21/01/12

Violence féminicide "drying breasts"


Il y avait les seins de glace, il y a aussi les seins au feu - Petit aperçu de corsetage XIXe-XXIe et des modifications corporelles réservées aux filles pour les dresser par la bouche, le visage, le cou, la poitrine, la taille, au moyens de corsets,brides, binders

L'idée motrice du contrôle du sexe féminin carbure alternativement à la coercition, à la punition, et au modelage en beauté, comme cela se voit à nombre d'exemples féminicides archivés ci-dessous. Féminicides car seules les filles passent à la casserole, le sexe masculin n'y est pas soumis.

"Souffrir pour être belle", au pied des maux... résume bien l'aphrodisme variant en sociétés.

  • Repassages contraceptifs de broderie anglaise - "Drying breast"
Et  voilà que certains font courir en Angleterre le bruit que d'abîmer irrémédiablement les seins de ces petites filles les protégerait du viol féminicide ? Décidément, papatriarka se recycle affreusement -Maîtrise et contrôle des filles et de leur sexualité par des structures patriarchiques abusives, en place de punir les violeurs- Punir ces petites filles d'avoir des seins et laisser tranquilles les pauvres violeurs ? CELA SUFFIT ! http://www.dakaractu.com/Repasser-les-seins-des-jeunes-filles-pour-eviter-les-viols-la-pratique-se-repand_a53265.html

Tout est mis en branle, écrase tes seins pour trouver mari, battage, fers, menottes, gavage...qu'est ce qui n'a pas été inventé pour caser les filles ? Les femmes  dressées de mère en fille livrent les paquets aux désirs des maris... mais pas de cadeaux pour les petites filles, elles ne sont jamais assez bien ?
"Mange pour plaire aux hommes !" http://www.afrik.com/article7688.htm
"Outillage" selon les régions pour "repasser" les seins

L'atrocité des seins adolescents écrasés prétend être contraceptive et montre que l'interdiction stricte des féminicides reste une nécessité de santé publique, d'appliquer d'effectifs droits génésiques et à la santé de ces petites filles pendant la puberté. http://observers.france24.com/fr/content/20121024-repassage-seins-supplice-jeunes-camerounaises-yaounde-massage-renata-puberte-femmes

Aucun système matriarcal gynécrate (cheftaine mère et femmes totalement au pouvoir) n'a inventé de bousiller les pompons des garçons à la puberté afin de les empêcher de courir le guilledou et mettre enceinte les mômes. Cela rapidement montre comment a opéré le système viriarque de type patriarcal, matrilinéaire ou parfois avunculaire où ces façons de couper dans le vif des attributs sexuels féminins sont légions.

Par contre, pour les filles, leur écraser à chaud les seins de pratique mutilatoire courante dans certaines zones pour les maîtriser, les calmer, et décider de leur sexualité pour les livrer vierges aux maris. C'est bien connu, les jeunes filles ne sont contrôlables que par des rites pubertaires drastiques. En cela sur le contrôle de notre sexe et de notre sexualité, jeunes filles, il ne faut pas sous estimer que le temps n'est pas éloigné en France où la "culture" (constituée de toutes les croyances et religions, et diverses traditions, du groupe de population en cause) permettait de brimer les jeunes filles plus que vigoureusement et de comparer avec la contraception facilitée désormais et dernièrement voté le remboursement 100 %  de l'IVG, soit avortement médicalisé, par l'assurance sociale nationale- ?ous en sommes sorties par la loi (norme juridique) et non pas par les normes coutumières imposées par des chefs et leurs lieutenantes- L'unique structuration définitive et garantie par l'Etat est la loi, qui ensuite permet de la prévention et de l'instruction- pas l'inverse, qui reste du temps perdu et de l'énergie gaspillée sans la loi au dessus. http://susaufeminicides.blogspot.fr/2011/08/avortement-medicalise-droit-de.html

Afin de protéger 3 800 000 petites filles menacées en Afrique de l'Ouest d'écrasement des seins à chaud. Doublée de la torture du féminicide excisionnel (Voir Thérèse Atangana-Malongué, 2005, Docteur en droit http://www.unicaen.fr/puc/ecrire/revues/crdf/crdf4/crdf0416atangana.pdf 

La résille de coutumes patriarcales, de tradition religieuse ou sectaire, se voit toujours justifiée par des croyances inventives (qui montre l'intelligence de l'espèce :o(), dont le relativisme culturel qui les couvre fait le lit dans chaque communauté qui s'accroche à ses particularismes, croyant mieux survivre ainsi... Je surnomme cette cruauté : "drying breasts" (dessèchement de poitrine) car elle consiste en l'écrasement des seins juvéniles à chaud, croyant assécher la fécondité et faciliter la chasse à l'époux par cette pratique révoltante. Appel à votez en masse "BANNIR" - "MAUVAIS" sur la page d'accueil du site des Tantines camerounaises http://www.tantines.org/ 
(Sondage à droite de la page d'accueil)
http://www.afrik.com/le-repassage-des-seins-une-tradition-toujours-pratiquee

Cette violence féminicide dite "repassage des seins" des petites filles et des jeunes accouchées au Cameroun est pratiquée par les femmes avec ou sans les bénédictions des pères, maris, chefs locaux... En 2006, RENATA, Réseau national des associations de tantines a lancé une campagne de sensibilisation. Suite à une enquête menée avec l’appui de l’organisation allemande GTZ établissant qu'une fille sur quatre au Cameroun en est victime. http://www.tantines.org/?page_id=95

2014 Un étudiant va tenter de réaliser un film pour les soutenir. Lieux de tournage prévus :
"Malgré ses 9 ans d’actions, RENATA n’est toujours pas parvenu à faire réagir le gouvernement camerounais sur la pratique.  Quelles en sont les raisons ?" 
http://negronews.fr/2014/03/15/societe-quand-le-repassage-des-seins-au-cameroun-interpelle-un-etudiant-en-journalisme/

Intention ou pas, le crime et la torture féminicides sont là ! Lorsque l'on tue sans intention, l'on est condamné, le féminicide involontaire et l'homicide involontaire sont deux choses qui existent d'évidence. Cependant, il est volontaire de soumettre à des violences féminicides "drying breasts" pour mieux les marier ? Donc féminicide volontaire caractérisé. http://willykean.com/2009/01/09/repassage-des-seins-autre-forme-de-violence-faite-aux-femmes/

Le Département d'Etat américain dans son rapport 2010 des droits de l'homme au Cameroun a fait nouvellement état "de nombreuses victimes dans le pays". Dans certains cas, "de brûlures, de déformations et de problèmes psychologiques." Inconcevable que cela continue. Qu'est ce que l'on attend pour interdire cette coutume criminelle, encore une fois pour placer les filles, pour les discipliner.

Vivent Les Tantines. Association contre les violences féminicides au Cameroun - Ou bien je vais me mettre à prôner l'égalité... Oserais-je l'écrire ? Par contraception, rien de mieux que de leur les "briser menu" au moule à gauffres, par ex. ? Ah non, ça n'est pas possible, ça ce serait de l'androcide. Et personne ne se pose d'ailleurs la question, ils sont intouchables au bon sens du terme, impunes en toutRéférences Wikipedia   Habibou Bangré, « Cameroun : une campagne contre le « repassage » des seins [archive] », afrik.com, 6 juin 2006.  Jean-David Mihamlé, « Croisade contre "le repassage des seins" au Cameroun [archive] », BBC Afrique, 28 juin 2006. Flavien Ndonko et Germaine Ngo'o, Study on Breast Modeling in CameroonGesellschaft für Technische Zusammenarbeit (GTZ) et RENATA, Yaoundé, 2006*

Autres outils de repassage - 2014 © Reuters/ Joe Penney
http://www.journalducameroun.com/article.php?aid=17664
  • Peur et rejet de l'exogamie, du mélange, du métissage, complexe de la dilution
Brider la fillette le plus jeune possible, avant même la puberté est favorisé par des intégristes obsessionnels de tout temps. La preuve, nous devons y refaire face.

