Que dit la science à propos de la pirouette sexuelle des mammifères ? Ni protogynie, ni protandrie chez le mammifère humain.
...en fait, les changements de sexe d’un individu ne sont pas rares en dehors de l’espèce humaine. De nombreux organismes subissent une ou plusieurs inversions du sexe au cours de leur vie. On parle de protandrie pour un passage du sexe mâle au sexe femelle et de protogynie pour un passage du sexe femelle au sexe mâle."
- Manuel politique - Quand la lutte des classes sert la soupe à l'impérialisme de la consommation médicale
"Or, d'un point de vue biologique, le "sexe" n'existe pas plus que la "race"... Nous croyons que le sexe existe en soi, pourtant ce n'est qu'un concept, un choix social de découpage de nos corps. (...) Aujourd'hui encore des scientifiques essayent vainement de définir, de tracer une frontière hermétique entre les sexes biologiques dits "mâles" et "femelles", en vain. La binarité des sexes n'existe pas en nature mais elle existe par contre socialement." p. 7, Le sexe est politique, Manuel d'anatomie, janvier 2020"« parler du sexe anatomique dans une perspective féministe » et inclusive, le Planning Familial s’est donc emparé de cette question et a édité en 2020 un manuel illustré qui s’intitule « Nos sexes sont politiques » (Raphaëlle Morel D'Arleux, illustrations de Sanam Shojania)." Manuel du Planning familial https://documentation.planning-familial.org/K_select_G0061572_19149198124919673709.zip?template=none&comp=28662&record=19149198124919673709&folder_code=PUB1&folder_key=
- 700 sacrifices sur les autels...
Tout bascule fin août 2020, après une consultation d'une heure trente avec le DrAlicia Cohen, pédopsychiatre de l’hôpital Robert-Debré, à Paris. (..) À l’école, la directrice accepte ensuite de rayer le prénom « Lysandre » pour le remplacer par « Stella » " Violaine Des Courières, Ces enfants qui changent de sexe en un temps record dès l'âge de trois ans, Marianne, 15/10/2020 Le Dossier Marianne 16 au 20 ocobre 2010.pdf
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Lilie, enfant trans de 8 ans, avec Chrystelle et Guillaume Vincent, ses parents. © Christophe Agostinis / Le Dauphiné / https://www.ledauphine.com/societe/2020/09/07/a-8-ans-il-veut-devenir-une-fille-ses-parents-l-aident-dans-ce-choix |
"Clémence Zamora-Cruz, de l'association Au-delà du genre, qui accompagne une vingtaine de parents. "Mais souvent, les personnes trans âgées savaient depuis leur plus jeune âge. Elles n'en parlaient pas: elles avaient peur de révéler leur propre identité".Béatrice Denaes le décrit dans son livre "Ce corps n'était pas le mien", publié en novembre. Cette ex-journaliste de Radio France s'est faite opérer en 2019: sa "seconde naissance" . Elle a vécu pendant une soixantaine d'années sous son identité de naissance, Bruno, mais a su enfant qu'elle était "née dans le mauvais corps".
Qui aurait suivi de tels conseils, niant la science, "du mauvais corps" sans zélés journalistes et psychologues de bazar de révélation identitaire -vous en trouverez ici fort ouverts au scoptisme* https://bddtrans.fr/psy/ ?
Autotransexperts* - Quant à tout ce monde présenté expert transidentitaire, comme Clémence Zamora-Cruz, association inter-LGBT 2014-2020 (être homosexuel dans les pays très catholiques d'Amérique du Sud, c'est être féminin) et Bruno Denaes, Béatrice en 2019 par la grâce d'une invagination devient un journaliste experte sur une plateforme féministe (Caroline de Haas)... A soixante ans, être si ignorant des femmes que de ne pas connaître la complexité du sexe féminin et qu'une invagination artificielle n'a rien à voir avec le sexe féminin ?
- Dura lex sed mollis - Tout et son contraire constaté depuis que constaté le féminicide annihilatoire* dès l'ouverture de cet ethnoblog fin 2011
Ainsi, dès qu'un film de fiction, documentaire ou une émission à témoins sur le sujet transidentitaire est diffusé par un media immanquablement sur un ton laudateur, l'avalanche de propos lénitifs, censés être hautement empathiques, déferle pendant qu'en coulisses les écus trébuchent, et qu'en stéréo, sur les fils sociaux, leurs gardiens de coffres, anathèmes en bandoulière, contrent en la salissant toute critique sensée.
Rééducation sociétale et épuration culturelle, pareillement présents en France. Les affichages sont moins agressifs mais bien présents, comme en vue de la Journée pour la paix et les droits des femmes où le transinisme et les attributs sexistes religieux implicitement à l'honneur au milieu de 109 "mariannes". L'Etat recule devant les exigences individualistes ou religieuses, avant-poste du choix du chaland antithèse de la liberté, et l'état-civil, garant des droits naturels, tangue.
Il est temps de se réveiller pour ne pas laisser écraser les championnes aux Jeux Olympiques de Paris en 2024. Les cas extrêmes d'anomalies sexuelles, comme celui du skieur autrichien dont la médaille d'or de 1966 au Chili, Portillo revint en descente à Marielle Goitschel, prouvent tous qu'il n'y a pas de revirement biologique en cours de vie. Pour cette incommensurable vitrine, il est temps et grand temps que l'Etat féministe qui garantit l'égalité des sexes et la protection des droits du sexe féminin, prennent toutes mesures d'urgence pour faire cesser l'extension de la tâche de main mise masculine par ses règles, qu'elles soient de pudeur ou d'exhibition sexuelle, avant que le dégât des eaux aient encrassé les droits fondamentaux.
Lasse de supporter ces tentatives d'intimidations déguisées, depuis bientôt dix ans que j'ai découvert ce nouvel eugénisme scopte* accéléré, j'ai apprécié de trouver quelques détails sur les tiroirs-caisses, notamment des assurances déjà rapidement évoquées dans d'autres carnets, derrière ces pirouettes.
- Ce qu'il y parait de nos propres investigations - Tous les témoignages convergent, que ce soit de parents éprouvés ou de candidats lésés.
Je vous livre plus loin trois échantillons concernant la circulation financière qui en découle. Le premier date de 2018, les deux autres de fin 2020.
Cependant, en remontant le temps, l'on peut constater que des fortunes de femmes, séduites par la copie masculine ont la pompe à fric également contribué à la montée en puissance de la propagande et de l'équipement continuant les élucubrations eugénistes de Magnus Hirschfeld, que des Rotthblath tentent de faire passer pour transhumanisme idéaliste. Tentant nimber de respectabilité par l'utopie, l'idéologie faisant plus mauvais effet de réputation.
Un petit cliché rafraichissant avant que de plonger dans l'ombre glacée des rivières d'or vert des Pic'sou💲 ?
