07/06/23

Gommage

"Le premier environnement de tout être humain,c’est un corps de femme."* 

Poterie d'argile à deux pieds, Art égyptien, classique, ancien du Proche-Orient, fabriquée dans la région du Nord, Iran, env. 1000-800 avant notre ère - 18 7/8 x Diam. 7 11/16 in. (48 x 19,5 cm) https://www.bro

Variations sur la célébration des mères et de qui lui en veut...

D'esthétique, il ne sera pas question mais de la Fête des mères, qui n'a pas surgi en France du milieu du XXème.

Maternage et maternité - Déesses-mères grecques Gaïa et Rhéa (Cybèle), l'Empire romain salue le 1er mars la magna mater des "matronales". 

Reine vierge et féconde, en majesté Marie, selon au IVe siècle saint Ephrem, célébrée en août depuis 1954 en Marie Reine instituée par Pie XII.
"Reine de tous les êtres, notre très glorieuse Dame, celle dont nous sommes tous les serviteurs et les clients ; le sceptre qui commande à tous", Éphrem le syrien, "harpe du Saint-Esprit", poèmes composés en syriaque
"Heureuse Reine, tu t’assoiras sur le trône suprême, toi, blanche comme le lait, tu seras ornée de feston neigeux. La plus noble des assemblées t’entourera. Ainsi, tu es Reine près de ton Fils, le Roi éternel, couronnée à cause de ton enfantement, toi la meilleure des Mères", Venance Fortunat, évêque de Poitiers
Au XVème, Mothering day chrétien. La première fête des mères en France date de 1906, à Lyon de 1918 et de 1926 à Paris. https://gallica.bnf.fr/blog/05062020/linvention-de-la-fete-des-meres-origines-histoire-mediatique-et-idees-cadeaux

Le mythe en boucle - Le gommage de la Fête des Mères marque une nouvelle oscillation du déplacement de la maternité, la gent féminine souffrant d'être montée en épingle (à nourrice) dans une première phase historique qui bascule en une deuxième d'inversion à l'autre extrême par l'effacement. Place aux déesses-pères*, Ouranos devient terre.

Croissez, multipliez - Une bien vieille antienne que seuls les dieux des cieux, dieu le père, soient créateurs. Les femmes ne deviennent "créatrices" que sur le tard. Auparavant, l'on peut remarquer autrice en français, soit auctrix féminin de auctor -d’augere, "faire croître", fonder-, augmenteresse. En surcroît, la fonction maternelle serait bientôt fait masculin ? Forcément, elles furent créées et sont créatures et non pas creatur, elles ne créent pas, elles portent... La boucle parachevée sur un noeud.
"Créatrice - Ds Ac. 1932 aussi au fém. et en tant qu'adjectif."
Des hommes pas bégueules pour un sou leur donnèrent de l'autrice (le français date de 1539), mais cela n'empêche nullement que le sens conceptuel d'auteur au genre masculin, qui ne signifie pas que les mâles plumes, puisse perdurer. Certaines préfère cet épicène conceptuel d'auteur.
"la demoiselle autrice du précédent discours" L’imprimeur dans son adresse au lecteur du Brief discours : que l’excellence de la femme surpasse celle de l’homme, de Marie de Romieu (1581)

Ainsi qu'à l'Académie,

 "Tout ce que vous dites sur les femmes “autrices” est admirable", écrit Jean Chapelain en 1639, le premier occupant du fauteuil 7 de l'Académie française. On trouve également le mot « escrivaine » sous sa plume, dans une lettre adressée le  à Guez de Balzac."

En tout cas désormais se profile le phénomène de confirmation de desexuation, de désaisissement du sexe féminin de ses gamète et maternité, qui relève principalement du translexis* transidentitaire avec ses "pénis féminin", "les hommes peuvent être enceints" et "clitoris masculins", et des serves reproductrices en maternité ancillaire de gépéha.

Ecrire librement et avoir du talent comme réservé aux verges triomphantes, n'étant pas sans rappeler certaines appréciations vulgaires des femmes sortant de l'ordinaire. 
"Écrire pour les femmes ne fut pas chose facile ; leur écriture restait cantonnée au domaine privé : le courrier familial ou la comptabilité de la petite entreprise. Dans le concert de ceux qui n'aiment pas les femmes qui écrivent ; les conservateurs comme Joseph de Maistre, les libéraux comme Tocqueville, les républicains comme Michelet ou Zola. À propos de George Sand, certains aimaient à dire qu'elle avait "un clitoris gros comme nos verges", cultivant la misogynie graveleuse." https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-nuits-de-france-culture/histoire-des-femmes-ecrire-l-histoire-des-femmes-6-10-l-ame-14-femmes-et-creation-ecrire-15-la-vie-d-artiste-1ere-diffusion-17-et-18-03-2005-883608

Le translexis*, vocabulaire idéologique -jargon, dialecte- se tourne vers la neuternité en place de la maternité, la maternité paraissant offensante pour certains byphobes* (Pour les termes, voir SAF Lexique simple). L'égalité des genres y supplantent l'égalité des sexes,

