"Les personnes du Sexe ne pourront jamais se relever de cette injuste privation qu’elles endurent, si elles ne travaillent à détruire l’ignorance…"*
- Annie de Pène
Avant que je ramasse et lise un roman de Germaine Beaumont, je ne savais rien de son existence.
"Son principal récit d'une trentaine de pages, titré Une femme dans la tranchée, est édité sous forme d’une brochure en 1915, aux éditions de L’œuvre, s'articule autour de trois reportages effectués directement dans les tranchées françaises mais aussi dans des tranchées abandonnées par les troupes allemandes et reprise par les armées française et belge" https://fr.wikipedia.org/wiki/Annie_de_P%C3%A8ne
Ou bien L'Evadée https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k937850p.image%7CGallica
" Au fil des pages, le thym, le cassis en fleur, la ravenelle, les genévriers, l’acacia, la jacinthe, le sureau, la marron d’Inde et bien d’autres embaument l’odorat. Les passages consacrés aux jardins sont autant de moments d’évasion. Quand vous célébrez le jardin, ses arbres, ses plantes et ses oiseaux- seriez-vous capable de distinguer le pierrot casqué de noir, de sa femelle uniformément grise, ou la brune abeille veloutée de l’étincelante guêpe zébrée d’or ? La similitude avec Colette, elle aussi éprise de campagne et du jardin de son enfance, est saisissante.
Fille naturelle, Annie de Pène – de son vrai nom Désirée Joséphine Poutrel- est née en 1871 près de Rouen. Mariée à Charles Auguste Battendier, elle divorce à 27 ans après dix ans de mariage. Privée de la garde de ses deux enfants, elle débarque à Paris où elle ouvre une librairie proposant des ouvrages destinés à l’éducation des jeunes filles de bonne famille. Elle rencontre Gustave Téry- Directeur de l’Oeuvre- dont elle devient la compagne. Cheville ouvrière de la revue durant la Grande Guerre, elle se forge une notoriété avec ses reportages en direct des tranchées où elle se rend dès l’automne 1914.
Ces articles sont rassemblés en 1915 sous le titre Une Femme dans les tranchées. Elle côtoie Barbusse, Lucie Delarue-Mardrus et bien sûr Colette dont elle est très proche et qui s’occupera de sa fille, l’écrivaine Germaine Beaumont. Annie de Pène meurt de la grippe espagnole la 14 Octobre 1918 à 47 ans. Peut être est-ce du fait de son existence brutalement écourtée que ses écrits plus romanesques sont restés confidentiels et qu’Annie de Pène est aujourd’hui totalement ensablée." Elisabeth Guichard Roche, décembre 2018 https://www.actualitte.com/article/livres/les-ensables-confidences-de-femmes-de-annie-de-pene/92189
On ne peut que prêter attention en cette période de covid-19, contagieux, relativement peu virulent mais véloce cent ans plus tard aux quatre cents mille morts françaises, dont Annie de Pène ou Guillaume Appolinaire. Aura-t-on une fois la tempête virale passée, les noms de "grandes personnes" à la bouche ?
"La pandémie grippale de 1918, dite « grippe espagnole », est due à une souche (H1N1) particulièrement virulente et contagieuse qui s'est répandue de 1918 à 1919." https://fr.wikipedia.org/wiki/Grippe_espagnole
- Germaine Beaumont https://fr.wikipedia.org/wiki/Germaine_Beaumont Qui aurait cru de cette journaliste et romancière, d'aussi belle plume et sous de telles génies tutélaires que Colette et Virginia Woolf, qu'elle sombre dans l'oubli ?
"Germaine Battendier est la fille d'Annie de Pène, morte de la grippe espagnole en 1918 et grande amie de Colette."
Colette disait d'elle, des romans policiers sans policiers, et c'éait bien vu.