- Boules à 50 ballons
"Face à ce nouveau type d'assurance, une marque de lingerie canadienne, Undz, profite de cette tendance pour s'associer à un assureur anglo-saxon de renom, Lloyd's, afin proposer à leurs fidèles clients masculins une assurance pour leurs parties intimes à hauteur de 50 000 dollars " https://www.lecomparateurassurance.com/98-autres-guides/107898-assurer-partie-corps-est-possible
Money's mass - Une fois qu'elles auront compris qu'elles font les frais d'une expérimentation à grande échelle qui reproduit celle d'un psy néozélandais créateur de "l'identité de genre", John Money, qui alors prouva l'inanité du concept et sa grande dangerosité au frais de deux jumeaux, dont il faut dire aujourd'hui qu'il abusa et de la crédulité de leurs parents. Si seulement, il avait réussi, il aurait pu être envisagé de croire dans cette prétendue identité et ses rôles... Evidemment, une preuve aurait emporté mon adhésion. Un garçon jamais ne se transforme en fille, la messe est dite.
Voici donc mes traductions amateur des enquêtes de Jennifer Bilek (illustrées au passage en y introduisant des photographies des principaux cités) :
- 1°) Jennifer Bilek, De la Banque Mondiale à la direction LGBT/La colonisation corporative du sexe humain, 26 novembre 2020

Pour ceux qui luttent contre l’identité de genre, il n’y a plus de temps à perdre. Concernant la solide analyse culturelle des blessures portées contre la société par cet appareil et d’où il vient, la plupart de ceux qui luttent contre cette bête le font d’un point de vue idéologique, en se concentrant sur les aspects « genre » et « identité » de celui-ci, ne réservant qu'un bref examen à l'« industrie » aux côtés. Cela doit changer si nous voulons gagner. Les racines de ce Goliath sont dans un capitalisme impitoyable et sanglant, et jusqu’à ce que cela soit compris, c'est comme pisser dans un violon.
Les racines de l’industrie de l’identité de genre doivent être au cœur de tous arguments sinon nous compartimenterions inefficacement. Ce sont ses racines qui lui fournissent le pouvoir qu'il brandit et se situent dans le pouvoir d’entreprise et ses profiteurs. La malignité de la théorie queer et les efforts visant à déstabiliser la réalité, la lutte féministe contre les stéréotypes sexistes et pour les droits des femmes et le point sur l’homophobie encore préjudiciables dans les cultures occidentales qui constituent des éléments nous instruisant de ce qui se passe dans l’arène transgenriste. Ceux-ci ne sont pas ses racines. Un corporatisme vorace et pathologique qui a déjà détruit une grande partie de la planète colonise maintenant ce qui reste. Les êtres humains (et nos racines dans le sexe) sont la dernière frontière du capitalisme vautour.
J’ai écrit au sujet des racines big pharma de l’industrie de l’identité de genre, big tech protection de Big Pharma, maintenant nous allons regarder le rôle des industries bancaires dans ce titan en plein essor.
Fabrice Houdart, spécialiste des droits de l’homme et de la responsabilité sociale des entreprises avec 19 ans d’expérience à la Banque mondiale et aux Nations Unies, a pris la tête d’Out Leadership en janvier 2020. Out Leadership est l’organisation mondiale de réseautage de leadership LGBT+ pour les entreprises. Houdart co-dirige Quorum, base de données de 900 aspirants et actuels membres du conseil d’administration LGBT. En tant que responsable des initiatives pour l’égalité mondiale, il tire parti de la puissance de plus de 80 des plus grandes entreprises du monde pour promouvoir le changement social sur les questions LGBTQ+ par le biais d’une « diplomatie tranquille », d’actions en justice et de philanthropie en se concentrant sur l’Europe de l’Est, le Moyen-Orient et l’Asie. Out Leadership aide les entreprises à s’engager avec l’opportunité de marché LGBT de + de 5,2 billions de dollars (oui, vous avez bien lu. 5,2 billions de dollars). Tout ce discours sur les droits de la personne, n'envisageant somme toute en l'occurrence que des débouchés. C’est pourquoi la direction des LGBT est proie des banquiers, au lieu des militants de base le menant, comme Harvey Milk autrefois vénéré, membre du mouvement contre-culturel des années 60 jusqu’à ses quarante ans.
Todd Sears, fondateur et directeur d’Out Leadership. Il a travaillé comme banquier d’affaires, conseiller financier et leader de la diversité. Il a créé la première équipe de conseillers financiers à Wall Street concentrés sur la communauté LGBT+, apportant 1,5 milliard de dollars de nouveaux actifs à Merrill Lynch. Todd a également dirigé des initiatives pionnières en matière d’égalité pour Merrill Lynch et Crédit suisse. Il partage avec nous la conception de l’attraction du même sexe qui constitue une question sociale, désormais exploitée dans le but de conduire le changement sociétal et l’impact commercial, laissant derrière politique, religion et culture, comme si nous ne vivions pas dans des cultures corporatisées déjà subsumant tout le reste.
Beth Brooke-Marciniak, nommée dix fois l’une des 100 femmes les plus puissantes du monde, a été ancienne responsable des politiques publiques au cabinet de services professionnels Ernst & Young (EY). Brooke-Marciniak était chargée d’aider à influencer les politiques liées aux marchés financiers mondiaux. Auparavant au département américain du Trésor, responsable de toutes les questions de politique fiscale liées à l’assurance et gestion des soins, elle a joué un rôle dans la réforme des soins de santé et les efforts de réforme du Superfund. Elle fût également la marraine de la formation sur l’inclusion et la diversité au sein du cabinet, où elle a dirigé la création de leur groupe de responsabilité d’entreprise et promu la mythologie de l’identité de genre.
En 2018, Brooke-Marciniak a été nommée Défenseur mondiale de l’année par la Chambre nationale de commerce LGBT pour son travail de défense des questions LGBTI à l’échelle mondiale. Egalement coprésidente du Partenariat pour l’égalité LGBTI mondiale et siège au conseil d’administration d’Out Leadership.
En 2016, Out Leadership a annoncé le lancement d’Out WOMEN, une initiative qui défend le succès des LGBT femmes d'affaires seniors. En tant que membre du Conseil consultatif mondial d’Out Leadership, Brooke-Marciniak s’est jointe à Martine Rothblatt, le père fondateur de l’empire transgenriste, un homme se faisant passer pour une femme et PDG de United Therapeutics, en tant que coprésidente du premier dîner de salon Out WOMEN.« Il y a très peu de femmes modèles dans les échelons supérieurs du leadership », a déclaré Brooke-Marciniak.Pourtant, sans y voir ni ironie, ni problème à co présider avec un homme un événement pour promouvoir le leadership des femmes, alors même que celui des femmes se faisant passer pour des hommes tourne court. Les politiques de « diversité et d’inclusion » adoptées par les entreprises, les gouvernements et les institutions recréent les mêmes déséquilibres sexistes (lire : fondés sur le sexe) envers les femmes dirigeantes depuis des générations. Alors qu’ils encouragent la drogue, modifient chirurgicalement le sexe et les cris de progrès, les hommes revendiquent les espaces réservés aux femmes.