"La valence différentielle des sexes ne repose pas sur des considérations de capacités moindre des femmes (fragilité, moindre poids, moindre taille, handicap des grossesses et de l’allaitement). Elle est plutôt "l’expression d’une volonté de contrôle de la reproduction de ceux qui ne disposent pas de ce pouvoir si particulier". C’est d’ailleurs ce contrôle masculin sur la procréation qui est poussé à son paroxysme par l’idée de permettre à des couples masculins d’accéder à une forme de filiation excluant la procréatrice ! L’égalité des genres parait ici renforcer la valence différentielle des sexes." Françoise Héritier et la valence différentielle des sexes. Publié le 14 février 2013 par lemoine001

"Une femme née femelle", nommer celle, qui seule possède l'appareil (fonctionnel ou non) de la maternité, constitue une violence sexiste de type symbolique - Si en mai 2023, Rem Amsalem, rapporteur ONU, s'émeut des violence et censure contre des travaux comme les nôtres et contre des féministes, c'est sans remarquer que son usage de la tournure "the specific needs of women born female" imposée par l'idéologie transidentitaire aux institutions internationales perpétue la violence symbolique misogyne. cf. Rem Amsalem, rapporteur ONU, 19 mai 2023 https://www.ohchr.org/sites/default/files/documents/issues/women/sr/statements/2023-05-19-statement-sr-vawg.pdf

Quelques pistes qui expliquent pourquoi la maternité étant gênante pour ceux qui n'y peuvent prétendre, le maternage servira d'alibi :

  • En trans - Activisme politique entriste
"Je souligne ce point de son discours parce qu’elle renverse l’image de la trans comme quelqu’un qui a comme principal travail de "corriger sa propre nature" (SILVA, 2007) et propose que la transsexualité est elle-même un produit de la nature et de dieu, qui, selon Camille Cabral, ne se trompe jamais. (...) Puis, Camille Cabral a comparé les mouvements trans au Brésil et en France. Selon elle, il existe entre eux différences et contradictions: alors qu’au Brésil il existe une articulation nationale des associations et qu’elles bénéficient du soutien du gouvernement, en France, malgré le grand développement des allocations familiales, il y a un vide dans ce domaine. Ces deux contextes gardent cependant, quelque chose en commun, c’est qu’"être trans, dans la société, est un acte politique"." Anna Paula Luna Salles, Questions trans revisitées, Revue Passages de Paris, n° 7, 2012
p. 91-96 https://www.apebfr.org/passagesdeparis/editione2012/articles/pdf/PP7_artigo9.pdf 
Ainsi va la transitude, synonyme québecois de transidentité, à contre courant. Ce qu'il est bon d'en étudier pour que cesse les atteintes à l'intégrité, en particulier, juvéniles. Dédramatiser et prévenir.
La catégorie de la transidentité, très usitée actuellement, compte dans les cent-vingt ans printemps, sous d'autres termes. Comme invoqué par les transactivistes, eux-même. https://www.theses.fr/2012BOR21923/document

Il était, jusqu'à ce qu'il en soit fait grande publicité à partir des années 70, très rare que quelqu'un doute de son sexe. Quant au "sexe douteux", "sexe neutre" ne concernant que l'hermaphrodisme, tant vrai que faux. Gabrielle Houbre, Dans l’ombre de l’hermaphrodite : hommes et femmes en famille dans la France du XIXe siècle, Clio, 34 | 2011, 85-104 https://journals.openedition.org/clio/10255

Démultiplication des cases - Les individus se caseraient où ils veulent, plus besoin de biologie - Selon un leader politique qui veut constitutionaliser le droit de douter de son sexe et celui de changer de sexe au nom d'une identification autodéterminée d'"identité de genre", argué d'un très petit nombre et de très grande souffrance qui exigent de se médicaliser et pathologiser à vie.
"Si c’est votre intime conviction, que vous êtes une femme ou un homme, vous avez le droit de l’affirmer contre la réalité des apparences et de votre corps. […] Cela ne concerne pas des milliers de gens, il n’y a pas des centaines de milliers de gens qui sont torturés par cette question mais ceux qui le sont en souffrent et souffrent beaucoup. Une souffrance qui a une origine purement administrative."

Subdivision de la transidentité en, au moins, 32 catégories, dites "genders" comme -ci-dessous. Mais il est tout fait pour nous convaincre ou plutôt nous imposer que cette surcharge d'étiquettes seraient émancipatrice, libératrice ?!

