18/01/12

"Feminicidio" trop étroit au Guatemala, etc.

Félicitations & encouragements à l'avant-garde, aux précurseurs, aux premières, à celles qui ont resorti des cartons poussiéreux de 1801, le terme frappé d'omerta du "feminicide" - Bolivia, Chili, Costa Rica, Guatemala, Mexico, Nicaragua, Péru, Salvador...

Les "feminicidios" devront embrasser toutes les "violences à l'égard des femmes" restées inommées et innommables. Vivement que cette avancée majeure de mettre un mot sur le meurtre des femmes parcequ'elles sont des femmes et des épouses (conjuguicides uxoricides) soient complétée et confortée, en élargissant le concept aux violences sexospécifiques et de genre féminicides.

Cela évitera à ces états d'être pointés comme discriminatoires, n'ayant pas pris en compte équitablement les violences sexospécifiques androcides d'hommes parcequ'ils appartiennent au sexe masculin (enfants violés, par ex.)

Nous devons tous avoir plus d'ambition. L'Amérique du Nord dérape des deux pieds sur les violences féminicides conjuguales, la France et l'UE doivent prendre la main d'urgence, pour amplifier et élargir la qualification des féminicides, suivant l'index exemplaire pointé par ces pays sur les "féminicidios" au pénal. États-Unis : pour des raisons financières, battre sa femme est désormais légal au Kansas « État du.

Elles luttent dans le monde "iberolusoaméricain" contre les féminicides :
http://www.amnestyinternational.be/doc/agir-2099/nos-campagnes/violences-contre-les-femmes-649/droits-des-femmes/Temoignages/Lucha-Castro-Lutte-contre-les
Estimations Ibéroaméricaines 1, assassinats féminicides dont uxoricides 


Photos de Cali Colombia - La Paz Bolivia - Montevideo Uruguay

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