Et où serions-nous sans mention de Jon Stryker, fondateur de la Fondation Arcus (All Roads Lead to Arcus), à l'instauration de la mythologie de l’identité de genre dans le monde entier au moyen de millions de dollars dans les coffres de sa société médicale de milliards de dollars. Stryker n’a pas toujours été un philanthrope et n’était certainement pas activiste. Avant de diriger la plus grande ONG LGBT au monde, Stryker était membre fondateur de Greenleaf Trust, une société privée de gestion de patrimoine
Le Center for Hispanic Marketing Communication nous donne une explication très concise de la façon dont l’attraction du même sexe a été corporatisée et pourquoi les identités prolifèrent sous l’égide de l’alphabet, lors de la couverture d’un sommet de marketing pour les LGBT.
"Une erreur courante dans l’engagement d’un public LGBT est de supposer que toute la communauté LGBT est un monolithe qui partagent les mêmes croyances, idées et valeurs. La communauté LGBT devrait être traitée comme un marché cible distinct. Les spécialistes du marketing devraient utiliser des stratégies différentes pour chaque segment de la communauté LGBT et ne pas stéréotyper », écrit Blanca Villagrana dans son rapport du sommet sur le marketing. Si trois identités d’entreprise ont été rentables, imaginez les portes du marché qui s’ouvriront pour quatre, cinq ou 7 milliards d’identités de genre. Les possibilités sont infinies.
Maintenant, faisant le point sur le fétichisme d'adultes connus sous le nom de transsexualisme qui réifie la biologie féminine dans le but d'une satisfaction sexuelle. Rebaptisée et banalisée en transgenrisme ou dissociation corporelle, cette nouvelle identité d’entreprise sape le dimorphisme sexuel, créant un spectre hors sexe. Nous assistons maintenant à l’envolée du nombre de jeunes dans les cultures occidentales aspirés dans cette matrice d’identité d’entreprise, réorganisant leurs caractéristiques sexuelles par la drogue et les chirurgies pour exprimer une certaine « identité de genre » imaginaire et nous avons ouvert la porte à la colonisation non seulement de l’expression sexuelle, mais de nos corps sexagénaires.
La révolution sexuelle sera corporatisée ou ne sera pas."
- 2°) Jennifer Bilek, De grandes banques et de gros investissements dans l’industrie de l’identité de genre, 1er décembre 2020 https://www.the11thhourblog.com/post/big-banks-with-big-investments-in-the-gender-identity-industry
La semaine dernière, je me suis immergée profondément chez les banquiers tapis derrière l’agenda LGBT. A présent, jetons un oeil aux banques elles-mêmes, se pliant en quatre dès l’aurore pour appuyer l’infime partie de la population se qualifiant de « transgenre ». Encore une fois, avant de commencer cette exploration, envisageons un instant les énormes et rapides changements mondiaux en cours des institutions, entreprises, magasins, gouvernements, écoles, installations médicales, organisations de femmes, etc. en faveur des personnes qui évitent la réalité biologique de leur corps sexué et combien ces changements se révèlent coûteux. Les dictionnaires en cours de révision, les lois combattues pour permettre aux hommes d'entrer en catégorie féminine aux sports et dans les lieux féminins sécurisés, les jeunes femmes, qui ont choisi l'amputation des seins désormais croyant être ou toujours été des hommes, utilisées en symbole de progrès pour la publicité d’entreprise. Les entreprises, les magasins, les bars, les restaurants et les institutions réaménagent leurs toilettes et leurs polices d’assurance maladie. Des pronoms sont ajoutés partout et une infrastructure de politique mondiale gargantuesque construite pour conduire à la normalisation de la dissociation du corps. Et, soi-disant, ces bouleversements profonds se produisent car gouvernements, politiciens, Amnesty International, ACLU, ONU et autre myriade d’organisations se soucient intensément de ces personnes ayant des problèmes d’identité. Bingo, dans mon jardin, j'ai une couleuvre à faire avaler à ces nigauds. Mais avançons. Banques. Qui sont les géants privilégiant 0,03% de la population?
L’année dernière, Mastercard a créé la toute première carte de crédit pour les personnes se faisant appeler « transgenre » et « non binaire », comme si elles constituaient un sous-ensemble d’humains et non pas des hommes et des femmes de naissance. Carte de crédit Pride « True Name » a été le titre donné à ce déploiement, qui permet essentiellement aux gens d'y employer n’importe quel nom d’enfer désiré. Je doute que celle-ci permette le changement de numéro de sécurité sociale.
Selon Business Statement for "Transgender equality", Bank of America, Citi Bank, BNP Paribas, BNY Mellon, Deutsche Bank, Ernst & Young, HSBC, JP Morgan Chase and Co., Morgan Stanley, US Bank et Visa ne sont qu’une poignée de banques, de sociétés de cartes de crédit et de maisons d’investissement qui sont all-in for trans, sous la bannière de « l'inclusivité et de diversité (I & D) ». Ce code langagier I & D se retrouve partout et ressemble sacrément à l’uniformisation de la pensée et du comportement pour l'irrespect desquels les gens sont punis. Citi Bank, Bank of America et Capital One Banks sont des partisans de PLFLAG. Rolddy Leyva, vice-président de Global Diversity, Inclusion & Belonging (DIB est une variante de I & D) pour Capital One est particulièrement préoccupé par les « noires trans », selon lui, cibles de haine et violence avec une régularité épouvantable, alors que bien sûr il n’y en a aucune preuve. Selon plusieurs rapports, les hommes de couleur se faisant passer pour des femmes qui auraient été assassinés aux États-Unis en 2019 serait au nombre de 20. Vingt hommes qui aiment porter des robes et faire assaut de féminité, majorité dans la prostitution -activité dangereuse en tout cas- ont été tués par d’autres hommes au cours d’une année. Mettons cela en perspective. En 2018 et seulement dans l'Etat du Texas, 238 femmes ont été tuées par des hommes, sans tenir nul compte des quarante-neuf autres États. D’une certaine façon, aucune de ces sociétés, magasins, restaurants, bars, institutions médicales ou banques ne se soucie de la vulnérabilité des femmes. Il n’y a pas eu d’ateliers spéciaux pour créer un environnement sûr pour les femmes au travail. Pas d’encouragement pour les employés à soutenir des femmes, pas de pancartes brillantes soulignant le soutien et pas de formation pour éclairer les employés sur le fait que les femmes sont essentiellement assiégées aux États-Unis, et encore moins ailleurs dans le monde.
Wells Fargo et le financement GLAAD rend particulièrement confortable de prétendre être females pour ses employés mâles.
En 2007, dans le cadre d’une campagne d'attraction les meilleurs talents, de recruter et garder une main-d’œuvre plus « diversifiée », Goldman Sachs a ajouté une couverture maladie concernant les inutiles chirurgies génitales pour personnes réorganisant leurs marqueurs sexuels. A savoir que cette chirurgie pouvant lui coûter de sa poche à elle seule de 5 000 à 150 000 $, au gré des situations. Ce chiffre n’incluant pas les traitements hormonaux et autres médicaments. Le plan Goldman Sachs (GS, Fortune 500) couvre la chirurgie réelle, ainsi que les prescriptions liées de médicaments « transgenres », telles que les injections d’hormones pour mauvais sexe. Goldman n’est pas le seul établissement financier qui offre de tels « avantages ». Bank of America (BAC, Fortune 500), Deutsche Bank (DB) et Wachovia (WB, Fortune 500) offrent également un certain niveau de couverture pour procéder à ces brutaux, dangereux et malsains réaménagements de caractéristiques sexuelles.