Table des 32 genres / catégories - Certaines cases de m/traduction

Diviser 355 par 32 ? - Europe - "355 pour 100 000 personnes (521 MtF et 256 FtM) (ces études avaient inclus en majorité des adultes)" s'autodéterminent sexuellement. En France, ALD castrations chimiques et castrations chirurgicales -euphémisme de transition, chirurgie de masculinisation et de féminisation- au nombre déclaré CNAM de
"8 952 personnes sont titulaires d’une ALD pour « transidentité » en 2020 (dont 294 âgées de 17 ans et moins). Les mineurs représentent 3,3 % des titulaires d’une ALD et près de 70 % des bénéficiaires ont entre 18 et 35 ans." Note de cadrage, Parcours de transition des personnes transgenres, Validée par le Collège le 7 septembre 2022 Date de la saisine : 23 avril 2021 https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-09/reco454_cadrage_trans_mel.pdf
En 2023, le mois des fiertés va sous la bannière des transgenres -travestis, drags en particulier- afin d'exalter la fierté de sa sexualité -sauf celles des hétéros-, dont celle de s'amputer de son sexe. Ce qui parait dangereux et antonymique à l'homosexualité. Ne pas s'identifier à son sexe, c'est nier l'homosexualité au fond.
  • Raison pour laquelle il semble difficile que les psychanalystes passent sans accrocs dans le camp de l'intégrité de principe
Conséquences, effets secondaires et non réversibilité des "castrations électives" entreprises sous pavillon des hommes qui sont des femmes... -terminologie psychanalytique de l'électivité : la transitude, pain béni et clé de voûte de la psychanalyse- Certains de ses adeptes imaginent-ils que la transitude prouve l'hypothèse freudienne du stade de la peur du pénis et de l'angoisse de castration, qui serait source des névroses -Ce qui expliquerait y compris la fascination lacanienne pour le sujet ?-

  • Heureusement que tous les gens de gauche ne sont pas aussi influençables quant à la transitude.
Les droits créances qui imposeraient leur totalitarisme à tous après l'ultralibéralisme phagocytant la gauche malléable ? Plus de droit à la française plus que du droit anglo-saxon au cas par cas... C'est vraiment dingue de nier la réalité des sexes (le sexe n'est pas réductible, ni le corps à des apparences, une enveloppe qu'on retaille) et de prétendre l'inscrire en constitution car une ultra minorité souffrante l'exigerait au nom de croyances datant du xxe (uranisme -esprit de sexe dans le "mauvais corps", steinachisme "glande féminine en corps d'homme").

L'origine administrative de la souffrance... Désormais même au commissariat, ne sortez plus vos papiers qui vous oppriment, dites, mon identité, c'est .... Honni soit qui mal y pense - Si vous la réfutez, vous allez être poursuivi pour discrimination ...phobe.

Le Mediator, à côté, c'est du pipi de sansonnet - Pour plus de jalons, plusieurs de mes précédents carnets de notes intrigués par la nouvelle vague scopte des castrations électives, et surtout comment les effets secondaires bien connus toujours des mêmes drogues, déjà employés avec de gros dégâts sur des femmes, non seulement continuent mais s'amplifient hors AMM avec la demande accrue à tous âges de médicamentation et médicalisation de la transidentité ! Voir SAF La fiole
    • 1898 - 1986 - Depuis 1910 de la définition du transvestisme de Magnus Hirschfeld tissé de la théorie du 3ème sexe, ou de 1923 du psychiatre  Albert Moll "façon de sentir sexuellement contraire", rien n'a beaucoup bougé
"Le terme transidentités, apparu en Allemagne au début du xxe siècle, renvoie à un ensemble de pratiques d’identification à un genre différent de celui assigné à la naissance." https://ehne.fr/fr/encyclopedie/th%C3%A9matiques/genre-et-europe/le-corps-genr%C3%A9-en-europe-entre-contrainte-et-%C3%A9mancipation/transidentit%C3%A9s-histoire-d%E2%80%99une-cat%C3%A9gorie

Il y est défendu la thèse de l'homosexualité innée. Ses rapports sont distendus avec le féminisme, patrimoine transmis au queerisme.

"Il faut toutefois garder à l’esprit que les médecins de l’Institut ne défendaient pas le contrôle des naissances au nom du bien-être des femmes ou au nom du droit des femmes à l’autodétermination. Ce sont avant tout des préoccupations sociales néo-malthusianistes qui animaient les médecins : il s’agissait de remédier à la misère ouvrière et à la pénurie de logement accentuées à leur sens par un nombre effréné de naissances

Les convictions eugénistes ont également joué. Les sexologues de l’Institut voyaient en effet dans le contrôle des naissances et dans le choix libre et raisonné de son partenaire un moyen d’améliorer l’espèce humaine." Agathe Bernier-Monod, L'institut de science de la sexualité de Magnus Hirschfeld et le féminisme, Ciera2, 04/04/2012 https://ciera.hypotheses.org/318

Le mouvement politique transidentitaire s'ouvre donc sous la croyance en l'uranisme avec Ulrichs (empire austro-hongrois) puis Hirschfeld (Allemagne), générant celui de transvestite, tous deux étroitement liés. 

"En 1898, il réédite les théories de l’inversion sexuelle de Karl Heinrich Ulrichs qui portent sur la conception scientifique du troisième sexe uraniste, théorie embryonnaire d’une psychologie de l’homosexualité" Damien DelilleTrans-archive. Magnus Hirschfeld et l’atlas visuel des sexualités de l’entre-deux-guerresGenre & Histoire, 23 | Printemps 2019 http://journals.openedition.org/genrehistoire/4215