De récentes arrivées en France autoriserait de bafouer les lois, ce serait vexant d'apprendre aux habitants du territoire national les principes de droit et constitutionnels français d'égalité des sexes et de laïcité ?
 En plus que ces imbécillités n'existaient pas. Tout à fait new look d'aller empaqueter les toutes petites, cela ne s'est jamais fait, même dans les bleds les plus paumés de Turquie où je traînais mes sandales en années 60 ! Avant l'arrivée des forcenés islamistes, les filles n'étaient généralement obligées d'aller couvertes qu'aux ménarches, disant ainsi que propres à la consommation pour les hymens... et échangeables, vendables pardi, par dot (terre, bétail, monnaie, trousseau) ! 

Petites filles en hijab, juillet 2015
-sur le site facebook de la mosquée de Cherbourg (tradition jurisprudentielle malikite)-

Eid, 24 septembre 2015, site mosquée de Cherbourg
http://www.donotlink.com/i4nl

Il ne s'est jamais vu de petites filles voilées en telles quantités, même en Arabie (au fait, notez que cela signifie aussi ouest...) ou pays arabo-musulman (l'Islam est vaste), au moins les enfants allaient en paix, en Orient, a fortiori en Europe occidentale, où cela n'existait pas du tout jusqu'à peu. Cette pratique ne s'appliquait dans les campagnes et qu'aux filles pubères ! 


Défiance envers ses hôtes, insulte à l'hospitalité- Cela démontre que les dévots de la mosquée de Cherbourg craignent la concupiscence coupable et l'incapacité de leurs hôtes à retenir leurs pulsions envers leurs filles. Signe de défiance et d'une forte discrimination entre pères... dont certains ne sont pas conscients deux secondes ?
Cette môme pétrifiée de passer de bras en bras comme un paquet, on a beau lui caresser la main et lui dire que son foulard est beau, sa vie démarre très mal...
Fascinisme* paternel ? https://en.wikipedia.org/wiki/Fascinus

De fascinus à facinus... http://www.dicolatin.com/XY/LAK/0/FACINUS/index.htm

La même instrumentalisation des fillettes fait rage pour prélever des fonds. Qu'est ce que cette nouvelle pratique d'emmitoufler les gamines vient faire dans l'affaire de cette guerre civile ? Cela ressemble bien à la mendicité avec enfants, interdites par la Loi.


Rappelons ce que, en 2001, la CEDH pointait concernant une adulte voilée, ainsi a fortiori, que des parents imposent à des petites filles des tissus sacrés et leur faire supporter, de plus, des risques de santé, asthme, audition, névrose sociale, troubles du comportement alimentaire (mésestime de soi), rachitisme; insolations... Ces fillettes seraient donc sans droit de protection d'être originaires de l'Orient ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2016/04/modo-alienatio.html
"le port du foulard est imposé aux femmes par une prescription coranique qu'il est difficile de concilier avec le message de tolérance, de respect d'autrui, d'égalité et de non-discrimination que, dans une démocratie, tout enseignant doit transmettre à ses élèvesCour Européenne des Droits de l'Homme (Aff. Lucia Dalhab c/Turquie, 15 février 2001)
Cuisante irresponsabilité ou méconnaissance des sujets !? Un Ministre doit en tout lieu respecter la Loi, comme tout citoyen, ni plus, ni moins. La sexualisation* et l'endoctrinement de toutes petites filles bénies par un ministre qui n'est pas de culte (à moins que cela ait été sa vocation première, bien cachée ?), cela n'est pas concevable ! C'est honteux et intolérable. Magnifier un signe sectaire de hidjab (démarcation du sexapartheid* du haram féminin) avec la stratégie sectaire de ceux qui nous attentatent et qui accréditent le mobile de la pulsion virile irrépressible, en place d'éduquer les garçons à la bonne conduite de mise en pays d'égalité des sexes, sans compromissions psychologistes  ?!!! http://www.manche.gouv.fr/Actualites/Deplacement-de-M.-Bernard-Cazeneuve-ministre-de-l-Interieur-jeudi-24-septembre
  • Mais avant d'aller plus loin en pratiques sursexualisantes des petites filles
Rappelons que la sursexualisation des petites filles, dites mini miss en concours bétailler, a été interdite par le Sénat ! Les mini miss de dieu devraient de même sorties de ce cercle vicieux. Brimade donc, et discrimination d'avec les petits garçons, voilà une homonymie visuelle qui nous saute à la tête au Maroc en 2015... Il aura fallu qu'une pétition se lève contre l'arrestation de deux jeunes filles en robe...
"L’article 19 du texte stipule notamment que : « L’homme et la femme jouissent, à égalité, des droits et libertés à caractère civil, politique, économique, social… […]. L’Etat marocain œuvre à la réalisation de la parité entre les hommes et les femmes »." http://telquel.ma/2015/06/24/poursuivies-etre-en-robe-vox-populi-surplombe-loi_1453227
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Au_ministre_de_la_Justice_et_des_Libertes_Mettre_une_robe_nest_pas_un_crime/?wTbdtbb

Des pieds à la tête, gavées et triturées... Faisons donc une boucle par les zones autres que le Ier type au chapitre des féminicides mutilatoires.
  • Paraissant bénin, mais toujours dans le domaine de fouiller ou contraindre les ventres, le point de trop des gougnafiers... 
Si actuel -Que les femmes portent plainte en cas de douleurs d'épisiotomie ! Les médecins ("(je dis bien certains, heureusement minoritaires)" doivent cesser de se permettre de telles privautés et commentaires de re serrer pour que le mari jouissent mieux (plaisanteries salaces en prime), qui finalement nuisent en entraînant "cette douleur, la dyspareunie". Une fois seule serait déjà de trop ! Dire qu'il fût nommé "point de courtoisie" au Québec.. .http://www.isabelle-alonso.com/le-point-du-mari/

Entendons nous bien, il ne s'agit pas de remettre en cause les nécessaires actes médicaux justifiés.

J'ai bien envie de devenir très malpolie, surtout quand les têtes de pont (vous aurez remarqué ma retenue) se déboutonne, au point qu'une enquête de santé s'impose et qui est demandée à la Ministre...
"Jean Marty, Président du syndicat national des gynécologues-obstétriciens de France, interviewé dans un article publié dans Le Monde du 18/04/2014, déclare que « c'est surtout dans la tête des femmes que cela se passe » avant de se rétracter et de dire « ça ne nous choque pas »...." https://secure.avaaz.org/fr/petition/Marisol_Touraine_Une_enquete_sur_le_point_du_mari_et_les_pratiques_de_mutilations_sexuelle/?nojyBeb
  • Des condamnées stérilisées pour éviter de futurs coûts médicaux de grossesse ? Rien d'illégal, parait-il
    "they are not illegal. The Supreme Court ruled in 1927 that women can be forcibly sterilized in jail in Buck vs Bell." "In California of all places, prison doctors have sterilized over 150 women. Why? They don’t want to have to provide welfare funding for any children they may have in the future." http://tellmenow.com/2014/04/women-prisoners-sterilized-to-cut-welfare-costs-in-california/
  • Laisse au cou
http://vanderbilout.over-blog.fr/article-18964786.html

Non plus décoratives au col, les brides écossaises, bâillons, seront abordées dans un autre billet.
  • Banderilles et brides chinoises
Radiographie de pieds bandés asiatiques
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pieds_band%C3%A9s

Une autre manière de mutiler pour tenir en laisse, tradition fort peu plaisante, malgré les mises en scène folkloriques et touristiques des spirales de cou, et protestations empressées d'inocuité concernant les exilées de Birmanie, que sont les Karen en Thaïlande-  http://news.bbc.co.uk/2/hi/asia-pacific/7215182.stm