Maeve DuVally, directeur général masculin chez Goldman Sachs, et son penchant pour les pompes noires à talons hauts trouve facile de prétendre être une femme au travail. Sachs n'a fait non seulement aucune difficulté à ce sujet mais a de plus certainement fourni partie de la pulsion de DuVally de découverte de sa « transité » après avoir assisté à une réunion bancaire l’an dernier. Avant la réunion de mars, DuVally n’était à l’aise à domicile que dans des « vêtements pour femmes ». Puis, « une invitation faite aux employés de la banque intervient : Goldman L.G.B.T. réseau accueille un panel sur le sujet « comment être plus fortement le soutien de la communauté transgenre et non conforme au genre. ». DuVally est arrivé à l’événement dans l’auditorium de Goldman emperruqué et maquillé, puis il s’est présenté aux employés de banque. Lors de la réunion du 22 novembre, les employés ont reçu l’instruction de cesser d’utiliser des pronoms reconnaissant les ordinaires distinctions biologiques, physiologiques et psychologiques entre hommes et femmes, y compris une vidéo et des instructions complexes concernant le nouvel ordre du jour.
« DuVally a trouvé l’événement encourageant. Un collègue, y assistant à distance de Londres, a pris pléthore de notes et les a par la suite adressées par courriel au groupe de communication. Tous les présents ont reçu des cartes directives expliquant l’utilisation correcte du pronom. DuVally avait réalisé, a-t-il dit, qu’il lui était temps de se révéler « transgenre » chez Goldman. Il a ensuite également « outé » sur divers talk-shows internationaux et des plates-formes d’information.
Goldman a de même lancé une initiative pour mettre à jour son répertoire interne des banques afin de permettre aux employés d'indiquer leurs pronoms préférés.
Barclays mène depuis longtemps la charge sur les droits LGBT+ sur le lieu de travail. La banque a été sponsor vedette de Fierté 2018 dans le monde entier. Responsable de la région pour Home Solutions West chez Barclays, Amy Stanning, un autre homme se faisant passer pour une femme, a pu aussi se mettre tout à l'aise au travail.
Hormis, la dissonance cognitive évidente de ces programmes d’entreprise D & I qui tentent pour partie de ré équilibrer au sein de leur personnel l’inégalité des sexes mais qui ensuite embauchent des hommes qui seront décomptés en femmes, il ya ce curieux et massif intérêt de l’entreprise pour 0,03% de la population prétendant être du sexe opposé, ou de ne pas avoir de relations sexuelles. Au moins, cela devrait rendre les gens plus regardants, et pourtant, s’ils le sont, ils n'en parlent pas. Il semble presque que ces sociétés s’attendent à ce que beaucoup plus de personnes s’identifient en tant que ce qu’elles ne sont pas.
Ne perdons pas de vue le puissant insensé derrière cet agenda et sa façade d’inclusivité. Martine Rothblatt, le père fondateur de l’empire transgenre, a dirigé un déjeuner avec Beth Brooke-Marciniak en 2016 pour célébrer le leadership des entreprises LGBT OutWOMEN. Brooke-Marciniak, responsable des politiques publiques chez Ernst & Young et coprésidente du Partenariat pour l’égalité LGBTIQ+ mondiale, a été élue dix fois l’une des femmes les plus puissantes au monde. Rothblatt est un transhumaniste qui soutient les événements d’I & D d’entreprise, tout en faisant la promotion de l’idée que les transgenres sont une rampe de lancement du transhumanisme lors d’autres événements, ceux-là financés par la Fondation Arcus, l’ONG LGBT la plus puissante dans le monde. « La re-création du corps humain a déjà commencé », nous dit Rothblatt.
Il serait beaucoup plus logique que ces politiques de D & I prétendue en faveur de 0,03% de la population, sont en réalité conçues pour la génération d’humains biologiquement augmentés tenus de suivre la normalisation d’entreprise consacrent la dissociation du corps pour le profit.
- 3°) Jennifer Bilek, Suivez l’argent : Comment la famille Pritzker fait un tabac avec l’industrie transgenre (Diagramme de flux) Mise à jour du 3 mars 2021- M/traduc de Follow the Money: How the Pritzker Family Makes a Killing From the Transgender Industry (Flow Chart) (the11thhourblog.com)
https://buckmire.blogspot.com/2013/09/first-openly-transgender-billionaire.html

(Article de 2018) En tant qu’écologiste exclue d’une tribune par des transactivistes, j’ai développé en 2013 de la curiosité concernant le pouvoir de ce groupe pour renforcer sa croissance. Lorsqu'un an plus tard, le magazine Time a annoncé par sa couverture un point de bascule transgenriste, j’avais déjà commencé à examiner les fonds soutenant le projet transgenriste.
J’ai vu les espaces sûrs pour toutes femmes, les universités et les sports ouvrir leurs portes à tout homme qui a choisi de s’identifier femme. Alors que les hommes qui s’identifient comme transfemmes sont à l’avant-garde de ce projet, les femmes qui s’identifient comme transhommes semblent silencieuses et invisibles. J’ai été stupéfaite qu’un changement culturel aussi important que l’ouverture d’espaces protégés du sexe féminin se produise à un rythme aussi fulgurant et sans tenir compte de la sécurité, de la concertation avec les filles et les femmes ou du débat public. Parallèlement à ces rapides changements, j’ai assisté à une refonte de la langue anglaise avec de nouveaux pronoms et une attaque quasi tyrannique contre celles qui ne les utilisaient pas. Des lois imposant un nouveau discours ont été adoptées. Des lois de prépondérance du concept amorphe d’identité de genre sur le sexe biologique sont actuellement instituées. Les gens qui parlent ouvertement de ces changements peuvent se retrouver, eux-mêmes et leurs familles, et leurs moyens de subsistance menacés.
Ces éléments, ainsi que la saturation médiatique sur la question, m’ont fait me demander : Est-ce vraiment une question de droits civils pour une petite partie de la population souffrant de dysphorie corporelle, ou y a-t-il un ordre du jour principal et des intérêts financiers que nous ne percevons pas ? Cet article ne peut que commencer à gratter en surface cette question mais, étant donné que le transgenrisme a explosé essentiellement au sein du capitalisme, qui est connu pour subsumer les mouvements de justice sociale, il est intéressant de commencer par cet examen.
Qui finance le mouvement transgenre? J’ai trouvé des hommes, blancs extrêmement riches, munis d'une énorme influence culturelle qui financent le lobby transgenriste et diverses organisations transgenristes. Il s’agit notamment de Jennifer Pritzker (un homme qui s’identifie transgenre), mais qui ne s’y limite pas, George Soros, Martine Rothblatt (un homme qui s’identifie transgenre et transhumaniste), Tim Gill (un homo), Brochet Drummond, Warren et Peter Buffett, Jon Stryker (un homo) ; Mark Bonham (homosexuel); et Ric Weiland (gay décédé dont la philanthropie a toujours été orientée LGBT). La plupart de ces milliardaires financent le lobby et les organisations transgenristes par l’intermédiaire de leurs propres organisations, y compris des sociétés.