"Je suis un animal littéraire" 1964 https://www.franceculture.fr/emissions/les-nuits-de-france-culture/le-metier-decrivain-propos-de-germaine-beaumont-12-1ere-diffusion-du-27-au-29011964
"Mais pour ce qui était de la beauté d'un paysage fluvial, elle n'en avait cure. Du moins ne l'avait-elle pas ressentie entre les rives civilisées, les hauts murs de pierre, les perspectives de Paris. Là, entre les collines de Canteleu et de la Côte Sainte Catherine, la Seine charbonneuse, puissante, encombrée, piquée de mouettes comme une prairie l'est de papillons la soulevait et l'excitait. Homme le destin des matelots l'eût tentée. Elle se croyait faite pour passer et pour prendre. Pour abandonner aussi.
1930 "Elle est la première femme à obtenir le prix Renaudot"Un promeneur qui la suivait effleura sa taille, et pour prix de cet exploit reçut une nasarde à laquelle il riposta par une injure si salée qu'elle éclata de rire, laissant son agresseur définitivement confondu." Germaine Beaumont, Silsauve, Plon, 1951
Prix Alice-Louis Barthou (1942) Prix Renée Vivien (1951) Prix Georges Dupau (1952) - Toutes lauréates quasiment inconnues et peu mentionnées |
- Beatrix Beck https://fr.wikipedia.org/wiki/Béatrix_Beck
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Signature de "Léon Morin, prêtre" en compagnie de sa fille , Paris, décembre1952 https://www.lemonde.fr/livres/article/2020/07/12/devancer-la-nuit-de-beatrix-beck-une-amitie-sans-pareille_6045979_3260.html |
Son adaptation cinématographique, e film de Melville reste remarquable. L'on peut imaginer qu'il conribue beaucoup à l'idée que communisme et christianisme serait à l'identique ? https://www.youtube.com/watch?v=wh6NBnz_bH8
L'on ne peut pas dire que l'auteur ait été célébrée en 2008 au moment de son décès.
- Stéphanie-Félicité de Genlis de Crest - Épouse de Charles-Alexis Brulart (1737-1793), comte de Genlis, marquis de Sillery

Titéa sans nul doute onomatopée du bruit de succion de l'enfantelet affamé.
"Uranus ou le Ciel, fils du Jour et du Chaos ; le plus ancien des Dieux ; il eut pour épouse la Terre, sa sœur, appelée Ghé ou Titéa, nom qui signifie : nourrice. Il fut père de l’Océan, des Centimanes ou Géans à cent bras, des Cyclopes, des Titans et des Titanides. Uranus renferma dans le Tartare les Gentimanes et les Cyclopes. Ghé, leur mère, pour les délivrer, révolta, contre Uranus, les Titans et surtout Saturne ou Cronos, le plus jeune des Titans, qui combattit et mutila son père ; du sang versé par ce parricide et répandu dans la mer, naquirent les Furies, des Géans et Vénus" Stéphanie-Félicité Genlis du Crest, Arabesques mythologiques, 1810 http://obvil.sorbonne-universite.fr/corpus/mythographie/genlis_arabesques-mythologiques-01_1810
Première mutilation bien antérieure au christianisme, qui ne date pas des crucifix et des lignées patriarcales qui au contraire révèrent le plus ancien, le père des pères, uthokhokho (récitation mâniste elomwé, par ex.) - voir SAF Patriarcats https://susaufeminicides.blogspot.com/2019/11/patriarcat-ou-pas.html
"La comtesse de Genlis se chargea également de l'éducation des enfants d'Orléans et notamment de celle du futur roi des Français, qu'elle éleva avec l'idée d'en faire un nouveau saint Louis"
"Des chansons contre Madame de Genlis se multiplient dans le tout Paris. On l’accuse d’être une dévote, une moralisatrice. On raille également ses statuts de femme-gouverneur, de femme-auteur et de femme-érudite. À travers cette campagne à charge, Madame de Genlis est en partie victime de la caricature de la « femme-savante », très méprisée en cette fin du XVIII ͤ siècle. À l’heure où l’Ancien Régime décline, il est commun de penser que le « bel esprit » néglige forcément les devoirs d’épouse et de mère. Dans un tel contexte, les aspirantes femmes de lettres n’ont naturellement pas bonne presse.""Selon Reid, Madame de Genlis est « la première à avoir expressément pris pour héroïne une femme qui écrit et qui publie. C’est-à-dire qui ne se contente pas de noircir du papier, d’écrire des poèmes pour le plaisir, ou d’envoyer des lettres ». Dans les dernières années de sa vie, la comtesse fait paraître des livres qui font dates pour différentes raisons. D’abord, en 1811, l’ambitieux précis d’histoire littéraire De l’influence des femmes sur la littérature française sort en librairie. L’intention de la femme auteur est clairement exposée dès l’avertissement ; soit écrire « une histoire rapide [..] précédée par des réflexions sur les femmes en général, et particulièrement sur les femmes auteurs ». Plus loin, dans la partie « Réflexions préliminaires sur les femmes », son propos devient militant. Elle interpelle le lecteur pour défendre les aspirantes femmes auteurs : « laissons-les écrire, si elles sacrifient à cet amusement les spectacles, le jeu, les bals et les visites inutiles. […]" https://fr.wikipedia.org/wiki/Félicité_de_Genlis
- Marie-Victoire Lemoine https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Victoire_Lemoine
Marie-Victoire Lemoine, Jeune garçon donnant la becquée à deux oiselets https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Victoire_Lemoine#/media/Fichier:Marie-Victoire_Lemoine_(attr)_Portrait_of_a_boy_feeding_two_bird.jpg
Ses sœurs Nisa Lemoine et Marie-Élisabeth Gabiou également peintres.