Doublement prisonnières, et l'on peut dire que ce ne sont que leurs clavicules qui trinquent, cela n'y change rien, ce ne sont jamais les garçons qui les portent... http://vanderbilout.over-blog.fr/article-18964786.html

Dans le temps, les surnommées "femmes girafes" ndébélé d'Afrique du Sud, ne se rencontraient plus en 1991.
"Les femmes portent des parures pouvant atteindre 25 kg. Les anneaux de cuivre perlés s'empilent autour du cou et de la taille, leur nombre correspondant à la réputation de la santé sexuelle de l'époux." http://fr.wikipedia.org/wiki/Nd%C3%A9b%C3%A9l%C3%A9s
"Zhu Xi (1130-1200), alors magistrat dans la province du Fujian, voyait dans le bandage des pieds, outre un moyen de préserver la chasteté féminine, « un moyen de répandre la culture chinoise et d'enseigner la séparation entre l'homme et la femme. »"

КИТАЙСКИЕ ЖЕНЩИНЫ / Femmes chinoises - otvali.ru http://prikol.bigmir.net/view/87176?cPage=4

 photo de Eléonore Pourriat

Dernières fleurs de lys presque fanées toujours marchant sur leurs talons avec leurs orteils pliés en parchemin -de roseau- http://www.huffingtonpost.fr/2014/06/17/femmes-chinoises-pieds-bandes-pieds-de-lys-chine-photos_n_5499708.html

- Le bandage des pieds reste coercitif, empêchant bien physiquement toute fuite sous un prétexte d'aphrodisme (canons de beauté) ; cette pratique-là extrême orientale archivée ici avec d'autres. 
  • Corsets d'antan - Ayant perduré moins longtemps que les mille ans des milles collines
Thorax_féminin_avec_corset (cliché Radiquet) Röntgenogram tiré de http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Corset_(1908)/02 Ludovic O’Followell, Le Corset, 1908 http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Corset_(1908)

Membres locomoteurs mutilés et respiration coupée, pas question d'aller bien loin ! Auraient-ils été eux aussi classés dans ce catalogues des mutilations sexuelles ? Très certainement, s'ils existaient encore. http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Corset_%C3%A0_travers_les_%C3%A2ges:Figures

En fait de départ, je regardais comment les pratiques anciennes permettaient de faire passer le lait, et donc le bandage des seins des jeunes accouchées, et des mères allaitant qui voulaient sevrer le nourrisson, puis j'ai été amenée par ce biais à m'intéresser aux adolescentes dont on bandait les seins.
  • Coercition féminine - Le collet monté des temps modernes - Binder, corset queeriste
Plus haut, on a décrit en quoi consiste l'écrasement des seins à chaud, et à voir celui à froid par binder avec hormones, on pourrait presque croire à une appropriation culturelle (glaciale ironie de ma part).

Que certains groupes humains se saisissent et embellissent les pratiques d'autres, comme les noirs américains l'ont fait des choeurs évangéliques protestants, les menant à une hauteur sans égale montre toute la noblesse dont est capable l'espèce. Par contre, réinstaurer des pratiques de bridage des filles, quelle que soit le fondement prétendu, n'est que régression, toutes cultures confondues.

Pourtant, les binders sont en vente libre et des mères les enfilent parfois à leurs filles ; d'autres en cachette. Stupéfiant que cela ait été rendu possible par l'Identity politics, auquel l'on puit dire que le transgenrisme affilié de près, qui défend mordicus la vaine conversion sexuelle, alors que le sexe ravalé au sexage, ou selon la terminologie sloganiste au genre [sexuel social], ne change pas, seul ses contours- Pourtant, nous en sommes là et peu s'agite pour que cPourtant, nous en sommes là et peu s'agite pour que cela cesse et redevienne impossible. ela cesse et redevienne impossible.

Vouloir détruire les classes et les sexes, but ultime de l'intersectionnalité ne fait aucun sens car c'est uniquement la hiérarchisation catégorielles en droit qui nuit, et non pas les catégories qui ne sont que reflet de nos connaissances. 

En vente libre Binder https://www.amazon.fr/binder-trans/
s?ie=UTF8&page=
1&rh=i%3Aaps%2Ck%3Abinder%20trans
"Le repassage de poitrine cause de doubles dommages, physiques et psychologiques. Il peut causer des infections et des abcès, et a été relié au cancer du sein, à des problèmes de lactation, et de sévères dépressions." Dr Flavien Ndonko http://www.lawrenzi.com/2016/10/08/the-dangers-of-breast-ironing/

Ce dernier et très actuel type de corsettage dame le pion aux reines de l'ère victorienne et sévit  donc en zones prétendues des plus développées, notamment arbitre en droits des femmes. 

Aux dangers et risques de santé entraînés, l'on voit bien qu'il serait attendu des pouvoirs publics qu'ils interdisent vente libre aux jeunes femmes qui n'ont pas atteint le seuil final de leur développement psychosexuel de 25 ans. Ce n'est pas parcequ'une personne n'est pas mineure, ni démente, qu'elle doit être laissée à attenter à sa vie et son intégrité comme si de rien n'était. L'on empêche de se suicider, c'est donc que le suicide à feu doux ne devrait pas non plus être facilité.

Cela finit par coûter fort cher à la collectivité de vendre n'importe quoi en termes de santé publique !

Aucun billet de mes billets n'est fait pour stigmatiser un endroit plutôt qu'un autre. Il est bon de le glisser puisque la mode est à l'invective. L'Europe si elle a pris de l'avance en droit largement, n'a nullement éradiqué le viol féminicide, les mariages forcés, les mariages de petites filles, le proxénétisme, etc. de les avoir pensé partie d'un passé révolu, grâce aux lois d'égalité des sexes, certains retours du fond des âges refont surface en France réentraînés par les flots migratoires.

C'est ce qui tait la réalité mondiale du mal traitement des filles et des femmes n'est pas mieux placée sur l'échelle des continents au taux des assassinats féminicides,  privés et publics, de l'inceste de l'exploitation sexuelle forcée et induite, dite "traite des blanches" mais qui n'épargne aucune carnation de la plus pâle albinos à la plus foncée des Africaines. Et une fois libérées de leurs proxénètes, celles-ci continuent à envoyer l'argent à leur famille par westernunion, ce qui fait le lit des maquereaux au pouvoir. Cette hémorragie de femmes nuira à moyen terme à tous les pays dont elles sont originaires.

Restreindre le mouvement, casser la liberté, l'orienter non pas en vue d'ordre public mais au contraire uniquement du point de vue relatif de l'ordre viril, souvent mené ou soutenu par des sorciers, gurus et prêtres de toutes croyances.