Séparer les questions transgenres de l’infrastructure LGBT n’est pas une tâche facile. Tous les donateurs les plus riches ont financé des institutions de LGB avant qu’elles ne deviennent orientées LGBT, et ce n’est que dans certains cas que les fonds sont affectés spécifiquement aux questions transgenres. Certains de ces milliardaires financent les LGBT à travers leur myriade d’entreprises, multipliant leurs contributions à plusieurs reprises d’une manière qui est également difficile à suivre. Ces bailleurs de fonds passent souvent par des organismes de financement anonymes tels que la Fondation Tides, fondée et exploitée par Pike. Les grandes entreprises, les philanthropes et les organisations peuvent envoyer d’énormes sommes d’argent à la Fondation Tides, préciser la direction que les fonds doivent prendre et faire en sorte que les fonds se rendre à leur destinataire de façon anonyme. La Fondation Tides crée un pare-feu juridique et un abri fiscal pour les fondations et finance des campagnes politiques, souvent en utilisant des tactiques juridiquement douteuses. Ces hommes et d’autres, y compris les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement américain, envoient des millions de dollars à des causes LGBT. Dans l’ensemble, les dépenses mondiales déclarées pour les LGBT sont maintenant estimées à 424 millions de dollars. De 2003 à 2013, le financement déclaré pour les questions transgenres a plus que quadruplé, soit trois fois plus que le financement global des LGBTQ, qui a quadruplé de 2003 à 2012. Cet énorme pic de financement s’est produit en même temps que le transgenre a commencé à gagner du terrain dans la culture américaine.
424 millions de dollars, c’est beaucoup d’argent. Suffisant pour changer les lois, de déraciner le langage et de forcer l'espace public à un nouveau discours, à censurer, à créer un climat de menace pour ceux qui ne se conforment pas à l’idéologie de l’identité de genre ?
Le transgenrisme : nouveau marché médical et style de vie - Il semble évident qu'il soit maintenant nécessaire d'examiner les fonds de soutien du transgenrisme. De nombreux nouveaux marchés se sont ouverts de ce fait. La première clinique pour enfants a ouvert ses portes à Boston en 2007. Au cours des dix dernières années, plus de trente cliniques pour enfants atteints de dysphorie de genre ont vu le jour aux États-Unis seulement, la plus grande comptant sept-cent vingt-cinq patients. Au cours de la dernière décennie, il y a eu une explosion des infrastructures médicales transgenres aux États-Unis et dans le monde pour « traiter » les personnes transgenres. En plus des cliniques de genre proliférant à travers les États-Unis, des ailes hospitalières sont en cours de construction pour des chirurgies spécialisées, et de nombreux établissements médicaux réclament de "s’embarquer" avec ce type de nouveaux développements. Les médecins sont formés en symposiums sur des cadavres à travers le monde dans toutes sortes de chirurgies liées aux personnes transgenres, y compris la phalloplastie, vaginoplastie, chirurgie de féminisation faciale, procédures urétrales, et plus encore. De plus en plus d’entreprises américaines couvrent les chirurgies transgenres, les médicaments et autres dépenses. Les endocrinologues à la recherche de la fontaine de Jouvence des hormones depuis plus d’une génération, et les revenus ultérieurs pour la commercialisation de ces hormones, restent toujours en quête d’or.
Les bloqueurs de puberté sont un autre marché en pleine croissance. Le bras de chirurgie plastique de la médecine est réamorcé par une infusion d’argent ainsi que celui de greffes d’organes, en particulier les greffes d’utérus pour les hommes s’identifiant en femme et qui pourraient vouloir de futures grossesses. Ces chirurgies sont déjà pratiquées sur des animaux et le premier implant d’utérus réussi d’une donneuse décédée à une autre femelle a déjà été un succès. La biogénétique est sur le point d’être l’investissement de l’avenir, dit Rothblatt, qui a dirigé une énorme société pharmaceutique et a fortement investi dans la biogénétique et les transplantations.
Le transgenrisme ayant fait son chemin sur le marché américain, il semble donc important d’examiner leurs implications adoptées par des lois concernant les personnes transgenres et nos libertés civiles. Le transgenrisme constitue désormais une aire centrale du complexe industriel médical, qui est par certaines estimations encore plus grand que le complexe industriel militaire.
Avec la construction d'infrastructures médicales, la formation de médecins à diverses interventions chirurgicales, l’ouverture de cliniques à la vitesse de l'éclair et la célébration par les médias, le transgenrisme est en passe de poursuivre son essor. Le LGB, un groupe autrefois minuscule de personnes essayant d’aimer ouvertement ceux du même sexe et d’être traitées sur pied d’égalité au sein de la société, a probablement déjà été engloutie par le capitalisme et infiltré par le complexe industriel médical par le biais du transgenrisme.
Qui travaille à institutionnaliser l’idéologie transgenre ?
Les fonds en majorité allant directement au lobby LGBT et ses organisations, dont seulement une fraction coule vers le bas pour aider les personnes qui s’identifient comme transgenres, car il s'agit de l’argent investi par les hommes mentionnés ci-dessus, les gouvernements, et la technologie et les sociétés pharmaceutiques pour institutionnaliser et normaliser le transgenrisme en mode de vie. Ils façonnent le récit sur le transgenrisme et le banalisent au sein de la société en utilisant leurs méthodes de financement.
Cet article utilisera la famille Pritzker comme étude de cas, à la fois pour en réduire la longueur et car ils paraissent emblématiques de la façon dont tout cela fonctionne. Ceux qui financent les organisations trans et normalisent le transgenrisme canalisent les fonds de la même manière et investissent dans la même infrastructure médicale. Cela peut difficilement être une coïncidence alors même qu'absolument essentiels à ceux qui procède à une transition sont les produits pharmaceutiques et la technologie. Il est également important de noter que bien que le lobby trans soit abrité par le parapluie LGB, les personnes LGB en tant que telles ne sont du tout des patients, médicalisés à vie.
Les Pritzkers sont une famille américaine de milliardaires philanthropiques pesant environ vingt-neuf milliards de dollars, dont la fortune vient des Hyatt Hotels et des maisons de soins infirmiers. Désormais, ils investissent massivement dans le complexe industriel médical.
L’examen de quelques-uns des Pritzkers dans cet article vous donnera quelques indications de la portée de leur influence en tant que famille, en particulier en ce qui concerne le projet transgenriste et leur relation avec le complexe médico-industriel. Comme vous l’avez lu, rappelez-vous en, les personnes en transition deviennent des patients à vie et la famille Pritzker n’est pas qu'une anomalie en trajectoire de financement ou de d'investissements dans le complexe médico-industriel.