Joseph Baillio : Vie et œuvre de Marie-Victoire Lemoine (1754-1820), suivi de Margaret A. Oppenheimer : Nisa Villers, née Lemoine (1774-1821). Gazette des Beaux-Arts, n° spécial, avril 1996 [compte-rendu] https://www.persee.fr/doc/dhs_0070-6760_1998_num_30_1_2269_t1_0688_0000_1
- Adélaïde Labille des Vertus ou Adélaïde Labille-Guiard https://fr.wikipedia.org/wiki/Ad%C3%A9la%C3%AFde_Labille-Guiard
- Lavinia Fontana ou Zappi https://fr.wikipedia.org/wiki/Lavinia_Fontana
"Liée à l'école maniériste, Lavinia Fontana fut l'une des plus importantes portraitistes de Bologne à la fin du xvie siècle. Elle fut aussi l'une des premières femmes à exécuter de grandes commandes publiques" https://www.universalis.fr/encyclopedie/lavinia-fontana/
- Marie Le Jars de Gournay https://histoireparlesfemmes.com/2014/05/19/marie-de-gournay-ecrivaine-independante/
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Egalité des hommes et des femmes, traduit en anglais par Richard Hillman et Colette Quesnel |
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Egalité des hommes et des femmes: A la reyne.. Marie Le Jars de Gournay, Librairie Droz, 1622 |
1656 - Grief des dames https://fr.wikisource.org/wiki/Grief_des_dames
Qu'elle ait été moraliste dévote n'enlève rien à son intrépidité. Montaigne et La Rochefoucault, loués mais de Gournay négligée..
"Comme beaucoup de femmes indépendantes de son temps, elle affronte rumeurs et calomnies, personnellement comme pour ses œuvres." https://histoireparlesfemmes.com/2014/05/19/marie-de-gournay-ecrivaine-independante/Sylvie Taussig, Le philosophe est-il un monstre philosophique ? En lisant Marie de Gournay http://www.cndp.fr/magphilo/index.php?id=160
Égalité des hommes et des femmes et autres textes Marie De Gournay Editions Gallimard Collection : Folio Sagesses, 2018-02-15 https://excerpts.numilog.com/books/9782072760990.pdf
Fiche Wikipedia (agrégateur de sources, dit dictionnaire) absente
- Jeanne-Michelle Hamonin de Maranville, Mme de Pringy https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne-Michelle_de_Pringy
Pringy, qui par ses beaux Discours Pleins de savoir & d'éloquence,Vante les Héros de la France, Est un Orace dans nos jours. En effet, Madame, vous estes admirable dans vos pensées, dans vos expressions, dans vostre stile, & dans le tour que vous donnés à tout ce que vous dites. Nostre Langue en vostre bouche a des beautez nouvelles [...]." https://uwaterloo.ca/margot/sites/ca.margot/files/uploads/files/caracteres.pdf
- Charlotte de Brachart
Harengue faicte par damoiselle Charlotte de Brachart, surnommée Aretuze, qui s'adrese aux hommes qui veuillent deffendre le science aux femmes, 1604
Jugée sur sa mine avant même d'être lue... Refuser d'endurer toute "injuste privation" et travailler à en "détruire l'ignorance" fait cible. Renvoyée au fuseau et à la quenouille, histoire de l'occuper à choses futiles et utiles à la fois. Pas question de piétiner les plate-bandes des jardiniers de l'esprit de ces messieurs des lettres et des sciences, tant savants. https://fr.wikipedia.org/wiki/Femme_de_lettres Ecartons les gronderies. Vous pourriez vous demander pour quelle raison une féministe déterminée n'utilise pas auteur féminisé. Tout d'abord car plus généralement, la "visibilisation" de la gent féminine ne me parait pas nécessaire car en France, plus aucun domaine ne nous est plus interdit. Tout rejet d'une tête féminine ou même de ses pieds serait attaquable en justice. SAF Chrono lex http://susaufeminicides.blogspot.com/2019/11/chrono-lex.html Le patriarcat occidental, et juridique, sombrent dans les brumes du passé. En outre quant à mon impression