Christine Gamita, Ph. D., ethnologie
ex-ingénieur en informatique, spécialisée en management de la qualité des études, services informatiques et services d'information

MAJ - Nous avons abordé plus tard la bride buccale dans un autre calepin http://susaufeminicides.blogspot.com/2014/05/bride-ecossaise.html
  • Fondamentaux de cet ethno blog 
Féminicides - http://susaufeminicides.blogspot.fr/2011/11/feminicides-definis.html
Androcides - http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/androcides.html
Mais plus encore : http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html
Des preuves ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/cest-de-la-carte-tentative-darticle.html
Des chiffres ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/combien.html

Source obligatoire SVP © Copyright- Toute citation de cet article doit être de contexte, précise, avec auteur http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/07/qui-ecrit-ici.html, date de version, blog "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr le lien exact du document & id. en cas d'usage du logotype montage photographique "Eradication des féminicides - Larmes de sang" CGMD ©Tous droits réservés international 2012

Les fleurs bulgares ne gèlent pas

Il parait difficile de construire la paix dans l’esprit des femmes et des hommes (par ordre alphabétique) dans l’état d’humiliations et de terrorisme féminicides subies par les filles et les femmes, et auquel assistent les enfants quotidiennement. Quel exemple ! Que majorité s’empresse de reproduire à l’âge adulte. Sans l’interdiction formelle et décisive de tous les féminicides, comment l’humanité pourrait-elle enfin connaître une réelle culture de paix et de respect ? cf. http://www.unesco.org/new/fr/unesco/Construire la paix dans l’esprit des hommes et des femmes

Mais peut-on réellement combattre cette situation coutumière par la nudité, les sexualités, la provocation ?
La qualification en droit permettrait enfin d’avancer quelques statistiques sérieuses. Actuellement, règnent la dispersion et l’imprécision dans les estimations en vrac des "женициди и aндрoциди" http://susaufeminicides.blogspot.com/p/estimations.html
L'élan du féminisme bulgare, les ailes coupées depuis 2005 http://www.genreenaction.net/IMG/pdf/jivka.pdf

Balgarskite tsevetya ne se strahuvat ot Dyado Mraz
Jenitzidite tryabva da se zabranyavat "po sveta i u nas". Les féminicides doivent être interdits partout dans le monde.











Luttes contre les féminicides conjugaux

"Combattre la violence conjugale par la recherche et l’éducation
http://www.europrofem.org/contri/2_07_fr/fr-viol/19fr_vio.htm
EuroPROFEM - The European Men Profeminist Network http://www.europrofem.org
Compilé par Jivka Marinova - Fondation bulgare de recherche sur l’égalité des sexes s’est engagé dans une recherche unique pour rendre publiques l’existence et les dimensions de la violence conjugale en Bulgarie. Le groupe était composé surtout de juristes, essayant d’influencer le changement de la législation en faveur des victimes de violence.prendre des mesures pour protéger la victime. droit international concernant les droits de l’homme est admis comme un régulateur des relations entre les "gouvernés" et les "gouverneurs", tout au plus que les "gouvernés" traditionellement se retrouvent dans le sphère public de la société, dans les institutions politiques, juduciaires, sociales et économiques. Les doctrines pour la protection de la vie privée et la famille dans le droit international et dans les législations nationales augmentent la distinction entre le sphère public et le sphère privé" (c’est une citation de la publication d’Amnesty International "The UN, Governments and the human rights of women", Janvier 1998, p.3.) En 1997 un groupe de femmes activistes du mouvement pour les droits humains
La violence conjugale est une violation des droits humains qui a été cachée de la société car elle était le résultat de relations privées. Le besoin de protection contre la violence conjugale nous confronte à un problème intéressant qui concerne l’intervention de l’Etat pour réguler des relations étant le résultat de cette violence comme par example: imposer des sanctions contre l’agresseur et
Voilà quelques résultats de la recherche juridique, menée par Genoveva Ticheva - une des premières juristes, engagée dans la lutte pour les droits des femmes:
· La conception traditionnelle des droits de l’homme est encore valable en Bulgarie et dans notre législation et elle se base sur le principe de non-intervention par l’Etat dans les cas de violence dans la famille, à l’exception des cas extrêmement graves qui représentent des crimes généraux selon le Code Pénal.