Jennifer Pritzker Autrefois père de famille et membre décoré des forces armées, Jennifer Pritzker s’identifie désormais transgenre. Il a fait du transgenrisme une note importante dans le financement philanthropique par l’intermédiaire de sa Fondation Tawani. Il est l’un des plus grands contributeurs aux causes transgenristes et, avec sa famille, jouit d'une énorme influence dans l’institutionnalisation rapide du transgenrisme. Certaines des organisations que Jennifer possède et des fonds sont particulièrement notables à l'examen de l’induction rapide de l’idéologie transgenriste dans les institutions médicales, juridiques et éducatives. Pritzker est propriétaire de Squadron Capital, une société d’acquisitions, axée sur la technologie médicale, les dispositifs médicaux et les implants orthopédiques ainsi que de la Fondation Tawani, une organisation philanthropique qui accorde des subventions axées sur le genre et la sexualité humaine.
Pritzker siège au conseil de direction du Programme de sexualité humaine de l’Université du Minnesota, auquel il s’est également engagé à 6,5 millions de dollars au cours de la dernière décennie. Parmi beaucoup d’autres organisations et institutions sur fonds Pritzker sont Lurie Children’s Hospital, un centre médical pour les enfants non conformes au genre, au service de 400 enfants à Chicago, la Pritzker School of Medicine de l’Université de Chicago, une chaire d’études sur les transgenres à l’Université de Victoria (la première du genre), et le Mark S. Bonham Centre for Sexual Diversity Studies de l’Université de Toronto. Il finance également l’American Civil Liberties Union et sa famille finance Planned Parenthood, deux organisations importantes pour institutionnaliser la langue d’effacement des femmes et le soutien aux causes transgenres. Le Planning familial a également récemment décidé d’entrer sur le marché médical transgenre.
Jennifer Pritzker finance stratégiquement, tout comme sa famille, en donnant aux universités qui deviennent redevable à son idéologie, dont les étudiants propagent l’idéologie du genre en écrivant des articles pro-trans dans des revues médicales et par ailleurs. L’oncle et la tante de Jennifer, John et Lisa Pritzker, ont donné 25 millions de dollars à l’Université de Californie à San Francisco pour un centre de psychiatrie pour enfants. Jennifer finance également les hôpitaux et les facultés de médecine où les anciens élèves créent des spécialités transgenres et des centres médicaux LGBT, en dépit de ce que les lesbiennes, les gays et les bisexuels n’ont pas besoin de services médicaux spécialisés.
Voici quelques activités actuelles des anciens élèves de l’école de médecine financés par Pritzker et autres bénéficiaires de l’argent Pritzker.
James Hekman a fondé le centre de soins médicaux LGBT à Lakewood en Ohio.
David T. Rubin siège au conseil consultatif d’Accordant/CVS Caremark, la plus grande chaîne pharmaceutique des États-Unis. CVS a acquis les pharmacies des grands magasins Target en 2015. Target, bien sûr, est le site d’une controverse sociale majeure au sujet des W. C. unisexes et c'est un des bailleurs de fonds corporatif du groupe militant trans-pushing Human Rights Campaign.
Loren Schecter est l’auteur du premier atlas chirurgical pour la chirurgie transgenre, auteur de revues pro-trans, a été récompensé pour la défense juridique des transgenres, effectue des chirurgies reconstructives, et est directeur de conférences transféminines parrainées par l’Association professionnelle mondiale de la santé transgenre (WPATH). Il effectue également des chirurgies reconstructives au Weiss Memorial Hospital de Chicago.
Schecter est également le « président des sessions de chirurgiens » au Comité du programme scientifique de la nouvelle branche des États-Unis de WPATH (World Professional Association of Transgender Health), USPATH, tenant des conférences à Los Angeles pour les chirurgiens des chirurgies transgenres.
Robert Garofalo, un homosexuel, est directeur de la clinique pour enfants de St. Lurie, chef de la division de médecine des adolescents de l’hôpital, et professeur de pédiatrie à l’Université Northwestern, que J.B. Pritzker (que nous croiserons plus tard) finance.
Benjamin N. Breyer est chef de l’urologie à l’Hôpital général de San Francisco et professeur à l’Université de Californie à San Francisco, spécialisé en chirurgie transgenre.
Nicholas Matte enseigne au Mark Bonham Centre for Sexual Diversity Studies de l’Université de Toronto, avec une spécialité en études queer. Jennifer Pritzker finance également le Bonham Centre. Matte donne des conférences à travers le pays sur les questions transgenres, et épouse l’idée que nous ne sommes pas une espèce sexuellement dimorphique.
Mark Hyman est président de la Fondation Pritzker en médecine fonctionnelle à la Cleveland Clinic et directeur du Cleveland Clinic Center for Functional Medicine. Cleveland Clinic a effectué la première greffe d’utérus aux États-Unis.
Baylor College of Medicine est sur la fin de réception de la Pritzker School of Medicine « programmes pipeline » pour les personnes qui étudient pour être médecins. Baylor est l’endroit où le premier enfant de la nation est né d’une greffe d’utérus dans le cadre d’un programme expérimental de financement de la procédure pour 10 femmes afin de développer des greffes d’utérus en fin de compte l’assurance maladie et les contribuables paieront plutôt que d’être relégués à un traitement électif de l’infertilité.
Jennifer Pritzker a également aidé à normaliser les personnes transgenres dans l’armée avec une subvention de 1,35 million de dollars au Palm Center, un groupe de réflexion LGBT basé à l’Université de Californie à Santa Barbara, pour créer des recherches validant le transgenrisme militaire. Il a également fait un don de 25 millions de dollars à l’Université Norwich dans le Vermont, une académie militaire et la première école à lancer un programme du Corps d’entraînement des officiers de réserve navale.
Le financement de Pritzker ne se limite pas aux États-Unis, mais atteint d’autres pays via WPATH, grâce à des conférences pour les médecins étudiant la chirurgie transgenre et le financement des universités internationales.
Penny Pritzker Cousine de Jennifer Pritzker, Penny Pritzker a siégé au Conseil du président Obama pour l’emploi et la compétitivité et le conseil consultatif sur la reprise économique. Elle a été coprésidente nationale d’Obama pour l’Amérique en 2012 et présidente des finances nationales de la campagne présidentielle d’Obama en 2008.