    • 1965 -Le sexe désintégré - Intégrité et désintégrité* - année marquante -L'association pour les malades hormonaux prend le pas.
Un homme victime de traitements hormonaux expérimentaux nazis, laissant entendre à son retour qu'il aurait été féminisé par des hormones sans réversibilité possible (ce qui ne semble pas correspondre à l'état de l'art), revêt tous les attributs sociaux féminins et se fait chantre des travestis de cabaret. Conseillant à l'un ou l'autre le recours aux hormones pour parfaire leur personnage.
"...voudrait retrouver son sexe originel" A la fin de la vidéo. Aujourd'hui madame, L'Association pour malades hormonaux, 19.06.1980 Archives INA  https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i18086350/l-association-pour-malades-hormonaux

Dans son histoire des transsexuels en France, Maxime Foerster (2008) marque l’origine du mouvement associatif trans en la personne de Marie-André Schwindenhammer, qui fonde l’Association des malades hormonaux (AMAHO) en 1965.https://www.cairn.info/sociologie-des-transidentites--9791031802633-page-57.htm 

    • UE 1986 - Les sentiments d'identification sexuelle prennent force de loi, soutenus par certains hommes politiques, gagnés par l'ultralibéralisme, qui les considèrent en intime conviction à constitutionnaliser. 

"les personnes qui, tout en appartenant physiquement à un sexe, ont le sentiment d'appartenir à un autre" Arrêt du 10 octobre 1986 de la Cour européenne des droits de l'homme
  • Hagiographie de la transidentité queer
Le transgenrisme exige le respect de l'intégrité corporelle des hermaphrodites mais parallèlement prétend reposer sur des exemples-phares d'hermaphrodites opérés ?
"Parler de "pratiques transgenres » permettrait d’embrasser un plus grand nombre d’expressions de genres et de réévaluer la pseudo exceptionnalité du "travestisme"." Marie-Christine Bourcier, Des "femmes travesties" aux pratiques transgenres : repenser et queeriser le travestissement", Clio. Histoire, femmes et sociétés, 1999/2 (n° 10), p. 5-5  https://www.cairn.info/revue-clio-1999-2-page-5.htm
Copiant les mises en scène héroïques, sont avancées des travesties religieuses et de croyances sexuelles (bispiritisme, hijra, etc.) généralement liées à l'exercice de la prostitution homosexuelle travestie. Voir entre autres SAF Lexique simple, item Travestissement

Le sécularisme européen, pourtant alimenté par la croyance uraniste, bascule vers des opérations sur des hermaphrodites (probablement pseudo hermaphrodisme), désormais appelées de réassignation sexuelle (catégorie sexe) ou d'affirmation de genre (catégorielle), auxquelles procédèrent les docteurs Magnus Hirschfeld / Felix Abraham, Hamburger, et Harry Benjamin (endocrinologue).

Nous remontons le fil du temps en commençant par les opérations castratrices d'"intersexués" (anachronisme) du début du XXe siècle
    • Médicalisation et chirurgie d'hermaphrodite adulte
      • Berlin, 1922/1931
Rudolph Dora RichterLa première semble avoir eu lieu à l'Institut de sexologie de Berlin chapeauté par le Dr Magnus Hirschfeld (activiste transiniste premier à utiliser le terme de transvestite, lui-même homoérotique uraniste qui "se sent de l'autre sexe" tombé dans le mauvais corps) - Les rapports médicaux de l'établissement ne décrivent que des effets connus depuis des siècles de l'ablation de glandes sexuelles sur les castrats et les eunuques :
 "Sa castration a eu pour effet - bien que peu étendu - de rendre son corps plus plein, de restreindre la croissance de sa barbe, de rendre visibles les premiers signes de développement des seins et de donner le coussinet adipeux pelvien... une forme plus féminine."
En 1932, l'Institut de sexologie de Berlin opéra The Danish girl, Einar Wegener / Lili Elbe (lors de la tentative de greffe d'utérus, mortelle, le chirurgien constate des ovaires rudimentaires, probablement souffrante d'un syndrome de Klinefelter)

Quand il ne s'agit pas d'opérations d'hermaphrodites, elles sont présentées comme opérations pour des " homosexuels demandant une stérilisation" ehene
      • USA Années 1950
Le docteur Harry Benjamin a rencontré tous les précédents opérateurs d'Hirschfeld à Money. Itw H. Benjamin par Erwin J. Haeberle, Sexualmedizin, vol. 14, 1/1985) - En 1948, celui-ci à l'origine du premier patient mineur qu'il traite au Premarin puis envoie castrer à Berlin. En médecin-conseil, il préside à la fin des opérations et traitements commencés à Berlin par Georges Christine Jorgensen, qui va faire s'envoler la vente des feuilles de chou. 

