentée)

  • Témoignages de Christine Ockrent, Jean-François Deniau


2. Le rôle des États-Unis : ambiguïté calculée

  • Le gouvernement Carter, via Zbigniew Brzezinski (conseiller à la sécurité nationale) restait divisé sur la gestion du cas iranien

  • George Ball, ancien sous-secrétaire d’État sous Kennedy et Johnson, fut missionné à l'automne 1978 pour évaluer la situation. Il remet un rapport au président Carter suggérant qu’il fallait envisager un "dialogue avec l'opposition religieuse", voire une transition post-Shah.

  • William Sullivan, ambassadeur américain à Téhéran, écrit dans un mémo célèbre d’octobre 1978 : “The Shah is finished”.

Sources

  • Andrew Scott Cooper, The Fall of Heaven: The Pahlavis and the Final Days of Imperial Iran, Henry Holt, 2016 

  • William H. Sullivan, Mission to Iran, Norton, 1981

3. Coordination franco-américaine ?

Il n'existe pas de preuve directe d’un conseiller américain ayant personnellement recommandé à VGE de favoriser Khomeini. Cependant :

  • Des anciens de la CIA, comme Robert Baer, ont évoqué une certaine tolérance de Washington envers les islamistes, dans l’idée qu’ils pourraient mieux contenir les communistes que les nationalistes comme Mossadegh

  • Certains experts et services français, comme le général d’armée Paul Aussaresses, ont dit après coup que la France avait sous-estimé la radicalité de Khomeini, pensant qu’il ne ferait que passer

  • Comparaison aux sous estimations concernant le nazi déclaré du Grand Mufti Al Husseini, détenu pour être livré et jugé à Nuremberg, dont l'évasion est permise par de Gaulle ?

Sources :

  • Robert Baer, See No Evil, Crown, 2002

  • Paul Aussaresses, Services spéciaux, Perrin, 2001

4. Théories d’influence 

Plusieurs auteurs (Yves Bonnet, Thierry Meyssan, etc.) ont formulé des hypothèses selon lesquelles la révolution iranienne aurait été "orientée" par des intérêts anglo-saxons (notamment pour punir le Shah d’avoir relevé les prix du pétrole, ou d’avoir trop acheté français). Mais ces hypothèses ne reposent pas sur des documents déclassifiés irréfutables, et doivent être maniées avec prudence.

Conclusion

  • Toutefois, une convergence d’intérêts tactiques (affaiblissement du Shah, canal islamiste anti-marxiste, accueil temporaire en France sans restriction) a permis l’ascension médiatique de Khomeini depuis Neauphle-le-Château, avec la tolérance passive de plusieurs puissances occidentales, y compris les États-Unis

  • Les acteurs-clés américains sont Zbigniew Brzezinski, George Ball, William Sullivan. Côté français : Poniatowski, Deniau, le Quai d’Orsay, les services de l’Élysée, Valéry Giscard d'Estaing

Le sunnisme face à l'érection des mollahs

Pas de position officielle unifiée, publique ou documentée concernant l’instauration de la République islamique d’Iran en 1979, c’est-à-dire la prise de pouvoir par Khomeini et l’éviction de la monarchie du Shah. Toutefois, une analyse rigoureuse des réactions pays par pays — notamment au sein du Conseil de coopération du Golfe (CCG), créé peu après en 1981 — permet de dégager les grandes tendances régionales à l'égard de la révolution iranienne, qui fut perçue avec méfiance voire hostilité, indépendamment du rôle des puissances occidentales.

1. Méfiance instinctive : révolution contre monarchie

🇸🇦 Arabie saoudite :

  • La monarchie saoudienne, fondée sur une légitimité religieuse sunnite wahhabite, a vu d’un très mauvais œil la prise de pouvoir révolutionnaire d’un clergé chiite,modèle islamique alternatif et radical

  • Elle craignait un effet de contagion chiite dans sa province orientale (où vit une minorité chiite importante) et dans les pays du Golfe

  • L’Arabie saoudite est vite devenue l’ennemie stratégique de la République islamique dès 1980.

Position saoudienne : hostilité idéologique et stratégique à la théocratie chiite iranienne.

🇰🇼 🇧🇭 🇶🇦 🇦🇪 Autres monarchies du Golfe :

  • Tous ces États monarchiques sunnites ont vu la Révolution iranienne comme une menace existentielle, craignant un renversement de leur ordre monarchique sous influence d'une révolution islamique exportée.