personnelle, je ne me sens pas invisible d'un "e" qui manquerait en fin de mot. Il ne tient qu'à moi si j'ai besoin de décrire avec précision nécessaire de définir de quel sexe est l'auteur. S'il en est besoin pour le cours du texte, la compréhension et la description fine, je me sers de l'article féminin "une". L'élision devant le é fermé pour le défini étant peu bavarde, il faut lui offrant un qualificatif accordé toute à elle le rendre plus définitif. De toute façon, l'Académie ou le régime n'a nul droit à m'obliger à dire ou à me l'interdire, pas plus qu'un parti politique. "Les termes « escrivaine » et « escripvaine » sont attestés en français dès le xive siècle, comme l'indique le Dictionnaire Godefroy qui en recense deux exemples d'usages ; « escrivaine » y est défini comme le féminin de « escrivain ». Aux xvie et xviie siècles, on utilisait plutôt « autrice » (également épelé « auctrice » ou « authrice ») : « Tout ce que vous dites sur les femmes “autrices” est admirable », écrit Jean Chapelain en 1639, le premier occupant du fauteuil 7 de l'Académie française. On trouve également le mot « escrivaine » sous sa plume, dans une lettre adressée le à Guez de Balzac. Au xviiie siècle, Restif de la Bretonne tentera « auteuse », mais l'« authoresse » du xixe siècle, sous influence anglaise, sera repoussé sans ménagement : « Un journal discourait naguère sur “authoresse” et, le proscrivant avec raison, le voulait exprimer par “auteur”. Pourquoi cette réserve, cette peur d’user des forces linguistiques ? Nous avons fait “actrice”, “cantatrice”, “bienfaitrice”, et nous reculons devant “autrice”, et nous allons chercher le même mot latin grossièrement anglicisé et orné, comme d’un anneau dans le nez, d’un grotesque th » Le féminin « auteure » est attesté dès le milieu du xixe siècle sous la plume de Delphine de Girardin : « Madame de Flahault est douée d’une haute intelligence, d’une véritable capacité ; si l’on dit femme auteure, nous dirons que Madame de Flahault est une femme administrateure" Grammaticalement parlant, "auctor" signifie "personne qui fait croître", qui élève, poussant à la hauteur. Tardivement, entretient le sens d'écrivain avec "auctorem", l'auteur. a) La nuance est forte d'avec "auctrix", vers "autrice" féminin d'"auctor", n’a jamais signifié l’écrivain mais "personne qui produit, qui augmente, qui crée (au sens divin), celle qui a vendu" : "Ave Maria, O auctrix vitae" / "Je vous salue Marie, origine de la vie". Créatrice maternelle. Toujours circonscrite à sa fonctionnement, et au rôle obligée, de tâches négligées par le géniteur, père de lignées mais dans l'ensemble peu forcé à la couvade jusqu'ici. "Autrice" à la Suisse de contre-sens étymologique latin puisque d'"auctorem" accusatif (Complément d'Objet Direct, en gros) "-em" n'a pas de genre sémantique, signification uniforme de désignation quel que soit le sexe de la plume. b) Inconcevable "auteure", aurait pu descendre d'"auctoram" mais la voie n'est pas libre puisque n’exista tout simplement pas. Mais aussi, "auteure" ne me va pas car la syllabe supplémentaire créée par le "e" muet n'est pas imprononçable, même à la "sudiste" de mon pays du midi-moins-le-quart, cela passe à rebrousse-poil. L'outil lorsque forgé par une société sexiste n'a ni manche ni lame qui le devienne, un couteau reste un couteau, un pinceau, la partition, ou la lame. Seule celle qui s'en sert choisit son camp. Jugée sur sa mine avant même d'être lue... Refuser d'endurer toute "injuste privation" et travailler à en "détruire l'ignorance" fait cible. Renvoyée au fuseau et à la quenouille, histoire de l'occuper à choses futiles et utiles à la