Robert Roberta Cowell justifie lui-même l'ablation de ses organes génitaux masculins par son syndrome d'hermaphrodisme. Opéré par Laura Mickael Dillon, adepte du dualisme de l'esprit et du corps (uranisme) amateur d'activités masculines et auteur d'autobiographie 
"Cowell a expliqué qu'il était parfaitement acceptable de le faire dans des cas comme le sien, car elle avait une anomalie chromosomique, le syndrome masculin XX." (...)  
"...premier livre sur l'identité transgenre : Self : A Study in Endocrinology and Ethics en 1946 qui déclarait : "là où l'esprit ne peut pas être fait pour s'adapter au corps, le corps doit être fait pour s'adapter, à peu près en tout cas, à l'esprit."https://historycollection.com/11-remarkable-transgender-people-history/10/
Concernent ces types d'opérations, généralement les données conservées ou données à savoir ne comportant aucune analyse chromosomique, seules mentionnées la morphologie visible, l'on ne saura pas le fin mot de l'histoire exacte des problèmes génétiques reencontrés. cf. Les principales anomalies chromosomiques et leurs conséquences cliniques (parisdescartes.fr)

Ces transitions, ou réassignations sexuelles de genre qui n'avaient pas pour cause une anomalie ou une variation, prétendues novatrices et progressistes, ont donc bien mis en place tous les éléments qui ont permis d'opérer les hermaphrodites, ou intersexes, que la même idéologie prétend protéger de ces mêmes traitements invasifs, expérimentaux, irréversibles et destructifs ? 

En effet, ces ablations d'organes sexuels mal conformés combattues par le transactivisme, du fait de l'atteinte à l'intégrité des enfants dits intersexes. Des témoignages figurant dans l'éloquent mémoire rendent inconcevable que les services hospitaliers et médicaux favorisent les castrations avec création d'invagination à dilater, que ce soit concernant des individus normaux comme de patients des divers syndromes connus. L'on n'analysera pas ici s'il est judicieux de parler de normalité et d'individu normaux. (La définition statistique suffira "les tests de normalité permettent de vérifier si des données réelles suivent une loi normale ou non. Les tests de normalité sont des cas particuliers des tests d'adéquation (ou tests d'ajustement, tests permettant de comparer des distributions")

Pour quelle raison forcer à des dilatations qui, si elles sont le cas échéant concevables dans des soins vaginaux -où métabolisme, muqueuses, hormones et sécrétions entretiennent l'élasticité d'un organe formé naturellement- ne le sont plus dans le cas d'une création invaginatoire artificielle, sans rien de commun avec un vagin féminin -pléonasme, puisque le vagin est spécifiquement et uniquement présent chez les femelles https://www.cnrtl.fr/definition/vagin

Là, le respect de l'intégrité du corps humain est exigé en porte drapeau queer et transidentitaire et, dans la même minute, le contraire en cas du sentiment d'appartenir à l'autre sexe ou à aucun, qui n'est pas un trouble puisqu'il s'agit d'une conviction ? Et que pour le droit, il s'agit de liberté individuelle ainsi que son expression et d'engager le monde médical à répondre à l'exigence du consultant.

En adeptes de l'hermaphrodisme psychologique (bisexualité originelle de Freud et Adler), du "sexe spectral" d'Eugen Steinach et du sexe uniquement social de John Money. Une fois mis au carré les organes visibles, la sainte hormone dispensée, les gender roles -création 1955- feront tout le reste, soit omnipotence du sexe social.

A savoir, l'explication de l'homosexualité prévalant, "une glande féminine dans un corps masculin", Eugen Steinach cité par Chandak Sengoopta, Glandular Politics: Experimental Biology, Clinical Medicine, and Homosexual Emancipation in Fin-de-Siecle Central Europe, Isis, Vol. 89, No. 3 (Sep., 1998), pp. 445-473 https://www.jstor.org/stable/237142

Ces médecins, chéris du queerisme, donnés en exemple (Médaille Magnus Hirschfeld), sont donc clairement à l'origine de la banalisation des mutilations sexuelles d'hermaphrodites et de la castration, également de femmes, soit du scoptisme* contemporain.
"Morris adhère aux théories qui décrivent le genre comme une identité psychologique immanente, plus puissante que le corps sexué, et a une vision stéréotypée de la masculinité (dominatrice) et de la féminité (passive et intuitive). Néanmoins, son livre, écrit en 1974, porte la trace des idées développées dans le sillage des mouvements féministes et homosexuels. Morris se plaît dans son nouveau rôle de femme « féminine », mais il souhaite en même temps « transcender les limites de genre » et rêve d’un avenir qui permettrait une plus grande flexibilité des identités sexuelles et des rôles sociaux (Morris 1974)." Ilana Löwy, Intersexe et transsexualités : Les technologies de la médecine et la séparation du sexe biologique du sexe social, Cahiers du Genre, vol. 34, no. 1, 2003, pp. 81-104 https://www.cairn.info/revue-cahiers-du-genre-2003-1-page-81.htm
Cependant, le même mouvement transidentitaire jette l'anathème sur la médicalisation et les médecins opérant en cas d'intersexuation ?
      • Balle relancée en 1970
Préconisation d'abolir les différences sexuelles sexistes par l'effacement de la biologie. Présage de la transidentité par la voix de Shulamith Firestone du courant, dit de féminisme radicalqui soutint que la thèse de la différenciation sexuelle biologique et l'inégalité des deux sexes dans le rôle reproducteur serait la cause de la domination des mâles, de la subordination de classes sociales à d'autres, du racisme, de l'impérialisme et de l'absence écologique. Sauf que les classes sociales ou le racisme n'ont aucun fondement catégoriel biologique. Détruire la catégorie sexe ne changera rien au sexe humain.
"Il est devenu nécessaire de libérer l'humanité de la tyrannie de sa biologie (...) d'éliminer la distinction sexuelle elle-même [afin que] les différences génitales entre les êtres humains n'aurait plus d'importance culturellement."  Il est visé que la "transsexualité" devienne norme légale et culturelle. Ainsi, "le lien du sang de la mère à l'enfant finirait par être rompu" et la "disparition de la maternité" - "Tout comme le but final de la révolution socialiste n'était pas juste l'abolition des privilèges économiques de classe mais l'abolition des classes elles-mêmes, le but final de la révolution féministe ne doit pas juste être […] l'abolition des privilèges masculins mais l'abolition des différences sexuelles elles-mêmes" p. 126, Shulamith Firestone, La Dialectique du sexe,1970 