  • Ils ont soutenu financièrement l’Irak de Saddam Hussein contre l’Iran pendant la guerre Iran-Irak (1980–1988).

Création du CCG en 1981 :

  • La fondation du Conseil de coopération du Golfe (Arabie saoudite, Koweït, Bahreïn, Qatar, Émirats arabes unis, Oman) fut une réaction directe à la révolution iranienne, pour contenir une possible subversion religieuse ou idéologique.

2. Rôle implicite de l’Occident : toléré mais non assumé

  • Le discours officiel arabe n’a pas directement dénoncé l’Occident pour avoir « placé les ayatollahs au pouvoir ». L’idée que la France et les États-Unis ont laissé Khomeini s’installer, voire qu’ils ont sous-estimé ses ambitions, est évoquée dans les cercles nationalistes arabes, mais sans accusation officielle coordonnée.

  • En revanche, la révolution iranienne a donné un nouvel élan à la rhétorique anti-occidentale de nombreux régimes arabes, y compris monarchiques.

3. Position des États républicains arabes

🇮🇶 Irak (sous Saddam Hussein) :

  • Saddam, alors baasiste et sunnite, perçoit immédiatement le nouveau régime iranien comme ennemi mortel

  • En 1980, il attaque l’Iran, déclenchant la guerre Iran-Irak (1980–1988). Il est soutenu par tous les pays arabes du Golfe, avec des financements massifs (notamment koweïtiens et saoudiens)

🇪🇬 Égypte (sous Sadate) :

  • L’Égypte est l’un des seuls pays arabes à accueillir l’exilé Mohammad Reza Pahlavi après sa fuite d’Iran

  • Elle rompt ses relations diplomatiques avec l’Iran révolutionnaire

4. Hostilité à la doctrine du "Wilayat al-Faqih" (pouvoir du clerc)

  • Le principe chiite du gouvernement du juriste-théologien suprême (wilayat al-faqih) est étranger à la pensée politique sunnite, et même radicalement rejeté

  • Aucune monarchie arabe ne pouvait légitimer un régime mettant en avant un tel modèle religieux de gouvernement.

Synthèse :

  • La Ligue arabe n’a pas officiellement soutenu ni dénoncé la mise en place des ayatollahs en Iran

  • Les monarchies arabes du Golfe, bien que elles-mêmes monarchiques, ont vu dans la théocratie révolutionnaire chiite de Khomeini une menace directe pour leur stabilité

  • Elles ont réagi par un resserrement sécuritaire et politique (CCG), un soutien à l’Irak, et une hostilité durable à l’Iran.

  • Le rôle passif ou permissif des puissances occidentales dans l’installation de Khomeini a été perçu avec ambiguïté, mais jamais publiquement dénoncé comme une machination par les pays du Golfe

 Sources :

  • F. Halliday, The Middle East in International Relations, Cambridge University Press, 2005.

  • Kenneth Katzman, The Persian Gulf States: Post-War Issues for U.S. Policy, Congressional Research Service, 2002.

  • Ray Takeyh, Guardians of the Revolution: Iran and the World in the Age of the Ayatollahs, Oxford University Press, 2009.

  • Gause III, F. Gregory, The International Relations of the Persian Gulf, Cambridge University Press, 2009.

C - Asymétrie 

Situation asymétrique, augmentée décisivement par les changements récents au Liban et Syrie depuis la riposte israélienne au 7 octobre 2023 de Gaza... - Les mollahs ne peuvent tout simplement plus avoir le dessus -Ils ne se tiendront pas pour battus mais leurs soutiens vont les laisser choir comme des loques. Finalement, cela va arranger tout le monde concernant l'impossibilité d'arme nucléaire entre les mimines des ayatollahs, mais aussi le marché des énergies fossiles, à récupérer... Ci-après, état des lieux au 13 juin 2025, selon GPT

1. Arsenal de missiles balistiques et drones (Shahed, Ababil)

L’Iran dispose encore de missiles Shahab, Emad, Khorramshahr (portée : 800 à 2 000 km) et d’une large flotte de drones suicides.
Cependant, l’essentiel des stocks a déjà été entamé lors des frappes d’avril 2024, puis dans les premiers jours de la contre-offensive actuelle d’Israël.
Réf. : IISS – Iran's Missile Arsenal, mars 2025