fois. Pas question de piétiner les plate-bandes des jardiniers de l'esprit de ces messieurs des lettres et des sciences, tant savants. https://fr.wikipedia.org/wiki/Femme_de_lettres Le principal reste toujours d'attiser la curiosité, propre à mieux appréhender notre court passage chez Ghé. Christine Gamita Doctorat / Ph. D. Ethnologie / anthropologie culturelle et sociale / anthropologie visuelle et sonore Ingénieur d'études informatiques spéc. en conseil de management de la qualité des services et systèmes informatiques et systèmes d'information Chercheuse indépendante depuis 2008 - Présidente de l'association AERAFEM https://www.facebook.com/MEFAREA/
Devenu Prix Anna de Noailles "En 1994, il a été regroupé avec les fondations et les prix Jules Favre, Marcelle Dumas-Millier et Anaïs Ségalas dans le prix Anna-de-Noailles https://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Alice-Louis-Barthou
A - ¡Féminicides! - http://susaufeminicides.blogspot.fr/2011/11/feminicides-definis.html B - ¿Androcides? - http://susaufeminicides.blogspot.fr/p/androcides.html Statut à former http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/08/salon-de-demoiselles.html Des chiffres ? http://susaufeminicides.blogspot.fr/2012/01/combien.html ![]() "L121-1,‘ L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible." Pour citer cette ressource, également base de données, mentionner votre date de consultation sous la forme (consulté le x … 20…) Auteur : Christine Gamita Droits d'auteur : Creative Commons by-nc-sa 3.0 F Tout usage toile ou papier hors ce cadre sera passible de poursuites - Reproduction autorisée à condition de citer les liens © Copyright- Toute citation de cet article doit être de contexte, précise, avec date de version, blog "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr le lien exact du document & id. en cas d'usage du logotype montage photographique "Eradication des féminicides - Larmes de sang" CGMD © Christine Gamita Tous droits réservés illimités international- Unauthorized use and/or duplication of this material without express and written permission from this blog’s author and/or owner is strictly prohibited. Excerpts and links may be used, provided that full and clear credit is given to "Thémis - Haro sur les fémincides et androcides dans le monde" http://susaufeminicides.blogspot.fr with appropriate and specific direction to the original content. However, no link is to be reproduced on slanderous motives and/or miscategorization. Therefore, before any use of network Tools such as scoop-it or pinterest & so, the author’s permission is required. Il est essentiel lors de toute utilisation de cette production ou partie de cette production de préciser la source : le lien et l’auteure de l’article, ponctuation adéquate encadrant la citation -entre guillemets- et dans son contexte, sans distorsion ni manipulation ( article L122-5, du code de la propriété intellectuelle) . La permission formulée et explicite de l’auteure est également exigée. De la même manière, concepts, termes et approches empruntés à l’auteure du blog doivent être mentionnés comme tels- références adéquates. En vertu du code de la propriété intellectuelle stipulant à l’article L121-1,‘ L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible.existe aussi dans les langues suivantes Castellano Castellano(España) Català Dansk Deutsch English Esperanto français Galego hrvatski Indonesia Italiano Lietuvių Magyar Melayu Nederlands Norsk polski Português Português (BR) Suomeksi svenska Türkçeíslenska česky Ελληνικά русский українська العربية 日本語 華語 (台灣) |
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