La critique féministe interne de Donna Haraway considérant cette position essentialiste concernant le genre, autant que les féministes technophiles que technophobes, n'aura pas freiné durablement le mouvement transidentitaire. Malheureusement pour les désormais innombrables adolescents et adultes qui croient à la thèse Firestone, et suppriment leur sexe par conviction issue de croyances, notamment "platoniques".

  • XXIème siècle, la presse de gauche comme de droite remet du carburant et le canard s'esbaudit de Casa Susanna
Le battage médiatique bien-pensant commencé par Les Inrocks ou la banalisation du drag race par le monarchisme, qui glousse de s'encanailler- Bientôt Louis XIV était un travesti, ne sera plus français, because ses grand-mères italienne et autrichienne, ses talons et ses perruques... Le christianisme et la monarchie de droit divin se veulent  montrer plus tolérants que la tolérance elle-même ?

M/capture d'écran teaser - La Grande Soirée des cabarets présentée par Nicky Doll et Stéphane Bern, Arte, 24 juin 2023

Les drags sont chargés de faire la lecture dans les bibliothèques. Afin d'être équitable, ces derniers devraient être accompagnés des artistes féminines qui savent certainement aussi bien lire qu'eux. Et sont drôlement plus accortes, élégantes et gracieuses. Mais, comment se fait-il qu'elles n'aient pas la parolen seraient-elles moins compétentes en matière de sexualité... C'est à cause de leurs coiffes ?

La responsabilité sociale n'est, en tout cas, pas au rendez-vous de la maison des canards, qui n'imagine pas un seul instant ce que leurs admirations produisent sur les plus jeunes - La Boite à Images contre l'intégrité au nom de désirs masculins... Casa Suzanna, que j'ai trouvé du plus grand ennui et tout à fait inintéressant, rien à y apprendre à part les rabâches habituels -l'Australien qui désire être une fille à cinq ans et n'en démordra plus et ses copains amerloques... - 

Fille pour eux, c'est porter des trucs américains moches, lipsticks et déshabillés ringards années de la femme au foyer pin up (hygiénisme et puritanisme d'éviter les péripatéticiennes), se castrer chimiquement et chirurgicalement. C'est tout de même dingue de continuer à croire que les femmes seraient juste des pompes à oestrogène, -les croyances d'Eugen Steinach (XIXe) et Freud, et Hirschfeld (eugéniste par ailleurs), et suivants- Le canard a parfois été plus perspicace et moins démagogo.


Je ne comprends toujours pas ce que des types disent lorsqu'ils serinent en battant du cil qu'ils "veulent être traités comme des femmes". Quel rapport cela a-t-il avec se castrer en "ôtant des parties inutiles" ? 

Ce sont ceux qui rejettent le sexe par l'ablation de leur sexe qui sont des puritains car ce ne sera alors en aucun cas un sexe et une sexualité féminines, à moins qu'ils veuillent croire au XXIe que le lot des femmes reste totalement passif. Tout rasé, pas de vagin, de clitoris, néant, ne reste que le rectum qui n'est du tout organe urogénital -cesser les manipulations des pseudos, des organes d'une telle complexité sont bien évidemment incopiables- Quel bizarre idée du sexe, des pompes, des poches... des bouts par ci, des bouts par là.

Aux pieds de Lifchtitz et son documentaire romantico-transactiviste à la sauce 70 admirative des héros travestis convaincus par Burrou qui les opérait au Maroc qu'il allait en "faire de vraies femmes" !  Tout cela, toujours sur le modèle Danish girl, hermaphrodite qui bien que n'étant pas dans leur situation biologique passe faussement pour autogynéphile, leur tient lieu de sainte travestie en hagiographie transactiviste, justifiant les castrations inutiles et tentant d'être admirés des femmes de sacrifier leurs bijoux de famille. On notera qu'achevée par la dernière opération de l'Institut de sexologie (meurtre sans intention de donner la mort)

-Burrou, ce chirurgien, à part le bouche à oreille de Pigalle devait connaître quelques journalistes de gauche qui ont préparé le terrain de son activité très lucrative- Suscitant dans la gauche et chez les femmes l'admiration pour ces courageux sacrifiant leur sexe au nom du désir masculin no limit- Tout le monde continue à n'y voir que du feu ! Mais jusqu'à quand ? Jusqu'à quand cette ode à la destruction volontaire de l'intégrité et de la sexualité ?! Tous ces pisse froids qui ne jurent que par ces docs insipides mais sensationnalistes... 