2. Réseaux de milices étrangères

L’Iran continue de s’appuyer sur un "axe de résistance", mais tous ses membres sont sous pression intense ou partiellement neutralisés :

Hezbollah (Liban) : pilonné quotidiennement au sud du Liban, pertes importantes ;
Houthis (Yémen) : partiellement désorganisés par des frappes coordonnées ;
Milices irakiennes (PMF) : visées par les frappes israélo-américaines (opérations combinées) ;
Milices syriennes pro-iraniennes : décapitées dans la région de Deir ez-Zor et Sayyida Zeinab.
Réf. : Alma Research, Iranian Proxy Network Status Report, juin 2025

3. Menaces maritimes dans le Golfe

Tentatives d’attaques de navires israéliens ou alliés via :
mines marines,
vedettes rapides,
drones maritimes (tentatives près du détroit d'Ormuz).
Présence américaine, française et britannique massive dans la zone limite fortement leur efficacité.
Réf. : U.S. Naval Institute – Iranian Naval Capabilities Assessment, juin 2025 https://www.usni.org

II. Pourquoi l’Iran ne peut pas gagner militairement

1. Supériorité israélienne technologique et aérienne

Israël a la supériorité aérienne absolue grâce au F-35I Adir, au renseignement en temps réel, et aux systèmes de guerre électronique

Les défenses multicouches (Iron Dome, David’s Sling, Arrow 3) absorbent l’essentiel des ripostes iraniennes

2. Renseignement total côté israélien.... et caetera.

D - PLAN TACTIQUE ISRAÉLIEN CONTRE L’IRAN

Objectif global : neutraliser à long terme la capacité de projection balistique iranienne.

Phase 1 : Frappe des centres de propergol (carburant pour missiles à ergol solide)

Sites visés :

  • Isfahan (CIG) – usine de propergol solide

  • Bandar Abbas / Shahid Rajaee – stockage de perchlorate

  • Ardakan (Yazd) – composant intermédiaire nucléaire et balistique

Justification :
Détruire les stocks de carburant ralentit immédiatement les chaînes de rechargement de missiles Shahab, Ghadr, Sejjil

Durée estimée : 3–5 jours
Méthode : drones Harop / missiles Delilah / F-35

Phase 2 : Frappe des bases de lancement balistiques (missiles de théâtre et intercontinentaux)

Sites visés :

  • Haji Abad / Kenesht (Kermanshah) – silos souterrains actifs

  • Shahroud (Semnan) – base de tests, logistique vers l’est

  • Bakhtaran / Khorramabad – plateformes de tir Shahab-3 et Sejjil-2

Justification :
Neutraliser les installations d’origine des tirs vers Tel Aviv ou Dimona

Durée estimée : 5–7 jours
Méthode : bombardement de précision et guerre électronique anti-dôme


Phase 3 : Sites logistiques et de carburant (si usage militaire confirmé)

Sites visés :

  • Shiraz / Abadan / Qeshm Island – ravitaillement militaire et dual-use

  • Téhéran-Sud carburants militaires acheminés vers les unités balistiques

Justification :
Limiter l’autonomie logistique pour éviter rechargement des bases de missiles survivantes

Durée estimée : 2–4 jours
Méthode : frappes aériennes indirectes, cyberinterdiction

Estimation des effets cumulés :

Capacité iranienneAvant frappesAprès Phase 1Après Phase 2Après Phase 3
Missiles Shahab/Ghadr disponibles1 5001 100400150
Bases de lancement actives151362
Logistique carburant opérationnelle90 %90 %70 %20 %

Considérations :

  • Légalité : phase 1 et 2 clairement militaires – phase 3 nécessite preuve d’usage militaire

  • Risque stratégique : détonation de sites proches de zones urbaines sensibles (ex : Isfahan)

  • Réaction internationale : probable activation de discussions à l’ONU, risques de veto russe

Possibilités d'appuis intérieurs

Plusieurs peuples non-perses d’Iran, historiquement marginalisés, présentent un potentiel de révolte contre le régime des ayatollahs. En plus des Arabes ahwazis, voici les principaux groupes ethniques susceptibles de contestation active ou latente, avec leur situation détaillée :