· La nécessité de protection spécialisée des femmes contre la violence existe à cause de leur plus grande vulnerabilité qui résulte de leur caractère biologique différent et les rôles sociales différentes qu’une société prévoit pour les hommes et les femmes, le statut traditionnel des femmes dans la famille et les stéréotypes culturels. Les recherches internationales et les études en Bulgarie sur la violence conjugale montrent que plus de 80% des victimes de violences conjugales ou de violence dans une relation intime en dehors du mariage sont des femmes. Le fait que la violence conjugale est la forme de violence la plus répandue en Bulgarie est confirmé par les données compilés des centres d’aide aux victimes de violence. Ce sont le centre "Nadya" (90% des cas) et l’association "Animus" (plus de 50% des cas).
En examinant les règles internationales il est intéressant de
Il n’existe pas de méchanisme effectif de protection des victimes de la violence conjugale. Si on examine les provisions du Code de famille, du Code pénal et du Code de procedure pénale on voit qu’en principe notre gouvernement n’intervient pas pour assurer la protection contre une telle violence sans
Pour estimer, si la protection assurée est effective il suffirait de considérer quelques exemples de cas criminels. Quand la violence a eu pour résultat une blessure physique, d’après les Articles 128, 129 et 130 du Code Pénal, l’Etat doit imposer la punition respective. D’après les critères adoptés il y a une différence de poursuite et de punition pour les blessures sévères, moyennes et légères. Ces critères représentent une distinction primordiale des types de blessures, résultant d’un acte de violence. Le degré du danger pour la société et la punition respectivement sont déterminés d’après ce résultat. La formulation "…si causé…" et très indicative pour la méthode utilisée par nos législateurs. Sans commenter si
D’après le principe, adopté pour le domaine des blessures physiques, ce danger social accru ne pourrait pas être pris en compte si par hasard un de ces actes de violence conjugale aboutit aux authorités judiciaires. La violation du droit d’integrité physique d’une personne dans la famille reste impunie dans la plupart des cas. Même le législateur a une approche différente envers les crimes, commis dans le cercle familial étroit.
L’article 161 du Code pénal stipule qu’une poursuite criminelle pour une blessure physique moyenne causée par un parent ascendant ou descendant, un époux, un frère ou une soeur pourrait être entamée uniquement si la victime elle même dépose une plainte. En plus, je voudrais ajouter que la violence conjugale se charactérise le plus souvent de blessures physiques moyennes et légères fréquentes (dans le sens du Code Penal) et presque toujours représente une crime de nature privée. Une des approches essentielles de l’agresseur est de tenir la victime incessemment en crainte et en stress et ne lui causer que des blessures physiques plus légères de manière qu’elle puisse en supporter encore beaucoup et pour longtmps. Utilisons le language du Code Penal: le texte entier de l’article 129, para.2 contiens des mentions de blessures très sévères comme "affaiblissement permanent de la vue et de l’houie", "troubles permanents de la santé", "trouble temporaire de la santé qui menace la vie", "des coups percant du thorax, du ventre etc". Toutes ces blessures sévères qui, d’après le Code Penal sont classées comme blessures physiques légères, dans la plupart des cas n’aboutissent pas la Cour si elles sont causées par un membre de la famille. D’après le code de procedure pénale les victimes ont le droit d’entamer une poursuite privée. Mais elles se décident très rarement d’exercer ce droit et en plus si elles le font elles rencontrent encore plus de difficultées, liées à la possibilité de prouver leur cas, car le poids entier de la preuve tombe sur la victime - chercher un conseil d’avocat qui est extêmement cher et passer par un procès qui est souvent désesperant. Dans la plupart des cas pendant le procès même la victime continue d’être exposée au tourments et aux menaces de l’agresseur car il n’y a pas de méchanisme légal d’éloigner l’agresseur du domicile commun. C’est pourquoi les victimes hésitent à entamer un procès et quand elles s’y décident finalement, très souvent la procédure se trouve arrêtée par la cour parce que la victime et l’agresseur se sont reconciliés ou bien la victime a retiré sa plainte. Ce sont des résultats d’une anquête sur la pratique judiciaire, liée à la violence conjugale, qui a été menée a Sofia, Plovdiv et Varna. Cette anquête montre aussi que l’Article 45 du Code de procédure pénale n’est pas mis en utilisation bien qu’il donne la possibilité au procureur d’entamer une poursuite quand la victime "à cause de sa situation d’impuissance ou de dépendance de l’agresseur ne peut pas défendre ses droits". La chance est encore moindre qu’un procureur entame une poursuite selon l’article 46 du Code de procédure pénale même dans "le cas extrême" de l’hypothèse précédente.
La législation civile a été étudiée profondément par une autre avocate - Daniela Eldarova - qui récemment a ouvert le premier centre de conseil pour femmes victimes de violence à Plovdiv.
Les actes essentiels, réglant les relations familiales et les procédures de protection des droits et des intérêts des membres de la famille se retouvent dans le Code de Famille qui est en force depuis le 1er Juillet 1985 et auusi dans le Code de procédure civile de Bulgarie. Dans les deux actes le terme "violence conjugale" n’existe pas ni comme une définition ni comme un fait de situation familiale traitée par une règle spécifique. L’ignorance des législateurs sur ce problème est liée directement au manque de statistique sur les cas de divorce qui mentionnent la violence comme raison du divorce. Il est impossible de croire que les législateurs ne sont pas informées de l’existence de violence dans les familles ou entre des partenaires non mariés. Une explication plus probable serait que le problème de la violence intrafamiliale soit sous estimé ne prenant pas en compte les conséquences extrêmement nuisibles pour les victimes de violences conjugales aussi bien que pour l’élévation des enfants dans de familles où la violence existe. Et si en 1985 quand le Code de Famille présent fut passé le problème de la violence n’était pas encore visible, la dissemination de l’information sur lui est maintenant impérative et la protection des droits de l’homme pourrait être mise à la base de chaque activitée publique ou privée.
La révision de la législation civile concernant la protection des droits humains des victimes de relations violentes entre femme et homme dans, ou en dehors du mariage mène à la conclusion catégorique qu’il manquent les règles adequates protégeant les droits des femmes et des enfants dans la famille malgré les principes constitutionnels déclarés sur l’égalité des sexes et la protection universelle des enfants. Les études conduites par des volontaires de la pratique judiciaire dans le domaine civil et criminel montrent que les femmes et les enfants sont soumis à la violence dans la famille tandis que les agresseurs sont les hommes avant tout. Parmi les 66 cas de divorce terminés par la cour régionale de Plovdiv en 1996, commencés par raison de violence une seule a été initié par un homme et c’était par raison de violence psychologique. Les autres 65 cas avaient été des femmes et dans 15 d’eux une violence contre des enfants mineurs a été mentionnée en plus de la violence conjugale. Il est clair que le problème de la violence conjugale est féminisé, qui rend sa solution encore plus difficile maintenant.
Il n’existe pas un acte réglant la protection des droits individuels des membres de la famille comme un principe fondamental du marriage et des relation familiales.
Il n’existe nonplus de règle établissant une procédure d’éloignement rapide de l’agresseur du domicile. Le Code de famille règle d’une manière tout a fait limitée les relations personnelles entre les époux et ce sont plus ou moins des déclarations de principes car la violation de ces articles n’est liée à aucune punition judiciaire qui pourrait aboutir à une procédure de changement positif dans les relations en cas de violence. En même temps la loi règle en détails les relations de propriété entre les époux. Nous trouvons 11 articles réglant les procédures de protection de la propriété contre 5 articles réglant les relations intrafamiliales. Il n’existe pas une raison logique ou morale pour la protection universelle de la propriété de la famille et ses membres et le manque total de méchanisme protégeant les droits et les libertés des membres dans la famille. Il est vrai que selon l’Article 5 de la Constitution de la République de Bulgaria les provisions des lois internationales peuvent être appliquées directement dans la législation nationale, mais pas un seul de ces actes ne contient une procédure obligatoire pour la protection des droits des membres de la famille, laissant cela à la législation nationale. Par example, dans les cas de violence quand l’agresseur reste à la maison les victimes doivent se débrouiller toutes seules avec la situation, qui est souvent en dehors de leur possibilitées psychologiques et financières.
La seule possibilité d’obtenir une protection pour la victime se trouve dans les provisions de l’Article 261 du Code de procédure civile, qui est mis en jeu uniquement dans les cas de divorce en suspence. Selon cet article une victime de violence conjugale pourrait demander des mesures temporaires pendant la durée du divorce, qui lui permettrait d’utiliser le logement familial pendant le procès avec la possibilité de faire sortir l’autre partie de ce logement, même si le dernier appartient à l’homme ou à ses parents.
L’insuffisance absolue de la législation est le manque de possibilité d’éloigner l’agresseur du domicile et de restreindre ses contacts avec la victime même pendant le temps du mariage sans nécessité de procédure de divorce. De cette manière les victimes sont forcées de se décider à divorcer qui augmente la pression psychologique et financière pesant sur elles.
Le problème de dommages-intérêts pour les victimes de violence congugale est soulevé avec une urgence spéciale. La loi ne contient pas de provisions spécifiques pour un probleme pareil comme par exemple les réparation assurées dans le Code de travail pour les victimes d’accidents de travail. D’après le Code de travail, dans les cas d’accidents de travail, l’action juridique pour les problème de dommages-intérêts est gratuite pour l’ouvrier et le poids de la preuve est sur le défendant. Le Code de famille ne contient pas de procédure pareille. Les victimes de violence peuvent compter seulement sur une procédure selon l’article 45 de la Loi des obligations et des contracts, déterminant les obligations civiles en général pour avoir endommagé une personne ou propriété. Mais l’utilisation de cet article est très compliqué par le suivant:
n pour initier une action juridique il faut d’abord payer les taxes de l’Etat; en plus la partie est demandée de payer pour les services d’un temoin-expert et pour autre aide specialisé;
n il est impossible d’espérer qu’une action pareille pourrait être initiée pendant le mariage, ayant en vue les problèmes cités plus haut avec les couts et le poids de la preuve. En pratique cela aussi favorise l’aggresseur, car le procès initié après le divorce est accompagné ordinairement de problèmes de la preuve à cause du temps passé.
n le résultat de l’étude des cas de divorce nous a mené à la conclusion que les cas les plus sérieux de violence se retrouvent dans les proces de divorce qui se sont terminés par une décision de divorce sans faute et les cas de divorce où les parties se réconsilient sur leur problèmes personnels ou de propriété. Ces cas nous montrent que la femme, qui est victime de violence est prête à accepter toutes sortes de compromis pour se retrouver libre de ce mariage violent. La signature d’un tel agrément pourtant représente une obstacle pour les action futures de demande de dommages-intérêts.
La législation ne dit rien sur les relations entre partenaires non mariés, qui vivent ensemble. En pratique cela mène la société et la législation à oublier totalement l’existence de tels couples ou les cas de violence et d’abuse ne sont point rares. Il est nécessaire qu’il y ait une règle spéciale pour garantir la protection des droits individuels des personnes non mariés qui vivent ensemble et les enfants qui sont nés de ces relations.
La pratique judiciaire concernant la violence conjugale a été étudiée par l’ancien procureur Roza Boteva.
Elle a analysé les étapes de la procédure et surtout les pas liés a la formation de la complainte. C’est donc la première étape et très souvent elle reste l’unique, de l’intervention de la part de l’Etat dans cette catégorie de cas. C’est comme par règle, la femme qui a souffert la violence dépose une complainte auprès du procureur. Très rarement cette plainte est elle déposée par une personne tièrce, le plus souvent parente de la victime. En principe la plainte contient des données non pour une seule occurrence de la violence mais pour des actes de violence multiples. L’analyse des cas différents nous montre que la plainte en principe se base sur une attitude violente et aggressive, une attitude de domination de la part d’un partenaire qui plus d’une fois a aboutit à la violence physique assez cruelle. On mentionne aussi des insultes et des actes d’aggression qui affectent aussi les enfants vivant avec les partenaires.
La déposition de la plainte est le premier pas. De là, la procédure est la suivante: l’article 36 de la Loi pour la police nationale (LPN) est appliquée.
Ce texte de de LPN, selon lequel la police peut émettre un avertissement pour l’auteur de la violence conjugale est utilisé très souvent par le procureur. On voit des donnés rassemblées pendant l’étude des plaintes qui ont passé par cette étape (d’ailleurs en pratique cette étape ne fait pas partie de la poursuite judiciaire car une telle n’a pas été initiée, mais elle fait partie de l’étape de l’investigation préliminaire) que l’article 36 est utilisé comme instrument de prévention d’une violence future. Nous pouvons juger à quel point cette approche a reussi du fait que cette méthode a été utilisée plusieur fois contre le même individu, sans un résultat visible. Parfois le procureur n’ordonne même pas une investigation préliminaire (qui est demandée par l’article 191 du Code de procédure pénale si les données concernant le crime ne sont pas suffisants et il faut en ramasser d’autres) dans les cas de violence conjugale, car il assume que même si d’autres données sont trouvées cela ne contribuera point a la procédure future. Alors sans ordonner une investigation le procureur envoie la complainte directement aux autorités de police avec l’instruction d’appliquer les règles de l’article 26 de la loi de la Police Nationale. Cela mène automatiquement à la termination du travail du procureur sur la plainte. Avec cela la dernière est terminée et l’intervention du procureur s’arrête ici. Dans la plupart des cas poutant, quand il y a une complainte une investigation préliminaire est exécutée. En fait dans le cadre de cette investigation, on ajoute de l’information concernant la victime, l’aggresseur, et les temoins possibles des incidents. Parfois on attache aussi de certificats médicaux qui décrivent les blessures physiques des victimes - des hématomes, des lésions etc. Dans certain cas des documents pareil sont attachés à la plainte primaire. C’est exactement pendant les investigations préliminaires que la règle de l’article 26 est utilisée de nouveau. Après une déposition de la part de l’aggresseur le policier écrit un rapport qui contient l’avertissement fait à l’aggresseur de se retenir d’actes pareils dans le futur. Alors la complainte mise ensemble avec les documents derniers est renvoyée au procureur.
L’analyse des données nous mène à la conclusion que dans 95% des cas la complainte est retirée à cette étape à l’initiative de la victime. Ce pourcentage reste constant pour les deux années de l’étude.En pratique les ordres selon lesquels le procureur refuse d’initier un proces préliminaire dans les cas de violence conjugale sont le motif employé le plus souvent pour terminer la complainte.
Comme nous pouvons le voir la violence conjugale en Bulgarie est un problème réel sur lequel malheureusement une discussion publique n’a pas été encore provoquée et à cause des tendances, des relations et des prejugés existants il est très difficile pour les femmes de se décider d’appeler au secours pour elles mêmes et pour leurs enfants.
Quand elles contactent les institutions les femmes se heurtent au manque de compréhention, manque de confidence, a des accusations injustes et au manque de sensibilité humaine. Des agences qui prendraient en concidération les besoins individuels des femmes sont très nécessaires. En les contactant elle ne doivent pas se sentir coupables d’être des victimes, elles doivent y trouver de la sécurité et du confort pour pouvoir prendre la meilleure décision pour le futur.
Les résultats de la recherche que j’ai conduite montre que dans presque toutes les grandes villes de la Bulgarie il y a une organisation qui s’occupe des problèmes des femmes et bien sur du problème de la violence conjugale et la violence intrafamiliale. Presque toutes ces organisations et surtout celles en province ne comptent que sur des volontaires. Leurs problèmes sont les mêmes - loyers très chers, difficulté de trouver des places confortables pour des bureaux, difficulté de trouver des experts (des avocats, des médecins, des psychologistes) qui voudraient travailler sans rémunération, manque de compréhension de la part des municipalités, des gouvernements locaux, de la police et ce qui est vraiment dommage de la part des femmes qui sont en position et en mesure d’aider.
Les gens qui essayent de les aider d’une manière ou d’une autre sont surtout des femmes - des psychiatres et des psychologues ou des avocates qui dans leur vie professionnelle rencontrent des victimes de violence. L’autre catégorie de personnes qui prennent part dans ce procès sont les assistants sociaux qui sont surtout des jeunes, car c’est une profession nouvelle pour la Bulgarie. La troisième catégorie d’intervenants sont des femmes qui sont liées au problème personellement et c’est pourquoi elles sont persuadées que des groupes pareilles sont nécessaires. Tous ces groupes sont composé de gens enthousiastes et extrêmement généreux car ils se sont dévoués à une cause difficile, ayant en vue la situation économique en Bulgarie, le manque de législation convenable et le contexte patriarchal existant.
Nous avons lié notre étude à un programme-pilote d’éducation spéciale dans deux écoles secondaires, pour entrainer les jeunes, étudier leurs attitudes existantes envers les relations familiales.
Le but de ce programme était de disseminer de l’information, de faire connaître au jeunes le travail des organisations gouvernrmentales et non-gouvernementales de les rendre familiers avec le problème de l’égalité des sexes, de rationaliser les attitudes publiques envers les rôles différents des hommes et des femmes dans la société contemporaine.
L’effet essentiel de ce programme va apparaitre dans le futur. Les jeunes qui ont discuté et ont compris une fois la signification du problème de la violence et plus spécialement de la violence conjugale et les rôles des femmes et des hommes dans la société vont sûrement changer leur attitude envers les stéréotypes et les préjugés traditionnels.
Ce problème a été discuté et accepté avec enthousiasme par beaucoup de professeurs dans notre pays. Pour nous c’est un vrai succès car l’éducation de la génération future d’adultes dans les principes de l’égalite et de la vie commune sans violence nous donne la chance d’éliminer la violence dans la famille plutot que le processus lent et pénible de changement de la législation pénale.
voir si les résolutions adoptées par la législation bulgare correspondent aux standards internationaux.prendre en compte si la victime est un enfant, une femme ou autre membre de la famille. cette décision est juste en principe, je voudrais souligner à quel point cet approche est incompatible avec les cas de violence conjugale. Très souvent ce type d’approche se traduit par des actes de violence répétés, comme une torture physique et psychologique constante, une menace pour la santé et la vie de la victime, une violation constante des droits humains de la victime, tout cela déterminant le danger social de ces actes. "