Evidemment pour soulever la pitié, l'intérêt politique (créer une dissociation cognitive entre le raisonnement et l'idéologie), il fallait dire que les "prisonniers du genre" étaient victimes du maccarthysme..

      • Identité et identification - S'y résumer
Les identifications sociales ou individuelles ne peuvent être être prétendues un conglomérat  profond dont les éléments feraient le tour d'une personnalité, au contraire de ce que prétendu pour permettre les atteintes à l'intégrité d'un corps sains par la chirurgie et les stéroïdes toxiques. Le prétexte de ses impressions, qui seraient des troubles entrainés par le port de certains vêtements et le regard d'autrui.

L'identité réduite aux apparences n'est pas l'identité. La personnalité d'un sujet ne se résume pas à un empilement identificatoire.

Il n'y a pas plus injuste que de réduire le sexe féminin ou masculin à une identité, à une catégorie extensible jusqu'à accueillir le sentimentalisme masculin. 

S'identifier à une nation avait produit l'identité nationale, qu'est-ce qu'est en train de créer de s'identifier à un sexe, ou transidentification ? Quelle sorte de société détermine-t-elle ? Prétendant empêcher le contrôle étatique, elle génère un contrôle social accru avec patrimonialisation du citoyen, qui y perd les principes fondant les droits universels.

L'adhérence entre homophobie et transphobie reste réfutable, du fait que cela sans rapport objectif, sauf à savoir la perpétuation de la croyance que les travestis sont des "femmes ratées" au contraire des homosexuels masculins, mieux en cour... et que tant l'homosexualité que la transexualité serait innées. Ni l'une, ni l'autre n'a été prouvée par la méthode scientifique.

Insultée, et d'autres abolitionnistes, depuis que j'ai découvert en 2011/2012 le pot aux roses, ou plutôt les épines du STRASS -constituant un regroupement de trans "dominatrices" et leurs copines, prônant la réglementation et l'autogestion de la prostitution foncièrement opposées à toutes lois qui permettent de s'extraire du système prostitutionnel, diffamées d'emblée toutes de "putophobes" et "transphobes"

Ainsi et bien que les implications et conséquences en soient innombrables et lourdes, il est devenu cependant interdit d'analyser le mouvement de la transidentité, d'en débattre, d'en avoir une opinion, au risque d'être menacé.
  • Ménager des apparences, auxquelles on s'identifie - Quel rapport ont les perturbateurs endocriniens, agonistes GnRH, et les stéroïdes avec le changement de sexe infaisable ? 
Hormis celui de rendre les patients qui consultent malade à vie par leurs effets secondaires et leur irréversibilité, pour l'essentiel, avec un changement de sexe qui n'existe pas laissant toutes les personnes qui ont pris ces traitements castrateurs au milieu du gué...
Les universités queeristiques travaillant à justifier leur propre castration - Alexandre Baril, Gender Identity Trouble, An Analysis of the Underrepresentation of Trans* Professors in Canadian Universities, Chiasma, no. 5, 2019, p.90-128, traduc' http://id.erudit.org/iderudit/1042335ar

Les champions de la transnormativité, après l'homonormativité, dont la tactique consiste à enraciner l'idée religieuse des homos femmes ratées pour partie d'entre eux, se fourvoient finalement à soutenir la négation des les lesbiennes ?

L'on y entrevoit que sans des femmes supporters, leur domination intellectuelle serait de peu de jet : des hommes féminisées bien placés dans les institutions, en particulier universitaires, tendent à convaincre politiques et institutions que les femmes rétives à leur opinion ne sont pas de "bonnes" femmes mais des vilaines, des boulets aliénés à l'ordre moral bourgeois en panique qui n'ont rien compris à la finesse de leurs vues et de leur croisade contre leur propre pénis, pour n'en citer que les principaux, Cabral, Espineira, Thomas, etc. Epaulés par des femmes masculinisées (Tom Reucher -Vigitrans-, S. Marie-Hélène Bourcier -Archilesb-, P. Béatrice Preciado, Judith J. Halberstam, A. Baril) convaincues que détruire leur intégrité sexuelle planant dans le rêve psychanalytique du pouvoir du "phallus cybernétique" ? Voir aussi dans SAF Lexique simple, item Lesbienne