1. Kurdes

Effectif : ~8 à 10 millions (environ 10 % de la population iranienne)
Région : Kurdistan iranien (Kermanshah, Sanandaj, Mahabad)
Mouvements actifs :
Partiya Jiyana Azad a Kurdistanê (PJAK), lié au PKK
Réseaux de contestation civile, notamment féminins, très actifs depuis 2022 (ex. mort de Mahsa Amini)
Motifs de révolte :
Discrimination linguistique, culturelle, religieuse (sunnites)
Répression militaire systématique
Capacité de rébellion : forte tradition insurrectionnelle, mais limitée par l’isolement géographique et les offensives du CGRI

 2. Baloutches

Effectif : ~2 à 3 millions
Région : Sistan-et-Baloutchistan, sud-est (frontière pakistanaise)
Mouvements actifs :
Jaish al-Adl (groupuscule sunnite armé opposé à Téhéran)
Motifs de révolte :
Extrême pauvreté, négligence étatique
Répression religieuse (sunnites)
Exécutions massives et discriminations systématiques
Capacité de rébellion : forte, avec incidents armés fréquents et soutien transfrontalier pakistanais potentiel

3. Azeris (d’Iran)

Effectif : ~15 à 20 millions (20–25 % de la population iranienne)
Région : Azerbaïdjan iranien (Tabriz, Ardabil, Zanjan)
Mouvements actifs :
Militants pour les droits linguistiques et culturels
Opposition modérée, souvent plus culturelle que séparatiste
Motifs de tension :
Déni de la langue turque azérie
Répression des figures autonomistes
Capacité de révolte : modérée — ils sont bien intégrés dans les structures étatiques et militaires, mais potentiellement mobilisables

 4. Lurs

Effectif : ~5 à 6 millions
Région : Lorestan, Kohgiluyeh, Ilam
Motifs de tension :
Marginalisation économique
Répression"

5. Ahwazis 
  • Ethnie : Arabes chiites majoritairement, avec une minorité sunnite. Dialecte arabe du Golfe (similaire à celui du sud de l’Irak et du Koweït), mais la majorité est bilingue arabe-persan

  • Localisation : Province du Khuzestan (capitale Ahvaz), riche en pétrole, peuplée aussi de Perses, Lurs, Bakhtiaris, et autres groupes

  • Histoire : Le Khuzestan fut brièvement autonome au début du XXe siècle, notamment sous le cheikh Khazal al-Kaabi, avant d’être intégré de force par Reza Shah Pahlavi dans les années 1920

2. Nombre

Les chiffres sont incertains, car l’Iran ne publie pas de données ethniques officielles depuis la révolution de 1979. Les estimations varient :

SourceEstimation de la population arabe (Ahwazis) en Iran
Minorities at Risk Project (2004)1,5 à 2,5 millions
CIA World Factbook~2% de la population iranienne, soit 1,6 million (sur ~80 millions)
ONG Ahwaz Human Rights OrganizationJusqu'à 4 à 5 millions (chiffre contesté)

Estimation prudente actuelle : environ 2 millions d’Ahwazis, concentrés autour d’Ahvaz, Abadan, Khorramshahr, mais présents aussi dans des zones rurales pétrolifères (comme Shadegan ou Mahshahr)

3. Situation politique et répression

  • Langue marginalisée : Le persan est la langue officielle exclusive

  • Discrimination économique : Malgré la richesse pétrolière du Khuzestan, les Arabes locaux subissent un fort taux de chômage, d’analphabétisme, et un accès inégal à l’eau et aux soins

  • Répression : L’État iranien répond aux revendications identitaires ou sociales (protestations contre la sécheresse, l’injustice sociale, etc.) par arrestations massives, exécutions, et censure

  • Groupes militants :

    • Le Front populaire démocratique d’Ahwaz (FAPDA)

    • Le Mouvement arabe de lutte pour la libération d'Ahwaz (ASMLA) – classé comme terroriste par l'Iran

    • Activistes en exil à Londres, Copenhague, et aux Pays-Bas

4. Contribution éventuelle à la chute des mollahs

Facteurs favorables à une contribution anti-régime :

  • Terrain explosif : Le Khuzestan est stratégique à cause du pétrole (40-70% des réserves iraniennes), des pipelines et de ses frontières avec l’Irak

  • Mobilisation récurrente : Émeutes en 2005, 2011 (printemps arabe), 2018 (pénurie d’eau), 2021 (grandes manifestations réprimées)