Source obligatoire SVP © Copyright- Toute citation de cet article doit être de contexte, précise, avec auteur http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/07/qui-ecrit-ici.html, date de version, blog "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr le lien exact du document & id. en cas d'usage du logotype montage photographique "Eradication des féminicides - Larmes de sang" CGMD ©Tous droits réservés international 2012

20/01/12

Séismes des viols de guerre et de paix

http://fr.euronews.com/2012/04/27/le-viol-comme-arme-de-guerre-le-combat-d-une-survivante/?fb_action_ids=254856837977482&fb_action_types=og.likes&fb_ref=.UMZf7hiyw9Y.like&fb_source=aggregation&fb_aggregation_id=246965925417366

Cesser l'horreur insoutenable des féminicides en temps de guerre comme de paix, du Congo à l'Inde, non, je ne mettrai plus jamais tant que continueront les féminicides le mot démocratie à côté de ces noms de pays. 
Et ce n'est que lorsque nous sommes "les femmes de" (propriété par laquelle l'on cherche à atteindre l'ennemi) et que le lignage de l'identité des lignées patriarcales qui est menacée que l'on déclare le viol féminicide en arme de guerre ! Je le déclare arme en paix aussi, moyen de coercition systémique dans les deux versions de la subordonnée. Serve ou esclave, elle a le choix.

Appelons à un Tribunal Pénal International des Féminicides - http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html 
Esquisse d'Agnès Stienne
http://blog.mondediplo.net/2011-02-14-Viols-en-temps-de-guerre-le-silence-et-l-impunite
Ayant ouvert fin 2011 mon blog à cause des petites filles qui sont les premières au front... Asie, Afrique, Europe... Demande simple : un tribunal pénal international contre les féminicides- Pas de tribunaux privés qui ne font que fragiliser les institutions, qui même si elles sont patriarcales peuvent être investies non ? On arrive en politique à remonter certaines bretelles...
Il faut parfaire cette prise de conscience - Instaurons l'interdiction formelle des féminicides en temps de guerre et de paix
 !