Dépsychiatriser, "dépathologiser", déclassifier mais médicaliser ! = Le beurre, l'argent du beurre et la crémière, toujours prêchant pour sa propre paroisse transpsychologue et que la Sécurité sociale prenne en charge l'idéologie scoptique-
"...intégrée dans les Affections de longues durées (ALD) seulement depuis que le décret 2004-1049 du 04/10/2004 où les « troubles précoces de l’identité de genre » sont cités dans l’ALD 23 (Affections psychiatriques de longue durée). La transidentité en a été retirée en 2010 (décret 2010-125 du 8 février 2010). Elle est maintenant classée en ALD hors liste ou ALD 31.
Déclassifier la transidentité de la liste des maladies mentales ne veut pas dire démédicaliser. Les trans’ ont besoin de soins (hormones, épilation définitive, chirurgie, etc.), d’accompagnement psychologique… ça ne veut pas dire qu’ils ont une maladie mentale." Tom Reucher, Dépsychiatriser sans démédicaliser, une solution pragmatique, L'information psychiatrique, 2011/4 (Volume 87), p. 295-299 https://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2011-4-page-295.htm
Ce sont elles qui en parlent le mieux : une femme masculinisée entre d'autres (nous avons un témoignage français, SAF A coeur ouvert), Kellie King alias Scott Newgent, fondatrice de https://www.trevoices.org/ est particulièrement diserte sur ce sujet. 
"J'ai appris de première main la vérité sur le caractère dangereux et périlleux de la transition médicale Mes complications médicales comprennent sept interventions chirurgicales, une embolie pulmonaire, une crise cardiaque induite par le stress, une septicémie, une infection récurrente de 17 mois, 16 séries d'antibiotiques, trois semaines d'antibiotiques IV quotidiens, une chirurgie reconstructive du bras, des lésions pulmonaires, cardiaques et vésicales, insomnie, hallucinations, (...) Pourtant, la bombe qui a déclenché un incendie en moi a explosé après ma découverte de ce que l'industrie médicale poussait les enfants à effectuer une transition médicale.
"La santé trans est infondée - Ces complications médicales que vous avez ? Il n'y a rien à comparer, nous ne pouvons donc pas vous aider à poursuivre. Ce sont des procédures expérimentales. Les gens pointent vers les normes WPATH, mais elles sont remplies de "À la discrétion du médecin" et cela ne résiste pas devant les tribunaux."
Lupron, la société pharmaceutique qui fabrique des bloqueurs d'hormones, n'avait pas l'approbation de la FDA pour traiter les enfants atteints de dysphorie de genre. Des études sur cette cohorte n'avaient pas été faites. Pourtant, ils prétendent que c'est réversible. Lupron a été poursuivi, perdu face au gouvernement américain et condamné à une amende de 874 millions de dollars pour publicité mensongère et corruption et considéré comme une "entreprise criminelle" en 2001.
Alors que je commençais à récupérer, j'ai rejoint Twitter et les nouvelles n'ont cessé de s'aggraver. Une augmentation de 4 000 % du nombre d'enfants qui prétendent être trans et mis sur le marché de la viande pour commencer la transition. J'ai découvert que Lupron fait huit fois plus de profit lorsque des bloqueurs d'hormones sont prescrits aux enfants que lorsque la prescription est écrite pour les adultes. (..) La transition médicale est définitive : point final ! Les hormones sont permanentes et ont des effets durables ; nous n'avons aucune idée de ce qui va arriver à ces jeunes enfants qui les emmènent pour le reste de leur vie. Nous voyons des enfants à 19 ans avec la taille d'un cœur de 12 ans qui limitent leur vie ; nous voyons de jeunes adultes qui ont commencé à souffrir d'ostéoporose précoce. (...)
Parents? Vous devez savoir que les bloqueurs d'hormones causent des dommages, ne sont pas réversibles, et les utiliser pour les enfants dysphoriques de genre n'améliore pas la santé mentale ! Toutes les études qu'ils ont faites qui ont dit qu'ils aidaient la santé mentale ? Rétracté - et les journalistes ont oublié de le signaler. Je crois que des gens seront bientôt envoyés en prison pour faute médicale grave." Alliance GD, 12 avril 2021, Entretien : Scott Newgent, 18 décembre 2021 https://www.genderdysphoriaalliance.com/post/meet-scott-newgent
Nous n'avons pas besoin d'en dire plus.

Finalement, l'on aura là dépeint une tyrannie contemporaine de brider les femmes et gommer les mères et d'y substituer le désir masculin

Christine Gamita
Ph. D. Ethnologie Anthropologie des mondes contemporains

  • Note de fin de carnet -en cours-
... à venir
  • Dictionnaire féministe en quatre pans
  I - Bal - A FEMME http://susaufeminicides.blogspot.com/2013/02/index-- illustre-bal-feministe.html
 II - Guinguette - A MECANIQUE http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/02/index-illustre-ii-guinguette-feministe.html
III - Boum - http://susaufeminicides.blogspot.fr/2013/02/index-illustre-iii-boum-feministe.html
Conclusion - Lexique féministe vs translexis* https://susaufeminicides.blogspot.com/2023/05/lexique-simple.html
  • Carnets de note d'ethnolinguistique française - Démontage des genres 
Examen critique de son principe performatif et principaux items inclusivistes. SAF Féminicide n'est pas neutre en querelle de genre https://susaufeminicides.blogspot.com/2012/01/feminicide-nest-pas-neutre-en-querelle.html

Désexualisation de l'expression Droits de l'Homme par les "droits humains" sous l'oeil d'Olympe. SAF Citoyenne Olympe https://susaufeminicides.blogspot.com/2012/07/citoyenne-olympe.html

Examen des circonstances du lexique trans 2020 du Planning familial SAF La bataille de l'autruche https://susaufeminicides.blogspot.com/2022/08/la-bataille-de-lautruche.html
  • Maternité - Matrimoine - Matriarcat - Mise au monde - Grossesse - Accouchement
SAF Matrimoine royal et SAF Le cirque du sexe en gynécité* - Matrimoine
SAF Place Angélique du Coudray - Femme sage, sage femme
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