  • Soutiens extérieurs limités mais existants : Certains Ahwazis exilés sont appuyés par des pays du Golfe, comme l’Arabie Saoudite ou les Émirats, dans le cadre de leur opposition au régime iranien

Limites :
  • Faible unité nationale : Les mouvements ahwazis sont fragmentés, certains prônant l’indépendance, d’autres des droits culturels au sein de l’Iran

  • Répression très forte : Surveillance massive, arrestations, exécutions. L’Iran emploie des tactiques de colonisation interne (implantation de populations non-arabes pour diluer l’identité locale)

  • Pas de jonction évidente avec les mouvements kurdes, baloutches ou persans laïques

Conclusion stratégique :

Les Ahwazis peuvent jouer un rôle de déstabilisation régionale, notamment si le régime central est affaibli. Mais ils ne peuvent pas à eux seuls provoquer une chute des mollahs, sauf si une coalition multiethnique et internationale les inclut dans une stratégie plus large

 5. Références utiles

  1. UNPO (Organisation des Nations et Peuples non représentés) sur les Ahwazis :
    https://unpo.org/members/7897

  2. Minorities at Risk – Arab Iranians (profil analytique, 2004) :
    http://www.mar.umd.edu/

  3. Human Rights Watch - "Ahwazi Arabs: Discrimination and Repression" (2005) :
    https://www.hrw.org/report/2005/11/17/discrimination-and-repression/ahwazi-arabs-iran

  4. Al-Arabiya English - "Arab Struggle Movement for the Liberation of Ahwaz" (2020) :
    https://english.alarabiya.net/features/2020/03/25/Who-are-Iran-s-Ahwazis

🇫🇷 Médiatisation en France : ce qui est ignoré

  • Ces chiffres restent quasiment absents des médias français, qui se concentrent plutôt sur les tensions avec l’Arabie saoudite ou les sanctions, et très peu sur la répression ethno-régionale.

  • L’affligeante discrétion est visible dans le fait que des comptes-rendus de HRW ou d’Amnesty, ainsi que de multiples sources académiques, ne font l’objet d’aucune reprise significative dans la presse francophone.

  • Par exemple, l’attentat de 2018 à Ahvaz (29 morts) a été relayé, mais sans replacer cet événement dans la continuité de la répression structurelle des Ahwazis en.wikipedia.org+2fr.wikipedia.org+2en.wikipedia.org+2

En conclusion

Les soulèvements ahwazis ont causé plusieurs centaines de morts depuis le début du XXᵉ siècle, avec des pics en 1979, 2005, 2011 et 2018–2020. Ces événements sont largement ignorés par les médias français, malgré des rapports documentés de violences et d’arrestations massives par des ONG reconnues et des sources universitaires.

Eventuelle collaboration avec Israël ?

  • Témoignages d’opposants Ahwazis en exil qui appellent Israël à soutenir leur cause contre l’Iran astudies.org+1middleeastmonitor.com+1newsweek.com+3jpost.com+3astudies.org+3.

  • Cantonnés à un discours politique d’exilés : pas de preuves d’un partenariat opérationnel (délégation militaire, financement direct, aide à des actions armées ou de sabotage)

  • En l’absence de données solides ou de déclarations officielles israéliennes ou ahwazies, il n’y a aucune confirmation d’une coopération directe entre Tel Aviv et des groupes ahwazis sur le terrain

Revue et vérifiée par GPT

Illus. Lion en origami

Le lion - emblème zoroastrien /chaldéen

"Le lion solaire est l'emblème de la Perse royale et le motif central du drapeau de l'Iran de 1576 à 1979. Le motif remonte à l'époque pré-islamique. La religion de l'Iran de cette époque (Zoroastrisme) considérait le feu comme un élément sacré et le soleil était aussi vénéré."

Symbolique du titre de l'opération militaire présente

  • Am Ké Lavi, "le peuple, comme un lionceau", évoque la puissance sourde et grandissante, puis la majesté du lion qui se lève — image affirmée encore plus dans la déclinaison anglaise “Rising Lion” vietnam.vn+3courrierinternational.com+3israj.media-j.com+3

  • Ce message symbolique signifie : Israël ne se contente plus de dissuasion, il attaque, conformément à sa doctrine sécuritaire actuelle vietnam.vn.