"Groupes rebelles", rebelles mais c'est leur faire grand honneur et s'ils étaient de décents rebelles iraient-ils passer leur hystérie politique sur les filles ? Il serait temps de faire la part des choses, non ? Le système patriarcal et ses règles de soumettre les femmes n'est jamais remis en cause - on se contente de croire que les viols féminicides auraient émergé depuis le capitalisme ? "La journaliste et activiste congolaise sous les menaces de mort de groupes rebelles qui perpétuent les viols et assassinats massifs de femmes..." http://www.publico.es/456807/las-empresas-son-responsables-directas-del-feminicidio-en-congo

Quand donc n'ont-elles pas été champ de bataille ?  

http://www.icrc.org/fre/films-terrain
http://www.afriquedocumentaire.com/article-congo-kinshasa-la-femme-un-champ-de-bataille-112394709.html

Le Temps, 16 avril 1919, p. 1, 5ème colonne
Pétition de cinq millions de femmes américaines contre les crimes commis par les armées...
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k243616n.image.r=am%C3%A9ricaines.f1.langFR
«Mais, franchement, répète-t-il, je ne comprends pas l’indifférence de la communauté internationale à l’égard des Congolaises… et des femmes de façon générale. Non, décidément, je ne comprends pas.» http://m.letemps.ch/Page/Uuid/f59292a6-3a39-11e2-9cad-fc9f12bb0a43/Viols_la_croisade_du_Dr_Mukwege 
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k243616n.image.r=am%C3%A9ricaines.f1.langFR
"Au Kivu, on vio
le et massacre dans le silence" 
LE MONDE |  • Mis à jour le 

Une accalmie avec la pâtée que se prennent les barbichus preneurs d'otages au Mali en guerre depuis longue date avec les pays d'origine des otages - Et ces messieurs de s'excuser, ben voyons, c'est la guerre... Et on n'est peut-être pas intervenu pour stopper les viols mais bon au moins, elles sont à l'abri pour un moment de cette épidémie-là... pas de l'autre de celle du viol féminicide au quotidien par temps de p... (non pas de pluie !) de paix.



Rappelez-vous comment le Mali se rappelait à nous par un SOS le mercredi 4 avril 2012 à 11 h 26 : "Hamadoun Diarra S O S Les rebelles continuent de piller et de violer les femmes (souvent sur la place publique de Gao)" Deux jours après tombe, encore une fois confirmation http://www.egalite-infos.fr/2012/04/06/mali-des-femmes-et-des-filles-enlevees-et-violees-au-nord-du-pays/ Vilain mois de mai au Mali http://www.maliweb.net/news/insecurite/2012/05/01/article,63939.html
De tout temps et en tout lieu. En paix, et en guerre. Seulement leur nombre varie, leur rythme. De suite ou pendant les grands tremblements, famines, épidémies, il y a toujours eu des vagues supplémentaires d'abus et de viols féminicides de préférence. Ce que j'ai découvert de moi même (car la presse minimise les faits) en temps de guerre en 1989 au Mozambique, que les petites filles sont violées puis, si elles sont emmenées, servent de filles de troupe à tous, en continu. Pourtant, ce n'est pas faute de reportage de guerre de grandes plumes.
"Des viols après le séisme" :
Pourtant, les viols de petites filles, de femmes, et de petits garçons étaient perpétrés avant le séisme. Ce n'est un phénomène nouveau ni concernant le viol féminicide, ni androcide, car, depuis bien avant notre ère, les violences féminicides se perpétuent dans toutes les sociétés et sur tous les continents, sans faiblir.

La preuve et la bonne nouvelle, qui n'en est plus une de nouvelle car cela fait bien longtemps que nous savons que les femmes résistent, et avec quel courage, pugnacité, détermination http://edition.cnn.com/2012/10/18/world/americas/cnnheroes-malya-villard-appolon-interview/index.html

"Justine Masika Bihamba, fondatrice emblématique et coordinatrice de la Synergie des femmes contre les violences sexuelles, au Nord‐Kivu, ciblée personnellement par les rebelles, a dû quitter le pays et se réfugier en Ouganda deux jours avant la prise de Goma. Une balle a été tirée sur sa maison dès l’arrivée des rebelles." http://femmesenresistancemag.wordpress.com/2012/11/27/urgence-pour-la-capitale-mondiale-du-viol/
Féminicide du viol d'enfants en RDC,
ça continue
Toronto 27 juin 2012, mobilisation contre le féminicide du viol en RDC qui détruit tous http://www.lemetropolitain.com/nouvelles.asp?nID=16661
La marche rouge
2011 - 52 fois plus de probabilité d'être violée qu'en Espagne - 75 % de congolaises violées http://www.elmundo.es/elmundo/2011/10/25/internacional/1319561510.html

Et depuis 45 du XXème, celui du Statut de Rome et de la Charte des Droits universels, avez-vous vu que l'on ait rétabli ou considéré les victimes des féminicides de viols des mâles guerres http://susaufeminicides.blogspot.fr/search?q=Japon#!/2012/02/viols-feminicides-japon-etc-dedommagez.html

Docteur Denis Mukwege, merci de dire l'indicible, cela doit vous coûter...- se battre pour que le flot de nos larmes portent l'interdiction de ces féminicides odieux et interminables devant le Droit  : "Discours aux Nations Unies 25/9/2012 du Dr. Denis Mukwege Excellences Messieurs les Ambassadeurs,
J’aurais voulu commencer mon discours par la formule habituelle : « j’ai l’honneur et le privilège de prendre la parole devant vous. »
Hélas ! Les femmes victimes de VS de l’Est de la RDC sont dans le déshonneur. J’ai constamment sous mes yeux les regards des vieillardes, des filles , des mères et même des bébés déshonorés.
Aujourd’hui encore, plusieurs sont soumises à l’esclavage sexuel ; d’autres sont utilisées comme arme de guerre. Leurs organes sont exposés aux sévices le plus ignoble.
Et cela dure depuis 16 ans ! 16 ans d’errance ; 16 ans de torture ; 16 ans de mutilation ; 16 ans de destruction de la femme, la seule ressource vitale congolaise ; 16 ans de déstructuration de toute une société. Certes, vos états respectifs ont fait beaucoup en terme de prise en charge des conséquences de ces barbaries. Nous en sommes très reconnaissant. J’aurais voulu dire « j’ai l’honneur de faire partie de la communauté internationale que vous représentez ici » Mais je ne le puis.
Comment le dire à vous, représentant de la communauté internationale quand, la communauté internationale a fait preuve de peur et de manque de courage pendant ces 16 ans en RDC.
J’aurais voulu dire « j’ai l’honneur de représenter mon pays. », mais je ne peux pas non plus.
En effet, comment être fier d’appartenir à une nation sans défense ; livrée à elle-même ; pillée de toute part et impuissante devant 500.000 de ses filles violées pendant 16 ans ; 6000000 de morts de ses fils et filles pendant 16 ans sans qu’il y aucune perspective de solution durable.
Non, je n’ai ni l’honneur ; ni le privilège d’être là ce jour. Mon coeur est lourd. Mon honneur, c’est d’accompagner ces femmes Victimes de Violence courageuses ; ces femmes qui résistent, ces femmes qui malgré tout restent débout.
Aujourd’hui grâce au rapport des experts des nations Unies , au Mapping report du haut commissaire aux droits humain des nations unies et beaucoup d’ autres rapports crédibles , plus personne ne peut se cacher derrière l’argument de la complexité de la crise .Nous savons donc désormais les motivations de cette crise et ces différents acteurs. Ce qui fait défaut c’est la volonté politique. Mais jusques à quand ? Jusques à quand devons nous encore assister impuissants à d’autres massacres ? Excellences, Messieurs les Ambassadeurs ; c’est avec une grande humilité que je vous dis qu'on a pas besoin de plus de preuve, on a besoin d’une action, une action urgente pour arrêter les responsables de ces crimes contre l’humanité et les traduire devant la justice. La justice n’est pas négociable on a besoin de votre condamnation unanime des groupes rebelles qui sont responsables de ces actes, on a besoin des actions concrètes à l’encontre des états membres des nations unies qui soutiennent de près ou de loin ces barbaries. Nous sommes devant une urgence humanitaire qui ne donne plus place à la tergiversation. Tous les ingrédients sont réunis pour mettre fin à une guerre injuste qui a utilisé la violence et le viol de femmes comme une stratégie de guerre. Les femmes congolaises ont droit a une protection à l’instar de toutes les femmes de cette planète. Vouloir mettre tous ces rapports crédibles dans le tiroir de l’oubliette sera porté une atteinte grave à la crédibilité de différentes résolutions des nations unies exigeant la protection des femmes en période des conflits et donc décrédibiliser toute notre chère institution qui pourtant est censée garantir la non répétition du génocide.
Les acquis de la civilisation reculent ; ils reculent par les nouvelles barbaries comme en Syrie et en RDC ; mais aussi par le silence assourdissant et le manque de courage de la communauté internationale.
Nous ne saurions pas taire la vérité car elle têtue, nous devrions plutôt l’affronter pour éviter de trahir nos idéaux .
J’ai l’honneur de dire que le courage des femmes VVS de l’Est de la RDC finira par vaincre le mal.
Aidez-le à retrouver la paix !
Je vous remercie. Denis Mukwege Médecin Directeur Hôpital de Panzi Bukavu-RD Congo