Dire qu’elle a eu de l’influence pour faire élire le président Obama serait un euphémisme. Dire qu’elle a eu de l’influence pour faire élire le président Obama serait un euphémisme. En tant que secrétaire au Commerce d’Obama, Penny Pritzker a contribué à la création du National Institute for Innovation in Manufacturing Biopharmaceuticals (NIIMBL), en facilitant l’attribution de 70 millions de dollars du Département américain du Commerce, le premier financement de cette sorte. Obama a rendu familière à son administration la question du transgenrisme, en tenant une réunion à la Maison Blanche -la toute première-
L’administration a discrètement fait peser le pouvoir de la branche exécutive pour permettre aux personnes transgenres de modifier plus facilement leur passeport, de se faire soigner dans les locaux de l’Administration des Anciens Combattants ainsi que d’accéder aux toilettes des écoles publiques et aux programmes sportifs basés sur l’identité de genre. Ce ne sont là que quelques-uns des changements de politique spécifiques aux transgenres de la présidence d’Obama. Soros et Gill sont deux autres grands bailleurs de fonds du mouvement transgenre qui ont généré des millions de dollars pour faire élire Obama, et Stryker a été l'un des cinq principaux contributeurs à la campagne d'Obama. Sous Obama et le président George W. Bush, le gouvernement fédéral a également financé la Tides Foundation pour 82,7 millions de dollars, qui à son tour a fait don de 47,2 millions de dollars aux questions LGBTQ au cours des deux dernières décennies. Penny a financé la Harvard School of Public Health et, avec son mari par le biais de leur fondation mutuelle, la Pritzker Traubert Family Foundation, finance des initiatives pour la petite enfance et offre des bourses aux étudiants en médecine de l'Université de Harvard. Les médecins de l’aile des services de gestion du genre de l’hôpital pour enfants de Boston sont tous affiliés à la Harvard Medical School. Penny Pritzker a également siégé au conseil d'administration de Harvard, où les bureaux de la vie étudiante enseignent aux étudiants, dont beaucoup dirigent des institutions américaines, qu '«il y a plus de deux sexes». J.B. Pritzker Le frère de Penny Pritzker, J.B. Pritzker, fait du capital-risque, entrepreneur, philanthrope et propriétaire d’entreprise américain. Il est co-fondateur du Pritzker Group, une société d'investissement privée qui investit dans la technologie numérique et les sociétés médicales, y compris Clinical Innovations, qui a une présence mondiale. Clinical Innovations est l'une des plus grandes sociétés de dispositifs médicaux, qui a acquis en 2017 Brenner Medical, un autre groupe médical important proposant des produits innovants dans les domaines de l'obstétrique et de la gynécologie. Nous devons examiner pourquoi cela est présenté comme une question de droits civils alors que les principaux problèmes semblent être le capital et l'ingénierie sociale. J.B. a fourni un financement de démarrage pour Matter, un incubateur de startups pour la technologie médicale basé à Chicago. Il siège également au conseil d’administration de son alma mater, l’Université Duke, où ils progressent en cryoconservation des ovaires humains. J.B. est candidat au poste de gouverneur de l'Illinois en 2018 et a investi 25 millions de dollars dans une initiative publique-privée de l'administration Obama totalisant 1 milliard de dollars pour l'éducation de la petite enfance. J.B. et son épouse, M.K. Pritzker, a fait un don de 100 millions de dollars à la Northwestern University School of Law, partie pour des bourses et partie pour le travail scolaire en « justice sociale » et le droit de l’enfance. Nous devons examiner pourquoi cela est présenté comme une question de droits civils alors que les principaux problèmes semblent être le capital et l'ingénierie sociale. Il ne semble pas y avoir de sphère d’influence qui soit épargnée par l’argent Pritzker, de l’éducation de la petite enfance aux universités en passant par le droit, les institutions médicales, le lobby et les organisations LGBT, la politique et l’armée. S'ils restaient seuls à financer l'institutionnalisation de l'idéologie transgenriste, ils exerceraient encore une influence fantastique ; cependant, ils sont rejoints par d'autres hommes blancs extrêmement riches et influents, de même avec des liens aux industries pharmaceutique et médicale. Tout-en-un pour les géants de l'industrie pharmaceutique et technologique pour les transgenres.
Avec le soutien de géants pharmaceutiques tels que Janssen Therapeutics, la fondation pour la santé d'un fondateur de Johnson and Johnson, Viiv, Pfizer, Abbott Laboratories, Bristol-Myers Squibb Company et Boehringer Ingelheim Pharmaceuticals, de grandes entreprises technologiques telles que Google, Microsoft, Amazon, Intel , Dell et IBM financent également le projet transgenriste. En février 2017, Apple, Microsoft, Google, IBM, Yelp, PayPal et 53 autres sociétés, principalement technologiques, ont signé un mémoire d'amicus poussant la Cour suprême des États-Unis à interdire aux écoles de garder des quartiers privés pour les étudiant en fonction de leur sexe dans leurs établissements. Alors que ces entreprises faisaient pression pour des toilettes transgenristes, elles luttaient contre l'interdiction de voyager et les politiques d'immigration du président Trump. En signalant les incidents simultanément, CNN News a établi le lien évident entre l'intérêt des entreprises de l'interdiction de l'immigration et du commerce, citant un mémoire juridique signé par les entreprises qui disait: « Cela cause un préjudice important aux entreprises, à l'innovation et à la croissance américaines .» Il n’établissait aucun lien équivalent pour l’intérêt des entreprises dans les droits des transgenres. La question évidente serait: pourquoi s'en soucient-ils ? La réponse évidente est: l'argent. Il nous incombe à tous de chercher quel est le véritable investissement pour donner la priorité à toute une vie de traitements médicaux anti-corporels concernant une infime partie de la population. La fusion de ce problème médical fabriqué de toutes pièces avec le cadre des droits civiques implique la continuité et l'accrioissement du problème. Le transgenrisme est présenté à la fois en problème médical, pour la dysphorie de genre des enfants qui ont besoin de bloqueurs de puberté et sont ainsi préparés à une vie future de médicalisation, et en choix d'un mode de vie courageux et original pour les adultes.
Martine Rothblatt nous prétend tous transhumains, que changer notre corps en en retirant des tissus et des organes sains et en ingérant des hormones sexuelles croisées au cours d'une vie peut être assimilé au maquillage, à la teinture capillaire ou au tatouage. Si nous étions tous transhumains, ainsi exprimé, cela pourrait devenir une saga infinie de consumérisme corporel.
L'expansion massive des infrastructures médicales et technologiques envers une fraction minuscule (mais croissante) de la population souffrant de dysphorie de genre, ainsi que l'argent acheminé vers ce projet par ceux qui sont fortement investis dans les industries médicales et technologiques, semblent n'avoir de sens que dans le contexte des marchés en expansion pour modifier le corps humain. Les transmilitants réclament déjà un changement de « dysphorie de genre » en « incongruence de genre » dans la prochaine révision du registre international des codes de diagnostic mental, la CIM-11. La pression se répercutant sur les hormones et les chirurgies payées par les assurances pour toute personne qui pense que son corps est en quelque sorte « incompatible » avec son « identité de genre ». La diversité corporelle semble être le problème central, et non la dysphorie de genre; tendant à désamarrer les gens de leur biologie via des distorsions de langage, afin de normaliser la modification de la biologie humaine. C'est exactement ce que fait l'institutionnalisation de l'idéologie transgenriste. Cette idéologie est promue comme une question de droits civiques par des hommes riches, blancs, avec une énorme influence qui peuvent bénéficier de leurs activités politiques personnelles. Il nous incombe à tous de regarder quel est le véritable objectif qui consiste à donner la priorité à toute une vie de traitements médicaux anti-corporels pour une infime partie de la population, à construire une infrastructure pour eux et à institutionnaliser la façon dont nous nous percevons en tant qu'êtres humains, l'être humain devenant un concept pittoresque appartenant au passé. Cet article a été corrigé afin de prendre en compte la différence entre l'Université Baylor et le Baylor College of Medicine. Les deux fonctionnant désormais de façon séparée.