via Pour la défense des femmes violées massivement en RDC et de part le monde et grâce à Dossou Didier

Mais, oyez, oyez, bonnes gens, les explications des violeurs militaires en République Populaire du Congo en guerre, sont-elles différentes des explications des violeurs en tant de séisme, en tant de paix, en Europe, en Asie ? 

2006 - Evolution majeure dans le droit congolais et dans la reconnaissance de la souffrance des victimes Les viols systématiques et de masses sont, depuis le 12 avril, considérés comme des crimes contre l’humanité en République Démocratique du Congo. La décision du Tribunal militaire de Songo-Mboyo, une province du Nord, de condamner 7 soldats à la prison à perpétuité, marque une évolution majeure dans le droit congolais et dans la reconnaissance de la souffrance des victimes. http://www.afrik.com/article9725.html



Le Tribunal Pénal International pour la Yougoslavie et le tribunal militaire congolais ont ouvert la voie - L'esclavage sexuel et viols féminicides sont des crimes contre l'humanité.

"
La nuit c'était le pire. Les soldats étaient ivres, venaient et partaient avec une femme. Curieusement, quand nous revenions, noues ne parlions pas de ce qu'ils noues faisaient. Nous avions tellement peur que l'on sache ce qu'ils nous faisaient. Noues avons commencé à avoir peur de notre ombre. Mais notre silence parlait de lui même. ...Le viol, c'était pour noues torturer. Pour briser notre âme. Ils auraient pu me tirer une balle dans la tête, je ne serais pas restée là, avec cette douleur. Nous ne serons plus jamais les femmes que noues étions. Ils noues ont brisé l'âme. Sali le sang...  ... Je me demande. Ces gens n'ont pas de sentiment. Ils savaient parfaitement ce qu'ils faisaient. Ils n'étaient pas ivres ou .... Ils étaient très organisés. Ils nous vendaient. Nous étions leurs esclaves. ....Si la rivière pouvait parler, elle seule sait ce qui s'est passé ... si le pont pouvait parler, pour dire combien ont été jetées ... ils n'ont pas tué un enfant, ils n'ont pas tué dix femmes, mais des milliers. ... Aujourd'hui, nous allons à toutes les exhumations pour essayer de retrouver les femmes ..."  Viol, arme de guerre" documentaire de Sabina Subasic & Fabrice Gardel, 2001
http://www.viol-tactique-de-guerre.org/liste-de-films,192.html

12 ans après le procès "du camp des viols"de Foca (Bosnie), condamnation à des peines comprises entre douze et vingt-huit ans de prison, pierre blanche dans l'histoire de la justice pénale internationale. Pour la première fois, qualifié le viol de civils en temps de guerre de "crime contre l'humanité". Et en temps de paix, les hommes peuvent continuer, alors que le viol féminicide a toujours été le moyen de couper la lignée de l'ennemi ou du voisin, en temps de paix comme de guerre.


Il faut parfaire cette prise de conscience - Instaurons l'interdiction formelle des féminicides & androcides de féminicides assimilés, en temps de guerre et de paix !

Le Mali se rappelle à nous par un SOS le mercredi 4 avril 2012 à 11 h 26 : "Hamadoun Diarra S O S Les rebelles continuent de piller et de violer les femmes (souvent sur la place publique de Gao)" via http://www.facebook.com/groups/edwige.k/  Malheureusement, deux jours après tombe, encore une fois,  confirmation http://www.egalite-infos.fr/2012/04/06/mali-des-femmes-et-des-filles-enlevees-et-violees-au-nord-du-pays/ Vilain mois de mai au Mali http://www.maliweb.net/news/insecurite/2012/05/01/article,63939.html

Féminicides http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/definitions-feminicides.html

Source obligatoire SVP © Copyright- Toute citation de cet article doit être de contexte, précise, avec auteur http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/07/qui-ecrit-ici.html
, date de version, blog "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr le lien exact du document & id. en cas d'usage du logotype montage photographique "Eradication des féminicides - Larmes de sang" CGMD ©Tous droits réservés international 2012

18/01/12

"Feminicidio" trop étroit au Guatemala, etc.

Félicitations & encouragements à l'avant-garde, aux précurseurs, aux premières, à celles qui ont resorti des cartons poussiéreux de 1801, le terme frappé d'omerta du "feminicide" - Bolivia, Chili, Costa Rica, Guatemala, Mexico, Nicaragua, Péru, Salvador...

Les "feminicidios" devront embrasser toutes les "violences à l'égard des femmes" restées inommées et innommables. Vivement que cette avancée majeure de mettre un mot sur le meurtre des femmes parcequ'elles sont des femmes et des épouses (conjuguicides uxoricides) soient complétée et confortée, en élargissant le concept aux violences sexospécifiques et de genre féminicides.

Cela évitera à ces états d'être pointés comme discriminatoires, n'ayant pas pris en compte équitablement les violences sexospécifiques androcides d'hommes parcequ'ils appartiennent au sexe masculin (enfants violés, par ex.)

Nous devons tous avoir plus d'ambition. L'Amérique du Nord dérape des deux pieds sur les violences féminicides conjuguales, la France et l'UE doivent prendre la main d'urgence, pour amplifier et élargir la qualification des féminicides, suivant l'index exemplaire pointé par ces pays sur les "féminicidios" au pénal. États-Unis : pour des raisons financières, battre sa femme est désormais légal au Kansas « État du.

Elles luttent dans le monde "iberolusoaméricain" contre les féminicides :
http://www.amnestyinternational.be/doc/agir-2099/nos-campagnes/violences-contre-les-femmes-649/droits-des-femmes/Temoignages/Lucha-Castro-Lutte-contre-les
Estimations Ibéroaméricaines 1, assassinats féminicides dont uxoricides 


Photos de Cali Colombia - La Paz Bolivia - Montevideo Uruguay

Campagne 2011 - Synthèse ¡Féminicides!

Loi

Les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires. Charles de Secondat, dit Montesquieu, 1748 Photographie Vladimir Trunoff http...