Jennifer Bilek est une artiste, une militante écologiste, une écrivain et une citoyenne engagée. Diagramme à titre gracieux par un soutien anonyme, qui fait partie du camp de la résistance."
- Notre grain de sel - Ils ne sont pas nés ceux qui nous feront remarcher à la baguette !
Après le premier point sur le sexe scissipare, un deuxième et troisième, sur l'identité, et l'identité de genre à la Money...[3]
"... le philosophe rejette l'identité conformément à sa théorie du signe; b) le second, d'ordre gnoséologique, se définit par la critique du statut des propositions primitives et des axiomes logiques (la certitude et l'évidence de l'identité). Ludwig Wittgenstein a contesté l'idée d'identité pour des raisons philosophiques. Nous montrons que ces raisons se trouvent à deux niveaux philosophiques différents et complémentaires: a) le premier est logico-sémantique et correspond au temps du Tractatus, quand il a rejeté l'identité conformément à sa théorie des signes ;..." Ion Vezeanu, L'absurdité de l'identité selon Wittgenstein, Revue de Théologie et de Philosophie Troisième série, Vol. 137, n ° 1, Corps, esprit et identité chez Wittgenstein (2005) , pp.19-34 Publié par: Librairie Droz https://www.jstor.org/stable/44359738?seq=1
Inspiré par la sexologie allemande originelle, le psychologue comportementaliste a voulu prouver que le sexe et le pack des stéréotypes sociaux étaient indissolubles, et l'on sait qu'il s'est mémorablement rétamé. Cependant le queerisme transidentitaire a réanimé le concept quasiment tel quel, et confondu la gent féminine avec le genre féminin... l'on sait maintenaént avec quels dégâts sur les gosses et autres individus perméables. auquels l'idéologue donne l'illusion qu'il est créatif, les transenfants, ou "enfants transgenres", en train d'être transformés verbalement en "identités créatives" par la pédiatrie aux ordres.
L'implication décisive des présidents américains n'est plus douteuses à force de les voir pris en photographie à tu et à toi avec les transtars, même les plus misogynes comme Cox, ou donner des garanties de ce qu'ils peuvent user des droits féminins. Vu dans nos SAF Lustucru L'on avait aussi évoqué les jeux de bourses dans nos SAF La Fiole et Le Bistouri, à l'occasion des rapports médicaux contestant toutes fiabilité au Royaume Uni à la Tavistock Gender Clinic
Le sujet ici n'était pas de gloser sur le "féminin" et le "masculin", soit les aspects sociaux de la féminité et masculinité, qui sont faites de deux couches, comme pourtant il se voit nettement. Quant à l'enfant-roi, jusqu'où le consumérisme va-t-il pousser sa pression envers les parents de se plier à sa dictature ? L'enfant ne fait que relayer les inventions adultes de construction commerciale inculquée par les sites, les médias et maintenant un drôle de frange du féminisme américain, finalement puritain au possible, au-delà même des croyants en général. Comme voulant purifier les enfants de leur sexe qui se choisirait (dont la science confirme que cela n'existe pas- SAF Haro sur les féminicides: Scoptisme (susaufeminicides.blogspot.com)Pourtant une part de population non négligeable semble désormais croire le contraire abasourdie par les éléments contradictoires qui circulent. Il ne surprendra personne qu'à partir de ma spécialisation, je me sois intéressée à ces croyances sexuelles, où les marchands du temple fourmillent sous les arcades. Preuve en était déjà que toute critique est censurée, ce qui dénote des moyens financiers pour le réaliser mondialement. Nous en avons été témoin pour ce blog que Google a déréférencé, alors que le nombre de visites important le propulsait en premier constamment avant qu'il ne soit victime de la délation transiniste qui a l'oreille des corporates, dont GAFAM.
Ce sont des enfant squi sont en jeu, à qui l'on ment que l'on peut choisir son sexe, que l'état-civil est une plaisanterie. J'ai toujours eu pour direction formelle de ne jamais leur mentir, il m'est donc impossible d'adhérer à la pantalonnade de les laisser croire, cela va leur passer. Etre débile et vouloir transmettre sa débilité et sa couardise. Ceux qui les désencadre au risque de les rendre malades si ce n'est fou, je ne les encadre pas du tout. C'est une éducation éminemment malveillante.
La fausse bienveillance du laisser aller des pédagos de plateau néfaste à toute une "génération blob" qui s'étale à l'horizontale sans cadre (et non pas hors cadre) mais exigeant de contraindre autrui, dont leurs aînées (comme une réclamation de direction absente ?), et n'a plus de colonne vertébrale par manque de tuteur.
Christine Gamita
- MAJ 2022 - 2032 -Prévisions financières - Etude de marché de l'épidémie transidentitaire transexuelle transgenriste queeristique
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Précieuses informations qui nous échappent - On ne risque pas d'avoir accès aux données à ce prix. On peut à peu près calculer le prix de ce qui est pris en charge gracieusement par la Princesse Sécurité Sociale (voir en notes) - On ne peut donc que supputer les prix, et les retours sur investissements des officines complices.
- Notes
Il n'y a donc pas de fluidité sexuelle chez le mammifère humain malgré certaines combinaisons chromosomiques car les deux sexes et des anomalies sur les deux sexes restent stables après sa naissance et au cours de la vie de l'individu. Il n'existe pas de changement de sexe mais une sorte de conversion sexuelle qui n'aboutit pas.
Circuler entre les préjugés est une toute autre affaire qui n'est pas du ressort de la biologie et que l'atteinte à l'intégrité corporelle ne permet pas mais bien la volonté de l'anticonformisme.
- Notes précisant le contexte français
CCAM - voir chapitre 8 |
Site Estheticon - remboursé |
- CPAM / CCAM (codes des actes) - Prise en charge 100 % des "thérapies" de conversion - Extraits des protocoles de soins - ALD 31 de transidentité
![]() |
CPAM - Extrait Protocole de soins Volet 3 - ALD 31 - Pour assuré |
L'expérience de Money qui engendra des cicatrices psychologiques qu'il ne put finalement pas surmonter fut un désastre pour Reimer" https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Reimer
"...un livre pour enfants racontant son histoire, publié en 2014"Jazz Jennings — Wikipédia (wikipedia.org)
- Des effets de la rhétorique de l'idéologie queeristique transidentitaire sur des mineurs de tous âges et des deux sexes inspirés par les documentaires et les sites transactivistes
SAF La fiole -Cliniques https://susaufeminicides.blogspot.com/2019/03/la-fiole-et-le-bistouri_8.html
SAF Le bistouri -Hôpitaux https://susaufeminicides.blogspot.com/2019/03/la-fiole-et-le-bistouri.html
- Premiers carnets ethno SAF
SAF 2011 ¿Androcides? II - http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/androcides.html
Plus encore : http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html
Des preuves ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/cest-de-la-carte-tentative-darticle.html
Des chiffres ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/combien.html

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